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n° 08851Fiche technique8992 caractères8992
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/04/05
Résumé:  une amante volcanique à souhait
Critères:  fh extracon collègues fellation pénétratio
Auteur : Balou  (Epicurien)            Envoi mini-message
Insatiable Nathalie


Cet épisode masturbatoire des toilettes confirma ce que je pensais de Nathalie. En effet ma nouvelle secrétaire débordait d’imagination et de volupté, ce qui ne me déplut pas, bien au contraire. Nous rentrâmes chacun de notre côté vers nos foyers respectifs. Cette nuit-là je dormis comme un bébé même si mon sexe me tiraillait toujours.


Le lendemain matin j’arrivais au bureau comme de coutume avant mes collaborateurs. Ô surprise Nathalie était déjà à son poste, pimpante dans son tailleur crème qui mettait en valeur son teint hâlé. Elle m’accueillit en sautant à mon cou et me donna un baiser fougueux. Nous restâmes enlacés au milieu de l’open-space à nous embrasser passionnément. La journée débutait sous les meilleurs auspices. Les joues et les lèvres en feu, nos sens émoustillés nous vaquâmes ensuite à nos obligations professionnelles durant toute la journée.


Vers 18 heures Nathalie vint me voir et me proposa de venir prendre un verre chez elle. Un peu surpris tout de même je lui fis remarquer qu’elle était mariée et mère de famille. De plus que penseraient ses voisins s’ils me voyaient sonner à sa porte ? Elle me rétorqua qu’elle voulait que je fasse la connaissance de ses enfants, son mari étant reparti en mission. Nathalie comme je l’appris plus tard était une Maman fière de ses enfants, elle se retrouvait souvent seule avec eux. De plus elle devait allier vie professionnelle et vie de famille, chose pas évidente avec un mari fantôme. J’acceptais de bon coeur sa proposition malgré la crainte de me faire remarquer par les voisins.


Etant un célibataire endurci et n’ayant aucune expérience pour jouer avec les gamins je me piquais au jeu avec la petite fille et son frère, je faisais le fou en jouant avec eux dans le salon. Si mes anciennes conquêtes me voyaient faire pensais-je elles n’en croiraient pas leurs yeux. Nathalie elle, nous regardait avec amusement. Le dîner fut également un grand moment vous vous l’imaginez bien. Pas facile de faire dîner des garnements, d’autant plus devant l’invité que j’étais.


Mon assistante coucha ses enfants. Nous nous retrouvâmes seuls assis sur le canapé de nos débuts. Nathalie était vêtue d’un jean qui lui moulait adorablement ses fesses rebondies, elle portait un petit top rose qui mettait en valeur sa menue poitrine, qu’elle est belle ma Muse.


Elle se rapprocha de moi, se mit à califourchon sur mes cuisses, posa ses mains sur mes joues, et elle m’offrit ses lèvres dans un tendre baiser. Je ne restais pas inactif. Mes mains caressaient son dos, je remontais son top et mes doigts goûtèrent à la douceur de sa chaude peau. Ensuite Nathalie déboutonna ma chemise en embrassant mon torse velu, les poils lui chatouillèrent les narines. Ses mains expertes dégrafèrent mon jean qu’elle me retira et qu’elle jeta à travers le salon. Je me laissais faire sous ses caresses et ses baisers. Elle s’agenouilla devant moi, elle écarta mes cuisses pour s’y lover. Je sentais son souffle chaud sur mon ventre. Nathalie souriait, sa bouche se rapprocha du slip tendu à craquer, elle écarta ses lèvres de poupée et mordit……………………………………….. dans le coton de mon sous-vêtement qu’elle retira avec ses dents telle une tigresse. Ma verge tressautait devant son visage, le gland cogna contre son menton. Je vis ses doigts fins s’enrouler autour de ma hampe, son visage se rapprocha encore davantage et mon assistante se caressa avec ma verge tendue. Elle la fit passer sur ses joues, dans ces cheveux soyeux, sur son menton. Ensuite sa bouche en coeur s’ouvrit pour laisser place à sa langue rose.


La vue de ce spectacle accrût encore ma vigueur. Je gémis de plaisir lorsque sa petite langue rose vint lécher ma hampe du haut vers le bas, elle titillait mon gland à merveille. J’étais au bord de l’explosion mais Nathalie ralentit sa cadence car elle voulait me faire goûter à la douceur humide de sa bouche. Je haletais, mes mains agrippaient les coussins, je me tordis de plaisir lorsque je vis sa bouche en coeur commencer à m’engloutir. Elle progressait très lentement. Je sentais ses petites dents racler la fine peau de ma verge, mais c’était une caresse exquise. Elle me regardait dans les yeux comme pour me narguer avant de reprendre sa divine succion. Je me sentais aspiré vers un abîme de bonheur. Ses lèvres humides, elle les léchait avec sa langue lorsqu’elle reprenait haleine. Ce petit manège amoureux dura longtemps. Nathalie m’emportait au bord du précipice du plaisir mais jamais elle ne m’y poussa.


Soudain elle se leva, moi également. Elle prit mon érection dans sa main et elle me mena ainsi jusqu’à sa couche. En un clin d’oeil elle fut entièrement nue, je ne pus même pas la caresser car elle se positionna à quatre pattes sur le lit en me présentant ses fesses et son abricot mielleux, telle une lionne en chaleur.


"Viens mon beau, prends moi vite" furent les seules paroles qu’elle prononça.


J’admirais ses fesses rondes et pleines et me positionnais derrière elle. Je sentis qu’une main impérieuse me prenait le membre sous ses cuisses pour l’ajuster à l’orée de sa fente d’amour. J’agrippais ses hanches et la pénétrais d’un coup entièrement jusqu’à la garde. Nathalie lâcha un rugissement, elle devait attendre ce moment depuis un certain temps, tout comme moi. Je me regardais aller et venir en elle dans le miroir de l’armoire. Nathalie avait la tête dans les coussins mais je l’entendais gémir de plus belle. Son ventre chaud, sa douceur, faillirent avoir raison de moi à plusieurs reprises, mais je réussi à me dominer. Mon bas ventre claquait contre les fesses de Nathalie, mes mains caressaient ses hanches larges et belles que j’agrippais également pour ne pas me laisser désarçonner par l’impétuosité de Nathalie. J’avais la nette impression de faire l’amour à une lionne puisque Nathalie ne cessait d’émettre des grognements quasiment inhumains. Je n’ai jamais ressenti une telle impression de dédoublement, puisque mon esprit accaparé par nos ébats amoureux et par le plaisir des sens me soufflait telle une petite voix que deux jeunes femmes cohabitaient en Nathalie. Cette idée qui traversa mes pensées accrût encore davantage mon pilonnage, je me comportais moi aussi comme un fauve et poussais des borborygmes préhistoriques.


Mon ventre claquait de plus belle sur les fesses de Nathalie. Je sentis son ventre se contracter, elle poussa un hurlement si fort que je crus que les enfants allaient se réveiller. Je la vis mordre la taie d’oreiller pour étouffer d’autres cris, et se tordre devant moi comme une bête en furie. Ses mouvements brusques, ses spasmes de plaisir nous avaient dessoudés.


Nathalie se retourna, elle s’allongea sur le dos en écartant ses cuisses et me lança :


"Prends-moi, je veux te voir jouir les yeux dans les yeux"


Je m’approchais et la couvris. Je pénétrais en elle très loin dans son ventre. Ses jambes encerclèrent mes hanches et je me retrouvais prisonnier de son être. Commença alors une sarabande endiablée et torride. Je regardais Nathalie, son visage rayonnait de bonheur, sa bouche entrouverte qui lâchait des gémissements, son petit nez se pincer, la sueur perler à son front et je continuais inlassablement mes va-et-vient en accélérant progressivement. Je sentais les doigts de mon amante griffer mon dos, je voyais palpiter les veines de son cou.


Soudain elle ouvrit les yeux et nos regards se soudèrent. Elle cria la première. Je me rapprochais de son oreille et je gémis de plaisir en délivrant ma sève en elle. Je pensais me vider de toute mon essence, des vagues de plaisir nous submergeaient et un second orgasme me foudroya instantanément. Nathalie également continua d’éructer des sons inintelligibles en jouissant par cascades. La sueur ruisselait sur nos corps, je bus des gouttes salées aux tempes de Nathalie. Elle me serrait amoureusement dans ses petits bras et me glissa à l’oreille :


"Encore, j’en veux encore mon bel étalon"


Je n’étais pas certain de pouvoir renouveler immédiatement une débauche d’énergie sexuelle de cet acabit. Je laissais ma bouche embrasser la sienne. Mon amante murmurait des mots d’amour à mes oreilles, elle m’encourageait ainsi à retrouver ma vigueur. J’étais toujours en elle et grâce à ces mots si bien choisis je sentais l’excitation pointer à nouveau. Nathalie enserra ma verge avec ses muscles intimes, cette sensation provoqua en moi un renouvellement instantané de ma puissance.


Nous repartîmes vers le continent du bonheur ensemble encore de longs moments.