n° 08961 | Fiche technique | 17215 caractères | 17215Temps de lecture estimé : 11 mn | 26/04/05 |
Résumé: Lessivés, nous arrivons pour deux semaines de vacances dans une île paradisiaque. | ||||
Critères: fh couple vacances plage amour volupté voir noculotte fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Alain_F Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : L'effet des tropiques Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
C’est sur ces quelques mots diffusés par les haut-parleurs que je me réveille en sursaut. Le voyage a été long - éprouvant en raison du manque de place - mes jambes sont endolories par huit heures de vol rapidement devenues interminables. Alexandra est profondément assoupie et l’hôtesse me prie de lui attacher sa ceinture. Je tente de la boucler sans la réveiller, tout en jetant un coup d’œil furtif à travers le hublot. Le ciel est sans nuage, et l’océan d’un bleu limpide. Les deux semaines de vacances que nous nous sommes offertes promettent d’être torrides.
Alexandra ouvre les yeux, au moment où l’avion entame sa phase d’atterrissage, elle n’a plus vu la lumière du jour depuis notre départ, elle s’émerveille devant tant de clarté, toute opposée à la grisaille du décollage. Le joli hâle de ses jambes qu’elle croise - aboutissement de quelques séances de solarium - me fait détourner le regard du hublot. Je me demande subitement si elle a gardé l’un ou l’autre de ses sous-vêtement, lorsqu’elle était allongée sous les UV ? Quelque chose me dit que j’aurais amplement le temps de le constater tout au long de cette semaine.
Nous ne pouvons, avec Alexandra, nous empêcher de sourire à la vue des visages tendus et crispés de quelques passagers qui se tiennent fermement aux accoudoirs, au moment où l’avion se pose au sol. Il s’immobilise après quelques instants.
Il s’ensuit une inévitable pagaille de vacanciers, pressés de quitter l’endroit où ils ont été retenus "prisonniers", pour s’échapper au grand air. Une ravissante hôtesse nous salue une dernière fois à l’entrée de la passerelle, alors que nous nous avançons main dans la main, vers le grand hall de l’aéroport. Après nous être soumis aux dernières formalités douanières et avoir récupéré nos bagages, nous prenons contact avec un employé de "notre" agence de voyage.
Les clés en poche, l’adresse en main, nous sortons rapidement de l’aéroport où une file de taxis attendent des clients éventuels. Un chauffeur nous dit connaître le coin comme sa poche. Nous montons à bord de la voiture, dès que nos bagages sont placés dans le coffre. Il n’est pas encore midi et déjà le soleil est brûlant. Le taxi, qui doit ignorer l’invention de l’air conditionné, est un véritable sauna. L’air trop chaud nous asphyxie, nous sommes en nage sous d’épais vêtements qui n’étaient pourtant pas de trop lors de l’embarquement à Paris, douze heures auparavant. En outre, les vitres baissées font circuler dans l’habitacle autant de poussières que d’air tiède. Heureusement, il nous amène à la villa que nous avons louée en un temps record, ce qui lui vaut pour sa peine un bon pourboire.
Le cliché est splendide, le ciel, le soleil et l’océan en constituent l’arrière-plan, ensuite face à nous, s’élève une large villa, aux murs blancs, avec de grandes fenêtres qui laissent passer la lumière, et une longue terrasse couverte qui lui procure un peu d’ombre. Elle est bâtie en bordure de plage, une plage de sable fin, qui s’étend à perdre de vue, les villas voisines sont d’ailleurs à peine visibles tant elles sont éloignées. Enfin, nous, à l’avant-plan, deux jeunes vacanciers, les valises posés à leurs pieds, aux vêtements trempés, mais apparemment ravis d’être enfin à bon port.
La clé tourne facilement, la porte s’ouvre sur la salle de séjour dans laquelle nous larguons les bagages. Notre impatience à peine contenue nous conduit à ouvrir en grand l’accès à la terrasse, côté mer. Sans chercher à faire plus d’efforts, et avant même d’avoir fait le tour de la propriété, je me mets rapidement à l’aise en ôtant les vêtements qui me collent à la peau, ne gardant que mon caleçon. Face à la mer, heureux de jouir d’un peu d’ombre et d’air, je m’affale dans un des fauteuils en osier qui ornent la terrasse. Alexandra déboutonne presque entièrement sa superbe robe à petits carreaux bleus et blancs, puis fait tomber les brides qui reposent sur ses épaules, sans toutefois l’enlever. Plus téméraire, elle descend les quelques marches qui nous séparent de la plage et pose ses pieds déchaussés sur le sable. À cette heure-là, sa chaleur est presque insupportable et presque aussitôt, elle rebrousse chemin pour venir se blottir dans mes bras.
Assis, tranquilles, respirant à plein poumons un air pur, avec le ressac des vagues pour musique de fond, nous oublions un peu plus le stress de la ville. Une légère brise balaye ses cheveux, séchant lentement la peau trempée de son dos et de ses jambes. Nous nous laissons aller à une sieste bien méritée. Le tintement d’une cloche et des cris qui proviennent de la rue me tirent de ma torpeur. C’est un marchand ambulant qui longe les côtes, pour entretenir une clientèle "éloignée" du centre commercial, distant de deux kilomètres de la villa. La faim me tenaille justement, nous n’avons mangé qu’un petit en-cas dans l’avion depuis notre départ. J’abandonne un instant Alexandra pour aller à sa rencontre. Il me propose, entre autres, des fruits magnifiques.
A mon retour, Alexandra ouvre les yeux sur un panier rempli de fruits bien mûrs, qui ouvrent l’appétit. La pêche dans laquelle elle mord est juteuse à souhait, sucrant délicieusement ses lèvres, un jus qui scintille au soleil, coulant le long de sa gorge, avant que mes baisers ne freinent sa progression, lorsqu’il allait atteindre sa poitrine. Nous nous décidons ensuite à explorer les lieux.
La salle de séjour, la pièce centrale, est étonnamment belle pour une villa de vacances. Elle débouche sur une cuisine entièrement équipée, une salle de bain spacieuse, notre chambre et une chambre d’amis, comme prévu dans le prospectus. Nous avons d’ailleurs profité de cette opportunité pour inviter deux de nos meilleurs amis, un couple de notre âge, qui habitent cette île, à parcourir les quelques kilomètres qui les séparent de notre villa pour venir nous rejoindre, et ainsi partager un jour ou deux ; leur arrivée est prévue pour le lendemain. Les habits défroissés et finalement rangés dans les placards et garde-robes, il nous vient l’irrésistible envie d’aller nous baigner. Alexandra entre la première dans la salle de bain, et en ressort quelques instants plus tard affublée d’un maillot, joli, certes, mais elle comprend à ma mine dépitée que j’aurais sans doute préféré un bikini. Elle a pour qualité de très vite me comprendre, et sans un mot, tourne les talons, s’enferme de nouveau dans la salle de bain et en ressort cette fois vêtue d’un magnifique deux-pièces blanc, contrastant superbement avec sa peau bronzée. Le haut dissimule à peine la moitié de ses seins, portés fièrement vers l’avant, dans toute leurs splendeurs; le bas n’est en fait qu’un triangle de tissu, qui se prolonge pour glisser entre ses fesses, tenu par des ficelles nouées à la taille. Quant à moi, j’enfile le short de plage qu’elle m’a acheté la veille, et je m’y sens évidemment plus libre. De nature prévoyante, elle a eu la bonne idée de faire un détour par une pharmacie avant l’embarquement, pour se renseigner sur la meilleure crème qui me protégerait des brûlures du soleil. Elle dégage un véritable parfum qu’il suffit de humer pour se croire à l’autre bout du monde. Elle me fait frissonner lorsque je la sens couler le long de mon dos, tout de suite rassuré par des mains familières, si douces, qui me massent avec tant de savoir-faire. À mon tour, après qu’elle m’ait tendu une huile d’un indice de protection moins élevé, mes mains parcourent son immense dos divisé par la ficelle qui retient ses seins, je la sens se relaxer entre mes doigts. La porte-fenêtre qui libère l’accès de notre chambre à la plage est rapidement ouverte et comme de jeunes enfants, nous courons à toute vitesse pour nous jeter à l’océan.
L’eau est délicieuse, nous nous éclaboussons, nous nous faisons trébucher, tout en s’excusant, comme si c’était involontaire, nous disparaissons sous l’eau pour resurgir là où l’autre ne s’y attend pas. Ses longs cheveux trempés sont plaqués contre sa peau, l’eau a dévoilé tous ses charmes, tout est visible tant son maillot est devenu transparent, ses seins, ses jolis mamelons, son pubis imberbe… Alors qu’elle se rapproche pour m’enlacer, mon pénis se dresse, apparaissant parfaitement au travers du short rendu lui aussi quasiment transparent. À ses baisers au goût sucré des fruits exotiques, se mêlent le sel de l’eau qui ruisselle de ses cheveux. L’huile solaire a rendu son corps insaisissable et il me glisse dans les bras. Nous laissant emporter, nous nous allongeons tous deux sur la plage dans le ressac, le sable nous colle à la peau, comme une couverture. La chaleur du sable chaud qui contraste avec l’humidité de nos maillots excitent nos sens, l’amour vient à nous, inéluctablement. Mes mains se portent à la hauteur de ses seins et dénudent sa poitrine, ils sont tout bronzés, terriblement attirants. Ma langue passe sur ses tétons déjà durcis que ma bouche suce avec autant d’énergie qu’un nourrisson. L’eau salée a resserré les nœuds qui maintenaient son maillot. N’ayant pas la patience de les défaire, je le fais glisser précipitamment jusqu’à ce que je découvre l’objet de notre plaisir, qu’elle me présente. Mis à nu de ses mains, je lui dévoile à mon tour mon sexe impatient. À l’image de celle de ses seins, la peau de son entrecuisse est uniformément dorée. Je fantasme en l’imaginant nue sur un banc solaire. Je la vois, dans une pièce tiède, la chaleur rayonnant sur sa poitrine, échauffant sa chatte, dans le but de parfaire son bronzage.
Nous sommes à deux doigts de faire l’amour sur la plage. Il n’y a personne aux alentours, mais peut-être, quelqu’un au loin, participe-t-il à nos ébats, une paire de jumelle dans une main, se masturbant de l’autre. Cette idée me fait bander davantage. J’introduis ma queue dans sa chatte bien humide, les allers et retours stimulent son plaisir, qui entraîne le mien. Ses seins bronzés et luisants bougent au rythme de mes va-et-vient, ses mains s’enfoncent dans le sable fin, qu’elle fait glisser entre ses doigts. Les yeux presque fermés, les cheveux dans le sable, elle se caresse les seins. Au bout de quelques minutes, elle me demande de la prendre en levrette… Elle se met alors à quatre pattes, m’exposant son dos uniformément recouvert par du sable blanc qui colle à sa peau. Elle passe habilement la main sous son corps pour guider ma queue. La pénétration reprend de plus belle, s’accélérant progressivement. Nous pouvons crier de plaisir, aussi fort que nous le voulons : autour de nous, seules se font entendre les vagues qui s’abattent et les branches de palmiers où s’engouffre une brise légère.
Le claquement de ses fesses sous mon bassin rythme les à-coups, mes mains posées sur sa taille, prolongent le mouvement en tirant son corps à moi. Subitement, elle allonge les bras devant elle, s’étirant comme un félin, bombant ses fesses, serrant les cuisses pour mieux emprisonner l’auteur de son orgasme. Je sens venir la jouissance du pénis qu’elle garde en elle. Mais elle sait mes envies et, au bout d’un moment, me laisse me retirer. Elle se retourne promptement m’offrant son corps tout entier pour le souiller de mon sperme, quelques gouttes précédent de plus larges saccades qui tombent sur sa poitrine et qu’elle étale de la main. Je m’écroule sur le sol, assommé de plaisir. Ce voyage exacerbe notre imagination sexuelle à tous les deux, émoussée par le quotidien.
La nuit est tombée. Nous quittons le restaurant toujours bondé, où nous avons dégusté la cuisine locale, exotique et succulente. Les yeux plongés dans le ciel étoilé, ma main passée sous sa jupe, posée sur ses fesses laissées nues par l’absence de culotte, nous marchons ensemble le long du seul chemin qui nous permet de rejoindre notre villa. C’est étonnant, il n’y a presque que deux kilomètres à parcourir, mais la découverte de nouveaux endroits, de nouveaux parfums, les corps serrés l’un contre l’autre, transforme cette marche en une très agréable ballade. On en arrive même à regretter qu’elle se termine. Il est minuit, à quelques minutes près, la chaleur est encore très présente, à peine atténuée par la brise marine. Arrivés à la villa, Alexandra se tourne vers moi, glissant ses mains sous mon T-shirt :
La façon dont elle a prononcé ces quelques mots a amplement suffi pour que je sente se développer une puissante érection. Jamais sa voix n’a été à la fois aussi brûlante et insistante. Il m’est impossible de lui résister. Nous nous dévêtons et nous nous jetons à l’eau, la mer est calme. Nos cris et nos rires résonnent dans la nuit. Elle est comblée de bonheur, son magnifique sourire me fait chaud au cœur. Nous nous risquons un peu plus loin, l’eau nous arrive à la taille, elle me décrit longuement la merveilleuse sensation des remous sur son chatte. Elle essaie de me communiquer toute la jouissance d’être femme à ce moment-là, m’excitant au plus haut degré.
Je ne vois pas où elle veut en venir et, sans réfléchir, j’exécute à nouveau ces gestes que je lui ai pourtant déjà appris. Les bras en croix, les jambes écartées, je flotte sur le dos, les yeux au ciel. Je ne tarde pas néanmoins à comprendre, quand je sens son souffle chaud parcourir mon corps jusqu’à l’entrejambe, je ne peux réagir à temps, elle engloutit déjà de ses lèvres fines mon sexe devenu imposant, jamais une telle situation ne m’avait effleuré l’esprit, il faut croire que l’exotisme lui rend l’imagination fertile. J’ai cependant bien l’intention, dans un pur état d’esprit hédoniste, de profiter du moment présent, d’ailleurs je ne peux me débattre si je veux garder la tête hors de l’eau. Pourtant, sa langue qui s’agite sur mon gland, imaginer sa bouche qui fait disparaître ma queue pendant quelques instants, la faisant réapparaître ensuite imprégné de salive me troublent intensément. La croissance de mon excitation est exponentielle, mais la situation m’empêche de maintenir une forte érection. Elle le sent et lâchant ma queue un instant, m’entraîne en eau peu profonde… Toujours ballottés entre deux eaux tout en reposant sur le sable, elle reprend son ouvrage, pompant ma queue avec un entrain très électrisant. Le plaisir revient au galop et j’éjacule puissamment. J’entends les bruits de succion et de déglutition d’Alexandra qui avale consciencieusement les salves de sperme chaud.
Quelques instants plus tard, elle bascule sur le dos, les jambes relevées, offerte. Je comprends le message et ma langue s’enfouit entre ses lèvres. Je ne reconnais pas le goût doux amer auquel elle m’a habitué, celui de l’eau salée dominant. Pourtant, son plaisir est bien là, comme en témoignent ses petits cris et les pressions qu’exercent ses mains sur ma tête pour m’appuyer encore plus sur son intimité. Son souffle s’accélère, elle gémit, elle ne peut s’empêcher de bouger, elle semble écarter davantage les cuisses, m’incitant à descendre au plus profond de sa chair, mes coups de langue acharnés son clitoris l’achèvent. Je dois faire un effort violent pour continuer à la manger. Ses muscles tendus se relâchent subitement terrassés par l’orgasme.
Nous passons ensuite de nombreuses minutes allongés sur le sable, jusqu’à ce que nous ayons récupéré la force de rejoindre la villa.