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n° 09017Fiche technique18089 caractères18089
Temps de lecture estimé : 11 mn
04/05/05
Résumé:  Un notaire de province se voit dans l'obligation de devenir un curieux exécuteur testamentaire...
Critères:  fh fhh fagée inconnu collection volupté fsoumise strip odeurs fgode init
Auteur : Jeff            Envoi mini-message
Un drôle de testament...


Notaire dans une bourgade du centre de la France, depuis plus de vingt ans, j’ai pris la succession de mon père, qui tenait l’étude de son père. Notre clientèle, principalement faite de paysans locaux et de notables, nous est fidèle et nous confie quelque fois quelques tâches difficiles à exécuter.


Dernièrement, il m’est arrivé une aventure des moins banales dans notre métier, qui pourtant, je vous l’assure, ne manque ni de surprises, ni de piquant.

Vous savez, qu’il est de tradition de nous confier la rédaction des testaments.

C’est ce qu’avait fait un certain Marcel B., un des plus gros propriétaires terriens de notre canton. L’homme est mort il y a quelques jours et je me suis retrouvé en face de la veuve éplorée, assise dans mon bureau, pour l’ouverture du testament. Pas d’enfants, seule héritière d’immenses domaines et de plusieurs centaines de têtes de bétail.


C’est que le Marcel, comme on avait l’habitude de l’appeler, c’était un « drôle ». Pensez donc. À cinquante ans, il s’était retrouvé seul. Veuf d’une femme qui était considérée, par tout un chacun, comme une véritable mégère. Puis, quelques années plus tard, il s’était remarié avec une « jeunesse ». Une très jeune et jolie femme, Monique, âgée alors de 25 printemps. C’est elle qui est là, devant moi.


Malgré les commérages, les mauvaises langues du pays, le mariage avait duré presque vingt ans et sa beauté s’était un peu fanée, étiolée. Mais je peux vous dire que les « restes » sont encore bien appétissants. Je me devais donc de lire à Monique, éplorée, un testament dont je ne connaissais pas la teneur, car il avait été rédigé devant mon père. Face à moi, sur le bureau, l’enveloppe scellée repose. J’attends encore quelques instants, que les derniers sanglots soient séchées. Enfin, dans un geste gracieux, Monique repousse son grand voile, laissant voir enfin son visage. Malgré de petites rides fines et les yeux rougis par les larmes, sa peau tannée par le soleil, et quelques mèches de cheveux légèrement grisonnants, elle ne marque pas ses quarante cinq ans. C’est une belle femme, au buste droit et fier, à la poitrine opulente, aux hanches larges et aux jambes parfaites. Son regard noir, un petit nez en trompette, une lèvre gourmande, bref une de ces femmes sur laquelle un homme se retourne quand il la croise dans la rue ou sur le marché hebdomadaire.


En ravalant ses sanglots, elle me glisse à mi-voix :



Et posément, avec toute la componction qui sied à ce moment solennel, je brise les cachets, ouvre l’enveloppe et en tire deux feuillets. J’ajuste mes lunettes, me racle la gorge et après avoir pris une grande bouffée d’air, j’entame la lecture.



J’entame alors l’énumération d’une longue liste de biens qu’il possède et qu’il lègue à sa chère et aimée épouse, ainsi que de gros paquets d’obligations, sans oublier des bijoux et du numéraire. Jusque là, le testament semble être parfaitement conforme à n’importe quels testaments, lus par mes soins, des centaines de fois. Puis, sans attendre je m’attaque à la lecture de la seconde page.



Suit encore quelques recommandations, la date et la signature.


Ayant terminé ma lecture, je repose les feuilles, respecte les quelques secondes d’un lourd silence, puis entame la suite de la procédure. Enfin, tout est terminé, Monique, d’une voix blanche m’interroge.



Ce petit coffret est là, près de moi, à portée de main. Je lui montre et lui propose de l’ouvrir elle-même.



C’était une boite en bois blanc, oblongue. Toute simple. Sans fioritures ni chichi. Délicatement, j’enlève les deux scellés rouges qui le ferment, entrouvre le couvercle et devant mon regard un peu étonné, Monique m’interroge du sien. Alors je lui présente l’intérieur. Dans le coffret, allongé sur un lit de ouate blanchâtre, un godemiché de bonne taille. Son réalisme est saisissant de naturel. Dans le couvercle, pliée et scellée, une feuille de papier. Devant le regard hébété de Monique, je repose le coffret sur mon bureau, détache la feuille et commence par la lire pour moi. Il est certain que la surprise est de taille. Tellement étonnante, que je blêmis et que des gouttes de sueurs montent à mon front, mes mains se mettent à trembloter.



Je lui tends la feuille et comme moi, son visage est marqué par l’étonnement.

Marcel y expliquait qu’il avait toujours eu de gros besoins sexuels, que le principe de sa vie était résumé par la phrase « on n’est jamais en manque, mais toujours en besoin » et qu’il avait toujours été très fier d’exhiber aux dames qu’il avait honoré, ses femmes et autres, un vit de belle proportion. Et sur les conseils d’une matrone d’un canton voisin, il s’était fait faire un moulage de sa flamboyante virilité pour le cas où il ne pourrait plus utiliser la sienne. En cas de panne… Marcel indiquait aussi dans sa lettre que l’exécuteur testamentaire (moi, à l’occurrence) devrait utiliser sur sa veuve cet engin de substitution, à sa demande et à sa discrétion et chaque fois qu’elle le désirerait !


Devant cette exigence – peu commune – je reste pantois et surpris. Monique lit avec application les dernières volontés de son défunt mari et de temps en temps, lève les yeux vers moi, interrogatrice et surprise. Je dois lui avouer que je ne connaissais pas cette clause et que je suis aussi surpris qu’elle. Bref, qu’un testament étant un testament, nommé exécuteur, je suis à sa disposition pour l’aider…


Je dois aussi vous dire que je suis célibataire. Pas tant que je n’ai pas trouvé la femme qui me convienne, mais parce que je préfère ma liberté, et surtout aller picorer dans la gamelle des autres poulets plutôt que d’avoir un cheptel à la maison. Bref, si je reste surpris c’est que la demande est pour le moins originale. Pour le reste, je ne vois aucun inconvénient à exécuter une telle demande, même si elle peut paraître saugrenue. Oh, bien sûr, même si Monique a près de quarante cinq ans, c’est une belle femme. Après tout, j’aurais pu plus mal tomber, les laiderons, dans nos campagnes, ce n’est pas ce qui manque !

La surprise passée, Monique et moi, convenons de nous retrouver le soir même, pour « exécuter le testament » de son cher défunt mari.


Elle m’attend pour l’apéritif. En veuve traditionnelle, elle est vêtue de noir, ce qui met en relief ses formes et lui va à ravir. Elle a l’air un peu gênée et nous nous asseyons, côte à côte, sur le sofa qui fait face à une grande cheminée où une flambée jette une douce chaleur dans le salon. Devant nous, sur la table basse, repose, telle une relique, le coffret et son ustensile couché sur son lit de ouate.

Après quelques moments de tergiversations, d’une conversation sans grand intérêt qui marque plus notre timidité à passer à « l’exécution » qu’autre chose, enfin elle se décide.


D’un geste un peu nerveux, elle ouvre la boîte et en sort le terrible engin. D’une main un peu tremblante, elle s’en empare, semble le soupeser, en estimer le diamètre, la longueur. Je ne cesse de la regarder, durant tout ce temps. Il me semble que dans ses yeux, elle cherche à se remémorer le « réel »… à moins qu’elle ne se souvienne de la dernière fois où elle a reçu l’hommage de son mari ?


Lentement, elle porte le godemiché, moulé sur Marcel, vers sa bouche et d’un baiser tendre, elle l’embrasse, avec ferveur. Puis elle murmure :



Et sans attendre, elle me le confie.

A ma grande surprise, me voilà avec cet engin dans les mains. J’avoue être embarrassé. Non seulement je n’en ai jamais tenu dans les mains, mais en plus le fait de savoir que c’est un moulage, réalisé sur un homme, m’impressionne, me met mal à l’aise. Comment le tenir ? Comme une matraque de CRS ? Non, un peu de décence ! Comme ma queue ? Pourquoi pas, mais cette partie n’est pas à moi. Délicatement ? Oui, mais attention de ne pas le faire tomber. L’empoigner ? Ce n’est pas un pic à glace, quand même ! Bref, j’avoue être particulièrement gauche.


Mais pendant que je me pose plein de questions, Monique s’est levée et elle est en train d’opérer un strip-tease des plus audacieux. Devant la cheminée, elle ôte sa robe noire. Doucement. Elle la fait passer au-dessus de sa tête. Au fur et à mesure que la robe remonte et dévoile son corps, mes interrogations s’évanouissent. Les jambes gainées par des bas noirs, tenus par des jarretelles, rouges, laissent voir une bande de chair blanche de ses cuisses charnues et diaphanes. Sa culotte, assortie aux jarretelles, couvre à peine son pubis. Tissu arachnéen, qui laisse passer à travers la dentelle quelques poils noirs, mais rien sur le côté. Le ventre plat, se découvre. Un soutien-gorge rouge, à balconnet met en relief sa poitrine qui est serrée par la fine dentelle.

La robe tombe par terre.


D’un geste, elle détache son soutien-gorge, libérant deux magnifiques seins, un peu tombants, mais aux larges aréoles brunes qui contrastent avec la blancheur de la peau. Les tétons, déjà excités, pointent vers le haut. Et le fin soutien-gorge va rejoindre la robe, au pied de Monique. À l’aide de ces deux mains, elle fait rouler sa culotte sur ses hanches, ses cuisses et la laisse tomber sur ses chaussures. Mes yeux fixent sa toison brune, coupée courte, épilée. Entre ses jambes, légèrement écartée, je vois, en contre jour du feu de cheminée, deux lèvres fines et brunes qui pendent légèrement.


Une bouffée de désir monte dans mon ventre, me met le feu aux joues. En bas et jarretelles, Monique m’invite à venir la rejoindre sur le tapis qui s’étale devant l’âtre. Avec une très légère hésitation, je m’approche d’elle. Que dois-je faire ? Quelle attitude adopter ? Marcel, dans son testament n’a rien dit. Alors, tant pis pour lui. Je décide de faire comme pour moi… Je m’approche de Monique et commence par lui tendre mes lèvres. Elle répond tout de suite à la sollicitation de ma langue. Nos échangeons longuement nos salives, tandis que mes mains s’égarent sur son corps. Sa peau laiteuse est douce au toucher. Le grain en est fin, les fesses soyeuses. Elle se presse contre mon torse et je sens la pointe de ses seins durcir au fur et à mesure où mes mains explorent son corps, mes doigts la caressent, l’excitent. D’un mouvement des hanches, elle effleure mon sexe qui s’est largement redressé.


Ensemble, nous glissons sur le tapis, adoptant une position plus pratique aux lutinages des corps. Mes lèvres quittent sa bouche pour s’occuper de ses seins. Je vais les aspirer, les lécher, les sucer. Sous ma langue, les aréoles se plissent et font surgir les tétons, durs et pointus que je peux mordiller. Cette manœuvre déclenche chez Monique de longs soupirs de désirs et lui fait osciller le ventre. Ma main s’égare entre ses cuisses, qu’elle ouvre largement pour lui permettre d’envahir son intimité. Sous mes doigts, je perçois une humidité de plus en plus importante, preuve d’un désir qui monte. Délicatement, j’écarte ses lèvres et me retrouve dans son intimité, chaude et gourmande. Par une série de contractions, ma main est littéralement aspirée dans son sexe et je n’ai pas beaucoup de mal à le fouiller, caressant les parois glissantes d’humidité. Cette caresse lui fait creuser le ventre et monter et descendre ses fesses. Puis, je remplace ma main avec la bouche.


Sous ma langue, son clitoris se développe, prend de l’ampleur, grossit. Petit bouton sensible, débusqué dans les plis gras et odorants, il pointe rapidement au-dessus de la vulve et je peux exercer dessus et autour une succion qui fait pousser de longs gémissements à sa propriétaire, qui en profite pour m’inonder le menton. Puis, avec ma langue, je m’efforce d’aller lui fouiller le plus loin possible son intimité, avant de m’attaquer à son petit trou. Sa rondelle, serrée à ma première approche, s’ouvre comme une fleur des champs au printemps, dès que ma langue darde à son entrée. Monique, les fesses soulevées, les mains les écartant, m’aide à la fouiller là. Je sens sur ma joue couler son plaisir et m’emploie à la fourrager le plus loin possible. La bouche collée à ses fesses, je déploie toute la souplesse de ma langue pour en faire le tour, aller cueillir odeurs et miasmes qui se dégagent au fur et à mesure de son plaisir.

Dans une tétanisation de tous ses muscles, en gémissant de plus en plus fort, Monique explose. Haletante, reprenant difficilement son souffle, je reste un moment allongé, la tête prise entre ses cuisses serrées par le plaisir.


Cette position, bien qu’inconfortable, m’a installé de façon à ce que mon entrejambe soit à la hauteur de son visage. Et je sens sa main qui me caresse, à travers mon pantalon, puis ouvre ma braguette et sort mon pénis, développant alors sa généreuse anatomie. Sa main, un peu rugueuse des travaux des champs, m’empoigne le dard et exerce de légères et excitantes pressions, de plus en plus rapides. Monique, affermit sa caresse et sans crier gare, m’embouche. Autour de mon pénis, je sens ses lèvres charnues qui font un délicieux anneau qui m’aspire, me pompe tandis que la langue titille mon gland. Puis la bouche avale ma hampe, loin. Si loin que je sens des spasmes de plaisir me parcourirent le corps. Après quelques allers et retours qui me mettent à la limite de l’explosion, Monique m’abandonne à mon triste sort du moment.

J’avoue être dépité sur le moment, mais c’est oublier ma mission.


Elle s’empare du godemiché, moulage de son cher défunt mari, le porte à ses lèvres, et en me fixant droit dans les yeux, avec un regard particulièrement salace et coquin, elle le suce, comme elle vient de me sucer, en s’emparant de ma queue qu’elle masturbe en même temps. J’ose avouer que cette vision m’excite. Et sous sa main, les premières gouttes de sperme viennent lui prouver que je suis prêt à aller un peu au-delà des volontés testamentaire de son cher Marcel.


Monique comprend rapidement la situation. Et sans parler, elle se met en position de levrette. D’une main, elle s’introduit dans le sexe, sous mes yeux excités, le godemiché de son mari, qu’elle fait aller et venir lentement entre ses lèvres brunes et mouillées d’excitation. Je perçois son excitation qui monte, monte … et, elle m’invite à venir la sodomiser en même temps. Immédiatement, je présente mon sexe à l’entrée de son petit trou, largement lubrifié et sans forcer, d’un petit coup de rein, je suis absorbé. Contre sa muqueuse anale, je sens le godemiché qui besogne le sexe et après quelques secondes, en alternance avec les aller et retour du godemiché, j’imprime un rythme de plus en plus infernal et m’enfonce dans les fesses de plus en plus loin.

Monique ahane, souffle, geint, cri et hurle son bonheur. À l’extrême limite de ma jouissance, elle m’impose un changement. Elle inverse la position. Me voila couché sur le dos, elle accroupie au-dessus de moi, jambes largement écartées, me présentant son dos. Elle s’empale sur mon pénis dressé, prêt à exploser et une fois calée, elle s’enfile sans trop de problèmes le godemiché dans son anus largement dilaté par ma précédente intrusion. De nouveau, je perçois à travers ses parois organiques, le contact raide du membre moulé de Marcel.


Etrange sensation. Excitante.


Et Monique entame un mouvement des cuisses qui la fait monter et descendre le long de ma hampe. Et cette fois, au moment où elle atteint la félicité, je la rejoins dans son plaisir, dans sa jouissance. Ensemble, nous explosons. Puis elle retombe lourdement sur mon ventre. Hors d’haleine. Le corps brûlant.

Quelques instants plus tard, elle retire de son anus le godemiché.

Elle le caresse avec tendresse et reconnaissance, et l’embrasse avant de le recoucher dans son écrin de ouate en lui disant :



Un peu plus tard, nous nous sommes quittés, en nous promettant de nous revoir très vite et de continuer à exécuter le testament de Marcel, au pied de la lettre.


Depuis, deux fois par semaine, je délaisse mon étude et mon travail pour aller exécuter le testament de Marcel.

Avouez que le métier de notaire, ce n’est pas de tout repos !