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n° 09003Fiche technique13103 caractères13103
Temps de lecture estimé : 8 mn
01/05/05
Résumé:  Soumission et domination dans une relation entre une jeune élève et un professeur: qui domine?
Critères:  fh jeunes profélève travail école fsoumise hsoumis fdomine hdomine cérébral voir fellation sm
Auteur : Furinkazan      
Qui domine ?


Qui domine ?


Lui

Elle était en face de moi. Son décolleté s’offrait à moi, me présentant ses deux seins gonflés par le désir, parfaitement lisses et ronds, que j’imaginais avides de violentes caresses. Sa bouche tendre, délicieuse et pulpeuse était imperceptiblement humectée d’une fine couche de salive qui symbolisait un ailleurs paradisiaque de volupté. Je ne pouvais plus résister, son corps légèrement courbé semblait crier : « prends-moi sauvagement ! ». Il fallait que je succombe… Une voix lointaine me rappela à l’ordre : « Monsieur, pensez-vous que la naissance du néo-romantisme est dû au seul facteur culturel? ». Je repris mes esprits au milieu d’une classe d’élèves plutôt endormis : difficile d’assouvir ses désirs dans une salle de cours, même s’il est question du néo-romantisme !


Assistant à l’université, je donne des cours d’histoire. Ce statut d’autorité suscite des envies qui ne sont pas toujours intellectuelles. Autant le dire franchement, le pouvoir érotise, surtout devant de jeunes étudiantes qui sont plutôt habituées à fréquenter des amphithéâtres où les professeurs qui dispensent les cours sont plus proches de la retraite que de la force de l’âge. Alors forcément la tentation existe d’user et d’abuser de la relation d’autorité pour faire naître des relations d’un tout autre genre. D’un naturel plutôt timide, je ne peux pourtant me résoudre franchement à faire le pas. Reste que, célibataire ou en couple il est difficile de résister aux charmes subtils et un brin provocants de toutes ces jeunes étudiantes. Affichant des sourires charmeurs et de plongeants décolletés, leur chair presqu’encore juvénile semble être une injure au temps qui passe. Leurs parfums printaniers embaument la salle et évoquent la légèreté et l’insouciance de nymphes inconscientes de leur propre charme.


« Oui, effectivement, le néo-romantisme est un courant syncrétique empruntant diverses sources de… » Mais qu’est-ce que je raconte ? Je dis n’importe quoi et ils me regardent tous avec un air dubitatif. Forcément, au premier rang, elle continue de me décocher des sourires ravageurs, un brin coquins, tout en réajustant son cache cœur donnant ainsi une molle impulsion à sa poitrine bien ferme. Son visage est radieux et son regard foudroie mon cœur qui, à cet instant précis, se situe bien plus bas que le deuxième bouton de ma chemise. « Nous verrons tout ceci la semaine prochaine ». Phrase magique qui permet de vider la salle en un clin d’œil. Comme chaque semaine, elle range ses affaires avec une lenteur érotique, comme si classer quelques feuilles constituait les préliminaires d’un plaisir encore inédit. Et comme chaque semaine, elle vient me poser une question que je n’écoute même pas tant elle se tortille comme si un feu torride la dévorait de l’intérieur. Elle parle lentement, sa bouche reste longuement entrouverte semblant formuler des propositions vraiment (ré)jouissantes. Qu’il serait agréable de sentir le contact de ses lèvres rouges, pulpeuses et soyeuses ! Combien de temps vais-je pouvoir résister aux appels silencieux de ses courbes provocantes ?


Une semaine plus tard, face à face, elle me regarde dans un silence insoutenable, chargé d’une atmosphère électrique. Sa petite jupe laisse apparaître ses jambes bien galbées, sa peau légèrement caramélisée par le soleil exhale une odeur légère et sucrée qui enfle ma narine et d’autres parties de mon corps. Le cours était fini, la salle de classe était vide, nous étions seuls depuis un moment. Elle brise le silence :



Pardon ? Ai-je vraiment bien entendu ? Mais bien sûr, mouille et mouille encore, je ne rêve que de ça de ta petite chatte étroite et toute trempée !



La chaleur me montait à la tête comme dans une étuve, comme si je respirais la moiteur de son intimité ; j’entendais résonner dans mon corps le bruit de sa langue qui claquait en faisant trois petits bonds contre son palais…


Plus qu’une semaine avant les examens. Aujourd’hui elle est vêtue d’habits transparents comme des rêves laissant filtrer les courbes envoûtantes de sa poitrine tendre et nubile. Pendant le cours, au milieu d’élèves relativement indifférents, elle écrase ses seins contre la table en se penchant en avant pour que je profite du spectacle. Elle me présente son corps comme une offrande. En fait, pour la première fois je la sens totalement soumise à mon emprise. Au fur et à mesure que je parle mes paroles la pénètrent et elle semble afficher un visage de suprême contentement. Je la sens fragile, j’ai comme l’impression de pouvoir la manipuler grâce à des fils invisibles. De nouveau, nous nous retrouvons seuls à la fin de l’heure de cours, la classe s’est depuis longtemps vidé de ses occupants habituels. Elle s’approche d’un air timide. Soudain, elle laisse échapper son stylo qui tombe à mes pieds et, avant même que je me baisse pour le ramasser, elle est déjà à genoux, devant moi, m’offrant une vue imprenable sur sa poitrine tentatrice. Elle lève les yeux et m’adresse un sourire inhabituellement carnassier. Le silence s’éternise. Elle ne se relève pas. Nous n’avons encore rien dit ni elle ni moi. Lentement, elle pose avec délicatesse sa main sur l’entrejambe de mon pantalon. Mon sexe est bandé comme un arc. « Monsieur, ça te plait ? » Difficile de dire quelque chose dans ces moments, surtout lorsqu’une jeune fille approche sa bouche accueillante pour y fourrer votre sexe dedans. J’ai envie de lui crier : « grosse cochonne, avale-la toute entière et laisse moi jouir dans ta bouche ! ». C’est qu’elle doit aimer ça. Elle me pompe avec une énergie et une férocité qui contraste avec ses airs habituellement candides. Je vois ma queue flattée par ses lèvres charnues et gourmandes. Sa bouche est encore plus agréable qu’une chatte détrempée. Je la domine complètement, je prends sa tête et lui baise le visage…


Elle

Il était en face de moi. Son pantalon moulait assez bien ses fesses rondes et musclées. Plutôt pas mal pour un enseignant de l’université. Son corps à l’air assez nerveux et souple : ses coups de reins doivent être des incursions réjouissantes, surtout si son sexe est proportionnel à ses un mètre quatre-vingts. Mais le problème n’est pas là. Si cette année je n’ai pas la moyenne dans la matière qu’il enseigne, je repique et ça pas question ! Alors toi tu vas avoir droit à un sacré numéro de charme… Même la nuit tu ne seras pas libéré de mon emprise.


Je prends soin de changer mes tenues chaque semaine, comme pour susciter une escalade dans son désir afin qu’il m’appartienne complètement. Ma poitrine est ronde et bien galbée, c’est mon premier atout. Un petit haut bien cintré permet de mettre en valeur mes formes avec une profonde ouverture en V qu’il apercevra d’autant mieux que je serai assise au premier rang et lui debout en train de se perdre dans les méandres de ma chair offerte à tous ses fantasmes. Je pris donc soin de ma poitrine en la malaxant amoureusement chaque soir avec toutes sortes de crèmes, afin de lui donner un aspect velouté. Mes seins seront comme deux fruits défendus qui l’obséderont. D’ailleurs, ça n’a pas manqué : il jetait des coups d’œil rapides et furtifs mais combien évocateurs. Pour le provoquer, je me suis étirée doucement en laissant entendre un petit soupir de contentement, quasiment imperceptible, lui présentant mes avantages comme deux pêches tendres à déguster. Les seins sont supérieurs à l’intelligence de l’homme, je l’ai scientifiquement expérimenté en perturbant le cours grâce à eux…


Inutile d’en faire trop, il suffit de le laisser mijoter. La semaine d’après j’ai mis l’accent sur ma bouche, sans négliger le reste bien entendu. Un rouge aux lèvres brillant, d’un écarlate sombre et profond : il fait un peu vulgaire, mais peu importe il pensera que je suis une salope soumise à ses désirs et ça l’excitera encore plus fort. Et pour être certaine qu’il ne puisse pas manquer ce détail, j’ai porté à ma bouche mon plus gros stylo en me délectant avec un air évocateur. Quel cliché ! Et pourtant ça marche : mes suçotements intempestifs lui ont donné de la peine à articuler ses phrases, et visiblement sa température corporelle a augmenté. Je suis certaine qu’il aurait aimé échanger son kiki tout dur contre mon stylo… Mais pour ça il devra encore attendre un peu : chauffe et chauffe encore, j’attends que tu exploses ma petite marmite ; chaque jour je soufflerai un peu plus sur la flamme pour l’attiser et raviver ainsi tes pulsions animales. Bon, pour résumer si les seins sont supérieurs à l’intelligence de l’homme, la bouche de la femme l’est également même lorsqu’elle ne parle pas. Alors n’est-ce tout simplement le corps de la femme qui domine l’intellect de nos chers mâles ?


Après lui avoir fait le « coup du string » (une technique secrète que je ne peux pas dévoiler ici) ainsi que la feinte de l’émerveillement extatique (« oh oui Monsieur, mais comment faites-vous pour être aussi fort ? »), j’ai décidé de l’achever avec la combinaison gagnante qui permet de dégonder les coffres-forts les mieux verrouillés et de dévergonder les âmes les plus sages. Pourquoi mettre une jupe ? Tout simplement pour lui laisser croire que, comme dans tous les mauvais films, je ne porte pas de petite culotte et qu’il pourrait me prendre sans formalités d’un instant à l’autre. Sinon, je peux toujours le déconcentrer en décroisant les jambes pour lui insuffler l’idée qu’il pourrait en voir davantage. Une semaine avant les examens, il sera à point. Il ne sera pas difficile de mettre la touche finale. Coucher avec lui ? Bien sûr que non, trop compliqué et trop risqué. Il suffira d’une fellation : ce petit porc sera tellement excité que je pourrai le faire couiner de plaisir en un temps record.


Comme d’habitude, à 19h30, lorsque le cours se termine je prends tout mon temps afin de pouvoir rester seule avec lui. Etant un vendredi tous les élèves et les professeurs se sont empressés de commencer leur week-end, comme ça pas de dérangement possible à l’horizon. Pendant tout le cours, je l’ai regardé avec une mine timide et soumise comme s’il exerçait sur moi un pouvoir tout puissant. Toujours grâce à l’utilisation d’une technique éculée (faire tomber un stylo), je me retrouve à genoux devant lui, comme soumise. Je ressens nettement son regard qui se pose sur mon corps : je contrôle parfaitement la situation. Je le fixe droit dans les yeux et je ne peux réprimer un sourire de satisfaction. Il est visiblement mal à l’aise, gêné et dans un état de tension sexuelle extrême, ses fantasmes doivent s’entrechoquer dans le plus grand désordre. Je prends les choses en main au sens propre du terme. Je sors sa queue turgescente et la comprime doucement. À ce moment là il ne pense plus au néo-romantisme, c’est sûr. Par terre et devant lui, je le tiens paradoxalement en mon pouvoir : il ne respire et ne vit qu’au rythme que j’impose à son sexe, délicatement malaxé par mes soins. Je salive abondamment : je ne ferai pas durer son plaisir, il devra cracher son jus le plus vite possible. Je mets sa queue dans ma bouche et l’enserre avec mes lèvres tout en titillant le bout de son gland avec la pointe de ma langue. Il halète comme un petit chiot blessé, comme c’est mignon ! Il n’existe plus que par mes caresses buccales, il gémit quand j’accélère et souffle quand je ralentis. Je le tiens comme s’il était en équilibre sur mon petit doigt, je peux décider maintenant s’il doit jouir. Pour le finir, j’enfonce son sexe au plus profond de ma bouche en aspirant goulûment, puis je réalise cinq ou six mouvement de va-et-vient très rapides comme s’il était en train de pénétrer ma chatte. Effet garanti : je me retire pour le laisser répandre sa semence sur le sol en songeant qu’il en train de vider son cerveau… Résultat : j’ai eu 18 sur 20 à l’examen et mention très bien, mais peu de personnes soupçonnent les critères de ma notation.


L’autre (à venir)


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