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n° 09037Fiche technique6565 caractères6565
Temps de lecture estimé : 5 mn
07/05/05
Résumé:  Une jeune femme découvre les plaisirs de la peinture
Critères:  fh voisins hépilé fépilée douche fellation cunnilingu pénétratio ecriv_f
Auteur : Aleksa  (Jf 24 ans qui fantasme beaucoup)
Un après-midi de peinture


Il a fait chaud cet après-midi mais malgré cette agréable température, j’ai décidé de repeindre ma cuisine. La tâche est longue mais en début de soirée, j’ai fini. Je suis relativement fière de mon travail.


Je finis de nettoyer le matériel quand la sonnerie de la porte retentit. C’est toi, mon nouveau voisin. On s’est rencontré la veille dans le hall de ce vieil immeuble. Tu étais au milieu du palier, avec un nombre important de cartons et j’arrivais les bras chargés. Y a pas à dire, mais il faut énormément de matériel pour peindre.


Tu engageas la conversation sur mon prochain ouvrage. Je te révélais que j’étais novice en la matière et tu me donnas quelques conseils. Pour te remercier, je n’eus pas de mal à t’inviter à prendre l’apéro quand tu serais disponible. Il te suffirait de regarder si ma voiture, une Volkswagen jaune datant d’un autre temps, est sur le parking.

Mes motifs de cette invitation n’étaient pas seulement désintéressés. Tu es plutôt sympa et charmant.


Tu es donc là sur le pas de la porte, me demandant si l’invitation tient toujours. Je te réponds par l’affirmative et t’installe dans le salon.

Nous sommes en train de discuter lorsque je remarque ton manège. Tu n’arrêtes pas de me regarder. Ça devient tellement gênant que je te demande des explications. Tu me réponds que tu n’avais jamais pris un verre avec une femme pleine de peinture. D’habitude, elles sont maquillées et portent des tenues plus habillées.

Je me regarde, éclate de rire et t’annonce que je vais te laisser quelques instants afin de me doucher.

Je quitte la pièce en te disant de faire comme chez toi.



Je suis à présent en dessous noirs lorsque j’entends tes pas se diriger vers la salle de bain.

Tu entres, ton sourire est ravageur et bafouilles que tu fais comme chez toi.

Tes mains sont à présent sur mes hanches. Nos lèvres se cherchent, se refusent, se trouvent délicatement. Lors d’un second baiser, ta langue s’insinue dans ma bouche pendant que tes mains se promènent sur ma peau. Tu t’écartes, retires ton tee-shirt, ton pantalon.


Nous sommes en sous-vêtements et nos organes montrent notre excitation. En effet, on peut deviner deux seins et un phallus dur de plaisir. Tu m’enlaces à nouveau, tes mains se font plus hardies, je me laisse faire. Mes dessous atterrissent rapidement sur le sol découvrant un pubis épilé. Tu ôtes ton boxer.


Je t’attire dans la grande cabine de douche. Tu fermes la porte, tandis que j’allume l’eau tiède qui vient vite s’échouer sur nos peaux.

Je te fais face, tu saisis une éponge, le gel douche et entreprends de retirer l’excédent de peinture.

Tu commences par mon visage. Tes caresses sont délicates, tes lèvres déposent de doux baisers sur mon front, mes pommettes, mon menton au même rythme que ta main frotte ma peau.

Tu continues ton petit manège sur mes épaules, en fait le tour, descends le long de ma colonne vertébrale puis reviens frotter mes seins. Tu leur fais l’amour. C’est prometteur pour la suite.

L’eau rince au fur et à mesure mon corps. Tu es à présent devant mon sexe épilé, l’évite, prends une de mes jambes, la dépose sur ton genou, frotte assidûment encore et encore ma jambe. Tu fais pareil avec l’autre jambe puis reviens sur ma chatte.


Tu lâches l’éponge, poses tes mains sur mes fesses et entames de me bouffer. Je me sens bien, ta langue écarte mes grandes lèvres et vient jouer avec mon clito. Ma mouille se mélange à l’eau.


Je recule, tu te relèves et j’entame les mêmes soins sur ton corps musclé. Ma langue s’égare sur tes tétons pendant que tu malaxes mon sein durci par l’excitation. Je sens en bas de mon ventre ton pénis épilé. J’ai envie de le sucer. À genoux entre tes cuisses, je dépose des baisers, fais glisser ma langue sur ton frein, décalotte ton phallus et le branle d’une main alors que l’autre joue avec tes testicules. Ton membre continue de se tendre. Tu gémis, ton fluide s’échappe une première fois. Je happe goulûment ta tige afin que tu jouisses dans le fond de ma gorge. Ta peau est douce entre mes lèvres, le long de ma langue.

C’est bon, ta queue devenue molle ! Je viens réclamer tes lèvres.


Nos mains continuent de se découvrir, tu murmures que tu veux m’entendre jouir. Ton sexe ne tarde pas à reprendre vigueur. Tu me caresses le ventre avec, puis le présente à mon puits d’amour. Ton gland part en explorateur, ressort, rentre à nouveau en entraînant le reste de ta queue. Tu entames un doux va-et-vient, je sens tes boules cogner sur ma chatte. Tu accélères le mouvement. J’aime ce que tu me fais et l’exprime par des petits cris.

Tu te retires, me retourne et reviens dans l’antre humide de mon anatomie. Tu me limes de plus en plus vite. Les parois de mon vagin serrent ta verge. Je suis toute chose, je crie, je hurle, je veux que tu continues.

Tu me prends depuis de longues minutes, quand enfin je jouis. Un orgasme secoue mon corps.


Repus de notre jeu aquatique, nous allons nous échouer sur le lit où après un court moment de repos, mes mains viennent à nouveau caresser ton torse. Mes lèvres se joignent à elles. Ta verge est de nouveau au garde à vous. Je m’empale dessus et te lèche les pieds. Tes doigts cherchent le chemin de mon anus. Tu joues avec mon petit trou, y mets un doigt, puis deux. Je me retire, vais vers la commode et en sort un god aussi gros que ton sexe. Je veux que tu me prennes par les deux orifices.

A quatre pattes sur le lit, tu es derrière moi et tu recommences à jouer avec ma rondelle. Tu prends le god, le mets dans ta bouche pour le lubrifier de ta salive. Tu te présentes dans mon vagin, pendant que tu fais la même chose avec le god auprès de mon anus.


Les deux phallus en place, tu actionnes le moteur de l’objet et entames de me défoncer. Les tiges s’entrechoquent le long de ma mince paroi. Je hurle, le plaisir secoue mon corps entier, je jouis. Tu retires le godemiché, continue avec un doigt dans l’anus pour enfin y mettre ton puissant sexe. Tu me limes le trou du cul. Tu émets des petits soupirs qui se mêlent aux miens.


Jamais un homme ne m’avait pris par tous les orifices en une soirée. J’espère qu’on recommencera. Bientôt peut-être.