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Temps de lecture estimé : 23 mn
08/05/05
Résumé:  Un mari et sa femme dans un palace.
Critères:  2couples fbi couplus inconnu hotel fsoumise facial fellation cunnilingu anulingus fgode pénétratio sandwich fdanus fsodo
Auteur : Georges Masserau            Envoi mini-message
Nuit Noire




.. Cela faisait douze ans qu’ils faisaient l’amour ensemble et il s’était épanché un nombre incalculable de fois dans sa chatte, sur son visage, dans sa bouche et au plus profond de ses reins. Il connaissait tous les recoins de son corps, tous les endroits. Il connaissait toutes les attitudes qu’elle prenait avant et pendant la jouissance. Il connaissait les mots qui la faisaient mouiller et ceux qui la faisaient jouir.

Elle en savait autant de lui et de son corps. Elle l’avait sucé et branlé des milliers de fois. Elle s’était empalé sur sa queue jusqu’à la racine en le pompant très fort avec ses muscles internes et en laissant couler sa jouissance le long de ses couilles…

Mais ce soir c’était différent :

Elle était allongée en croix dans le grand lit de cette chambre de palace avec les yeux bandés et les mains attachées par des foulards en soie aux montants du lit. C’était la première fois qu’elle subissait une telle expérience et se demandait encore si elle appréciait ou non.


… C’est son mari qui avait eu l’idée de ce week-end en amoureux dans un palace. Ils avaient dîné un peu plus tôt au restaurant gastronomique de l’hôtel dans une atmosphère feutrée. Les plats étaient excellents et le vin délicieux. Pendant la conversation avec son mari elle avait remarqué un couple jeune assis à quelques tables d’eux. Elle les avait trouvés beaux et bien assortis. Il était grand et brun, elle était blonde aux yeux verts.

Visiblement elle leur plaisait aussi, car l’homme et la femme n’avaient pas cessé de la regarder pendant tout le repas en lui souriant. Ils avaient même levé leurs flûtes de champagne pour trinquer à sa santé…

Elle les imagina fugacement en train de faire l’amour tous les deux…


Le repas avait été joyeux et bien arrosé. Elle portait les sous-vêtements qu’il lui avait offert pour la circonstance : un soutien-gorge pigeonnant qui lui moulait avantageusement les seins et un string en dentelle bleu marine bordé d’un liseré blanc, au travers duquel on devinait son sexe qu’elle avait presque rasé ce matin, à l’exception d’un petit triangle de toison très courte et bien délimitée, en prévision de cette soirée. Il aimait que son sexe soit presque lisse. Une paire de bas couleur chair sans attaches venait compléter la parure.


Ils s’étaient embrassés langoureusement dans l’ascenseur, et elle avait pu sentir son excitation naissante en frottant son mont de vénus contre son sexe. Une fois dans leur chambre, ils avaient discuté allongés un moment de choses et d’autres, tout habillés sur le lit en flirtant et buvant du champagne qui les avaient attendus jusque là sur une table basse, dans un seau rempli de glace …

Il lui avait demandé en souriant ce qu’elle pensait de ce couple au restaurant qui avait passé la soirée à la regarder et à échanger des commentaires qu’elle n’entendait pas, mais qui devait la concerner.



Elle réfléchit un moment avant de répondre.

L’idée est effectivement très excitante… Mais tu me connais, dit-elle en riant, cela ne dépasse pas le stade du fantasme. Mais…



Comme, l’air de rien, cette discussion l’excitait, elle avait massé le sexe de son mari du bout des ongles à travers le pantalon, pendant qu’il lui caressait très doucement le bout d’un sein. Puis, l’air de rien, et toujours en discutant de choses frivoles, elle avait baissé sa braguette et libéré sa queue qui ne demandait que ça. Après l’avoir contemplé un moment tout en lui donnant vie d’une main habile, elle avait gobé son sexe en même temps qu’une gorgée de champagne frappé. L’impression de chaud et froid, le fit presque gémir et gonfler instantanément dans sa gorge.

« Elle adorait le faire bander dans sa bouche… »

Elle en profita pour humecter abondamment la colonne de chair d’un mélange de champagne et de salive, avant de la faire coulisser lentement entre ses lèvres… Il eut un spasme dans sa bouche et sa queue augmenta encore de volume.


Elle le travailla un moment à petits coups, de la tête et des lèvres.

… Elle aimait sucer sa queue !


En remuant sa langue doucement autour de son gland, elle se rappelait qu’au début de leur rencontre, elle avait eu un peu de mal à le faire exploser entre ses lèvres : il avait du mal à se lâcher ou alors elle ne s’y prenait pas tout à fait comme il le fallait ! (Elle se rappelait notamment d’un retour d’une soirée chez des amis où elle l’avait sucé à fond pendant un trajet de plus de 50 minutes sans ménager sa peine, mais sans réussir à le faire jouir… Elle en avait eu des crampes à la mâchoire, pendant des jours… sans parler du fait, qu’à peine rentrés chez eux, il avait explosé dans sa chatte bouillante après seulement deux aller-retours… Elle était enfin venue à bout de lui, quelques jours plus tard, en faisant jaillir dans sa bouche et sur ses lèvres un torrent de sperme. Elle l’avait avalé jusqu’à la dernière goutte. Depuis elle l’avait fait venir ainsi des centaines de fois… et indiscutablement, c’était la caresse qu’il préférait recevoir d’elle.


C’est après qu’elle l’eut sucé un moment, qu’il lui avait demandé cette fantaisie…

Après tout, pourquoi pas…


Gardant juste ses sous-vêtements et son collier de perles, elle s’était laissé faire, un peu intriguée et excitée à la fois…

Il lui avait d’abord mis un masque sur les yeux en l’embrassant doucement. Puis il lui avait lié les mains aux montants du lit en effleurant ses épaules. Elle avait eu des frissons et une boule délicieuse s’était formée dans son estomac.


Il l’avait abandonnée quelques instants à sa pénombre pour mettre de la musique. Elle ne l’avait pas entendu revenir s’allonger à côté d’elle. Il l’avait embrassée en lui laissant couler un filet de champagne de la bouche et elle aima cette sensation de fraîcheur que lui laissait le liquide pétillant au fond de la gorge. Elle mélangea sa langue à la sienne sans pouvoir bouger.

Comme souvent, il lui avait demandé à l’oreille d’écarter les cuisses comme quand il allait la prendre, et il l’avait aidée avec les mains posées à l’intérieur tout près de son sexe… « Ouvre ta chatte, comme si on allait te prendre tout de suite ! Offre tous tes orifices ! »

Elle sentit ses doigts se poser tout doucement le long de son sexe au travers du tissu de son string, une caresse très légère, presque impalpable. Son clitoris comprimé par la dentelle se mit à gonfler sous la douce caresse et elle entama un lent mouvement du bassin, comme si une queue s’enfonçait en elle. Sa chatte s’humidifia en quelques instants.

Elle se laissa aller sous la caresse, en gardant les yeux grands ouverts sous le masque.

Il lui dit qu’il allait l’enculer avec sa langue et la sucer, jusqu’à ce qu’elle lui jouisse dans la bouche. Même si cela la choquait parfois, elle aimait qu’il lui dise des choses crues à l’oreille…et elle s’ouvrit encore plus dans l’obscurité en attente de ses caresses.


Elle appréciait mieux la situation, maintenant. Elle avait envie de se laisser faire, et d’ailleurs elle ne pouvait pas faire autrement avec ses mains attachées. Son bassin ondula un peu plus vite et elle se mit à fantasmer sur une queue énorme la pénétrant à fond dans un bruit mouillé. Elle pouvait presque la sentir coulisser entre ses lèvres intimes distendues, avec le gland large heurtant le fond de son vagin et provoquant des spasmes répétés de plaisir.

Sa respiration s’accéléra encore.


Son mari avait écarté son string maintenant, et il passait un doigt mouillé sur les côtés de son sexe. Elle déplaça un peu son bassin pour que sa caresse lui touche le clitoris, mais il lui dit d’attendre ! Elle imagina les lèvres de son sexe qui gonflaient doucement, jusqu’à changer de couleur, passant d’un saumon délicat jusqu’à des nuances pourprées de désir. Elle eut une contraction de plaisir dans tout le ventre et elle ne put empêcher une petite coulée de liqueur visqueuse qui s’échappa de son sexe pour lubrifier doucement le périnée jusqu’à son cul.

Son mari aimait qu’elle soit trempée avant de la lécher…

Il adorait la sucer après qu’elle ait joui violemment, et jusqu’à assécher sa chatte goulûment de tout son jus intime.

Elle savait qu’il allait la lécher bientôt…

Elle était presque prête à être dégustée, toute ouverte qu’elle était, et elle adorait cela !

Il lui demanda d’imaginer une bouche féminine aux lèvres pulpeuse se poser doucement sur son sexe

pour le manger… Une langue habile voletant autour de son clitoris, pendant qu’un doigt fin s’aventure à l’orée de sa chatte, en titillant les terminaisons nerveuses…

L’idée l’excita et elle se mit à écouter son mari parler, en imaginant cette caresse lesbienne qui l’avait toujours excité dans ses fantasmes bien qu’elle n’ait jamais franchi le pas. Elle devait bien le reconnaître, les femmes l’excitaient… C’était son côté androgyne. Mais cela restait au rang du fantasme pur et simple.


Elle sentit qu’il s’éloignait d’elle et elle sut qu’il allait maintenant venir se glisser entre ses cuisses pour la lécher. Il se leva du lit et comme elle s’y attendait, elle sentit quelques secondes plus tard au mouvement du matelas qu’il revenait s’installer entre ses cuisses.

Un souffle chaud tout autour de son sexe confirma la délicieuse sensation à venir.

Les yeux mi-clos sous le bandeau, elle eut un autre spasme et laissa son esprit se concentrer tout au fond de son sexe. Avant même que de lécher son sexe, un bout de langue pointu vint se couler presque aussitôt à l’entrée de ses reins et tout autour du petit cercle de peau plissée de son anus. Ce n’était pas l’attaque habituelle et toute en douceur auquel elle était habituée. Elle en eut presque un sursaut, tant la sensation avait été forte et ne put s’empêcher un mouvement du bassin vers l’avant pour une caresse plus précise. Mais la bouche dans un petit bruit d’aspiration mouillée remonta ensuite le long du périnée en se faisant plus plate pour aspirer le filet de liqueur qui avait coulé d’elle !

Son mari ne la touchait qu’avec sa bouche… Elle aurait voulu attraper sa tête dans ses mains pour le presser contre sa chatte mais ses liens l’en empêchait.

Comme dans un rêve, elle sentit qu’on lui soulevait le bassin pour lui enlever son string.

Quelques secondes plus tard, elle laissa échapper un long gémissement lorsque la bouche s’empara d’elle complètement, perforant sa chatte de petits coups de langues pressés et profonds…

Elle se laissa aller complètement à la caresse en écartant ses cuisses pour s’offrir à sa bouche le plus possible… Elle encouragea même la caresse de la voix :



Elle adorait se laisser aller dans sa bouche de toutes ses forces après s’être retenue un long moment. Mais alors qu’elle se laissait envahir par le plaisir de cette langue qui lui fouillait la chatte, elle eut la sensation qu’il y avait quelque chose de différent dans la caresse… Un côté plus exact dans la recherche du plaisir dispensé, plus féminin.

Pendant quelques secondes elle mit cela sur le compte du fantasme que son mari lui racontait à l’oreille un moment plus tôt, avant de la lécher.. Les cuisses grandes ouvertes, elle se laissa aller encore plus à la redoutable sensation.

Elle fut étonnée de constater qu’à la façon dont il lui mangeait la chatte, elle ne tiendrait pas très longtemps avant qu’un puissant orgasme ne la dévaste… C’était délicieux !

Elle avait l’impression qu’il la travaillait différemment de la langue, plus en profondeur…


C’est au moment où elle allait se laissait emporter par le plaisir, qu’elle réalisa brusquement que ça ne pouvait pas être la bouche de son mari qui était en train de la boire avidement et de lui donner tant de plaisir… Cette langue semblait pouvoir s’enfoncer beaucoup plus profond dans son sexe, aller beaucoup plus loin… Elle enrobait son clitoris dans une délicieuse aspiration humide, puis venait s’enfoncer comme une petite queue forçant les terminaisons nerveuses à l’entrée de son vagin.

Elle tira brusquement sur ses liens pour essayer d’arrêter cette caresse étrangère ou d’enlever son bandeau, mais elle ne put pas s’en détacher.

Si ce n’était pas son mari, à qui appartenait alors cette bouche qui la suçait divinement ?…


Elle faillit s’évanouir de honte à l’idée de se faire sucer par un inconnu… Curieusement, elle sentit que son vagin pour sa part venait de s’inonder brusquement et comme malgré elle, elle se laissa aller encore plus à la caresse orale. Elle était comme tétanisée de honte et de plaisir.

Elle n’eut pas à se poser la question très longtemps. Elle sentit soudain la voix de son mari tout près de son oreille, comme toute à l’heure, sans pour autant qu’on ait cessé de la manger…



Il l’avait donc fait…

Il le lui promettait depuis tellement longtemps, au cours de leurs séances amoureuses à partager des fantasmes ! Mais elle n’avait jamais pensé qu’il passerait aux actes.

Et maintenant elle y était ! Les cuisses grandes ouvertes, totalement offerte malgré elle à la bouche d’un ou d’une inconnue.

Malgré elle?…

Si son cerveau acceptait difficilement l’idée d’être livrée à un inconnu, elle devait reconnaître que son corps en redemandait tant et plus… Dans son subconscient submergé, elle réalisa aussi qu’il ne pouvait s’agir que de la caresse d’une autre femme.

Son mari le lui confirma aussitôt… tout en l’embrassant doucement dans le cou et en la rassurant de ses caresses. Il lui massait les seins doucement en lui parlant, lui demandant d’ouvrir encore plus les cuisses et de laisser cette femme se régaler d’elle.

Elle fut obligée d’admettre que si elle était furieuse contre son mari elle était aussi horriblement excitée par le torride de la situation et ce n’est pas sa chatte dégoulinante qui dirait le contraire.

« D’accord se dit-elle pour elle-même… Il l’aurait voulu. »

Il est trop tard pour revenir en arrière, alors autant en profiter vraiment. Elle se laissa aller complètement et se concentra entièrement sur les sensations que cette bouche lui dispensait et sur son plaisir.

Sans pour autant vouloir créer la moindre intimité avec l’étrangère qui s’occupait d’elle, elle s’adressa à son mari :

« Dis-lui de me sucer plus lentement, qu’elle ne me fasse pas jouir tout de suite… Et toi, viens mettre ta queue dans ma bouche… »

Malgré le bandeau sur ses yeux, et les liens à ses poignets elle voulait quand même avoir son mot à dire sur ce qui allait se passer.

Son mari ne se fit pas prier et elle sentit soudain sa queue bandée se promener contre ses lèvres et sur ses joues, elle adorait la sensation… La femme venait de lui enfoncer un doigt inquisiteur dans la chatte puis un autre et elle s’étouffa presque en avalant la queue jusqu’à la racine… Elle lui enfonçait deux doigts dans la chatte au même rythme que la bite de son mari pénétrait sa bouche…

Une langue pointue s’enfonça en même temps dans ses fesses…

Les joues distendues par le sexe qui fouillait sa bouche d’avant en arrière, elle laissa échapper un long râle de plaisir.

Ce n’était pourtant que le début d’une longue séance.

… Elle entendit son mari raconter à l’inconnue que sa femme adorait la caresse d’un vibromasseur et lui demanda d’utiliser un des jouets qu’elle avait amené avec elle pour la circonstance de ce petit week-end en amoureux…

Quelque part, elle se sentait gênée que leur intimité soit ainsi dévoilée à une inconnue, mais en même temps… Dans sa position, elle pouvait difficilement jouer les offusquées, d’autant plus que cette bouche lui procurait un bien immense.

« Nous allons nous occuper de toi, tous les deux… Tu vas voir !" Dit-il en lui caressant les joues et les lèvres avec sa queue mouillée de sa salive.

Elle eut envie de jouir sur le champ, mais elle réussit à se retenir.

Après lui avoir longuement caressé le sexe avec son petit vibromasseur tout en continuant de la lécher, la femme lui enfonça doucement un autre de ses vibros dans les fesses…

Elle l’avait lubrifié au préalable de quelques allers et retours bien visqueux dans sa chatte.

Une fois que la fine tête ronde eût passé le petit œillet, il s’enfonça dans son cul comme dans du beurre… Envoyant des vibrations très puissantes au plus profond de ses reins, et jusque dans sa chatte.

Elle savait son mari tétanisé par la vision de ce vibromasseur qui lui assouplissait et dilatait tous les muscles. Il voudrait l’enculer tout à l’heure…

Inconsciemment, comme si elle était déjà en train de l’accueillir tout au fond de ses reins, elle laissa ses muscles se relâcher autour du dildo, l’enfonçant encore plus loin dans ses chairs.

« Ahhh… !!»



Elle pouvait sentir les doigts et le dildo se frotter contre l’autre au travers de la fine paroi…

Elle se sentait dégouliner de plaisir…



En fait, elle n’attendait que cela pour se laisser aller…

Elle avait envie de jouir comme une bête et qu’on la baise ensuite. Profondément !

Concentrée sur ce plaisir d’un genre inconnu, elle sentit la vague enfler dans son ventre comme la marée qui monte au galop et soudain il n’y eut plus que cela… le cul totalement dilaté par le dildo, la chatte envahie par les doigts de cette femme, elle jouit bruyamment avec la queue de son mari dans la bouche …

Son sexe explosa littéralement dans la bouche de l’inconnue. Ce fut comme une longue succession de spasmes mouillés. Sa chatte se contractait violemment et sa liqueur coulait comme une fontaine dans la bouche de cette étrangère dont elle ne voyait même pas le visage. Elle s’entendit hurler de plaisir !

La femme retira le dildo au bon moment, lorsque la sensation devient trop forte dans ses fesses.

Elle le voulait en elle maintenant. Violemment.

Elle le lui cria presque, son bassin encore tout secoué de plaisir mouillé. « Mets-moi ta queue dans la chatte gémit-elle. » Tout de suite. Elle aimait qu’on la pénètre juste après un orgasme clitoridien.

Quand toutes ses terminaisons nerveuses appelaient un paroxysme de sensations !



Elle sentit la femme qui lui avait donné tant de plaisir s’écarter pour lui laisser la place et lui ouvrir les cuisses doucement pendant que son mari s’installait entre ses jambes.

Elle faillit défaillir de bonheur, lorsqu’elle sentit le gland se frotter à l’orée de sa chatte…



Mais il se contenta de se branler doucement contre elle… Frottant le bout de son gland sur son clitoris encore tout gonflé de la jouissance de tout à l’heure. Se lubrifiant la queue en écartant ses grandes lèvres toutes mouillées et dégoulinantes de plaisir. Tapotant son clitoris avec son gland, puis le replongeant un peu plus bas dans sa moiteur.

Elle poussa son bassin en avant pour qu’il la pénètre enfin. Mais il se recula ne laissant que son gland à l’entrée du vagin… à cause des liens qui la retenaient, elle ne pouvait aller plus loin.

Elle en aurait pleuré de frustration, ne pouvant même pas se caresser toute seule avec ses mains attachées. Elle n’en pouvait plus… Sa chatte voulait se refermer sur cette colonne de chair qu’elle aimait tant.



Il connaissait bien la réponse ce salaud… « Elle voulait qu’il la baise sur le champs. »



Il lui obéit aussitôt d’un grand coup de rein… la pénétrant jusqu’à la garde.

Elle se mordit les lèvres pour retenir le cri de douleur et de plaisir mêlé qui l’assaillit soudain.

Elle eut l’impression d’être distendue… Ecartelée. Sa chatte s’en inonda pour lubrifier le poteau de chair en train de coulisser entre ses lèvres intimes…

Elle ne se rappelait pas avoir jamais été prise aussi profond ! Elle faillit s’en évanouir tellement sa chatte était bourrée… Distendue !

Jamais il n’avait empli son vagin comme cela ! Elle avait l’impression que sa queue n’arrêtait pas de s’enfoncer en elle, toujours plus profond, l’ouvrant comme une fleur…

Comme généralement en ces occasions, il ne fallut que quelques va-et-vient pour qu’elle jouisse aussitôt… Un orgasme sauvage, d’une intensité inouïe. Elle était remplie jusqu’à la garde et en redemandait encore. Plus loin, plus fort… Elle sentait ses chairs intimes se contractait autour du foret qui la transperçait avec des bruits mouillés.

Pour aussi éperdue de plaisir qu’elle était, elle s’était bien rendu compte encore une fois de quelque chose d’anormal… Ce sexe qui la pénétrait si bien et l’emplissait complètement n’était tout simplement pas celui de son mari, qui la faisait jouir si bien d’habitude, mais était d’une taille beaucoup plus raisonnable…

Mais il était trop tard pour se plaindre : elle avait déjà atteint le point de non-retour lorsqu’elle avait compris qu’elle se faisait baiser à fond par la queue épaisse et longue d’un inconnu… Elle avait beau essayer de se persuader que c’était son mari qui lui faisait l’amour, elle connaissait assez son sexe pour savoir que c’était un autre qui était en train de la limer sauvagement.

Depuis 12 ans qu’ils étaient ensemble, c’était la première fois qu’une autre queue la pénétrait…

Elle n’avait jamais éprouvé l’envie ni le besoin de la tromper, si ce n’est dans ses fantasmes, lorsqu’elle se masturbait seule.

La situation était incroyable…

Dans sa confusion, elle ne savait plus si elle devait se fâcher, contre son mari ou prendre son plaisir comme il venait, et comme il voulait sans doute qu’elle le prenne…

Son cerveau se rebellait, mais sa chatte remplie et prête à éclater lui envoyait dans tout le corps des vagues de plaisirs énormes qu’elle ne pouvait pas combattre


Elle voulait se rebeller, dire quelque chose, et faire cesser tout cela. Mais une queue vint se ficher entre ses lèvres forçant doucement la porte de sa bouche …

Cette fois pourtant il n’y avait pas à se tromper. Elle reconnut aussitôt le sexe de son mari…

Comme pour lui marquer son mécontentement de la situation, elle ferma la bouche un instant… Se refusant à le sucer… Il continua à lui caresser doucement les lèvres avec le bout de sa bite, poussant doucement le bout de son gland.



… La queue de l’autre s’agitait de plus en plus vite dans son sexe. La femme pendant ce temps, n’était pas restée inactive. Elle lui suçait le bout des seins et lui caressait le clitoris avec un doigt vif et habile pendant que l’homme la prenait fermement en lui tenant les hanches …


Elle ne put s’empêcher un long râle de plaisir… et c’est tout naturellement qu’elle laissa la queue de son mari s’enfonçer dans sa gorge…

Elle ne savait plus où elle en était…

Elle était montée se coucher avec son mari tout à l’heure en se disant qu’ils allaient faire l’amour avec un peu plus de piment que d’habitude, avant de s’endormir dans les bras l’un de l’autre, comme toujours.

Au lieu de cela, elle se retrouvait moins d’une heure plus tard, attachée sur le grand lit et les yeux bandés… Une femme l’avait faite jouir dans sa bouche, et maintenant, c’était cet inconnu qui la baisait devant son mari avec sa queue énorme, pendant que celui-ci lui enfonçait la sienne dans la bouche et qu’une femme la masturbait et la léchait…

Elle n’avait rien prévu de tout cela, même si elle savait l’imagination de son mari débordante.

Alors qu’elle s’attendait à mourir de honte de cette situation, elle était presque au bord de jouir encore une fois, tellement la situation l’excitait.

Autant prendre les choses comme elles venaient…


Elle avait toujours eu une sexualité très saine et ne s’embarrassant pas de préjugés réducteurs, mais sans vraiment savoir pourquoi, il y avait des choix qu’elle ne se sentait pas prête à assumer. Faire l’amour avec une femme en était un. On le lui avait pourtant proposé plusieurs fois de façon très précise ou parfois plus détournée. Mais elle avait toujours décliné poliment, n’en ressentant pas moins une délicieuse langueur au creux du ventre.

Elle avait eu pas mal d’hommes avant de rencontrer celui qui était devenu son mari. Contrairement à la plupart de ses amants que sa plastique parfaite rendait fous, il l’avait aidée à découvrir patiemment tous les méandres de sa sensualité. Il lui avait fait découvrir ce qu’elle était vraiment : une femme moderne et sans complexe.

Mais là quand même… Il charriait un peu…


Pourtant, elle se laissa complètement aller… Et commença à le sucer à fond.

Elle savait qu’il était fou de cette caresse. Il adorait qu’elle le pipe jusqu’à faire jaillir son sperme partout dans sa bouche, sur son visage, dans ses cheveux.

Elle avait été à peine surprise la première fois, au début de leur aventure lorsqu’il lui avait demandé la « permission de lui jouir dessus. » Il était trop mignon parfois…

Elle avait aimé recevoir ses longs jets de sperme chaud en plein visage. Elle aimait se faire éclabousser par sa semence et le regarder ensuite en prenant l’air d’une sainte Nitouche, les joues toutes dégoulinantes de son jus…



Elle ne put répondre que par un gémissement.

A ce rythme, elle ne tiendrait pas longtemps avant d’atteindre un troisième orgasme.

Elle ne savait pas si c’était ce qu’on lui faisait ou si c’était l’idée qu’elle s’en faisait derrière son masque.


Elle sentit soudain que la femme venait de s’installer sur elle à califourchon.

Elle comprit ce qu’elle attendait, lorsque son sexe vint s’écraser doucement contre ses lèvres.

Elle était au bord de la panique… Jamais elle n’avait léché une femme ! Bien sûr, elle avait souvent fantasmé là dessus, mais jamais elle n’aurait osé franchir le pas… Pendant une fraction de seconde, elle fut dégoûtée, mais les lèvres d’un sexe d’une douceur incroyable se frottaient doucement contre les siennes.

L’étrangère dégageait une senteur subtile de cèdre, un mélange boisé à la sensualité sauvage qui envahit ses narines toutes proches et satura tous ses sens. Elle se surprit à ouvrir la bouche, pour l’embrasser doucement du bout des lèvres.

La nouveauté de cette caresse lui rappela avec émotion qu’elle avait toujours aimé embrasser. Les longs baisers profonds et humides de ses premiers flirts chastes d’adolescente, la menaient presque au bord de l’orgasme. Elle aimait qu’on lui fouille la bouche profondément d’une langue douce mais ferme…

Elle sortit une langue timide pour aller plus loin.

A la façon dont la femme gémissait, elle comprit que sa caresse ne la laissait pas insensible. Elle poussa sa langue à l’orée du vagin. Elle trouva sa liqueur délicieuse, et commença à la boire.

L’homme lui prenait toujours la chatte bien profond, mais sur un rythme plus lent. La femme lui caressait le clitoris avec la langue, comme pour lui rendre lui la caresse qu’elle était en train de lui dispenser.


… Elle sentit au bout d’un moment à certaines crispations que la femme était sur le point de jouir ! La vulve soyeuse qui se frottait très fort contre les lèvres, se mit soudain à trembler violemment, lui inondant la bouche de ses secrétions mêlées de salive. Elle se mit à remuer la langue frénétiquement.


… L’homme s’était retiré de son ventre alors qu’elle aussi était sur le point de jouir !

Elle faillit protester, mais ne put proférer qu’un long gémissement de frustration soudaine. S’allongeant à ses côtés, il la reprit aussitôt en l’asseyant sur lui, comblant le vide énorme que sa queue avait laissé l’instant d’avant en la laissant toute pantelante et insatisfaite.

Malgré les liens et son bandeau elle réussit à l’enfourcher. Sa queue lui perfora la chatte sous un angle différent. Il la remplissait autrement, mais toujours autant !

C’était encore meilleur que tout à l’heure, et c’est elle qui pouvait donner le rythme qu’elle voulait.

Alors que l’homme restait immobile, elle lui demanda de lui enserrer les hanches avec ses mains et elle fit lentement tourner son bassin comme pour mieux adapter ses muscles internes à la présence imposante qui les distendaient et le visser au fond d’elle jusqu’aux couilles. Lorsque bien lubrifiée, elle jugea la situation vraiment confortable, elle entama une longue houle du bassin d’avant en arrière en trayant de tous ses muscles internes le sexe qu’elle enserrait en elle comme un gant. Elle l’entendit gémir presque aussitôt du traitement délicieux qu’elle lui faisait subir. Elle aima entendre la voix de l’homme à qui elle donnait du plaisir, près de son cou … Il avait une tonalité délicate, presque féminine qui contrastait avec la taille du sexe fiché en elle et son seul repère jusque là. Elle accéléra la cadence de ses reins pour l’entendre encore gémir.

Et de l’entendre, l’excita encore plus…

Elle le chevaucha longtemps dans une sorte d’orgasme permanent, jusqu’à s’effondrer à bout de souffle sur son torse puissant.

… Elle avait su dès le premier instant de cette chevauchée ce qui allait se passer ensuite. Elle en éprouvait une peur panique, que combattait un plaisir intense mais diffus… … Elle était bien incapable de se rappeler le nombre de fois ou elle s’était masturbée en s’imaginant dans une telle position : prise en sandwich pour une double pénétration ! Elle avait souvent vu des scènes de « sandwichs » dans des films pornos, et avait éprouvé un sentiment mitigé pour la fille au milieu qui se faisait prendre par tous les trous … Elle s’était toujours dit, comme pour se rassurer, que son corps n’accepterait jamais une telle intrusion… Elle exploserait ! Ce petit problème physiologique mis à part, l’idée pourtant était follement excitante, dut-elle le reconnaître avec honte !!!


De toutes façons, elle n’avait pas le choix dans cette position… Allongée sur le torse de l’inconnu avec ses fesses écartées de part et d’autre de son corps et offrant son petit œillet et sa dernière intimité aux caresses qui ne tarderaient pas…

Son mari avait commencé par lui pétrir les fesses à pleines mains, l’enfonçant volontairement encore plus sur le sexe qui la transperçait. Il la travailla un bon moment comme cela, en lui envoyant de délicieuses sensations dans les reins, puis il assouplit longuement de sa langue et du bout du doigt, la petite ouverture. Il appuya enfin sa queue bandée et dure comme du fer à l’entrée de son petit orifice…

Le haut du corps écrasé contre le torse de l’inconnu, elle se força de tout son corps à se détendre complètement pour l’accueillir en elle sans trop de douleur. Il n’eut pas à tâtonner longtemps, tellement elle était ouverte… Le dildo de tout à l’heure et la langue de son mari ensuite avait fait du bon travail…

Elle ne put réprimer pourtant un petit cri de douleur ou d’inquiétude, lorsque le gland rentra dans ses fesses.. Sans bouger et sa chatte déjà complètement remplie, elle laissa ses muscles internes s’habituer à la queue qui la sodomisait. Son mari progressait doucement, s’enfonçant de plus en plus dans ses chairs. Tout en lui embrassant le cou, et en lui disant des mots d’amour.

Elle n’aurait jamais cru que son corps serait capable d’accepter cette double pénétration. Et pourtant… Nul doute qu’ensuite elle ne pourrait pas marcher pendant trois jours…

Ce n’est que lorsque son mari commença à coulisser lentement dans ses fesses, que la queue de l’homme reprit son long mouvement de piston dans son vagin.

Elle faillit hurler ! Pas de douleur, comme elle l’avait cru, mais de plaisir pur…

La sensation d’être prise totalement était extraordinaire. Elle ne bougeait pas d’un millimètre et c’est les deux hommes qui remuaient. Un dans son cul et l’autre dans sa chatte en même temps… Elle sentait leurs queues se frôler au travers de la fine paroi qui les séparaient… L’idée la rendit folle.


Elle se mit à jouir, encore une fois… des deux côtés ! Elle eut l’impression que son anus et sa chatte explosaient en même temps de deux orgasmes bien distincts aux sensations différentes qui se conjuguaient. Elle ne pouvait pas bouger, coincée qu’elle était entre ces deux corps qui la pistonnaient.


Son mari lui ouvrait les fesses à pleines mains, pendant que l’homme lui suçait un sein en la bourrant énergiquement par en dessous… Elle s’effondra encore plus vers l’avant, enfonçant les deux queues encore plus loin en elle.

Cette chevauchée sauvage dura longtemps… Elle ne se rappelait plus combien de fois elle avait joui en tout.


A la fin, pour parfaire cette fête totale, ses deux amants s’étaient retirés de son corps totalement assouvi, pour venir jouir sur son visage et dans sa bouche. Elle ne se rappelait plus ce que c’était que d’avoir le sexe d’un autre homme dans sa bouche… Elle ne se rappelait surtout pas ce que c’était, d’en avoir deux en même temps…

Elle les avait encouragés doucement de la voix pendant qu’ils se branlaient contre elle, chacun placé d’un côté de son visage. Sans qu’elle puisse les voir, elle avait senti à leur souffle que leur jouissance était proche et elle les avaient aidé du mieux possible avec sa langue et ses lèvres.

Ils avaient explosé presque en même temps et elle avait été inondée de longs jets crémeux, qui ruisselaient dans son cou et sur ses seins gonflés…


Elle les avaient suçotés jusqu’à la dernière goutte, puis la femme était venue lécher leur semence sur ses joues et jusque dans sa bouche… Avant de l’embrasser profondément.

Elle ne se rappelait de rien ensuite… Fourbue, elle avait du s’endormir sur le coup.


Elle s’était réveillé un long moment plus tard. Son bandeau et ses liens avaient été enlevés et son mari dormait à côté d’elle en la tenant dans ses bras… Ils étaient seuls dans la chambre… tout était calme.

L’horloge rouge au bas de la télévision marquait 3 heures du matin.

Elle se demanda si elle avait rêvé, si tout cela s’était vraiment passé. Mais le plaisir diffus qu’elle ressentait encore au fond de son sexe meurtri lui disait que tout avait été bien réel.

Elle prit une douche rapide avant de s’endormir. Elle se sentait délicieusement bien… tout en regrettant quelque part que le masque lui ait empêché de voir ce qui se passait…

C’est ce qu’elle dit à son mari le lendemain matin en riant pendant le petit déjeuner…

Quand elle le lui demanda - mais elle s’en doutait - il lui apprit que c’était le couple de la table d’à côté hier soir avec qui ils avaient fait l’amour ! Tout avait été arrangé auparavant. C’était des professionnels.

Elle fit semblant d’être en colère.


Mais il promit, si elle était sage, de lui faire visionner la cassette…

Son sexe s’inonda aussitôt… Et c’est à peine si elle lui laissa le temps de terminer son café, avant de l’entraîner vers l’ascenseur.

C’est elle qui mènerait le débat cette fois-ci… Et d’ailleurs, elle aussi, avait prévu une petite surprise pour lui !!!


Mais c’est une autre histoire…