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n° 08968Fiche technique12739 caractères12739
Temps de lecture estimé : 8 mn
27/04/05
Résumé:  Poursuivant nos jeux, nous rencontrons un homme qui va dominer Samia.
Critères:  fhh hplusag inconnu grossexe grosseins train telnet fsoumise hdomine voir exhib lingerie fellation fgode fdanus jeu attache yeuxbandés
Auteur : Allan  (Homme de 38 ans, vivant en couple)      
Samia s'offre


A la suite de notre aventure au cinéma (récit n° 8947), je découvris le penchant de Samia pour l’exhibition et l’abandon, en particulier au contact d’hommes d’un certain âge.

Je lui proposai alors d’explorer ces terrains inconnus, toujours en ma présence, car j’avais par-dessus tout aimé la voir se laisser peu à peu aller, s’offrir, guidée par mes demandes, et la voir jouir de ces moments.

Je voulais voir son corps magnifique offert, s’abandonner totalement au plaisir, se laisser guider.

Nous en avons parlé à plusieurs reprises, en nous remémorant l’expérience du cinéma.



Je me mis alors en quête, dans différents chats, d’un homme d’un certain âge, idéalement la soixantaine, assez dominateur mais en même temps doux et respectueux, capable d’être attentif aux désirs et au plaisir de Samia.

Après de longues soirées de recherche sur le net, et après avoir éliminé nombre de prétentieux, plaisantins et autres originaux, j’entrai en contact avec Alain, un retraité vivant dans le 17ème arrondissement de Paris. Vivant seul, il était assez disponible. Il m’avoua qu’il désirait depuis très longtemps diriger une femme plus jeune que lui, une « débutante » dans l’art de la soumission, être en fait son initiateur. Je lui expliquai précisement ce que j’attendais de lui.

Il me demanda de lui décrire Samia. Je le fis volontiers, faisant tout pour susciter son désir. Je lui parlai de son corps fin, de sa poitrine avantageuse – un 85D absolument envoûtant – de sa peau mate, du soin qu’elle prenait à se maquiller, se coiffer, s’habiller pour toujours être à son avantage.

Nous nous sommes rencontrés une fois, pour que je sois sûr que le feeling serait bon. L’homme était distingué, sensible et nous décidâmes de vivre l’expérience.

Il me proposa de reprendre contact avec moi par mail dans les prochains jours, pour nous inviter.


Je rentrai chez moi, racontai cette entrevue à Samia qui en fut toute émoustillée. Je lui détaillai l’homme : grand, cheveux poivre et sel, visiblement bien conservé. Je crois que le compte à rebours a commencé dans sa tête à ce moment-là.


Une semaine plus tard, je reçus un message d’Alain, assorti d’un document joint : il nous invitait chez lui le lendemain soir vers 19 heures. Nous devions confirmer notre disponibilité par mail et n’ouvrir le document que si nous étions d’accord pour venir.

J’attendis alors le retour de Samia. Quand elle rentra, je lui montrai le message. Nous n’avions rien de prévu le lendemain et décidâmes de confirmer notre venue. Quand ce fut fait, nous ouvrîmes le document joint, qui contenait un certain nombre de directives :

Nous devions nous rendre chez Alain en utilisant les transports en commun ; il avait pris soin de noter le trajet et l’heure à laquelle nous devions être dans le métro.

Il précisait également la tenue que devait porter Samia : imperméable, jupe évasée, chemisier, bas et porte-jaretelles, chaussures à haut talons, pas de culotte, pas de soutien-gorge. Elle devait rester debout dans le métro, regarder droit devant elle quoiqu’il arrive. Une fois arrivés dans le 17ème, nous devions aller prendre un verre et sonner chez Alain vingt minutes plus tard. Aucune information sur ce qui se passerait chez lui, mis à part que Samia devrait avoir les yeux bandés en arrivant à sa porte.


Samia et moi avons passé ce soir-là un long moment à faire l’amour, prélude à la soirée du lendemain.

Nous sommes allés travailler. La journée fut longue, très longue pour nous deux. Nous nous sommes retrouvés chez nous à 17 heures, nous sommes préparés pour être à l’heure à la station de métro. Il était 18 heures quand nous sommes arrivés sur le quai noir de monde, avec les sorties de bureau.

A l’arrivée de la rame, nous nous sommes frayés un chemin jusqu’à la porte opposée, tournant le dos à la foule. Samia tenait ma main, nous avions une dizaine de stations à parcourir. J’étais persuadé qu’Alain était dans le wagon mais décidais de jouer le jeu et de rester, comme Samia, le nez collé à la vitre. Il ne se passa rien jusqu’à la troisième station. La rame repartit et je sentis Samia serrer ma main. Je la vis me regarder dans le reflet de la vitre, et fermer les yeux de temps à autre. Alain était entré en action, et Samia semblait apprécier ; je la sentais onduler du bassin, je l’apercevais se mordant les lèvres…

Arrivés à destination, nous entrâmes dans le premier bar venu et commandâmes à boire.



Je la sentais excitée par la situation, impatiente de savoir ce qui allait se passer. Nous avons donc rejoint l’immeuble de notre hôte. Arrivés devant sa porte, je passai un loup sur les yeux de Samia, et ouvris son imperméable, laissant ressortir ses tétons gonflés à travers son chemisier blanc en satin.

Je sonnai et après quelques secondes, Alain vint ouvrir, vêtu d’un peignoir. Il nous fit rentrer dans le vestibule, ôta l’imper de Samia et nous invita à entrer dans son salon dont le centre semblait avoir été dégagé de ses meubles, mise à part une simple chaise. Alain guida Samia jusqu’à la chaise et la fit asseoir, je m’installai pour ma part sur un canapé lui faisant face. Alain s’assit à côté de moi.

Samia était belle dans ce silence, les jambes serrées, les mains posées sur les genoux, le rouge à lèvres sur sa bouche ressortant sous le loup.



Je vis alors ma belle s’exécuter, ouvrir lentement ses cuisses jusqu’à ce que nous puissions apercevoir sa chatte aux poils coupés très courts.



Il nous confirmait alors qu’il était bien présent dans la rame de métro…

Il se leva, s’approcha de Samia qui ne bougeait plus, mise à part sa respiration qui s’accélérait.

Il sortit alors une petite corde de la poche de son peignoir, en attacha une extrémité au poignet droit de Samia. Il lui mit les mains dans le dos et ligota enfin son poignet gauche.

Les seins de ma chérie ressortaient encore plus dans cette position et tiraient maintenant sur le tissu de son chemisier. Alain y fut sensible et commença à le déboutonner, laissant apparaître les seins gonflés de Samia. Il avait l’air d’apprécier la vue, car je vis sa queue sortir de son peignoir et grossir peu à peu. Elle me semblait énorme, veinée. Alain la prit dans sa main, et l’approcha de la poitrine, frôlant les tétons tout durs, remontant jusqu’au cou de ma belle. Il se mit face à elle, me cachant alors la vue, et je devinai qu’il prenait ses gros seins dans ses mains pour plaquer sa bite entre eux et commencer un lent va-et-vient.



Je me déshabillai, surexcité par la situation, et commençai à me caresser.

Alain se retira, me laissant voir Samia, haletante de désir, des traces humides du désir de l’homme entre les seins.

Il la fit se lever, acheva de lui ôter ses vêtements, la laissant en bas et talons.



Samia s’exécuta, exhibant ainsi son cul magnifique à notre vue. Alain l’examina sous toutes les coutures et dit :



Il commenca par sortir d’un tiroir un gode assez gros, le posa sur les lèvres de Samia.



Elle ouvrit sa bouche, Alain lui fit prendre le gode assez profondément et recula pour la regarder.



Il retourna alors vers son tiroir pour prendre un autre gode doté d’un énorme gland. Il se plaça devant le cul de ma belle, passa un peu de lubrifiant sur ses fesses et sa chatte en me regardant. Il mit ensuite l’engin à l’entrée du sexe de Samia et le fit entrer, malgré sa taille, avec beaucoup de douceur. Samia gémissait, et je voyais de la salive couler le long de la bite en plastique qu’elle avalait littéralement. Ses mains enserrées dans les liens se crispaient de plus en plus. Alain faisait maintenant aller et venir le gode dans sa chatte offerte et entreprit de travailler son cul en même temps. Il caressa l’œillet brunâtre et enfonça un doigt, arrachant un petit cri à Samia. Après quelques va-et-vient dans ses fesses, il ajouta un second doigt. Ma chérie était totalement ouverte et son bassin allait et venait au rythme des caresses d’Alain.



Samia lâcha alors le gode qu’elle suçait depuis de longues minutes pour crier son plaisir sans aucune retenue. Elle jouit intensément, les cuisses écartées devant un homme qu’elle n’avait jamais vu.

Alain se releva et vint s’asseoir par terre devant son visage. Il enfila un préservatif et attrapa Samia par les cheveux.



Samia avait compris ce que notre hôte attendait d’elle et offrit sa bouche au sexe qu’elle devinait devant elle. L’homme la prit par les cheveux et approcha son gland. Il était gros et Samia eut du mal à le prendre. Il força doucement le passage et je vis ma belle l’avaler profondément.

Alain s’enfonçait dans cette bouche et caressait maintenant les seins de Samia, tirant sur les pointes, la faisant gémir. Après plusieurs minutes, Samia accéléra le mouvement, sentant Alain prêt à venir. Au moment fatidique, elle l’avala presque entièrement et Alain jouit dans un râle sans fin, rendant hommage au talent de ma belle.


Après un instant, il me regarda et me dit :



Je remis alors ses vêtements à Samia, et nous sortîmes. Je lui ôtai le loup et elle vint m’embrasser fougueusement.. Je la serrai dans mes bras, heureux de son plaisir, et lui proposai de rentrer faire l’amour. Elle ne répondit pas et m’entraîna dans les escaliers en riant.



C’est mon deuxième récit, imparfait peut-être, mais je serais heureux de recevoir vos commentaires, idées et autres.