n° 08893 | Fiche technique | 6273 caractères | 6273Temps de lecture estimé : 5 mn | 18/04/05 |
Résumé: J'accueille mon homme, de retour du bureau, de façon très chaleureuse. | ||||
Critères: fh couple grossexe amour volupté odeurs fellation | ||||
Auteur : Crystaldan |
Un soir d’hiver, mon homme rentre du travail.
Il me trouve emmitouflée dans la couette, couchée sur le canapé.
Pourtant, moi, en costume, comme ça, je trouve qu’il dégage une terrible impression de puissance, de force à l’état brut. Mais c’est vrai qu’il s’agit là d’un grand métis aux lèvres aux mains puissantes et si agiles…
Quant à moi, je ne suis qu’une petite Antillaise avec un magnifique petit cul et de mignons petits seins en forme de cônes (selon ses dires).
A le voir ainsi, je sens des petites palpitations au creux de mon ventre, mais j’y prête peu d’attention.
Cela doit venir du fait qu’il m’a manqué plus particulièrement pendant cette journée de farniente.
Pour faire la conversation, je le suis alors dans la salle de bain. Je l’observe tandis qu’il se douche et je ne peux m’empêcher d’admirer ces magnifiques fesses, bien fermes.
Je sens alors de nouveau les palpitations.
Lorsqu’il sort enfin de la douche, j’aperçois son sexe parfaitement épilé (c’est moi qui le lui fait), pendant, comme la queue d’un éléphant encore au repos.
On a du mal à croire que cette ridicule petite chose toute fripée puisse devenir aussi monstrueusement énorme. À cette pensée, dans mon cerveau se succède une foule d’images fugaces, où cette chose m’avait retournée.
D’un coup, je n’ai plus qu’une seule envie : revoir son énorme queue et la satisfaire.
Je me jette à ses pieds pour avaler sans ménagement sa queue et le sucer violemment.
Pas mécontent, mon homme grogne un AH!!! de soulagement.
Les doigts de ma main gauche viennent se fermer sur la base de son sexe, tandis que je m’efforce d’avaler entièrement sa queue.
Je sens alors son sexe se durcir dans ma bouche, hummmm!!! J’adore cette sensation de puissance. Sa bite m’appartient et m’obéit à l’oeil et notamment au doigt.
Je la retire de ma bouche pour l’admirer. Elle n’est pas encore totalement opérationnelle, mais durcit de seconde en seconde. Elle est vraiment magnifique, cette longue tige couleur marron chocolat. Son gland, quant à lui, est d’une couleur qui tire entre le rose, le marron clair et le rouge sang.
Et puis il y a cette odeur, voluptueuse, capiteuse, dangereusement enivrante, qui me fait perdre mes derniers lambeaux de pudeur. Je la prends à pleine main et me caresse le visage avec. Je sens le plaisir et ce fumet me submerger. Je regarde mon homme, les yeux rougeoyants de désir. Lui me sourit calmement, tout prêt à être mon jouet.
Alors, les yeux fermés, je commence à le sucer très doucement, en creusant au maximum mes joues et en faisant durer les mouvements de va-et-vient.
Ma main gauche vient s’enrouler sur la base de son sexe et une partie de ses couilles, que je caresse légèrement de mon pouce gauche. Tandis que ma main droite s’active à masturber sa tige en imprimant de longs mouvements de vrille.
J’entends les bruits étouffés de satisfaction de mon homme, qui veut se retenir de crier.
J’entrouvre alors les yeux et aperçois le visage de mon homme qui se crispe de plaisir à chacun de mes allers, pour se détendre lors du retour de ma bouche vers le gland.
Arrivée au-dessus du gland, ma langue lape ce petit bout de chair parfumé.
Avide de tant de pouvoir sur mon homme, j’accélère le rythme. Je veux, j’ai besoin de le sentir jouir dans ma bouche, car son odeur me vrille le cerveau.
La réaction de mon homme ne tarde pas, je ressens son coeur battre la chamade, ses muscles se contractent suivant le rythme que j’ordonne. Son souffle devient de plus en plus bruyant, résonne comme une douce mélodie dans mes oreilles.
La situation bascule alors : je ne suce plus, c’est lui qui pénètre ma bouche.
De sa puissante main droite, il me force à le sucer en imprimant le rythme qu’il veut.
Du moins, c’est ce qu’il imagine. Il ne sait pas que j’adore lorsqu’il n’écoute que son plaisir. Le moment où seul compte son plaisir de mâle, je m’imagine être la maîtresse de sa jouissance, car je peux tout arrêter quand je le veux.
Je sens ses bourses cogner contre mon visage. Je ne suis plus que le réceptacle de sa folie et de sa queue. J’ouvre grand la bouche pour qu’il puisse me « pénétrer » le plus loin possible. Mes deux mains s’agrippent à ses fesses pour amortir la violence de ses mouvements
Les mouvements de bassin de mon homme deviennent de plus en plus désordonnés, saccadés. Je sais alors qu’il ne résistera pas bien longtemps à mes/ses propres caresses.
Soudain, il jouit dans ma bouche.
Il m’oblige à tout avaler en maintenant la pression qu’il avait jusque là exercée sur mon cou.
C’est le point le plus désagréable, lorsqu’il s’agit de me/lui faire plaisir.
Lorsqu’enfin, il sort son sexe de ma bouche, celui-ci, à mon grand désespoir, n’est plus tout à fait aussi monstrueux qu’il y a quelques minutes.
Mon Homme me redresse pour me prendre dans les bras, avec une douceur incroyable. Une main posée sur ma nuque, il m’embrasse avec une tendresse infinie, d’abord la joue droite puis la joue gauche. Ensuite il remonte vers mon front et redescend enfin vers mes lèvres. Il glisse ses lèvres sensuelles vers mon cou et les fait remonter vers mon oreille droite, tout en caressant de ses doigts mon bras.
Arrivé à mon oreille, il me souffle : "C’est à mon tour de retourner…"
La suite en fonction de vos critiques.