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n° 09015Fiche technique38158 caractères38158
Temps de lecture estimé : 22 mn
03/05/05
Résumé:  Plaisir de jouer pour gagner le plaisir de dominer.
Critères:  fh ffh couplus inconnu ascendant sauna campagne collection fsoumise hdomine voir lingerie fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fsodo jeu sm attache
Auteur : Monoz  (Rêver Fantasmer pourquoi pas !?)      
La Course


1/La course


Son E-mail avait éveillé en moi, en plus de mon désir sexuel, un défi que je ne pouvais pas refuser. J’avais déjà reçu cet E-mail, il y avait trois jours, et ma décision ne pouvait pas tarder, connaissant Cathy. Son texte simple, direct avait rappelé à mon souvenir cette jeune femme, ayant la trentaine, cheveux châtains clairs assez longs, yeux clairs, au physique sportif, petite poitrine et hanches légèrement prononcées. Elle était toujours partante pour les nouvelles sensations. Je l’avais rencontrée dans un club échangiste, et nous avions très rapidement fait « connaissance ». Autant dire qu’elle était brûlante, malgré sa préférence pour les filles. Je la savais en couple avec un riche industriel du Nord, avec qui je la pensais rangée des voitures. Mais apparemment non.


Son E-mail :

A : Laurent

OBJET : Invitation Pour le JEU « LA COURSE »


Bonjour à tous,


Henri et Cathy vous invitent à la soirée ayant pour thème le Jeu « LA COURSE », le week-end du samedi 15 Juillet. Hébergement sur place.


Ce jeu (pour ceux qui n’y ont pas encore participé) a pour but :


  • — de jouer tout d’abord…
  • — de se donner du plaisir en total respect des joueurs (vous pouvez quitter le jeu à tout moment)
  • — Une invitation spéciale, pour un week-end coquin tout frais payés pour les deux meilleurs participants, sera le prix du jeu.

REPONSE IMPERATIVE SOUS 3 JOURS.


Amicalement


Cathy et Henri



Ma réponse ne pouvait être négative. Après quelques minutes de réflexion, je répondis que j’étais libre à ces dates-là et que j’attendais les informations nécessaires pour me rendre sur les lieux.



2/ Présentation des participants…


Samedi 15 juillet : Enfin la date fatidique est arrivée. Les informations sur le lieu de ce jeu coquin m’étaient parvenues rapidement par E-mail. Le rendez-vous est dans un Manoir des Alpilles appartenant à Henri. Quatre heures de route et enfin, je suis proche du but. Au fin fond de la campagne, ce manoir est certainement une maison secondaire pour assouvir les désirs de Cathy et de Henri, désirs censés rester discrets.

Voyant une grille en fer forgé sur ma gauche, je n’ai qu’à vérifier le nom : « Le Manoir ». C’est ici…


Je sonne à l’interphone. L’habitation près de la grille, entièrement éclairée, semble être une dépendance du grand manoir que j’aperçois, après un grand jardin à la française. Un bois, semblant assez grand, se situe juste à la droite du manoir.

La porte s’ouvre et Cathy apparaît en tenue légère, robe de couleur claire laissant apparaître ces belles jambes sportives.



On s’embrasse gentiment, et elle me dit de la suivre vers l’entrée de la dépendance, dans laquelle je peux déjà entendre les discussions des invités.


Elle m’invite à entrer dans le salon, où un cocktail est servi sur la table centrale. Huit personnes sont déjà présentes dans la pièce. Cathy prend la parole pour me présenter aux autres invités :



Nous nous serrons amicalement la main. Il s’agit d’un homme assez grand et costaud, avec des cheveux bruns grisonnants. Il paraît la cinquantaine et a un regard qui ne semble pas laisser place à la contestation. Un vrai patron.



Mon attention est bien sûr vite attirée par les autres participants au jeu…

Je fais bientôt la connaissance de deux autres hommes et trois jeunes femmes.


Le première femme, ou plutôt jeune femme, se présente sous le nom de Caroline. La trentaine énergique, brune, cheveux assez courts, physique parfait (très bien roulée, avec une petite poitrine), taille moyenne, yeux noisettes. Quelques mots avec elle me font voir qu’elle est une femme de caractère énergique, qui semble savoir ce qu’elle veut.



Voilà les quelques paroles que je retiens, quand une jolie petite brune se présente à moi.



Nous nous embrassons poliment. Julie est une jeune fille de 22 ans. Cheveux bruns, longs, coiffés en chignon, elle a un physique fin et élancé, petite de taille (1m55). Jolies fesses rebondies et string de rigueur. Elle semble chaude comme le feu… La soirée va être inoubliable.

Ensuite viennent deux hommes :

Tout d’abord Joël : jeune Homme de 25 ans. Brun, taille moyenne, très bien apprêté, la volupté par excellence. Il pourrait tout à fait passer pour un gigolo. Vraiment, le petit ami préféré des beaux-parents pour leur fille.

Mat : jeune homme noir, la trentaine. L’étalon type. Il fait près de 1m90 et rigole en permanence. Un gars très sympa.

Cathy vient ensuite me présenter Lise, jeune femme de 26 ans. Petite, châtain clair, cheveux mi-longs, avec de magnifiques yeux bleus. Physiquement, elle est plutôt petite (1m55), petite poitrine et de jolies fesses, juste comme il faut. C’est la caricature de la jeune fille sage et sérieuse. Henri ne la quitte pas des yeux, comme un prédateur. Elle semble plutôt gênée par ses regards un peu trop persistants.


Après un quart d’heure de discussions diverses avec les participants, arrivent enfin les deux dernières participantes. Cathy nous les présente aussitôt :



Un petit clin d’œil de Cathy dans notre direction fait sourire l’ensemble de l’assistance.


Michèle est l’incarnation du désir pervers, malgré ses presque 50 ans. Brune, cheveux longs, yeux clairs, elle fait malgré tout bien son âge, mais possède encore de belles fesses (quoiqu’assez larges) et une poitrine encore alléchante. Elle est bien maquillée et apprêtée. Virginie est brune, comme sa mère. Elle possède une poitrine opulente, bien dressée naturellement : elle n’a pas la vingtaine. Ses hanches, bien dessinées, ne la rendent que plus « vulgaire ». L’air de famille est frappant : on dirait sa mère, avec 30 ans de moins.


Le petit buffet-repas se déroule avec des discussions des plus banales.



3/ Le départ du jeu


Après ce dîner plein de promesses, Cathy et Henri nous rassemblent dans la pièce principale de la dépendance.



Nous allons tous partir, les uns après les autres, sur le domaine du manoir et, à 8h00 précises, le jeu démarrera. Chaque fois qu’un ou une participant(e) en surprend un autre, un vêtement doit lui être fourni. Si le ou la participante n’a plus de vêtement, il ou elle doit se soumettre au désir du gagnant pendant trente minutes au moins. Après, il peut choisir de quitter son « maître » ou de continuer.

Je vous invite donc à aller vous préparer. Des douches sont disponibles dans les chambres marquées à vos noms, et je viendrai vous chercher chacun à votre tour, pour lancer votre promenade… Bien sûr, à deux heures du matin, le jeu prendra fin, et les gagnants pourront repartir avec leur invitation… À tout à l’heure.


Après être monté à la petite chambre coquette marquée "Laurent", je me prépare rapidement et j’enfile les vêtements préparés pour moi. Dans la poche, une boîte de préservatifs, ainsi qu’un tube de gel lubrifiant. Mon impatience monte depuis quelques heures et il me tarde de trouver la première fille en string, pour pouvoir enfin profiter de cette soirée coquine. Je me demande laquelle j’aimerais rencontrer en premier, mais bien sûr ce pourrait être moi qui me retrouve dans une position où je dois me plier au désir d’une des participantes… ou d’un !? Je n’avais pas encore envisagé ces possibilités, mais je crois en ma bonne étoile…

Enfin Cathy vient me chercher.



Enfin, je me lance dans le jardin. Il est fait de grandes haies de deux mètres de haut, sous forme de labyrinthe. Il me reste vingt minutes avant le départ du jeu. Je me dirige rapidement vers la gauche du jardin, où j’aperçois un bâtiment à cinquante mètres dans le bois. Comme on dit, la pression monte, mais je suis de plus en plus inquiet à l’idée de pouvoir me retrouver sans trop de vêtements. Les réflexions de Caroline pendant le repas me reviennent en mémoire, et je plains le ou la participante qui va tomber entre ses griffes…

Je suis devant le bâtiment sur lequel il y a marqué "Pavillon de chasse" : les lumières sont allumées. Aucun mouvement à l’intérieur. Je choisis d’en faire le tour et je trouve une réserve de bois. En la contournant, ma vue s’acclimate à la pénombre, de plus en plus importante avec la nuit qui est totalement tombée. J’aperçois une échelle qui mène sous le toit du chalet. J’y monte avec précaution. Personne en haut. Seule une petite fenêtre munie d’un volet de bois est légèrement ouverte, et la lumière fuse en bordure. Je m’approche doucement et je vois l’intérieur du bâtiment, qui est constitué d’une grande pièce unique, avec des dortoirs sur la mezzanine. Un grand feu flambe au milieu. Une petite musique classique se fait entendre. Bien sûr, je suis certain que Cathy l’a fait exprès pour couvrir tous les bruits…

Mon regard est vite attiré par une ombre entre deux lits : Julie. Elle se cache à plat ventre, et je suis positionné à sa droite. Je n’aperçois que légèrement ses formes sous sa cape mauve. Cela ne laisse présager que de bonnes choses.

Un oeil sur ma montre : huit heures moins cinq : plus que cinq minutes et j’aurai mon premier vêtement de la soirée.


Huit heures.


J’ouvre légèrement la fenêtre. La musique couvre le grincement. Julie semble fixée sur le rez-de-chaussée de la pièce. Je suis à une dizaine de mètres. Je m’approche lentement. Inutile de dire que mon cœur bat la chamade. Un mètre. Je ne peux pas m’empêcher de sourire quand je tends la main vers sa croupe. Elle fait un bond de surprise.



Elle se lève et j’aperçois sa petite nuisette en soie, qui laisse paraître de jolis petits tétons. Elle porte également des bas blancs. Ses cheveux, attachés en chignon, la rendent encore plus attirante que tout à l’heure, lors du repas. Elle s’approche de moi, tend les bras et m’embrasse goulûment. Je ne peux m’empêcher de lui caresser légèrement les hanches et je sens son string à travers la cape et la nuisette. Inutile de dire que j’ai une trique mémorable. Il faut que je coupe.



Elle se recule lentement, me lance un regard lubrique et entame un joli strip-tease. Elle n’est pas bien grande, mais a une jolie petite touche espagnole qui la rend magnifique. J’aperçois ces deux sous-vêtements en dentelle bleu clair. Elle me lance la nuisette au visage, et je l’attrape, en sentant son parfum intime.


Je m’approche d’elle, mais elle se recule immédiatement :



On se quitte rapidement et je repars précautionneusement par le chemin de mon entrée dans le pavillon de chasse.


Je pars dans le bois, à demi-accroupi. J’aperçois une ombre entrer dans le pavillon. C’est Joël. Inutile de dire qu’il a déjà perdu un vêtement.

Je fais le tour à distance du manoir par-derrière, en prenant bien des précautions pour rester dans la pénombre. J’aperçois une ou deux ombres passer près des fenêtres du premier étage du manoir. Des lumières fusent de toutes les ouvertures du grand bâtiment.


J’aperçois la ferme, au fond du jardin, et je me dirige vers la lumière qui en sort. À cinquante mètres, je longe les arbres, quand une main me tape sur les fesses. Je fais un bond de deux mètres et je me retourne, pour voir le visage triomphant de Caroline.



Sans un mot, j’ouvre la cape pour lui montrer que je n’ai pas encore perdu un vêtement.



Sa cape s’ouvre lentement et je peux voir qu’elle n’a pas encore perdu un vêtement. Elle porte une nuisette moulante, qui descend en haut des cuisses et laisse voir la totalité de ses bas noirs. Elle est terriblement attirante et semble le savoir.



Je la lui tends rapidement, alors qu’elle s’est adossée à un gros chêne vert en me laissant voir entièrement sa tenue. Je devine sa culotte moulante, à travers la nuisette. Autant dire que mon excitation se traduit par une tension dans mon pantalon, qu’elle semble avoir vue.



Elle me quitte avec un petit clin d’œil, en rabattant la cape sur elle et en partant vers la ferme.

J’irai la voir tout à l’heure et j’espère qu’il ne lui restera que son string.


Je reviens sur mes pas en allant vers le manoir. J’y entre doucement par la porte arrière. Un coup d’œil derrière moi me permet de vérifier que personne ne me suit, et surtout pas Caroline. Personne.


Je suis dans une grande cuisine où j’entends toujours cette musique classique, qui semble couvrir tous les bruits de la maison. Je rentre dans les pièces suivantes plus rapidement, et je monte doucement par un escalier de service, jusqu’au deuxième étage. Le bâtiment est immense et vraiment de toute beauté. De hauts plafonds dominent et des œuvres d’arts sont placées sur tous les murs des chambres et couloirs. Chaque chambre semble avoir une salle de bains. Certaines avec un jacuzzi où l’eau bouillonne déjà. D’autres avec des sauna ou de grandes douches.


Après quelques minutes de visite, j’entends des bruits dans une chambre du fond du couloir. Je décide d’entrer par le balcon de la salle de bain de cette chambre. Après quelques sauts de balcon en balcon, j’aperçois la fenêtre de la dernière chambre, ainsi que celle de sa salle d’eau. Des mouvements sont perceptibles dans la chambre grâce aux ombres. Curieusement, la lumière de la salle d’eau est éteinte.


La salle de bain est grande et j’entre dans un hammam de sept ou huit mètres carrés. La musique couvre mes mouvements et j’entends des bruits de discussion, sans comprendre leur signification. À pas lents, je me dirige vers la sortie de la salle de bain, très grande.

Surprise ! Une personne est debout, cachée dans l’ombre, et semble espionner ce qui se passe dans la chambre. Mon sang ne fait qu’un tour : cape mauve. Je m’approche et me serre contre elle, en lui mettant la main sur la bouche, doucement.

Elle sursaute. C’est Michèle. Sans qu’elle se tourne vers moi, je me serre contre elle, en gardant une main sur sa bouche, et je balade doucement l’autre vers l’ouverture avant de sa cape. Je la sens soupirer et elle se love contre mon corps.

Ma vue s’acclimate à la lumière de la pièce et j’aperçois, sur le lit, à une dizaine de mètres de la porte entrouverte où je me trouve, Cathy, en train d’embrasser goulûment la jeune Virginie, à quatre pattes sur le lit pendant qu’Henri la pilonne en rythme. Il s’accroche à ses hanches et à sa nuisette rose, qui semble être le dernier vêtement de la jolie brunette. Cathy, entre deux succions, parle à son compagnon :



La jeune fille obéit rapidement, pendant que Cathy écarte son string. Elle lance quelques gémissements entre deux bouchées.


Je suis comme hypnotisé par cette scène, et je caresse le corps de la mère de Virginie. Tout à coup, je me rends compte que Michèle n’a plus que sa culotte : elle a perdu même ses chaussures. Elle ne sait toujours pas qui est derrière elle. Mes caresses se font de plus en plus précises. Je passe deux doigts entre sa peau et sa culotte. Son souffle s’accélère. Je garde une main sur sa bouche et elle commence à me lécher les doigts, en faisant des bruits équivoques.

Pendant ce temps, Cathy et Henri continuent à profiter du corps de Virginie. Cathy glisse ses jambes sous le corps de sa jeune soumise, s’allonge sous elle, la serrant par la taille en l’embrassant. Henri continue à la pistonner rapidement. Tout à coup, il quitte son préservatif et pénètre Cathy, ainsi à portée.


Michèle semble aussi excitée que moi par la vue de sa fille soumise. En caressant son sexe, je le sens tout humide. Tout à coup, je lui glisse à l’oreille :



Elle fait glisser son tanga, doucement. Je continue à caresser son corps de femme mûre. Le fait que je la serre contre moi, lui fait prendre des positions difficiles pour l’équilibre, mais elle passe dans ma main mon deuxième trophée de la soirée. Je la retourne vers moi et l’embrasse avec passion. Passion qu’elle me rend bien. Ses mains se baladent sur mon sexe tendu dans mon pantalon. Je lui indique de se mettre à genoux et je quitte rapidement mon pantalon, qui tombe sur mes chevilles. Elle comprend tout de suite et tire sur l’élastique du boxer, pour prendre en main mon sexe tendu à son maximum. Je la saisis par les cheveux et elle prend en bouche mon sexe. La sensation est délicieuse. Elle donne d’abord de petits coups de langue, avant de le sucer consciencieusement de la base jusqu’au gland.


Mon regard vers la chambre me permet de voir Henri en train d’enfiler un nouveau préservatif, couleur rose bonbon. Cathy, enlacée avec Virginie, la serre contre elle. Henri, après un ou deux coups de langue sur la rosette de la fille de Michèle, se présente à ses fesses rebondies. Lentement, il appuie avec son sexe, pendant que Cathy lui parle à l’oreille, entre deux coups de langue sur son lobe. Virginie a maintenant le sexe de son hôte en elle et semble apprécier cette sodomie. Elle gémit doucement et lâche un petit cri à chaque coup de reins de son amant.


Je sens le plaisir monter en moi. La fellation experte de Michèle, ainsi que la vue de sa fille ainsi possédée, font que je suis au bord de l’extase. Je fais relever Michèle et l’entraîne vers le hammam, tout en me débarrassant de mon pantalon, de mes chaussures et du boxer. On se tient par la main et je la couche sur le banc en marbre de la pièce brumeuse. La buée nous empêche de voir à un mètre. Dans ma poche, je trouve un préservatif, que je lui tends. Compréhensive, elle déchire l’enveloppe et me l’enfile avec ses deux mains. Une fois mis, je positionne ses fesses au bord du banc et pénètre son sexe lentement. Je sais très bien que je ne vais pas tarder à jouir et j’accélère le rythme rapidement, en tapant son bassin contre le mien. Ses petits gémissements ressemblent fort à ce que j’entends dans la pièce voisine.



Je sors mon sexe et retire ma capote, pour jouir sur sa petite touffe brune.


Après un petit clin d’œil à Michèle, je me rhabille rapidement, en prenant soin de récupérer mes deux trophées.


Mon idée est de récupérer rapidement trois autres trophées. Je reviens vers la chambre discrètement. Virginie est en train de laper consciencieusement le sexe de Henri, sous la direction de Cathy qui tient sa tête par les cheveux et dirige chacun de ses coups de langue.


C’est le moment que je choisis pour faire mon entrée.



Manifestement, mon effet est réussi et, après la surprise, je vois pointer leurs petits sourires, mis à part Virginie, qui baisse la tête.

Cathy rompt le silence :



En m’approchant de la jeune soumise, je caresse doucement son visage, en l’aidant à retirer sa jolie nuisette rose. Elle me regarde, en attendant sa future tâche.



Je quitte rapidement la pièce, en regagnant le couloir. Je vais discrètement vers les chambres de l’autre aile et quitte cet étage pour le rez-de-chaussée, par l’escalier de service.


Dans un garde-manger, je me cache pour me reposer quelques instants et me remettre de cette dernière heure. Il est dix heures. Encore quatre heures de jeu. Et j’ai croisé quatre participantes sur cinq. Il ne me manque plus que Lise. Bien sûr, il vaut mieux que je méfie de Caroline.



4/ La suite



J’entends un bruit dans la pièce voisine. Il est onze heures. Voila une heure que je me repose. Je décide d’entrer par surprise dans la pièce voisine, qui est la cuisine.

J’entre et vois Joël, en train de manger un bout.



Me voilà à la sortie du Manoir. Derrière, je m’enroule dans ma cape, mets la capuche et cours silencieusement vers le bois. Je me dirige vers la ferme, mais cette fois-ci en faisant un grand détour et en prenant le peine de faire plusieurs pauses pour vérifier que personne ne va me surprendre. Bien sûr, cette nouvelle course relance mon excitation et de penser à Caroline ou à Lise à ma merci m’incite à la prudence.


Je fais d’abord le tour du bâtiment. Lentement, je me rapproche du bâtiment. Il s’agit d’une grange. J’aperçois une ombre. Non, il y en a deux. Je me rapproche. Visiblement, Mat vient de surprendre Lise à une trentaine de mètres de la grange, dans un petit renfoncement du terrain. Il se pense à l’abri des regards indiscrets. Mat est nu, et on peut voir son corps noir à travers l’ouverture de sa cape. Je l’entends en train de parler :



Lise jette des coups d’œil timides sur le corps de Mat.



Mon sang ne fait qu’un tour et je reste caché dans l’ombre. Lise part vers le jardin. Un plan est possible pour piéger Caroline.


Je surprends Mat :



Le visage de Mat se décompose



Je le suis. Il se dirige vers la grange. On y entre par l’étage, doucement. La musique tourne même dans la grange et couvre pas mal de nos bruits. Après quelques minutes d’attente, j’entends un faible son venant du bas de la grange.

L’attente est interminable et je vois mal, car Mat est devant moi, à quelques mètres. Tout à coup, il interpelle Caroline qu’il vient de voir apparaître en bas.



Je me rapproche doucement du bord pour les voir tous les deux. Caroline ouvre lentement sa cape mauve et laisse entrevoir une culotte moulante rouge en dentelle sur son corps magnifique, ainsi qu’un soutien-gorge assorti. Elle lance un regard aguicheur à Mat, dont elle détaille la nudité. En effet, il laisse s’ouvrir la cape noire, montrant l’érection d’un sexe énorme.



Rapidement elle le quitte et Mat s’en va, comme prévu. Je jubile.


Un bond et me voici face à elle. Elle fait une tête !



Je la prends par la main et on descend par un petit escalier, dans le fond de la grange. Je prends bien soin de fermer la trappe derrière moi : il y a une targette…


La pièce n’est pas très grande et possède tous les accessoires caractéristiques du donjon : cage, chaîne, sangle de cuir, etc… Une banquette de cuir en forme de lit trône dans le centre de la pièce. J’admire Caroline. Elle a le regard d’une fille de caractère, malgré la petite pointe d’inquiétude que je devine sous son sourire. Ses cheveux mi-longs châtains lui vont parfaitement, ainsi que son petit nez fin. Quant à son corps, il est parfait : sportif, avec une poitrine assez petite.

Elle quitte sa cape mauve et commence à tirer sur les bords de sa culotte moulante. Magnifique. Je vais vers le mur de droite, où tout un tas d’instruments sont à ma disposition. Certainement un lieu de prédilection pour Henri et Cathy… Un collier en cuir clouté et une chaîne attirent mon œil. Je les saisis et vais vers Caroline.

Après avoir quitté ma cape, je me positionne devant Caroline et lui passe le collier, en la regardant droit dans les yeux :



Sans qu’elle baisse les yeux, je l’embrasse doucement sur les lèvres. Elle me rend le baiser et nos langues commencent à se mélanger. Mes baisers vont vers son cou. Son souffle s’accélère légèrement. Mes mains se baladent doucement sur son corps. Elle est vraiment bien faite. Son ventre est presque plat, juste ce qu’il faut. Elle ne me quitte pas des yeux, avec un regard plutôt provocateur.

Je passe dans son dos et la serre doucement contre moi. J’accroche la laisse au collier. Mes mains se font plus pressantes. Je caresse ses petits seins et, avec l’autre main, je caresse son entrejambe, à travers sa culotte rouge.


Je suis de nouveau en pleine érection.



L’ordre est sec.

Elle me fixe toujours, avec son regard déterminé. Elle résiste légèrement. J’attache ses mains aux deux chaînes de la banquette.

Je l’embrasse doucement sur son corps, avant de lui retirer sa culotte, lentement. Elle me fixe toujours. Je l’embrasse sur son bouton d’amour et elle gémit doucement, après quelques minutes de ce traitement. Elle remue légèrement. Mes mains se font plus hardies. Je caresse son petit œillet. Elle remue toujours : il va falloir être patient. Ma langue s’attarde de plus en plus bas. Elle gémit de plus en plus et éclate avec un cri aigu.

Elle vient de fermer les yeux. Je la détache et l’attire vers moi avec sa laisse.

C’est la première fois que je fais ce type d’excentricité, mais j’y prends un plaisir énorme. Penser à ce qu’elle souhaitait me faire au départ ne fait qu’augmenter mon état.

Je caresse doucement son visage, avant de l’embrasser doucement. Elle me glisse un mot :



Je lui mets un coup de laisse sur la fesse droite. Elle me regarde à nouveau avec un regard de défi, mais elle ne dit plus rien.

Je quitte mon boxer, sans lâcher la laisse, et je tire vers le bas. Elle descend doucement et prend mon sexe en main.

Elle fait des va-et-vient lents, tout en me fixant. Je tire légèrement, et elle prend mon sexe en bouche. La sensation est délicieusement excitante. Elle suce doucement, mais consciencieusement.

Après quelques minutes de ce traitement, je lui tends un préservatif. Elle déchire la protection et tente de me l’enfiler avec ses mains. Je réagis tout de suite :



L’ordre est sec. Elle s’exécute. Elle l’enfile doucement avec sa bouche et continue la fellation. Je lui dis de se lever et l’attire vers moi. Nos deux corps sont serrés l’un contre l’autre.

Je m’assieds, puis me couche sur le dos, sur la banquette, et l’attire vers moi à l’aide de la chaîne. Elle vient sur moi et j’attire son sexe sur ma bouche. Quelques coups de langue me font sentir qu’elle mouille.

Elle vient sur mon sexe et s’empale dessus. Je lui indique le rythme mais c’est elle qui bouge le plus. Elle gémit de nouveau, comme au début de notre séance. Elle reste d’abord bien droite, puis je la serre contre mon corps. On s’embrasse. La chaîne de la laisse pend le long de nos deux corps à chaque mouvement.

Je la retourne et la mets à quatre pattes sur la banquette, en mettant deux gros coussins sous son ventre. Elle sait ce que je veux, mais ne proteste pas. Doucement, je lèche sa rosette pour la stimuler. Elle gémit de plus en plus fort. J’attrape du gel lubrifiant et en pose sur son anus, en l’introduisant avec un doigt. Quelques coups de langue sur son sexe.

Par mégarde, je perds mon préservatif. J’en attrape un autre. Elle tourne la tête et me regarde déchirer l’enveloppe. Son regard est plein de désir. Je l’enfile.



Elle se cambre. Je présente mon sexe sur son bouton d’or et je pousse lentement. Cela résiste, puis j’entre le gland d’un coup. Je pousse lentement. Elle laisse échapper de petit cris de plaisir : visiblement, elle prend aime aussi être dominée. Décidément, ce jeu est vraiment stimulant et rien n’est fini avant deux bonnes heures…

Mes allées et venues dans son ventre sont de plus en plus rapides, et je peux caresser la totalité de son dos. Elle reste bien cambrée. Je titille ses tétons. Sa respiration se fait saccadée. En gardant la position, je lui fais relever le buste, grâce à la laisse et à son collier : je la serre contre mon torse, en continuant à la sodomiser. J’explose en elle dans cette position. Nous sommes tous les deux en sueur.

Nous nous embrassons de longues minutes dans cette position. Cette fille est vraiment un bon coup. Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris un tel pied !


Sans un mot, je récupère mes habits : pantalon, boxer, chaussures, ainsi que mes trophées, et je quitte le « donjon ». Rapidement, je sors de la grange par la porte de devant.

Merde ! Quel con…


Devant la porte, me regardent Henri et Cathy, avec un grand sourire tous les deux.

Cathy rompt le silence :



J’ouvre ma cape et je peux voir, sur le visage de Cathy, la déception.



Je remarque qu’eux n’ont plus que leur cape pour vêtement. Je leur passe leur gage et, après quelques échanges de politesse, nous repartons chacun de notre côté.


Rien que de penser qu’ils pourraient tomber dans les bras revanchards de Caroline me fait bien rigoler.