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Temps de lecture estimé : 16 mn
22/04/05
Résumé:  Les sextraordinaires aventures d'un timide.
Critères:  fh frousses couple extracon collègues gros(ses) grosseins groscul école volupté revede fellation cunnilingu pénétratio fsodo uro
Auteur : Rubens  (Amateur des rondeurs féminines)      Envoi mini-message

Série : Souvenirs d'un timide

Chapitre 01
Souvenirs d'un timide (1ère partie : Christelle)


J’ai 35 ans et je suis enseignant de mathématiques dans un collège de la banlieue lilloise. Je suis marié avec une femme adorable et très gentille, que j’aime beaucoup, au physique tel que je l’aime, c’est-à-dire une forte poitrine et des rondeurs juste où il faut, mais qui malheureusement n’est pas toujours très portée sur le sexe. Ma timidité, surtout ma pudeur en ce qui concerne les sentiments, font que je suis souvent obligé de me soulager manuellement. Or, il m’est arrivé un évènement extraordinaire lors d’une année scolaire passée, que je vais vous rapporter ici.



Mon histoire commence début septembre, avec une petite pluie fine et froide, un ciel plombé dont les reflets oscillent du gris blanc au gris noir, et des bourrasques de vent assez violentes. La météo aidant, le moral n’est pas au beau fixe en ce jour de prérentrée. Comme chaque année je dois subir la réunion de rentrée, avec le discours du chef qui s’éternise et ne passionne plus personne. Pourtant à ce moment, il présente les quelques nouveaux collègues, qui passeront l’année avec nous. Christelle en fait partie, jeune professeur d’espagnol, plutôt intimidée, dont la longue chevelure rousse ensoleillée détone avec la grisaille humide de cette rentrée.


Midi, enfin cette réunion s’achève, le pot de l’amitié permet de revoir les anciens collègues, de discuter des vacances qui viennent de se terminer, et de découvrir les nouveaux. Le hasard fait parfois bien les choses, en effet la secrétaire sachant que j’habite le coin depuis longtemps, me présente Christelle, qui cherche à se loger dans la région. Je lui indique alors les différentes adresses des agences immobilières dans les environs, en lui conseillant également les notaires et la mairie. Je découvre alors vraiment la charmante jeune femme, ses yeux verts rieurs, dissimulés derrière une paire de lunettes aux verres gigantesques, son petit nez retroussé agréablement parsemé de tâches de rousseur, ses lèvres charnues bien dessinées, sa voix très douce.

La surprise vient après, alors que je vais lui chercher un verre, en revenant, je l’aperçois de profil et découvre une impressionnante poitrine que je n’avais pas remarquée auparavant car elle est cachée sous un chemisier très ample et une étole. Le reste, du moins ce que je peux en voir, est tout en proportion, ronde mais pas trop. En discutant avec elle, je m’aperçois qu’en plus d’un physique très agréable, Christelle est une personne très sensible qui a les pieds sur terre, loin de toutes ces conversations soi-disant hautement philosophiques, mais qui ressemblent surtout à une masturbation de l’esprit, que l’on entend trop souvent en salle des professeurs.


En lui apportant son jus de fruits, un collègue nous bouscule un peu, et mon bras vient s’écraser sur la poitrine de Christelle. La sensation est merveilleuse, le contact avec cette chair douce, tiède, molle, est tellement érotique qu’aussitôt mon sexe se tend dans mon jean, à me faire mal. Christelle est cramoisie, je ne sais si c’est par gêne, ou au contraire par plaisir. Je m’excuse de ma maladresse, mais Christelle ne m’en tient pas rigueur, au contraire, elle en plaisante. C’est à partir de ce moment que Christelle va occuper toutes mes pensées et fantasmes pour de nombreux mois. C’est déjà l’heure de reprendre le travail, mais cet intermède va me tarauder l’esprit tout l’après midi.


En rentrant après le travail, Nathalie, ma femme, est déjà à la maison.



Je suis soulagé que Nathalie ait embrayé sur mon emploi du temps cela m’évite de lui parler de Christelle. Pourtant rien ne me dit que mon contact furtif aura une suite, mais je me sens mal à l’aise car j’aime Nathalie et je ne voudrais surtout pas lui faire de la peine.


Pour une fois ce soir, Nathalie a envie de faire l’amour. Je ne sais si c’est parce que je suis troublé et qu’elle le sent, ou s’il s’agit d’une pure coïncidence… Toujours est-il que Nathalie se fait chatte, vient se lover contre moi. Je sens alors la chaleur et la douceur moelleuse de ses seins opulents qui se frottent sur mon torse au travers de ma chemise, alors que de sa langue elle me titille le lobe de l’oreille. Je réponds à ses avances en l’embrassant tendrement. Doucement ma langue caresse ses lèvres à la saveur légèrement salée, puis s’introduit tel un dard à la rencontre de la langue de Nathalie. Pendant quelques instants, nos langues ne font plus qu’une, s’entortillent l’une autour de l’autre, puis se séparent rapidement avant de reprendre leur savant ballet. Certes mon sexe a réagi aux caresses de Nathalie, mais mon esprit est ailleurs, c’est Christelle que j’imagine dans mes bras. Je savoure néanmoins mon plaisir, surtout que Nathalie m’a entraîné dans la chambre et poussé sur le lit.


Je sens la main de Nathalie me caresser doucement le visage, elle le fait juste du bout des doigts, en m’effleurant à peine, elle tourne doucement autour de la bouche avant de passer, à l’oreille, puis d’insister sur les tempes et de descendre titiller la pointe de mes seins au travers de ma chemise.


Je suis maintenant très excité et ma chemise vole de même que mon pantalon, je m’attaque alors au soutien-gorge de dentelle de Nathalie, et je libère ses seins lourds, blancs aux aréoles pâles peu prononcées, peu rugueuses, mais au centre desquelles se dresse un téton rigide et dressé. Nathalie tente de finir de se déshabiller mais je l’en dissuade, car je suis un peu fétichiste des sous-vêtements féminins et j’adore la prendre simplement en écartant la dentelle de son petit slip de satin. Je lui suce les seins en commençant par de larges cercles concentriques autour des aréoles. J’entends la respiration de Nathalie qui s’accélère, elle apprécie la caresse la bougresse. Je continue petit à petit à me rapprocher du téton dressé comme un petit pénis en miniature, Nathalie gémit de plus en plus, fébrilement elle attrape mon sexe bien raide et commence à le branler délicatement. Je suis maintenant en train de lui téter énergiquement le téton, elle se cambre de plaisir et soudain, n’en pouvant plus elle me saisit la tête et me la plonge énergiquement entre ses cuisses.



Nathalie sait très bien que c’est mon moment préféré, quand j’arrive entre ses cuisses, que l’odeur de son petit abricot me prend au nez, quand délicatement j’écarte le satin de son slip et je plonge ma langue dans sa chatte ruisselante de ses secrétions intimes ; c’est pour moi l’extase : cette saveur un peu âcre, c’est ma récompense, d’ailleurs certaines fois il m’arrive de jouir à ce moment et de répandre ma semence sur les seins lourds de Nathalie. Le plus souvent, quand Nathalie n’est pas réceptive à mes envies, je me masturbe en respirant le fond de sa culotte qu’elle vient de porter, encore riche de son odeur, tout en portant une autre de ses culottes. Aujourd’hui, pas besoin de masturbation, Nathalie a envie de prendre son plaisir. Nous sommes en position de soixante-neuf, mais je suis le seul actif Nathalie n’aime pas sucer. Par contre moi j’adore, et je m’occupe de sa chatte, tranquillement avec ma langue : j’écarte ses grandes lèvres charnues et je titille son petit bourgeon, doucement, en tournant autour sans contact direct ; Nathalie ondule de la croupe sous la caresse, mais je ne veux pas qu’elle prenne son pied trop vite, alors je quitte son clitoris, pour explorer l’entrée de son vagin qui commence à saliver méchamment, puis je reviens vers son clitoris et je recommence plusieurs fois ma manœuvre. La croupe de Nathalie s’agite de plus en plus et j’ai du mal à rester en position.



C’est le signal que j’attendais pour lui pétrir les seins à pleines mains puis coincer les tétons entre le pouce et l’index pour les tirer de toutes mes forces pendant que ma langue donne l’estocade à son bourgeon de sève. Nathalie se bande alors comme un arc et est secouée de spasmes de bonheur violents, son pot de miel se liquéfie totalement. Puis brutalement elle retombe inerte et sans force, son orgasme l’a vidée. Pendant quelques instants elle est insensible à toutes caresses, puis, telle le phœnix, elle reprend vie.



Elle me caresse le sexe pour lui redonner toute sa rigidité, puis se retourne sur le ventre et me montre ses fesses rondes et rebondies enchâssées dans sa culotte de satin noir, les soulève et sans pudeur écarte les cuisses le plus largement possible. La voie est alors toute tracée, je m’agenouille derrière elle, lui écarte son slip, lui embrasse encore une fois sa chatte gluante, puis remonte le long de ses reins avec ma langue fouineuse, puis jusque dans son cou, à ce moment mon pénis entre en contact avec l’entrée de sa grotte de plaisir, je pousse un peu, et d’un coup les portes du paradis s’ouvrent. Mon pénis est enserré dans un étui chaud et lubrifié, délicatement je pousse un peu plus loin, un peu plus profond. J’ai l’impression que son tunnel est interminable, et pourtant je finis par arriver en butée sur sa matrice. Nathalie soupire.


J’aime cette position car elle me laisse les mains disponibles pour caresser les gros seins de Nathalie puis titiller son clitoris pendant que je la pénètre. De plus la vue de ce gros derrière qui se trémousse gainé de sa culotte, m’excite encore plus. Il faut que je me reprenne pour ne pas éjaculer sur-le-champ.


Je quitte alors cette chatte si accueillante pour présenter mon nœud devant son petit trou du cul. Je sens Nathalie se tendre, elle n’apprécie pas trop ce genre de fioriture, pourtant elle me laisse tenter de la pénétrer par le petit trou. C’est dur, Nathalie malgré sa mouille très importante est très contractée, aussi je pousse doucement, je m’y reprends en plusieurs fois tentant de l’amadouer, petit à petit elle se détend, je sens que son œillet ne va pas tarder à céder et tout d’un coup ça y est, Nathalie pousse un cri de douleur mais le gland est passé. Je reste immobile quelques instants pour lui permettre de récupérer, et je commence doucement quelques mouvements de va-et-vient.


Nathalie semble avoir oublié la douleur initiale et commence à remuer du popotin. Je la surprends même à porter une main vers sa chatte et à se caresser le clitoris pendant que je lui lime le cul. La tension monte inexorablement, mais surtout de voir Nathalie s’entreprendre elle-même me rend fou. Ça y est… Je viens, le premier trait de sperme est pour le gros cul de Nathalie, mais très vite je décule pour que le reste soit pour sa chatte et le fond de sa culotte. Sa culotte est d’ailleurs maintenant aussi mouillée que si Nathalie avait uriné dedans, tant à cause de sa mouille que de mon sperme.


Tandis que les dernières gouttes de sperme s’échappent, Nathalie roule sur le dos et se termine, elle se branle vigoureusement son bouton d’amour, et comme cela ne suffit pas elle utilise ses autres doigts pour pénétrer son vagin embourbé. Sa respiration devient haletante, sa poitrine se gonfle, les tétons pointent fièrement vers le ciel, j’en profite alors pour les aspirer et les taquiner avec mes lèvres, et soudain c’est le point de non-retour, Nathalie hurle son bonheur à qui veut l’entendre, le visage défait, elle se tourne vers moi et me donne un petit baiser d’amour, simple mais tellement tendre.


Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. À ce moment, j’ai oublié Christelle et l’évènement du jour, mais pour combien de temps…



Dès le lendemain, en arrivant au travail, Christelle est déjà là. Toujours vêtue d’un tailleur très classe, elle me salue et nous discutons de choses et d’autres quelques instants avant de débuter les cours. Cela a suffit pour raviver mon souvenir et être gêné par la proportion que prend mon pénis dans mon pantalon. C’est le début des cours qui va mettre fin à mon émoi. Mais deux heures plus tard je me retrouve en salle des profs avec elle. Nous faisons plus ample connaissance, et j’apprends que Christelle, comme beaucoup de femmes un peu rondes, a plutôt honte de son corps, elle essaie donc de dissimuler chacune de ses charmantes rondeurs par un vêtement un peu ample ou par un accessoire. Je lui fais part de mon admiration sans bornes de toutes les rondeurs féminines, du fait que pour moi une vraie femme est forcément charnelle, et que je ne supporte pas tous ces top models au physique androgyne, qui sont le reflet de l’homosexualité refoulée ou assumée de tous les créateurs de mode. Mon discours lui plaît et la rassure quelque peu, elle esquisse un sourire des plus charmants et me remercie d’un petit baiser furtif sur la joue. Cela devient à nouveau très chaud pour moi, et une fois de plus c’est la sonnerie qui mettra fin à mon trouble.



Nous allons passer l’année scolaire à nous rencontrer régulièrement, à nous apprécier de plus en plus, mais un établissement scolaire n’est pas le lieu le plus propice pour aller plus loin. Nous nous contenterons donc, à l’image de nos collégiens, de contacts furtifs, mais au combien chargés d’érotisme, à chaque occasion. J’aime énormément ces moments où nous nous frottons l’un à l’autre. Christelle semble, elle aussi, rechercher ces trop brefs moments d’émoi, qui électrisent tous nos sens, et nous mettent dans un état second, pourtant ni l’un ni l’autre n’avons eu le courage d’aller plus loin. J’ai l’impression de revivre mon adolescence, ma première fille, ma première fois.



L’année scolaire arrive bientôt à son terme et Christelle est mutée, nous allons nous perdre de vue. Il nous reste une petite chance, car traditionnellement le dernier jour de classe du mois de juin les élèves sont libérés à midi et nous organisons un repas amélioré par l’intermédiaire d’un traiteur. C’est le moment que choisit mon principal pour m’envoyer à une réunion au rectorat, je suis le volontaire désigné d’office… Je fais donc mes adieux à Christelle, deux tendres baisers sur les joues, les collègues étant nombreux autour de nous, nous ne voulons pas nous découvrir plus. Je lui promets de faire de mon mieux pour revenir le plus vite possible, pourtant au rectorat la réunion démarre avec du retard, puis s’éternise. Il ne faut pas me demander le sujet de cette réunion, car si j’y étais présent physiquement mon esprit était loin de là. En cette fin juin, les vacances à venir auraient dû mobiliser mes pensées mais non, c’est l’image du visage de Christelle qui danse devant moi. Ses yeux verts, si tendres si expressifs, la finesse de son visage de son grain de peau, son odeur suave, la goutte de transpiration qui perle au ras du cou et qui glisse sur l’arrondi de son sein et va se perdre dans le sillon inter mammaire. J’ai la trique. Un grand bruit de chaises remuées me sort de mes pensées et m’indique que la réunion est terminée. Je rentre très vite au collège, mais il est déjà dix neuf heures, et au moment où je rentre sur le parking, la voiture de Christelle en sort. Je m’arrête au milieu du passage, descend de voiture très vite et cours jusqu’à celle de Christelle. Elle ouvre sa vitre, je passe la tête pour lui dire au revoir, mais alors que je passe de sa première joue à la seconde je m’arrête sur ses lèvres sensuelles et l’embrasse fougueusement. Un baiser qui a mûri depuis près d’un an, d’abord surprise, elle finit par me rendre mon baiser. Il me semble que ce baiser fut interminable tellement il était attendu et désiré. Pourtant, il nous faut l’interrompre, nous bouchons quelque peu le passage et des collègues veulent partir, nous rangeons donc rapidement nos véhicules sur le parking, et nous courons l’un vers l’autre comme deux amoureux. Pour la première fois je peux la prendre dans mes bras la serrer contre moi, écraser son opulente poitrine contre la mienne, et à nouveau l’embrasser goulûment, comme si ma vie dépendait de ce baiser. Nous commençons à nous caresser, à découvrir le corps de l’autre, mais nous ne pouvons rester au milieu du parking. J’entraîne donc Christelle vers le collège, discrètement nous pénétrons en évitant soigneusement la salle où les collègues terminent leur petite fête, pour nous diriger vers l’infirmerie. Une chance celle-ci est ouverte, nous refermons rapidement la porte derrière nous, et nous nous jetons l’un sur l’autre, et commençons à faire voler nos vêtements. Pour la première fois j’aperçois directement les seins voluptueux de Christelle. Ils sont vraiment énormes, j’en reste ébahi quelques secondes.



Je plonge alors la tête dans cette adorable montagne de seins, je les suce, les embrasse avec fougue, ma langue en explore chaque recoin, je les tête comme un fou, je les malaxent à pleines mains… Pendant quelques instants je suis comme un enfant devant un jouet dont il a rêvé depuis plusieurs mois et qu’il découvre enfin. Christelle est aux anges, trop souvent on s’est moqué de son opulente poitrine, et là elle trouve enfin quelqu’un qui la vénère et l’honore comme il se doit. Sa respiration se fait plus rapide, sa poitrine se gonfle sous mes caresses désordonnées. Ses mamelons et ses tétons sont ultra sensibles, et chaque caresse provoque des gémissements de plus en plus appuyés. Insensiblement mes mains quittent quelques brefs instants cette merveilleuse poitrine pour découvrir le reste du corps de Christelle. Elles découvrent sous la jupe de son tailleur ses larges fesses gainées d’un petit slip de satin, puis poursuivant leur escapade elles caressent tendrement l’intérieur des cuisses, là où la peau est plus fine et plus tendre, pour arriver à son buisson caché derrière le fond de son slip complètement détrempé. Je sens alors les jambes de Christelle faiblir, et je la pousse doucement vers le lit qui trône au milieu de la pièce et l’allonge délicatement.


Christelle en a profité pour me débarrasser de ma chemise et de mon pantalon. Elle m’ôte mon slip et m’attire vers elle en position de soixante neuf. J’embrasse ses genoux, puis je remonte le long de ses cuisses, en la couvrant d’une multitude de petits baisers, volontairement j’évite sa chatte brûlante pour lui lécher le nombril, je tourne autour du puits d’amour pendant plusieurs minutes. Je sens son pubis se tendre vers ma langue, ses hanches se soulever, la frustration devient insoutenable, mais à chaque fois j’évite le contact direct avec son pot de miel. Enfin n’y tenant plus moi-même, je plonge dans l’abîme de son puits d’amour. Ses grandes lèvres charnues sont totalement épilées, contrastant avec l’épaisse toison rousse qui couvre son pubis. Ma langue fouille délicatement sa fente rencontrant et taquinant d’abord son bourgeon d’amour, puis poussant jusqu’à l’entrée de sa grotte d’où s’échappe en quantité sa liqueur au goût de miel légèrement épicé.


Pendant ce temps Christelle ne reste pas inactive, elle a commencé par lécher mon gland, puis elle est descendue sur toute la longueur de mon sexe qu’elle a largement graissé de salive, avant de revenir emboucher mon gland. Je sens en même temps sa lourde poitrine s’écraser contre mon bas ventre et me procurer des sensations extraordinaires. Elle me pompe maintenant le gland en me branlant la tige d’une main. Il faut que je me concentre sur son minou les sensations sont trop fortes et je ne vais pas tarder à lâcher la purée. J’essaye de faire abstraction de ses caresses pour me concentrer sur son petit bouton d’amour, je le suce…, je le tête…, je le lèche…, puis dès que je sens la pression monter un peu trop je l’abandonne pour aller m’abreuver au nectar divin qui suinte de ses petites lèvres. À chaque abandon de son bouton d’amour, la frustration de Christelle augmente, au point que maintenant elle me serre la tête de ses fortes cuisses pour m’empêcher de retarder une nouvelle fois son plaisir. Inéluctablement il monte, et dans un long feulement, Christelle jouit et se cambre à l’extrême pour retomber repue et comblée. Il lui faut quelques instants pour se ressourcer et reprendre sa fellation. Cette fois je peux me laisser aller et rapidement les lèvres et la bouche de Christelle viennent à bout de ma résistance. Je la préviens que je vais éjaculer, ses lèvres quittent mon sexe, qu’elle astique vivement avec sa main contre sa monumentale poitrine. Le premier jet atterri sur son sein gauche, puis les suivants un peu partout sur sa poitrine. Je n’imaginais pas que je pouvais éjaculer autant. Christelle entreprit alors de me nettoyer parfaitement la queue en la léchant avec gourmandise.


Je me suis alors retourné, pour l’embrasser, mêlant dans un tendre baiser nos salives, sa mouille et ma semence. Puis nous avons dû nous assoupir. Après quelques temps je me réveille dans les bras de Christelle, ses gros seins s’écrasant sur mon torse, et ma queue à nouveau au garde à vous. Je lui caresse le visage et l’embrasse sur le front, sur les yeux, sur le nez, sur le menton, pour finir sur ses lèvres charnues, et constater qu’elle aussi refait surface, et me rends mon tendre baiser. Les sens à nouveau exacerbés, nous reprenons nos caresses, je lui enlève sa jupe et son slip pour enfin l’admirer nue… Mon Dieu qu’elle est jolie, toute en rondeurs, son épaisse chevelure rousse tombant sur ses épaules, juste à la naissance de ses seins fabuleux, sa généreuse croupe ferme et ronde, son abricot tout lisse surmonté d’une toison elle aussi rousse, ses longues jambes… La perfection faite femme.


Mon côté voyeur est comblé, mais Christelle s’impatiente. Elle a envie de se sentir pleine de moi, aussi elle roule sur moi, elle attrape mon sexe le caresse quelques instants puis sans aucune forme de procès le présente à l’entrée de sa grotte et s’empale dessus. Mon Dieu que c’est bon, mon vit coulisse dans son vagin extrêmement lubrifié sans aucun effort. À chaque montée ou descente les gros seins lourds de Christelle viennent en contact avec mon visage, j’en profite pour les embrasser et essayer de happer le téton qui est maintenant complètement érigé. Je saisis alors ses grosses fesses et les malaxe en l’aidant dans ses va-et-vient. Je les écarte et lui caresse sa raie en m’attardant sur son petit trou du cul. Chacune de mes caresses un peu appuyées sur sa rosette déclenche immédiatement un petit cri, mélange de surprise et de plaisir. J’introduis alors mon majeur à l’intérieur de son gros cul, provoquant un long gémissement et l’arrêt de ses va-et-vient, puis une reprise plus lente et plus lourde. Christelle feule à chaque fois que je m’enfonce un peu plus, et brutalement extrait mon sexe de son vagin, ôte mon doigt, et présente mon gland devant sa rondelle exacerbée. Doucement, mais très décidée, elle introduit mon gland dans son gros cul, s’arrête un peu, puis reprend la pénétration, en feulant de plus en plus gravement, et tout à coup elle se déchaîne, j’ai du mal à rester en elle, elle jouit alors en se relâchant brutalement comme un soufflet crevé. Je sens moi aussi le plaisir m’envahir, je me laisse alors aller, crachant mon sperme au plus profond du fondement de Christelle. Le relâchement de Christelle est tel que je la sens se vider dans de longs jets chauds d’urine qui ruissellent sur mes cuisses telle une douche dorée. Elle en est rouge de confusion et honteuse. Je dois la rassurer, et lui avouer qu’il s’agissait d’un de mes fantasmes que je n’avais pas encore réalisés, et que j’étais très content que, sans le vouloir, elle y ait accédé. Cela la rassure un peu mais elle reste gênée, c’est la première fois que cela se produit.


Nous nous sommes caressés encore de longues minutes, puis la nuit commençant à tomber nous avons dû nous habiller et nous quitter afin de rentrer chez nous.



Voilà sûrement comment cette fin d’année aurait pu se passer si l’un d’entre nous avait osé surmonter sa timidité et sa peur d’être ridicule, et si j’avais bloqué sa voiture au lieu de faire marche arrière pour la laisser partir. Depuis, je n’ai plus jamais revu Christelle. Dommage !



Rubens