n° 08892 | Fiche technique | 14170 caractères | 14170Temps de lecture estimé : 9 mn | 18/04/05 |
Résumé: Comment pour la première fois mon mari et moi avons assouvi nos fantasmes | ||||
Critères: fhh extraoffre parking amour fellation | ||||
Auteur : Patou (Rousse Flamboyante) Envoi mini-message |
Cela faisait plus de 6 mois que j’avais subi mon intervention. Après 10 ans de mariage et 3 enfants, mon mari, m’avait offert cette opération de nature esthétique dont le but était de supprimer le souvenir de 3 grossesses successives, tout en gardant (pour son plaisir) l’essentiel de mes formes pulpeuses. À l’époque, j’avais consulté plusieurs professionnels, qui m’avaient préconisé une intervention de même nature. Tous sauf un David X, qui ne sachant pourquoi, avait attiré mon attention, d’où mon choix de le prendre comme praticien pour l’opération. Chose bizarre, il m’avait aussi demandé de rencontrer mon mari avant l’opération pour l’impliquer davantage. Il est vrai que mon époux est souvent en voyage à l’étranger et, de retour à la maison, ne se préoccupe pas beaucoup de mes petits soucis.
Ils avaient très rapidement sympathisé., et grâce à cela mon mari s’était rapproché de moi par l’intermédiaire de David. L’opération s’était passée merveilleusement bien, et après plusieurs semaines, j’avais la satisfaction de remettre des tailles que j’avais abandonnées depuis plusieurs années. Je dois aussi avouer que cela avait aussi réveillé une excitation disparue chez mon mari, qui me sollicitait plusieurs fois par semaines (comme au début de notre relation).
Pendant nos ébats, il arrivait fréquemment à mon mari de me raconter ses fantasmes. Chose rassurante, tous tournaient autour de moi comme personnage principal. Il s’agissait souvent d’un lieu insolite ou public, voir même de me partager avec d’autres hommes. Je ne prêtais pas attention à cela, ne pouvant m’imaginer une seule seconde que nous réaliserions ses fantasmes. Un soir après avoir fait l’amour, il me demanda si j’aimerais réaliser un des ces fantasmes, je lui avais répondu de manière évasive qu’une fois réalisé, nous en perdrions tout le charme et le mystère.
Un soir où il m’emmena au cinéma, pendant la séance, je sentis sa main remonter le long mes collants et je me sentis particulièrement troublée. Il me caressa les cuisses à travers le nylon de mes collants, ce qui au bout d’un certain temps commença à m’exciter. Il dû le sentir, car sa main continua sa course pour finir à mon entre jambe où, toujours à travers mon collant, il me masturba délicatement. Jambes écartées et haletante, il joua de mon corps pendant 5 minutes, jusqu’à ce que sa main passe en dessous pour laisser pénétrer ses doigts dans mon sexe. Il était maintenant trop tard pour refuser la caresse. Je me laissais aller, prenant toutefois garde à ne pas me faire remarquer. La situation et la ferveur de ses caresses me firent exploser. Comme une adolescente pour sa première fois j’avais joui, sous la main de mon mari et dans un lieu public. À la sortie du cinéma, nous nous dirigeâmes vers sa voiture qu’il avait garée au dernier sous-sol du parking. Le parking était désert, et je m’étais fait la réflexion à l’arrivée:" Pourquoi ne pas se garer plus près ?". Je compris une fois dans la voiture. Il m’embrassa avec fougue et me dirigea la tête vers son sexe. Je pris son membre de ma bouche, et m’appliquai à lui rendre le plaisir qu’il m’avait offert plus tôt. De ma position je ne pouvais voir le parking, espérant seulement que personne ne s’approchait. C’était la première fois que je suçais mon mari dans un lieu public, je me demandais donc comment tout cela allait finir. Je sentais sa main me maintenir par les cheveux et son sexe rentrer et sortir de ma bouche. Ma langue tournoyait autour de sa hampe, le léchant comme une glace, remontant sur son gland, le mordillant, je le sentais heureux, ivre de bonheur qu’il me déchargea sur le visage. C’était inattendu pour moi, ne pensant pas qu’il jouirait dans ma bouche, chose que je lui avais toujours refusé. Mais dans ma position et aussi dans mon état d’excitation, j’acceptais toute sa semence dans ma bouche et sur mon visage, découvrant le goût aigre du sperme de l’homme de ma vie. Sur le chemin du retour il me dit :« Tu vois qu’on peut toujours réaliser un fantasme… », Je ne répondis pas….
Plusieurs jours plus tard, nous avons reparlé de notre séance au cinéma, et il me fit avouer que cette nouvelle expérience m’avait procuré un plaisir intense. Bien sûr, il poussa le jeu plus loin me proposant de faire l’amour à plusieurs. Sans refuser j’essayais de repousser sa proposition, lui expliquant qu’après une telle expérience, il ne pourrait plus me regarder et m’accepter comme avant.
Il me laissa réfléchir plusieurs jours, et revint à la charge en fin de semaine. J’acceptais, mais à une condition. Il devrait proposer l’homme et organiser cela lui-même, me donnant l’impression d’une totale surprise.
Son choix se porta sur David. Il savait que David m’avait physiquement plu. De plus célibataire, je n’aurais pas l’impression de voler l’homme d’une autre. Comme promis, il s’occupa de tout respectant sa promesse, en me laissant à l’écart. Un soir, il rentra à la maison, et me dit: «J’ai rencontré David, il viendra manger samedi soir à la maison, comme les enfants sont en vacances chez tes parents, nous pourrons profiter pleinement de notre soirée. De plus ne t’inquiète pas pour le repas, David connaît un excellent traiteur et j’ai déjà tout commandé. Ils livreront tout pour 20h00».
La semaine se passa ensuite sans qu’aucun de nous n’abordât le sujet. Je me demandais comment il avait présenté cela à David, et si je lui plairais suffisamment. David était bel homme et devait avoir de multiples conquêtes. En fin de semaine mon mari m’annonça qu’il était débordé de travail et qu’il devait travailler ce week-end pour rendre une proposition lundi matin. Il passerait le plus clair de son temps au téléphone dans son bureau (qui se trouvait dans une petite dépendance à l’extérieur de la maison), mais que cela ne remettait pas en cause notre soirée avec David.
Le samedi soir arriva enfin. J’étais très angoissée, plus de savoir si j’allais être à la hauteur des attentes de mon mari, et si je ne passerais pas trop pour une gourde auprès de David. Quand il arriva, il m’embrassa comme à son habitude et me complimenta sur ma tenue.
J’avais revêtu une jupe mi-velours mi-cuir, plus un pull en lycra qui faisait ressortir avantageusement ma poitrine.
Mon mari servit l’apéritif et la conversation battait son plein. David nous parla de ces dernières clientes avec beaucoup d’humour ce qui rendait la soirée très gaie.
Au milieu du repas, le téléphone de mon époux sonna. Je compris que son chef basé aux Etats-Unis avait un besoin urgent de revoir un dossier. Il s’excusa, nous disant qu’il allait dans son bureau pour une heure, afin de ne pas nous déranger. Je me retrouvais donc seule avec David, n’ayant aucun doute sur une préméditation dans la séquence des événements. Je constatais immédiatement après le départ de mon mari un changement dans l’attitude de David, qui passa d’un comportement amical à charmeur, dont il savait abuser à la perfection.
Le vocabulaire avait changé, et je compris qu’il allait devenir plus entreprenant. Connaissant mon mari je me doutais que tout était parfaitement minuté et que je ne devrais que suivre le chemin vers lequel David me guiderait. Il se leva de sa chaise et s’approcha, s’accroupissant devant moi, il me prit la main avec une infime douceur.
Il approcha sa figure de la mienne et m’embrassa langoureusement immiscent sa langue de ma bouche et jouant ainsi avec ma langue. Il me prit par la main, et me poussa vers ma chambre. Il me maintenait par les hanches me guidant à travers ma chambre. À ma grande surprise, il passa à côté de mon lit sans s’arrêter et me fit pénétrer de mon boudoir. Il stoppa à l’entrée du dressing, se maintenant derrière moi. Je sentis la pression de ses mains parcourir mes hanches et remonter sur ma poitrine.
En effet, il avait toujours refusé de modifier quoi que ce soit sur me fesses ou sur mes seins, se limitant juste à une lipo aspiration du ventre, du dos et des cuisses.
Il remonta sa main sous ma jupe, passant outre mes bas, pour glisser directement sous ma culotte où il m’enfonça son doigt qui m’explora longuement le vagin. Je sentais sous ses caresses les conseils de mon mari qui avait du lui indiquer ce que je préférais. Son autre main remonta mon pull afin de découvrir mes seins, qu’il caressa avec passion. Laissant mes seins débordr de mes balconnets, il en titillait la pointe afin de m’exciter davantage. Sa langue suçait mon cou et me mordillait le lobe de l’oreille, je me sentais possédée de partout. Il me poussa vers la méridienne et me pencha en avant, me plaçant les fesses bien hautes. Remontant ma jupe, il avait une vue imprenable sur ma croupe marquée par ma culotte qu’il baissa. Je sentis sa figure se rapprocher de mes fesses et sa langue s’introduire dans mon sexe déjà humide de ses doigts experts. Il me suça le sexe avidement, passant sa langue sur le contour de mon vagin, pour finir par l’enfoncer au plus loin de ses possibilités. Je haletais, la position était inconfortable, mais l’univers confiné de mon dressing rendait la scène diablement érotique. Je jouissais intensément de sa langue quand il se coucha sur la méridienne et me positionna devant lui dos tourné afin de mieux profiter de ma croupe. Il me pénétra par derrière lentement. Une fois en moi, il ressortit son sexe et me pénétra encore. Il fit cela plusieurs fois avant de commener ses mouvements saccadés. Il avait passé une de ses mains sous mon corps, me palpait les seins et de l’autre, il me caressait les fesses. Son sexe n’était pas très grand, mais d’un diamètre important, ce qui me remplissait entièrement. Il accélérait le mouvement, me laminant complètement. Il alternait les mouvements rapides et lents sortant son sexe de temps en temps afin de le faire coulisser entre mes fesses, pour me pénétrer de plus belle.
Comme de bien entendu, mon mari était là à attendre et écouter ! Il rentra dans la pièce et me regarda pendant de longues secondes. Il savoura ce moment. De me voir baiser et jouir avec un autre homme le faisait jouir aussi.
Il sortit son sexe qu’il m’enfonça dans la bouche, et je me mis à le sucer avec beaucoup de tendresse et d’amour. Il y avait dans cette scène une grande différence entre David qui me baisait comme une pute, m’insultant et m’appliquant de grandes claques sur mes fesses, et la douceur de l’échange entre mon mari et moi. Je sentis que cette situation renforçait l’amour que nous avions l’un pour l’autre.
David sortit son sexe et se répandit sur mes fesses et ma jupe. Surexcité par la vision du sperme giclant partout sur mon corps, mon mari m’inonda la bouche. Je le bus avec délectation.
Exténués, nous nous reposâmes quelques minutes. David avec beaucoup de diplomatie désira partir, nous demandant la permission de se retirer afin de nous laisser seuls. Il savait que sa présence gênerait le bonheur intense que nous venions de vivre.
Seuls enfin, nous avons fait l’amour à nouveau, dans notre lit, ce fut grand et magique, et je compris enfin tout l’amour que mon mari avait pour moi.