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n° 08911Fiche technique10270 caractères10270
Temps de lecture estimé : 7 mn
21/04/05
Résumé:  Chantons sous la pluie !
Critères:  fh cunnilingu
Auteur : Olivier0405  (Olivier)            Envoi mini-message
Qui a dit que la pluie rendait triste ?


La première rencontre ayant été fort mémorable, nous avions poursuivi notre correspondance avec régularité. Nous souhaitions nous rencontrer à nouveau mais nous voulions surtout trouver le lieu et le moment idéal pour assouvir nos pulsions. Après quelques échanges d’idées fort excitantes, nous ne parvenions toujours pas à nous décider. Je lui ai proposé de m’en occuper et de la surprendre le temps venu. Il n’a pas été difficile de la convaincre, car elle m’a avoué que le caractère inconnu de notre prochaine rencontre augmentait son excitation. Quelques jours plus tard, les détails de notre rencontre étaient fixés. Je ne voulais pas lui donner d’indices sur ce qui allait se passer, je lui ai simplement dit de se tenir prête en tout temps et de me faire confiance, car je lui avais préparé un rendez-vous de rêve.


Une semaine et demi plus tard, un beau soir d’été, je l’appelle pour lui dire que tout est prêt. Je lui donne rendez-vous dans le Vieux-Montréal, le lendemain soir vers 22h. La seule autre indication, j’avais quelques demandes au sujet de ses vêtements. À titre d’exemple, je lui demandais de porter des trucs plutôt décontractés du genre des pantalons jeans. Le soir venu, comme il pleuvait abondamment, j’apportai mon parapluie pour ne pas débarquer tout trempé au précieux rendez-vous. Parvenu devant le Marché Bonsecours sur la rue Saint-Paul, je m’aperçus qu’elle était déjà là, abritée dans sa voiture. En me voyant, elle descendit de la voiture, je lui pris la main pour la diriger dans les profondeurs du Vieux-Montréal. Tout en marchant, les deux collés sous le parapluie, je sentais s’éveiller son appétit. Du bout des doigts, elle frôlait délicatement ma main, l’excitation était palpable, la tension sexuelle à son paroxysme. Arrivés dans une sombre ruelle, je lui dis simplement : « Viens, c’est par ici ! ». Je l’amenais dans un coin reculé, dissimulé par de nombreux escaliers de secours accrochés à l’arrière des bâtiments, de chaque côté. Là se cachait un escalier étroit descendant dans le sol et menant vers une sortie de secours. La main à la rampe, nous avons pénétré dans ce lieu à la fois ténébreux et inquiétant mais ô combien stimulant.


La pluie intense formait une chute d’eau qui tombait directement au pied des marches. Un peu inquiète, elle me demandait : « T’es certain que… ». « Fais-moi confiance, y’a aucun danger qu’on soit dérangés. Cette bâtisse est abandonnée. ». Aussitôt dit, je refermais le parapluie et je la plaquais contre la porte, exactement sous la cascade. Elle enroulait ses bras autour de mon cou en m’embrassant avidement. Je glissais mes mains dans ses cheveux, déjà tout trempés. Ma bouche quitta la sienne pour se diriger vers son cou ruisselant. J’enlevai son imperméable et la lançai au sol. L’eau se déversant sur nos têtes, sa chemise eut tôt fait d’être imbibée me faisant apparaître la peau de ses bras et de sa poitrine. Encouragé par ses murmures, j’ouvris violemment sa chemise. Je vis qu’elle m’avait obéi car sous celle-ci, une fine camisole blanche déjà trempée laissait entrevoir la pointe de ses seins. Je ne pouvais retenir mes mains qui se sont rapidement dirigés vers ses formes généreusement invitantes. Ma bouche quitta le creux de son cou pour retrouver la douceur de ses lèvres. Pendant que sous une pluie torrentielle, nous échangions des baisers enflammés, je lui retirais complètement sa chemise. Après quoi, je détachais son pantalon et je m’accroupis afin de lui retirer. Me retrouvant à ses pieds, je l’aidais à se défaire de son jeans en lui laissant ses beaux bottillons. En me relevant doucement, je ne pouvais qu’admirer ce corps formidable qui m’était si magnifiquement offert. Vêtue uniquement de sa camisole blanche et d’une petite culotte de la même couleur, elle était diablement sexy.


Pour une seconde fois, je la plaquais contre la porte tout en l’embrassant sensuellement. En levant ses deux bras au ciel, elle s’accrocha tout naturellement à un tuyau qui longeait le haut de la porte. Cette prise lui permettait d’enrouler facilement ses jambes autour de mes hanches. Ainsi perchée, elle m’offrait sa poitrine arrosée de l’incessante rigole. D’un geste habile, je réussi à faire tomber une bretelle. En se faisant, je libérais un sein que je m’empressais de lécher avidement. En massant fermement sa poitrine, je caressais tour à tour la pointe des mamelons. En étirant les jambes, elle réussit à rejoindre la rampe d’escalier de l’autre côté. Ainsi, elle était bien appuyée dans les airs, m’offrant tout son corps ruisselant. J’en profitais pour me mettre à genoux, afin de positionner ma tête entre ses cuisses, ses jambes sur mes épaules. Je m’abreuvais de sa culotte imbibée de pluie et de mouille. Déplaçant délicatement sa culotte, je me frayais un chemin vers sa chatte totalement inondée. Ma langue naviguait avec délectation sur son clitoris gonflé de plaisir. Encouragé par ces gémissements approbateurs, je le succionnais d’une façon de plus en plus acharnée. Inconditionnel de ces caresses, je profitais moi également de ces moments de délices. Je pénétrais ma langue de plus en plus profondément, léchant toute chair sur mon passage. Mes lèvres emmêlant les siennes, ma bouche baignait dans ce jus si délicieux. Jamais, je n’avais goûté à si bon parfum.


Revenant à moi, elle reposa les pieds sur le sol et me dirigea délicatement vers les escaliers. Elle détacha ma ceinture et retira rapidement mes pantalons et mes caleçons qu’elle déposa sur une marche. Ensuite, elle me fit comprendre clairement qu’elle voulait que j’y pose mes fesses. Les nuages crachaient toujours un déluge d’eau et ne donnaient aucun signe de ralentissement. Le visage à la merci de l’averse, je l’ai vu enlever sa culotte et s’approcher de moi. Elle posa les yeux sur ma queue qui pointait fièrement vers ciel. Au pied de l’escalier, elle me tourna le dos avant de se baisser cavalièrement pour me chevaucher. D’une main habile, elle empoigna mon sexe qu’elle dirigea vers l’entrée de sa chatte. Je la pris par les épaules pour rythmer la cadence mais elle me signifia rapidement qu’elle voulait elle-même avoir le contrôle. Je la lâchai aussitôt et je la laissai faire. Telle une amazone aguerrie, elle bondissait frénétiquement sans jamais laisser échapper mon membre de son corps. Nos têtes projetées vers l’arrière par ces moments de pure jouissance rendaient nos visages à la merci de l’averse. Pendant que je posais mes mains sur la courbe de ses hanches, elle faufilait les siennes dans ses cheveux, descendant le long de son cou, s’attardant un peu plus bas sur sa poitrine, avant de glisser audacieusement vers son sexe. Une main malaxant généreusement ses seins alors que l’autre stimulait énergiquement son clito. Rapidement, elle fut submergée par un orgasme tout aussi étendu que puissant.


Après avoir ralenti la cadence, elle se leva et se pencha vers l’avant afin de m’offrir le merveilleux spectacle d’un cul si sublime. En appuyant ses deux mains contre la porte, elle retourna sa tête vers moi pour me lancer un sourire démoniaque en guise d’invitation. La cascade coulait abondamment sur elle, une vision du paradis. Sans attendre, je me retrouvais debout derrière elle, prêt à m’insérer dans son corps. Débutant par une pénétration lente et profonde, je pouvais cajoler la peau de ses hanches, de son dos et de son cou. En accélérant le rythme, je la pris par les épaules afin de la baiser bien en profondeur. Elle semblait y prendre un plaisir fou, car elle se retournait pour me regarder et me supplier d’aller plus loin et plus vite. Tout en accélérant, je la retenais contre le mur. Le visage plaqué à la porte, elle arborait une expression à la fois d’inconfort et de satisfaction. Peu de temps après, je décidai de reculer un peu afin de lui laisser un peu d’espace. Toutefois, pour bien me faire comprendre qu’elle en voulait encore plus, elle m’empêcha de me retirer en pressant ses fesses contre moi. En réponse, j’agrippai ses cheveux imbibés et je poussai avec fermeté sa tête vers l’avant. Sa poitrine abondante se balançait au rythme des chocs. Un de ses seins se ballottait librement et m’invitait à intensifier les impacts. Je décidai de délivrer l’autre en retirant la dernière bretelle. Prisonnière de mes coups de bassin et de son propre plaisir, elle fut saisie d’une violente et libératrice jouissance.


À ce moment précis, elle me repoussa avant de s’agenouiller devant moi. En me branlant énergiquement la queue, elle précisait clairement ses intentions. De cette façon, je pouvais l’admirer dans toute sa splendeur; la chevelure complètement trempée, le regard amusé et le sourire satisfait. La pluie tombait toujours aussi abondamment sur nos corps exténués. Pour un instant, j’ai souhaité que cette douce euphorie n’arrête jamais. Ce vœu était toutefois incompatible avec la puissance de mon plaisir. J’eus tôt fait de baigner sa poitrine de ma semence. Toujours avec ma queue dans sa main, elle le frotta langoureusement sur ses seins dégoulinants. J’inclinai ma tête afin d’embrasser sensuellement son cou, ses lèvres et sa langue.


Après avoir enfilé nos vêtements détrempés, je lui proposai de venir se sécher à la maison. Elle déclina l’invitation, en me disant qu’elle souhaitait en savoir le moins possible sur moi, car le mystère ajoutait à son plaisir. Elle quitta les lieux aussi rapidement que lors de notre première rencontre. Elle me dit simplement qu’elle avait déjà hâte d’être à notre prochain rendez-vous : « Après tout, jamais deux sans trois ! ». Marchant vers chez moi, seul sur les trottoirs, je n’avais jamais autant apprécié la douceur de la pluie. Aujourd’hui, quand le temps est à l’averse, je ne peux m’empêcher de penser à cette soirée mémorable.