Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 09042Fiche technique11913 caractères11913
Temps de lecture estimé : 9 mn
08/05/05
Résumé:  Arnaud, malade, est confié aux bons soins de sa cuisinière
Critères:  fh fplusag jeunes soubrette fellation cunnilingu 69
Auteur : Arnaud  (JH de 22 ans)      

Concours : Concours "Les préliminaires"
Amours ancillaires


Je m’appelle Arnaud. Je suis né il y a vingt deux ans dans une famille bourgeoise, où je n’ai jamais manqué de rien, sinon de l’affection de mes parents qui préféraient me confier aux bons soins d’une batterie de domestiques plutôt que de s’occuper eux-mêmes de mon éducation et de mon bien être.

Il y a trois ans de cela, nous devions partir, comme tous les étés, dans notre villa de Cabourg, lorsque je tombai malade. Une forte fièvre, brutalement apparue, me provoqua trois jours de divagations. Mes parents prirent la décision de partir tout de même. Je restais à Paris, juste surveillé par Françoise, notre cuisinière qui, pour l’occasion, devint également femme de ménage et garde malade. Pour accomplir toutes ces taches, elle vint s’installer à demeure, délaissant de fait son mari et ses enfants.

J’étais faible, tenant à peine sur mes jambes. Tous les jours, elle m’aidait dans mes moindres mouvements, m’accompagnant aux toilettes, me déshabillant, m’essuyant et me rhabillant. La situation était gênante. Heureusement, elle avait l’âge d’être ma mère et je n’étais pas porté sur les femmes mûres. Dans le cas contraire j’eus été plus qu’ennuyé quand, chaque jour, elle m’aidait à me laver. Avoir une érection sous les caresses de son gant de toilette m’aurait mis dans une gêne indescriptible. J’étais, par ailleurs, bien conscient que ma fébrilité rendait la chose plus que difficile.


L’après-midi du deuxième jour, on sonna à la porte. Françoise alla ouvrir. La porte de ma chambre légèrement entrouverte, je pus entendre quelques bribes de conversation.



J’avais envie d’aller aux toilettes. J’appelais Françoise pour qu’elle vienne m’aider. Elle accourut, me prit par le bras et me fit traverser le couloir. Elle attendit à la porte que je finisse. Sa fille vint la rejoindre. Sa voix était douce.



Je toussais pour signifier à Françoise que j’avais terminé. Elle vint m’aider à remonter mon bas de pyjama. Lorsqu’elle ouvrit la porte pour me ramener à ma chambre, je tombais nez à nez avec la demoiselle dont je ne connaissais, jusque là, que la voix. Elle était très jolie, sans être comme mes copines de fac, sophistiquée et préparée pour ressembler à une photo de magazine. Ses cheveux bruns au carré encadraient un visage aux traits fins d’où ressortaient un regard bleu perçant et deux lèvres charnues. Elle avait de jolies rondeurs qui donnaient à ses hanches et à sa taille des formes attrayantes. Elle portait un débardeur beige, dont le col en V montrait la naissance de sa poitrine et une peau qui semblait d’une douceur soyeuse. Mon regard fut captivé par ce décolleté. Françoise, placée derrière moi, ne s’en aperçut pas. Elle nous présenta. Sa fille se prénommait Audrey. Je bafouillais quelque chose comme « enchanté », et m’apprêtais à rejoindre ma chambre quand le téléphone sonna.



Il ne manquait plus que ça…



Audrey m’entoura de son bras, et je crois que je me sentis encore plus fébrile que d’ordinaire. Elle m’aida à m’asseoir sur mon lit, souleva les draps et me fit m’allonger. Elle caressa ma joue, comme pour vérifier ma fièvre. Sa main était plus douce encore que je l’avais imaginé et son poignet sentait bon. Françoise entra dans la chambre.



Nous nous retrouvâmes donc seuls, Audrey et moi. Elle se tenait toujours assise sur le bord de mon lit. Je ne pouvais détacher mon regard de son visage. Elle aussi me regardait, silencieusement. Puis elle se pencha et embrassa ma joue, longuement. Je lui souris et murmurais :



Je ne comprenais rien. Sans doute à cause de la fièvre. Elle se pencha et murmura à mon oreille :



Ce n’est qu’à ce moment-là que je m’aperçus qu’en effet mon sexe était dur comme de la pierre. Comme j’en prenais conscience, il me sembla presque douloureux. J’étais gêné, honteux… J’essayais de bafouiller une excuse, mais elle posa son index sur mes lèvres. Je me tus et fermais les yeux. Très lentement, elle fit glisser son doigt le long de mon menton, puis de mon cou. Sa main entra sous mon haut de pyjama et caressa délicatement mon sein. J’ouvris les yeux. Elle me regardait toujours. Se penchant, elle m’embrassa les lèvres. Sa douceur était incroyable. Sa langue caressait la mienne comme ses doigts frôlaient mon torse.

Elle se redressa, repoussa les draps sur le côté et défit, un à un, les boutons de mon pyjama. Mon torse et mon ventre étaient mis à nu, imberbes et sensibles. Elle s’assit sur mes genoux, me faisant face. De ses mains, elle parcourait ma peau. La fièvre et ses caresses me donnaient une chaire de poule à la fois insupportable et délicieuse. Je regardais ses yeux, ses lèvres, son décolleté. Je ne pouvais pas bouger, mais je me délectais de tout ce que je voyais et des sensations qu’elle me procurait. Ses yeux dans les miens, elle enleva son haut. Mon souffle s’accélérait. Sa poitrine était merveilleuse. Ronde et ferme, sans être lourde. Elle prit ma main et la posa sur son sein. On eut dit qu’ils s’épousaient parfaitement. Elle me souriait. Je me sentais pataud. J’étais incapable de faire quoique ce soit. Elle s’allongea sur moi et m’embrassa de nouveau. Sa poitrine se coucha sur mon torse, m’arrachant des frissons de plaisir. Je haletais.



Elle reprit son baiser et commença à glisser le long de mon corps. Sa bouche embrassait mon cou, mes épaules. Sa langue sortait parfois, pour laper un morceau de ma peau. Je sentais ses seins ronds sur mon ventre frémissant tandis que le sien s’appuyait contre mon sexe. Sa langue lécha mes tétons qui durcirent sous cette fraîche caresse. Ses mains tenaient mes hanches et ne bougeaient pas. Je les sentais, à mi-chemin entre mon sexe et mon ventre. Mon excitation se faisait plus forte encore. Elle reprit sa descente. Sa langue léchait maintenant tout ce qu’elle pouvait. Mon ventre lui était entièrement offert, et il semblait qu’elle ne voulait en rien perdre. Ses mains encadraient toujours mes hanches et ses seins, maintenant, voisinaient avec ma verge durcie.

Son regard dans le mien, elle souriait. Je n’en pouvais plus. Mon sexe était au bord de l’explosion. Moi, toujours passif, je voulais faire quelque chose. Lui rendre un minimum de ses caresses. Mais j’étais faible. J’avançais avec effort ma main sur son épaule que je caressais, puis vers ses cheveux, dans lesquels j’enfonçais mes doigts. Elle prit cela pour une invitation à poursuivre plus bas ses baisers. Ses mains saisirent alors l’élastique de mon pyjama et le firent glisser. Mon sexe se libéra et pointa vers le ciel. Elle se redressa, assise sur mes genoux, et caressa mes testicules du bout de ses doigts. Puis, d’une main, elle saisit mon membre qu’elle commença à branler, de haut en bas, à la base de la verge. De l’autre main, elle entama le même va-et-vient au niveau du gland. Son regard pénétrait toujours le mien. Elle lécha ses lèvres et se pencha. Elle embrassa mon ventre. Puis, humidifiant de nouveau sa bouche pulpeuse, l’approcha de mon sexe prêt à éclater.

C’est à ce moment-là que l’on entendit un bruit de clé dans la serrure. Audrey se dressa d’un bond et rabattit le drap sur moi. Puis elle enfila son débardeur et sortit de ma chambre. Quelques instants plus tard, elle quittait l’appartement, non sans être venu me glisser à l’oreille un « à bientôt » plein de promesses. Une dernière fois, sa main glissa le long de mon membre.


La frustration était insupportable. Je fermais les yeux et, rassemblant mes forces, commençais à me masturber. Je revoyais les seins d’Audrey, son regard, ses hanches. J’entendis un petit cri. J’ouvris les yeux et m’aperçus que Françoise était là, debout devant moi avec un bol de soupe à la main. Ses yeux sur mon sexe bandé elle semblait interloquée. Je rabattis le drap sur moi. J’étais rouge de confusion et de fièvre. Françoise bafouilla :



Je ne savais que répondre. Je la regardais, presque avec peur. Elle déposa le bol de soupe sur la table de nuit et s’apprêtait à sortir de la chambre quand elle se retourna vers moi.



J’étais incapable de dire un mot, mais mon regard était éloquent.



J’osais un signe de tête.



Elle éteignit la lumière. Les volets étant fermés, la pièce fut plongée dans une obscurité profonde. Soudain, je sentis le matelas s’enfoncer à côté de moi. Les draps furent rejetés sur le côté. Une main saisit mon sexe et commença à le branler. Je me doutais que c’était Françoise mais, dans l’obscurité, c’est Audrey que je voyais. Et peu à peu, la fièvre aidant, je ne savais plus qui de la mère ou de la fille était en train de s’occuper de moi.

Deux lèvres humides se posèrent sur mon gland. Puis une langue en lécha l’extrémité. Les lèvres se refermèrent, emprisonnant mon membre. La langue parcourait la partie immergée de ma verge. La bouche avalait lentement mon sexe, dévorant millimètre par millimètre, jusqu’à ce qu’il fût tout entier à l’intérieur. Une main malaxait mes testicules tandis qu’une autre caressait mon ventre. Mon souffle était de plus en plus rapide. Ma main rencontra un genou et glissa le long de la cuisse. Plus ma main avançait et plus elle rencontrait une peau chaude et moite. Puis les cuisses s’écartèrent et ma main rencontra un sexe. Ma paume se posa tout contre et s’inonda d’une eau chaude et épaisse. La bouche abandonna mon sexe et ma maîtresse se leva. Je croyais de nouveau être abandonné. Mais je sentis bientôt un corps de femme, tout entier, s’allonger sur le mien. J’avais désormais contre mon nez, le sexe que touchait ma main quelques instants plus tôt. La bouche reprit mon sexe entre ses lèvres et entama un va-et-vient rapide et ferme.

Mes mains empoignèrent les cuisses de part et d’autre de mon visage et ma bouche vint se coller au sexe de mon amante. Ma langue happait toute l’humidité qui s’échappait de ce sexe offert, comme pour l’assécher. Le bassin au-dessus de ma tête ondulait au rythme du mien. Je sentais ma verge heurter régulièrement le fond d’une gorge, tandis que mes mains désormais tenaient fermement deux fesses rondes.

Je n’eus pas le temps de me rendre compte de quoi que ce soit, encore moins de prévenir. Mon corps se raidit dans un spasme et mon plaisir éclata. Je tombais immédiatement dans une inconscience brutale. Lorsque je m’éveillais, le lendemain, il n’y avait aucune trace de quoi que ce soit. Mon pyjama semblait frais repassé, boutonné jusqu’au cou. Mes draps étaient bordés. Même le regard de Françoise ne laissait rien supposer. Etait-il possible qu’il ne se soit rien passé ? Que j’aie rêvé tout cela ? Que mes fièvres soient responsables de cet émoi sensationnel ?


Aujourd’hui encore le doute m’envahirait, si je n’avais vu, en tournant mon regard, un bol de soupe froide sur ma table de nuit.