n° 09020 | Fiche technique | 21915 caractères | 21915Temps de lecture estimé : 16 mn | 04/05/05 |
Résumé: La clé du succès de notre relation est sans doute que nous nous sommes offerts l'un à l'autre au moment idéal. | ||||
Critères: fh collègues hotel fmast hmast intermast cunnilingu 69 fdanus hdanus glaçon init | ||||
Auteur : Alain_F Envoi mini-message |
Concours : Les préliminaires |
La clé du succès de notre relation est sans doute que nous nous sommes offerts l’un à l’autre au moment idéal. Nous, c’était elle, Alix (25 ans), et moi Alain (30 ans).
Elle était arrivée dans l’entreprise dans laquelle je bossais depuis près de trois ans, un lundi matin de juillet, l’année dernière. Timide ou réservée je ne savais pas, mais discrète, malgré ou peut-être à cause d’un physique qui ne laissait pas indifférent.
Le hasard (qui fait parfois bien les choses) lui avait affecté le bureau vide qui trônait en face du mien. Tant et si bien qu’au fil des jours, une certaine sympathie, puis amitié, s’était établie entre nous. Au fur et à mesure, cette amitié s’était muée en une complicité qui, ensuite, avait grandi, se nourrissant d’une intimité toujours plus grande. Bref, de fil en aiguille (je ne vous ferais pas de dessin), nous avons fini par sortir ensemble.
Cela faisait donc près de deux mois que durait notre relation amoureuse. Nous nous sentions très attirés, physiquement, l’un envers l’autre. Cependant, nous n’avions pas franchi le pas. Mais le désir de nous dévoiler enfin grandissait sans cesse en moi et il me semblait qu’il en était de même pour elle. Le séminaire de la boîte, organisé pendant trois jours en cette fin de semaine de novembre, allait sans doute nous procurer une occasion inespérée.
Il se tenait dans un hôtel haut de gamme d’une chaîne bien connue qui était cliente de notre entreprise. L’Hostellerie du Golf était isolée au milieu d’un gigantesque parc arboré, qui comprenait – comme son nom l’indique – un golf.
Chacun disposait d’une suite plutôt très luxueuse. Seule déception, pour moi qui espérait que la répartition des chambres aurait été faite « par service », Alix était au premier étage et moi au rez-de-jardin. Pour autant, la chaleur que dégageait ma chambre, ornée de tapis et de décorations fines, contrastait avec le froid rigoureux de cette fin d’automne.
Nous étions arrivés en fin d’après-midi. Un temps nous était ménagé pour notre installation et ensuite, nous enchaînions par un petit briefing de présentation du programme du séminaire, un dîner et une soirée « dansante » dans le piano-bar de l’hôtel
Je sentais, ou j’espérais, que les belles suites de ce luxueux hôtel pourraient servir d’écrin à nos premiers ébats amoureux. Côte à côte pendant la réunion, sages collègues pendant le dîner, nous nous étions un peu plus rapprochés dans la demi-obscurité de la soirée. Son attitude câline, lovée contre moi, dégustant les notes de jazz et un cocktail ouvrait des perspectives qui faisaient battre mon cœur. Elle a du le sentir et après que les premiers « convives » aient quitté la salle, elle me glisse à l’oreille un « On y va » tout à fait convenu.
Elle s’excuse un instant pour aller saluer deux collègues que je ne connaissais pas vraiment. Cela me permet de commander discrètement une bouteille de champagne, qu’un groom va filer apporter dans ma chambre, dans un seau rempli de glace, avec deux coupes de cristal.
Sans un mot, nous parcourons les couloirs qui mènent à ma suite. Je suis nerveux, à la fois impatient et inquiet. Une fois dans ma chambre, elle m’abandonne pour disparaître dans la salle de bains. Un répit durant lequel pour me donner une contenance, j’ouvre le champagne et sert les deux coupes.
Elle est là, à quelques pas, dans la salle de bains, elle doit finir de se refaire une beauté, de se préparer pour cette nuit qui sera notre première. Déjà, son parfum flotte dans la pièce, léger, sensuel. Depuis les tout débuts, elle me fait craquer. Sa longue chevelure blonde, ses yeux bleus, son sourire, sa fausse apparence de fille timide et pudique ont, au fur et à mesure, eu raison de mes réserves. De ses lèvres fines, bien dessinées, souples quand je les embrasse, s’élance une voix qui me fait frémir de bonheur. Jamais encore je ne l’ai vu dénudée.
Bien sûr, tels deux adolescents, lors de nos embrassades, elle m’a déjà laissé deviner sa poitrine au travers et même parfois sous son pull. Ma main est déjà remontée sous sa jupe, pour découvrir la naissance de ses bas et frôler son intimité. Elle a déjà parcouru mon torse. Ses doigts ont déjà caressé la protubérance qui souvent déformait mes pantalons. Mais nous sommes tous deux de grands romantiques. Nous avons pris le temps de nous découvrir. Nous n’avons pas voulu nous gâcher, nous laisser aller à la précipitation. Maintenant, alors que nous savons que nous allons briser le charme, rompre la glace, notre désir n’en est que plus intense.
Il y a de l’agitation dans la salle de bain, elle ne va pas tarder à refaire son apparition, des frissons me parcourent déjà l’échine. Je fantasme sur la tenue qu’elle porte. Elle s’est glissée dans la jupe qui l’habillait si délicieusement le jour de notre premier flirt, elle a passé ce pull bleu légèrement moulant que je lui avais offert. Mais dessous, que porte-t-elle ? A-t-elle enfilé des bas noirs ? Arbore-t-elle un porte-jarretelles ? Un string ? Le filet de lumière qui filtrait sous la porte de la salle de bain s’est enfin éteint et elle se glisse dans l’entrebâillement de la porte. Elle est là, devant moi. Son charme est à peine dévoilé par la lumière que j’ai pris soin de tamiser. Elle fait quelques pas en ma direction avec toute la grâce que je lui connais, son visage, ses formes m’apparaissent plus distinctement. Elle me semble plus belle encore, d’une rare élégance. Tandis qu’elle s’avance encore, ma gorge se noue, je perds visiblement mon sang froid, devant une créature de rêve dont je sais qu’elle m’est entièrement promise. Je sens ma queue, qui tout comme moi, ne reste pas impassible dans cette situation.
Alix est maintenant en face de moi. Je pose mes mains sur sa taille. Avec difficulté, tant ma gorge est sèche, je lui avoue à quel point elle est sublime. La tête baissée, je la vois légèrement sourire, tout en rougissant, je me penche alors vers elle. Elle redresse la tête de manière hésitante, cherchant mes lèvres, qu’elle trouve enfin. Nous nous embrassons fougueusement, plus longuement et intensément que d’habitude. Ses mains nerveuses, parcourent mon dos, se perdent dans mes cheveux. Je sens dans sa poitrine son cœur battre plus rapidement encore que le mien. Seuls les doux bruits de nos baisers brisent le silence de la pièce. Je tente de ne pas trop m’appuyer contre elle pour éviter qu’elle ne sente ma queue, tendue à l’extrême. Mais, elle, ne cesse de se rapprocher plus près. Elle cherche apparemment ce contact et souhaite me le faire comprendre. La climatisation de la chambre semble inexistante tant nos corps dégagent une immense chaleur… Celle d’un immense brasier que rien ne peut désormais plus éteindre, il faut qu’il se consume.
Nos vêtements ne font que raviver cette fournaise. C’est elle qui a ouvert le bal. Glissant ses mains le long de mon torse, elle a déboutonné ma chemise avant de l’envoyer promener, je me retrouve torse nu. Son regard qui scintille, le feu que je sens en moi comme en elle, m’incitent à en faire de même. Son pull bleu rejoint ma chemise, quelque part dans la pièce, dévoilant un chemisier dont seul le haut est boutonné. Il laisse ainsi apparaître la blancheur de sa peau et le bas d’un soutien-gorge en dentelles. Mon excitation, déjà vive, monte alors d’un cran.
Elle vient se blottir dans mes bras. Le moment est intense. Je la sens – tout comme moi – frissonner de plaisir à l’idée de la nuit qui s’offre à nous. Habilement, elle ôte ses chaussures pour pouvoir glisser ses pieds le long de mes jambes. La commode sur laquelle j’ai déposé le champagne est juste derrière elle. Par dessus son épaule, je parviens à me saisir d’une coupe et à la lui donner. Elle la porte à ses lèvres, les yeux dans mes yeux.
Par précipitation ou délibérément, comme pour m’adresser une invitation à poursuivre, elle renverse une partie de sa coupe. Son chemisier mouillé laisse maintenant parfaitement deviner ses formes. Ses intentions semblent claires, elle se sent fin prête. Tendrement, elle dépose le verre marqué de ses lèvres sur la commode et saisissant ma main, m’incite à faire de même. Je sens sur mon torse l’humidité du chemisier. Tout en me léchant le lobe de l’oreille, elle me supplie de lui faire l’amour.
Je tremble. Ni pour elle, ni pour moi, ce n’est une première fois. Mais je sens que c’est pour nous deux comme une première fois. Comme celle qui ne s’oublie jamais. Avec l’hésitation et le manque d’assurance qui aurait caractérisé un jeune premier, je commence à embrasser les lèvres sensuelles qu’elle me tend. Ma langue se mélange à la sienne dans une parfaite harmonie, tandis que ma main droite s’affaire à déboutonner le haut de son chemisier qui disparaît. Je sens ses doigts se déplacer sur mon torse.
Nos corps sont serrés l’un contre l’autre, sur mon torse rayonne la chaleur de ses seins toujours joliment retenus dans leur soutien-gorge que j’aspire à dégrafer. Maladroitement, je fais céder l’attache. Les brides pendent dans son dos, rien ne le retient désormais plus. Mes mains attrapent les bretelles et font glisser le précieux sous-vêtement. Le spectacle qui s’offre à mes yeux, une fois qu’il a disparu, est grandiose. Des seins magnifiques, fermes et pourtant d’une taille plus que raisonnables, ornent superbement son corps.
Alors que je me suis arrêté un instant de l’embrasser pour les contempler, elle baisse la tête. Une sorte de pudeur, mêlée de satisfaction. Un plaisir grandissant fait battre son cœur à un rythme effréné et son souffle devient court. Mon plaisir est également intense. Ma queue en érection me fait mal. Trop serrée, elle ne demande qu’à se libérer de l’étroitesse de sa prison. Je prends ma tendre moitié dans mes bras, et la dépose avec une infinie précaution sur les draps.
Telle une strip-teaseuse, elle dégrafe sa jupe et l’enlève, découvrant ce que j’espérais, un superbe porte-jarretelles, assorti à un adorable tanga. Tout en ne perdant rien du spectacle, j’enlève mon pantalon, ne gardant encore que mon caleçon, qui déformé, semble bien dérisoire. Elle a terminé son effeuillage et ma laisse désormais admirer ses longues jambes, gainées de noir, minces et musclées.
Calmement, je prends alors l’initiative. Je remonte mes mains à l’extérieur de ses jambes, jusqu’au bassin. Je masse son ventre, j’ose m’immiscer un instant vers son entrecuisse, ce qui lui fait émettre un petit gémissement de satisfaction. Je tapisse ensuite son ventre de mes baisers. Assortie à feu son soutien-gorge et à son porte-jarretelles, sa culotte – un tanga assez échancré – protège encore sa beauté naturelle. Le respect que je lui porte m’aide tant bien que mal à repousser cette pulsion animale de la prendre brutalement, pour la baiser comme une bête sauvage. Je ne veux pas faire preuve de goujaterie en lui enlevant violemment ce bout de tissu. Elle attend sans nul doute de moi que je fasse preuve d’imagination pour lui ôter ce dernier obstacle à sa « pudeur ».
Il me vient l’idée de prendre un cube de glace du seau à champagne, posé sur la table de nuit. Je le fais glisser sur tout son corps, lui arrachant des frissons. Son visage, son cou, ses seins pointant vers le ciel, il fond de plus en plus rapidement et est quasiment réduit à l’état liquide à la hauteur de son nombril. L’eau froide continuait à ruisseler vers son triangle, s’engouffrant sous sa culotte en l’humidifiant sur son passage. Je viens alors au-dessus d’elle, une jambe de part et d’autre de son corps, et je me mets à lécher le liquide dispersé. Cette situation l’amuse visiblement autant qu’elle la réjouit au moment où, descendu vers le bas de son ventre, je glisse ma langue légèrement sous sa petite culotte, pour y chercher les dernières gouttes. Ses mains, posées sur mon dos, se serrent, ses ongles me griffent doucement.
La situation est à mon avantage. Doucement, mes dents commencent à tirer délicatement sa petite culotte. J’aide le mouvement de mes mains, pour ne pas l’abîmer. Elle glisse et remonte lentement le long de ses jambes. Elle place ses bras derrière sa tête, légèrement penchée sur le côté. Elle s’étire et replie une jambe. Mon sang ne fait qu’un tour : elle s’offre intimement à moi, à mon regard. Son pubis sans être rasé est largement dégagé et soigneusement entretenu. Il est recouvert d’une fine toison d’or. Entraînée dans le feu de l’action, elle écarte les cuisses, ses lèvres sont visibles, s’offrant à moi, sans aucune réserve. J’ai atteint à la simple vue de son corps, un niveau de plaisir que je n’avais que rarement obtenu que ce soit avec des partenaires antérieures ou par la masturbation depuis mon adolescence. Je n’en peux plus, mon souffle est court.
Consciente de mon état d’excitation, elle se redresse, porte ses mains vers mon caleçon et, sans aucune gêne, me soulage en l’enlevant. Elle ouvre des yeux écarquillés sur la taille de mon sexe qu’une puissante érection démultiplie. Elle le prend un instant en main, pour le dégager. Je sens mes testicules s’agiter, proche déjà de l’éjaculation. Il faut que je me maîtrise, impérativement. Me rassurant d’un baiser pour la suite des événements, elle se rallonge sur les draps, son visage angélique au milieu de ses cheveux blonds, les jambes à nouveau ouvertes, dominée, impatiente de connaître le déroulement de l’acte tant attendu et espéré.
Autant mon désir de la pénétrer est intense, autant la crainte d’éjaculer lors des premiers mouvements me freine, tout comme l’envie de profiter de ces moments magiques de découverte. Je prends alors ses pieds dans mes mains. En les soulevant, je commence par lui sucer les orteils, je poursuis d’une lente mais sûre remontée vers l’entrejambe. Je suis en transe au contact de sa peau tantôt sucrée, tantôt salée. J’en arrive finalement à plonger tête première vers l’objet de toutes mes convoitises. Alors qu’elle ouvre les cuisses davantage, mes doigts écartent prudemment ses lèvres. J’y passe ma langue, en tentant de l’amener le plus loin possible, découvrant au passage le goût jusqu’alors inconnu de la cyprine abondante qui s’échappe de son minou. Puis, je fais aller ma langue de haut en bas, titillant le clito pour venir ensuite suivre ses lèvres, avant de replonger à l’intérieur de sa chatte. Je finis par y glisser mon majeur, lui imprimant avec douceur un incessant va-et-vient Dans le même temps, je pose résolument ma bouche sur son clitoris. Au fur et à mesure, je lui donne alternativement de vigoureux coups de langue pour le stimuler ou je le titille du bout de la langue. Je le sens se durcir et prendre du volume dans ma bouche.
Je pensais que ces habiles manœuvres ne provoqueraient en elle qu’une ébauche de plaisir, un aperçu de ce que nous allions nous donner. Mais les yeux clos par un intense plaisir, qu’elle me communique de ses cris suppliants, son corps se cambre, son bassin vient au-devant de mon majeur. J’augmente le rythme, profite d’un court instant de calme apparent pour y glisser l’index puis l’annulaire. Tous trois vont et viennent dans ce passage étonnement lubrifié. Ma langue, elle aussi, augmente la cadence. Je vois ses mains qui caressent frénétiquement ses seins. Soudain, elle lâche un cri qui me fait sursauter, concluant de ce râle qu’elle n’a su ou pu retenir le premier orgasme de la soirée. Sa première jouissance m’a mis à bout, d’autant plus que j’en étais le fier auteur. Ma queue me donne l’impression d’imploser.
Pendant quelques minutes, elle a repris ses esprits, pendant que je lui prodiguais un massage du dos. Puis d’un coup, toujours excitée comme une puce, d’une sèche pression sur le sternum, elle me bouscule vers l’arrière,. Je me retrouve allongé sur le dos, les jambes légèrement ouvertes, disposées de chaque côté d’elle. Alix est à genoux face à ma queue toujours en érection. Ses longs cheveux blonds glissent sur mon corps, on dirait que ma peau est comme nue sous une pluie fine. Cette position est celle dont j’avais rêvé à maintes reprises, mais je la craignais terriblement à cet instant. Mon angoisse se confirme rapidement, elle se saisit de mes testicules que je se sens remués sous sa langue, puis dans sa bouche, la sensation est délicieuse. Sans interruption, elle pose la main sur mon pénis qu’elle tient fermement à sa base, puis dirige ses lèvres vers mon gland, décidée à m’administrer une fellation, témoin de son amour. À peine a-t-elle posé les lèvres sur ma queue, que je sens une nouvelle vague de plaisir m’envahir. Elle le lèche tout d’abord comme une crème glacée, délicieusement, puis subitement l’enfouit en bouche. Elle commence à descendre. Ma queue disparaît doucement dans sa gorge chaude et humide. Je profite de l’agréable sensation de chaleur qui va-et-vient. Je ne suis plus maître de la situation, elle est vraisemblablement déterminée à me faire jouir une première fois sans recourir non plus à la pénétration. Une sorte de revanche sur l’orgasme que je viens de lui donner.
Cette fois, je sens venir le feu d’artifice, après seulement quelques minutes, je la préviens en hâte que je ne pourrais plus ternir bien longtemps. Cet avertissement ne suscite aucune réaction de retrait et au contraire, elle enfonce plus loin encore mon gland dans sa gorge. Une première saccade de sperme s’échappe à une vitesse inouïe de ma queue, me soutirant un cri libérateur, suivi de quelques autres qui me semblent plus abondantes que jamais. J’ai tout de même du mal à me rendre compte de la situation. Mais elle me sourit et entrouvre sa bouche pour laisser couler un peu de mon sperme. Il glisse le loin de son menton, dégouline le long de son cou pour rejoindre ses seins. Ensuite, dans un sourire appuyé, elle déglutit pour avaler ma semence. Je n’en espérais pas tant. Je n’en crois que difficilement mes yeux : la fille que je n’osais il y a encore peu de temps, qu’à peine toucher, venait de m’extraire mon foutre pour l’avaler devant moi.
Nous nous sommes lovés l’un contre l’autre, moi tout contre son dos. Nos doigts entrelacés, nous avons sombré dans un demi-sommeil réparateur. Le repos des guerriers est resté de courte durée, et bientôt je sens son bassin qui se livre à quelques va-et-vient, presque imperceptibles. Ils sont suffisants toutefois pour rallumer le feu qui couvait dans mon bas ventre. Alors que ces mouvements s’amplifient, ma queue reprend toute sa vigueur. Elle s’éloigne de moi juste pour se rallonger sur le dos. Elle écarte ses cuisses et ma main descend vers sa chatte, comme attirée par un aimant. Mes doigts reprennent possession de son minou. Je pose mon majeur sur son clito et doucement, je commence à l’agacer. Il le sens qui gonfle et qui sort de sa gangue. Son souffle s’accélère et je la vois qui se mord la lèvre. Sa main vient alors rejoindre la mienne pour me guider, m’apprendre son plaisir. Je décide alors de l’abandonner en lui glissant à l’oreille : « Touches-toi !». Moi je me redresse, et m’appuyant contre la paroi qui sert de pied de lit, je la regarde. Mes cuisses sont écartées et tandis que ses mains prennent possession de sa chatte, je branle doucement ma queue tendue. La vision de cette fille alanguie, abandonnée au plaisir pur du sexe m’excite au plus haut point. C’est alors qu’à son tour elle se redresse, s’adosse comme moi à la tête de lit. Tout cela se passe sans un mot. Mais l’un comme l’autre, nous nous sommes compris. Elle veut me voir me masturber en se donnant elle-même du plaisir. Elle ne quitte pas mon sexe des yeux, tandis que moi c’est tout son corps que je regarde. Mon plaisir monte tranquillement, tout comme le sien. De sa chatte détrempée s’échappe le bruit de ses doigts qui la fouille. Mon gland violet est tout humide également. Nous nous masturbons comme ca pendant de longues minutes. Alix alterne de sa chatte à son clito sans oublier ses seins. Moi je branle doucement ma queue et titillant de temps en temps mes couilles. Au fur et à mesure, l’excitation monte et c’est sans complexe que je laisse filer un doigt jusqu’à mon anus, pour me prodiguer une caresse à laquelle m’a initié une ancienne conquête. Pendant cette seconde, j’ai oublié Alix et je suis vraiment isolé, à la recherche de mon seul plaisir. Mais très vite, je remarque que son regard a changé. Ses yeux se sont allumés à mesure que mon doigt disparaissait dans mon cul. C’est à ce moment-là que tout à basculé. D’un regard lubrique, elle m’a hypnotisé. Je ne peux détacher mes yeux de son majeur qui est en train de quitter sa bouche, luisant de salive. Il descend le long de ses seins, de son ventre, laissant une trace visible. Ses jambes sont plus ouvertes que jamais. J’ai une vue imprenable sur sa chatte mais aussi sur son anus que je vois distinctement palpiter. Elle introduit un court instant son doigt dans sa chatte, pour le lubrifier encore plus. Elle poursuit sa descente infernale. Son doigt se présente alors sur son petit trou qui, sans aucun effort, s’ouvre sous la légère pression. Après quelques instants de ce spectacle d’un érotisme torride, où l’un comme l’autre nous nous doigtions le cul, elle a ressorti son doigt et s’est approché de moi. S’allongeant sur le dos, elle m’a attiré pour un 69. Elle a immédiatement pris ma queue dans la bouche et j’ai senti son doigt se poser sur mon petit trou. Quelques secondes après, elle faisait aller et venir deux doigts dans mon cul en m’aspirant la queue. Je décide de ne pas rester inactif et rapidement, je lui inflige le même traitement. Je prends son clito entre mes lèvres tandis que je fourre deux doigts dans son cul et deux dans sa chatte. Ces pénétrations mutuelles et simultanées nous amènent très rapidement au point de non retour. Je remplis une fois de plus sa bouche de mon sperme tandis que de sa chatte coule d’abondantes giclées de mouille que je m’applique à boire consciencieusement.
Je suis exténué, mais pas rassasié. Tout comme elle, qui me sourit, autant pour me remercier que pour me signifier que nous sommes à égalité. Nous ne nous étions toujours pas livré l’un à l’autre, certes, mais la nuit était loin d’être finie.