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Temps de lecture estimé : 11 mn
08/05/05
Résumé:  Initiation par une femme qui me fait découvrir les plaisirs de l'attente et du désir.
Critères:  fh fplusag jeunes voisins grosseins lingerie init
Auteur : Gainenylon            Envoi mini-message
La petite culotte du désir


J’étais fils unique et vivais une enfance heureuse au sein d’une famille unie et travailleuse. C’était le temps des "trente glorieuses", époque où le sexe était terriblement tabou, surtout chez moi. La puberté avait commencé depuis quelques années à me travailler. Quelques rêveries nocturnes m’avaient fait prendre conscience, d’abord confusément, que beaucoup de plaisirs encore inconnus existaient et n’attendaient que moi. Mais bien sûr, je compris rapidement que la Morale ne me permettait pas de réaliser tous ces actes licencieux, dont je rêvais de plus en plus souvent. J’allais découvrir que l’amour n’était pas chose simple et logique, comme ce que j’apprenais à l’école. Et puis, j’étais sur le point de comprendre que le meilleur du désir amoureux pouvait aussi être le désir de l’attente, bien plus que sa réalisation concrète. Ce récit va, je pense, en montrer un exemple très concret.



Maman était une femme de son époque. Très active, bien que femme au foyer, elle avait beaucoup d’amis d’enfance qui formaient parfois, lors de réunions dominicales, une seconde famille. Elle avait aussi sympathisé avec de nombreuses voisines dont quelques-unes avaient des fils ou des filles que je côtoyais au lycée. Il y avait souvent des petites réunions à la maison autour d’un thé et d’un gâteau, réunions auxquelles je me joignais assez souvent, très heureux de l’animation que cela amenait dans notre maison. Et puis, au fur et à mesure de mon mûrissement, toute cette présence féminine commença à m’intéresser d’une autre façon. Bien évidemment, toutes ces dames dans la quarantaine pour la plupart, n’avaient pas toutes la même attirance. Certaines semblaient avoir décidé qu’elles n’avaient plus à plaire et qu’il n’était plus nécessaire de montrer leur féminité. Ces messieurs leur époux avaient fait leur œuvre et maintenant que le foyer avait été créé et les enfants faits, plus rien du domaine sexuel n’avait d’intérêt. D’autres dames, par contre, avaient gardé ce pouvoir de séduction discret de la bourgeoisie, quelque peu émancipée, désireuse de se montrer sous son meilleur jour. Nul besoin de vous dire que c’était cette dernière catégorie qui avait ma préférence.


Je ne voudrais pas jouer les radoteurs passéistes, mais je dois avouer que je garde un souvenirs très ému de cette époque en ce qui concerne les tenues vestimentaires féminines, vestimentaires et "sous vestimentaires" !


Ainsi, ces petites réunions de voisines m’ont permis d’exercer ma connaissance des parures féminines. Maman s’habillait toujours de façon plutôt simple, mais toujours raffinée. Elle n’osa jamais des tenues trop sexy et ce furent donc certaines des voisines qui me permirent de découvrir que cela existait. Souvent, leur attitude envers moi était assez neutre, amicale mais sans plus. L’une d’entre elles, Annette, avait toujours été très gentille avec moi. C’était une belle femme brune aux yeux verts, grande et pleine de formes agréables. Ce qui attirait bien sûr chez elle était son buste avantageux, dont elle ne semblait pas avoir honte, bien au contraire. Ainsi, combien de fois, me surprit-elle, le regard fixe sur ses protubérances mammaires, me souriant d’un air satisfait et non d’un regard courroucé.


Annette était mariée sans enfant. Son mari exerçait son métier dans une usine de province et ne revenait que quelques fois, en fin de semaine. Elle compensait cette absence qui ne semblait pas beaucoup l’ennuyer, par de nombreux amis et amies. Certaines relations avaient même fait l’objet, à la maison, de commentaires quelque peu douteux de la part de mes parents. Je compris vite que c’était, ce que l’on appelait à cette époque, une femme libérée. J’allais vite comprendre, ce que cela pouvait plus précisément signifier.


Pour revenir à l’aspect de cette dame, je pouvais admirer chaque fois que je la rencontrai, à la maison ou dans la rue, qu’elle portait toujours une tenue différente. Mais à chaque fois, c’était une tenue raffinée, jamais décontractée ou ordinaire. Parfois en robe, Annette semblait préférer les ravissants tailleurs agrémentés de sublimes chemisiers et corsages légers mettant en avant sa poitrine parfaite. Les jupes, plutôt longues dans ces années-là, moulaient à merveille ses longues jambes, ainsi que son fessier qu’elle portait bien rebondi, mais sans aucun excès graisseux.


Et puis, et cela me fascinait beaucoup, Annette complétait toujours ses tenues très féminines d’accessoires divers qu’elle renouvelait souvent : Tout d’abord, il y avait ses souliers, toujours impeccablement assortis à sa tenue. Cela allait des classiques escarpins aux longues bottes en cuir en passant par de petites sandales ajourées, et toujours de fins talons très hauts. Et puis il y avait ses bas, en général à l’ancienne mode, c’est à dire à couture, et de toutes les teintes : blancs, noirs, fumés, chair, crème. J’étais quasiment sûr qu’elle portait des bas car à la vue de sa classe, elle ne pouvait pas porter de collants. J’ai su par la suite que je ne m’étais pas trompé.




Comme je l’ai déjà dit, Annette appréciait beaucoup qu’on la regarde. Et ce n’était pas le regard envieux d’un adolescent pubère comme moi qui semblait la gêner. J’en eu une preuve flagrante un jour où je faisais une réussite de cartes sur le tapis du séjour. Juste à côté, se déroulait un sempiternel thé-gâteau auquel maman avait invité trois voisines, dont Annette. Ma position assise sur le tapis n’était, bien sûr, pas innocente. C’était un lieu privilégié pour pouvoir mater les jambes de ces dames. Les jambes, mais aussi un peu plus haut lorsque l’occasion s’y prêtait. Et cela arrivait assez souvent, sans volonté de la part de ces femmes. Ce jour-ci, lorsque ma tête remonta et que je vis les longues jambes juchées sur des fines sandales à talons fins, je regardai le visage d’Annette et m’aperçu qu’elle m’avait surpris comme un débutant. Son regard n’était pas fâché et elle semblait me demander de continuer à l’admirer. Je vis alors ses jambes se frotter l’une contre elle et j’entendis le crissement du nylon de ses bas blonds. Sa jupe commença à remonter légèrement, mais uniquement dans ma direction. Ainsi, j’étais le seul à pouvoir me délecter du spectacle. Soudain, maman invita ses amies à venir voir un nouvel aménagement qu’elle avait fait dans la cuisine. Toutes ses amies se levèrent pour la suivre, sauf Annette qui avait en main sa tasse de thé. Lorsque nous fûmes seuls, Annette posa sa tasse puis, en se relevant un peu, troussa doucement sa jupe pour m’exhiber le haut de ses cuisses, découvrant la dentelle affolante de sa combinaison, à la lisère des bas, à l’endroit où je découvris les jarretelles noires, puis lorsqu’elle écarta sensuellement ses cuisses, la naissance de sa culotte noire laissant paraître au travers, de façon obscène sa toison brune parfaitement dessinée. Je restais médusé devant la vision de cette femme impudique, les mains retenant sa jupe grise troussée sur ces merveilles encore inconnues quelques secondes avant. Et puis, sans rien dire, elle baissa d’un coup sa jupe, la lissa et me dit en s’éloignant :


" Si tu viens me rendre visite un de ces jours, je te promets de te faire découvrir encore d’autres choses".


Annette devint alors, évidemment, le centre de mes rêveries érotiques et nocturnes. Ce qui eut pour effet, chez moi, de produire dans mon lit quelques cartes de France des plus généreuses.


Et puis, un soir, en revenant du lycée, maman me lança :


" Annette voudrait que tu ailles l’aider à réparer son lampadaire. Dépêches toi, elle t’attend ! ".


Les devoirs du soir allaient prendre un peu de retard. Je sortis comme une furie et courrai jusqu’à l’appartement de la voisine. Annette me fit entrer en me faisant remarquer ma respiration haletante. Je lui répondis que c’était maman qui m’avait dit de venir vite. Elle me remercia en me faisant la bise, en profitant pour me plaquer contre sa généreuse poitrine. Elle portait un ravissant chemisier blanc, dans un voile léger, laissant deviner la dentelle de sa combinaison ainsi que les bretelles de son soutien-gorge. Elle avait également une jupe plus courte que d’habitude et surtout, une jupe plissée qui virevoltait à chacun de ses déplacements. Bien évidemment, cette tenue me mit dans un état d’excitation affreux et je sentis rapidement mon petit oiseau se raidir sous mon slip et mon short.


Annette me montra alors le lampadaire en question. Je me mis au travail, et comme je bricolais depuis quelques années de nombreux montages électriques, je trouvai rapidement la cause de la panne. Un fil dénudé et revissé rapidement répara instantanément l’installation. Annette me félicita pour ma réussite, puis me dit :


" Je pense que cela mérite bien une petite récompense, tu ne crois pas ? "


Je restai silencieux, croyant qu’elle allait me donner une pièce ou un quelconque cadeau. Au contraire, elle me prit ma main et me conduit dans la salle de bain.


" Je veux avant tout que tu me promettes bien que tu ne diras rien de ce qui va se passer maintenant. Rien à personne, surtout pas à ta maman. Tu me le promets ? "


Je balbutiais un ’oui’ à peine audible.


" Bien alors, allons-y. Dis moi, mon petit chéri, je suppose que tu n’as pas encore de petite amie ? "

" Non, Annette, pas encore ".

" Et que fais-tu alors pour te laisser aller ? Tu es un jeune homme maintenant et tu dois avoir des … besoins ? "

" Rien, Annette. Que pourrais-je faire ? "

" Tu ne te masturbes donc pas ? Tu sais au moins ce que cela veut dire, se masturber ? "


J’avais bien évidemment entendu parler de masturbation au lycée, enfin plutôt de branlettes … Et puis, quelques voix moralisantes et religieuses m’avaient fait comprendre que c’était une pratique ignoble et dégradante, menant directement au vice, à la dépravation et … à la surdité.


" Si tu veux, je vais te montrer. Tu vas voir c’est très agréable et il n’y a pas de honte pour un jeune homme de le faire tout seul. Et même avec une dame.


Allez, tu vas baisser ton short et ton slip et me montrer ce qu’il y a dessous ".


Je n’en croyais pas mes oreilles : cette sensuelle femme à qui je rêvais presque toutes les nuits, me demandait de me mettre nu devant elle. Sans comprendre ce qui m’arrivait, je m’exécutai et me retrouvai le bas-ventre dénudé et mon pénis droit comme un "i" devant elle.


" Oh, mais comme tu as un joli zizi, mon chéri. Et c’est moi qui te met dans cet état là ? "

" Oui, Annette, vous m’attirez tellement. Je pense à vous très souvent en m’endormant ".

" Mais, c’est très coquin tout çà ! Tu sais que j’ai l’âge d’être ta maman ? Tu n’as pas honte ? "


Bien sûr que j’avais honte d’être dans cette tenue devant elle, mais sa présence et la vision de son chemisier opulent entretenaient ma bandaison comme jamais.


" Si c’est çà, je vais te faire un grand plaisir comme une femme peut en procurer à un monsieur. Tu veux bien ? "


Sans attendre ma réponse, Annette s’agenouilla devant moi et entoura de ses doigts fins et manucurés ma verge raide. Elle commença à tripoter mon sexe sensuellement en massant parfois de son pouce mon gland rose. Puis elle plaça ses doigts en cercle et me branla délicieusement de haut en bas sans arrêt. Je sentais le contact froid des bagues qu’elle portait aux doigts et j’entendais et voyais le bracelet lourd qui tintinnabulait à chaque branle de sa main sensuelle.


" Tu aimes mon chéri ? Tu aimes te faire branler ? Tu aimes ma main sur ton sexe ? "


Je ne pouvais répondre à ces questions, qui loin de me choquer, m’excitaient au plus haut point.


" Comme tu me donne chaud mon petit chéri. Si tu n’y vois pas d’inconvénient, je vais aussi me découvrir un peu aussi. Dégrafe-moi mon chemisier, s’il te plait ".


Je n’osai d’abord pas exécuter cet ordre, mais le désir de la dénuder fut le plus fort : je levai mes mains sur le chemisier et le déboutonnai fiévreusement. Annette finit le déshabillage en déboutonnant ses poignets puis ôta entièrement son chemisier. Je pouvais alors admirer et deviner sa poitrine sous les dentelles de sa combinaison et le voile de son soutien-gorge.


Puis elle me dit, dans un grand sourire : " Je vais continuer à te branler, mon petit puceau, mais avec une caresse très spéciale. J’espère que tu vas aimer. Tu sais, c’est quelque chose qu’une dame ne fait pas à n’importe qui. C’est une caresse d’amoureuse à son amoureux "


Je ne comprenais rien à ce qu’elle disait, lorsque je la vis passer ses deux mains sous sa jupe, puis faire descendre sa petite culotte qu’elle me présenta alors. Il s’agissait d’une adorable culotte blanche faite de voile de nylon d’une finesse incroyable et de dentelles fines et fleuries. Elle avait deviné mon attirance naissante, mais déjà développée pour la lingerie féminine. Elle approcha la culotte de mon visage et me dit :


" Tu sens mon parfum mon chéri ? Tu sens bien mon odeur de femme amoureuse ? Elle est toute mouillée, tu sais, et à cause de toi ! Maintenant, tu vas voir comme c’est bon ce que je vais te faire ! ".


Je la vis prendre la petite culotte et la déposer sur mon sexe, le fond en coton juste sur le haut de mon gland. Puis elle la rabattit et en empoignant ma verge, elle l’entoura dans le nylon mouillé et frais. Je fus surpris par cette sensation mais lorsqu’elle recommença à me branler, je ne pus retenir un long gémissement d’extase. Le doux tissu et la dentelle excitaient merveilleusement la peau fine de mon sexe. Annette enveloppa aussi mes testicules avec le dessous de la culotte et les caressa tendrement de son autre main.


" Tu aimes çà mon petit cochon ? tu aimes la branlette dans une culotte de femme ? Alors, tu vas jouir dedans et me donner tout ton jus de garçon ! Allez, il faut juter maintenant mon chéri ! Jute bien dans le nylon de ma culotte ! "


J’avais les yeux entrouverts, regardant cette femme me masturber, ses seins presque à ma portée que je n’osais pas toucher. Annette me caressa alors plus rapidement et continua à me parler de façon si impudique.


" Voila, je sens que tu vas partir mon chéri ! Tu sens ton petit foutre venir ? Allez, vas-y ! Décharge vite mon bébé ! Salis la culotte d’Annette, déverse bien tout ton petit sperme de garçon ! "


Je ne pus me retenir longtemps et je ressentis pour la première fois ce que j’avais vaguement ressenti déjà, dans un demi-sommeil, lorsque j’avais éjaculé inconsciemment dans mon lit pendant mes rêves érotiques. Mais là, j’étais bien conscient et éveillé et je me faisais masturber par l’objet de tous mes fantasmes. Je déchargeai alors toute ma sève dans la culotte fine et douce. Je déchargeai en de longs traits de foutre en ayant l’impression que mon pénis allait exploser dans la main de mon amante.


Lorsque Annette m’eut bien vidé dans sa culotte, je la vis la déplier et sentir le sperme gluant qui la décorait. Puis elle l’enjamba et la remonta sous sa jupe en poussant un petit râle étouffé. Je la vis alors se pencher légèrement, frotter sensuellement ses cuisses en ciseau et gémir amoureusement. Elle posa alors sa main sur le mur pour ne pas perdre son équilibre et se raidit en se pâmant : "Oh mon petit chéri, comme je jouis, Oh c’est merveilleux, sentir ton jus tout frais contre mes chairs. Oh, çà me vient encore, Oh comme c’est bon … "


Annette resta ainsi, les yeux fermés, perdue dans son plaisir de femme, resplendissante et si impudique à la fois. Quelques instants plus tard, elle ouvrit les yeux puis me dit :


" Il faut te sauver maintenant. Et promets-moi de bien tenir ta langue ! Sinon, nous ne pourrons plus nous amuser comme aujourd’hui ! "


Je savais que je ne pourrai rien avouer à personne sur ce que nous venions de faire. Annette pouvait être rassurée. Je remettais vite slip et short et me sauvais vite pour retourner à la maison. Ce soir-là, surtout dans mon lit, j’osai imaginer ces autres amusements qu’Annette m’avait promis. Je rêvais alors de pouvoir posséder cette femme si sensuelle et amoureuse.


Allais-je pouvoir y parvenir ? Annette allait-elle me prendre comme amant ou continuer à s’amuser avec moi en me faisant découvrir les autres facettes de la sexualité ?