Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08880Fiche technique6853 caractères6853
Temps de lecture estimé : 5 mn
16/04/05
Résumé:  Cécile, son boss, son amour
Critères:  fh collègues travail fsodo
Auteur : Balou  (Epucurien)            Envoi mini-message

Série : Rousse nymphe

Chapitre 03 / 03
Cécile suite et fin


Cécile se retrouvait allongée sur la moquette entre mes cuisses. Ses mains blanches tenait fermement la base de ma hampe érigée pendant que sa bouche de poupée me suçait frénétiquement. J’ai pensé que si elle continuait ainsi elle allait m’aspirer tout entier.



Je gémissais couché sur la moquette de mon bureau. Les yeux fermés je me laissais aller à cette délicieuse sensation d’être à la merci de mon assistante. Cette pensée soudaine déclencha une nouvelle érection puissante.


La bouche de Cécile cessa toute succion. Ma poupée leva ses yeux verts vers moi, elle admira l’oeuvre de sa douce caresse buccale



Je voyais ses yeux étinceler d’un feu étrange, ses prunelles dilatées.



Je regardais Cécile les yeux écarquillés. J’appréhendais cela au vu de sa petite taille et de ses fesses d’adolescente.



Elle éclata de rire et me lança :



Cécile se mit à quatre pattes, en me présentant ses fesses.



Mon érection toujours aussi puissante, je m’agenouillais derrière elle et vis effectivement que la rondelle de son pertuis était extrêmement dilatée.



J’humidifiais son pertuis avec ma salive et mes doigts. Je regardais cet orifice qui attendait ma hampe. Il bougeait, on aurait dit qu’il était animé d’une vie propre. J’introduisis d’abord un doigt, mais deux immédiatement après, car je me rendis compte de l’élasticité de ce puits de perdition de Sodomite

Ma hampe en main, je frottais mon gland à l’entrée



Et je m’exécutais au pied de la lettre.

Une seule poussée suffit à me plonger dans un délice doux et chaud, j’agrippais les hanches de ma secrétaire en admirant les courbes magnifiques de son dos et de ses fesses. Je ne bougeais pas encore.

Cécile gémis de contentement



J’étais dans une autre dimension. Je me demandais si c’était moi le cadre dynamique qui enculait sa secrétaire, un vendredi soir, dans son bureau. Mon cerveau disjonctait complètement.

Je me voyais aller et venir entre les fesses de Cécile. J’entendais ses râles et ses cris de charretière. "Mon Dieu, quel langage cru !" pensais-je. Ma tête bourdonnait.



Elle grognait des insanités monstrueuses à notre propos, cela devait la faire jouir davantage.

J’augmentais ma cadence de pistonnage, en me disant que je franchissais un interdit, je me sentais délicieusement sombrer dans l’abondance de la luxure en compagnie de ma secrétaire. La sensation exquise de labourer les reins de Cécile accrut encore mon plaisir de quasi domination.

Nous criâmes ensemble à l’apogée du plaisir, je déversais ma lave en fusion dans les entrailles de Cécile. Le temps s’était arrêté. La jouissance qui nous animait permit à nos âmes de communier ensemble dans une dimension de stupre et d’amour.


Le plaisir passé nous restâmes encore soudés l’un à l’autre, elle toujours à quatre pattes et moi agenouillé et collé à ses fesses. Nous ne prononcions aucune parole. Mon bureau sentait le sexe et le sperme. Une fine pellicule de sueur filmait nos corps.


Cécile fut la première à réagir. Elle se leva et me dit :



Je l’enlaçais tendrement dans mes bras, nous laissâmes nos bouches nous enivrer de baisers tendres et retenus.

A regret, nous nous séparâmes, car l’heure tournait. La nuit était tombée. Seule la veilleuse du bureau nous éclairait. Nous nous rhabillâmes en hâte. Cécile fit une halte aux toilettes pour se refaire une beauté après toutes ces émotions orgasmiques et ces corps à corps. Je me sentais courbaturé, j’avais la tête vide, mais heureux comme un pape.

Cécile me rejoignit et me dit :



Elle déposa un chaste baiser sur la joue.



Elle sourit, me posa un doigt fin sur la bouche. L’instant était magique.

Nous quittâmes la société en nous souhaitant bon week-end.


Les jours, les mois, les années passèrent. Cécile et moi n’avons plus jamais renouvelé cette expérience, certainement à notre grand regret à tous les deux. Nous avons travaillé ensemble 5 ans en toute transparence l’un envers l’autre. Une collaboration et un dévouement réciproque de tous les instants. Plus tard Cécile a quitté mon service pour prendre un poste de direction à l’autre bout de la France.


Maintenant presque 8 années ont passé. Je vois Cécile une à deux fois par an lors de séminaires ou de réunirons extraordinaires. Nous sommes restés très proches à travers nos échanges de mails et nos coups de téléphone.

J’ai vieilli, elle aussi car le boulot nous "suce" notre énergie, mais nous aimions notre job.

Je pense souvent à elle et je sais que c’est réciproque, elle me le dit souvent, nos sommes devenus de vrais amis.


Je vous avouerais, cher(e)s lectrices et lecteurs, avoir longtemps hésité pour poster ce texte, mais il le fallait pour nous deux. Je sais que Cécile lira un jour ces mots et elle se reconnaîtra.