n° 09048 | Fiche technique | 21901 caractères | 21901Temps de lecture estimé : 16 mn | 08/05/05 |
Résumé: Parti seul en vacances, je me fais draguer par une superbe fille. Il y a pourtant un côté pas clair, mais profitons du moment présent... | ||||
Critères: fh inconnu vacances hotel douche amour volupté fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Pierre 2 (Un lecteur passionné) |
Concours : Les préliminaires |
Cette année là, j’étais parti en vacance, seul. Je m’étais fait plaqué quelques semaines avant et je le vivais assez mal. Plaqué enfin, plus ou moins. Nath n’était plus la même. Elle avait changé. Je lui avais demandé :
Son visage s’était éclairé, j’étais parti et on ne s’était pas revus.
Tous mes copains étaient en couple, certains mariés et je n’avais pas envie de jouer la troisième roue de la charrette. Je n’avais pas non plus envie de ces clubs de vacances "ouagadou" où l’on pratique beaucoup de sport, la drague étant le premier! Par contre, j’avais envie de partir. Je choisis donc un hôtel dans les montagnes, dans un coin de Suisse que je connaissais bien et où je pourrais à loisir me balader et probablement ruminer ma déception mais cela ce n’était pas avoué…
Je suis arrivé en tout début de saison. Il n’y avait pas encore grand monde dans l’hôtel. Le soir dans le restaurant, il y avait quelques couples avec de jeunes enfants et deux personnes âgées qui visiblement venaient là depuis la nuit des temps. Je mangeais lentement mon potage en pensant à la ballade du lendemain quand je vis entrer Julie. Je ne savais pas encore qu’elle s’appelait Julie et je me demandais quel était son prénom. En la voyant, je repris goût aux femmes, et l’envie de drague me prit… Elle était superbe, enfin superbe suivant mes critères du moment; le contraire de Nath dans beaucoup de domaines. Elle avait des cheveux noirs longs et ondulés qu’elle avait repris dans une queue de cheval. Sa peau n’était pas très bronzée. C’était le début de la saison pour elle aussi et elle ne devait pas être une adepte ni du bronzage, ni du maquillage. Ses yeux bleu clair explosaient littéralement au milieu de son visage. Elle avait l’air sportive. Rien d’étonnant dans cet hôtel de ce trou perdu où la seule activité est la marche en montagne. Son pull moulant laissait deviner une poitrine bien ferme et remplissant honnêtement la main alors que son jeans ne cachait pas grand chose de la rondeur de ses fesses. En un mot "bandant".
Durant le repas, j’avais du mal à ne pas la regarder. Elle mangeait seule à une table de quatre. À tout moment, je m’attendais à voir arriver son copain, le genre Apollon qu’elle regarderait avec des yeux langoureux. Mais non, rien, pas d’Apollon jusqu’au dessert. Je partis prendre le café au "salon". Un salon qui en résumé se limitait à une table basse avec 4 fauteuils et 2 canapés devant une vieille télévision. J’avais pris une carte de la région que je connaissais par coeur et que je regardais distraitement quand elle se planta devant moi avec son café:
Pourquoi avais-je posé cette question, je n’en sais rien et au moment même j’ai eu peur de sa réaction. Mais visiblement, le style direct était plutôt son fort:
Et je me penchai sur la table pour replier la carte et faire de la place pour son café. Quand je relevai les yeux, elle avait son regard bleu vissé dans mes yeux. Ouah, que cette fille me plaisait. Rien que son regard, j’en avais un début d’érection. Surtout qu’après l’entraînement intensif avec Nath, plus d’un mois d’inaction me pesait…
Et l’on continua à parler de la région que visiblement elle mal. Tout le monde était déjà monté se coucher et l’on décida de monter aussi. Arrivé au premier sa chambre était à côté de la mienne. Hasard?
C’était faux, j’avais un réveil mais j’avais envie d’entendre sa voix au téléphone dès mon lever.
Elle m’embrassa sur la joue et entre dans sa chambre.
Je me mis au lit en pensant à elle. Il y a deux heures à peine, je ne la connaissais pas, je n’avais plus envie d’en connaître et maintenant, je me sentais follement amoureux.
8:00.
Je me réveille en sursaut. Je m’attendais à un coup de téléphone. Elle est dans ma chambre. Elle ouvre les rideaux. Elle est en pyjama. Quand elle se retourne, à contre-jour, je remarque que ses seins on l’air vraiment bien fermes. Sans soutient, ils pointent fièrement sous le tissus léger. Son pyjama à contre jour ne cache vraiment pas grand-chose. J’aperçois même le triangle de poils. Elle n’est pas épilée. Du moins pas complètement.
La couette a volé, impossible à remettre. En plus la voir dans ma chambre en pyjama, m’avait donné plus qu’un début d’érection. Elle ne put pas ne pas le remarquer.
Elle reparti dans sa chambre. Ces vacances commençaient bizarrement mais je ne m’en plaignais pas.
Nous avons passé la journée en montagne ensemble, parlant de tout et de rien, de sa vie, de la mienne. Du boulot, des sorties du cinéma, … Je ne parlai pas de Nath. Elle ne posa pas de question et ne me parla pas de sa vie amoureuse. Il faisait beau, il faisait chaud. Arrivés au bout du lac on a pique-niqué et je me suis couché dans l’herbe pour faire la sieste. Je me suis endormis. J’ai rêvé d’elle. Je la caressais, elle m’embrassait, nous faisions l’amour, elle était au-dessus de moi et m’embrassais. Sa langue cherchait à écarter mes lèvres. Je résistais. Elle léchait mes lèvres, trouvait une fente entre elles, passait sa langue sur mes dents. Je les écartais doucement pour laisser ma langue aller à la rencontre de la sienne. C’est trop précis pour être un rêve. J’ouvre les yeux, les siens sont à quelques centimètres.
Là dessus, sa main caresse mon sexe à travers le jeans. Je ne peux cacher mon érection… Sa main caresse doucement mon membre au travers du tissu. Ma main qui s’était aventurée sur ses fesses descend lentement jusqu’à ses cuisses. Son short est ample et je peux remonter à l’intérieur. Vais-je arriver à sa culotte ? En a-t-elle seulement une ? Non. Elle se lève.
C’est sans équivoque mais il y a encore au minimum 2 heures de marche.
En chemin on reparle de choses et d’autres. Une chose m’étonne quand même. On semble être très proches. Même ville, même type d’activités et il faut être à 500 bornes pour se retrouver dans un hôtel perdu en montagne. Bizarre le hasard !
A mi chemin, sa main frôle la mienne. Je luis prend la main. Elle serre la mienne. De nouveau c’est elle qui prend l’initiative :
Quelle drôle de question !
Décidément, il y avait quelque chose de pas normal. Une fille superbe que je ne connaissais pas il y a moins de 24 heures, me drague que j’arrive difficilement à débander et me propose de faire le troisième dans son couple lesbien. Je ne suis pourtant pas si irrésistible que je sache ! Enfin ne nous posons pas de questions et profitons en ! Une opportunité comme cela, il n’y en a pas tous les jours. Pas même tous les ans. Moi qui croyais passer des vacances en ermite… Ermite lubrique !
A l’approche du village, une question se pose à moi. Je n’ai pas de préservatifs et je sens que je vais en avoir besoin… Je ne m’imagine pas passer avec elle à la pharmacie pour acheter une boîte de douze… C’est elle qui me sauve :
Ouf ! A l’épicerie j’en trouverai sans doute.
Un bisou sur les lèvres et en trois pas elle est dans la pharmacie. Ça y est, je bande encore.
Quand j’arrive à l’hôtel elle est en discutions avec la patronne :
Quelle question ! Et j’espère bien que l’on ne va pas faire que manger ensemble. On prend chacun notre clé et l’on monte l’escalier vers nos chambres.
Elle me suit dans ma chambre, une petite gaufre et le coca dans les verres à dent son vite enfilés. Elle se couche sur le lit les bras en croix et les jambes légèrement écartées.
OK. Je me déshabille. Je lui tourne le dos mais je sens ses yeux sur mes fesses quand mon caleçon va rejoindre le tas de mes habits. Quand je me retourne pour aller vers la salle de bain, effectivement, elle est appuyée sur ses coudes et me regarde.
Je suis dans la douche. L’eau chaude fait du bien. Plus de 4 heures de marche, pour un premier jour c’est un bon début. J’entends la porte de la salle de bain qui s’ouvre. Est-elle nue ? J’ai envie d’écarte le rideau de douche et regarder. J’attends. J’entends la chasse d’eau.
Le rideau de douche s’écarte. Elle est nue, elle est superbe. Ses seins son bien ronds et fermes avec une auréole sombre d’où pointe les mamelons bien dur. Ce n’est pas le froid… Elle a un joli triangle pubien bien taillé, comme je les aime. Nath s’était totalement épilée à la fin. Pourtant j’aime jouer avec un peu de poils. C’est elle qui me sort de la rêverie :
Elle prend le gel de douche et entreprend de me masser le dos. Sa main descend sur mes fesses, s’insinue dans ma raie et me chatouille l’anus. Elle revient sur mes fesses. Je n’ose à peine bouger. Elle se plaque à moi. Je sens ses seins collés à mon dos. Ses mains qui me pinçaient les tétons descendent. Je sens ses poils contre mes fesses. Elle reprend un peu de savon sur mon épaule et s’empare de mon sexe dressé. Elle me le lave, avec douceur, avec langueur. Elle l’a complètement décalotté et joue à la base du gland. Si elle continue comme cela je vais exploser.
Elle prend la douche et me rince. Elle se baisse plus que nécessaire. Il n’y a aucune raison de se mettre à croupi pour rincer les pieds. Par contre pour déposer un petit bisou au bout de mon sexe, c’est la bonne hauteur. Elle dépose le pommeau de douche et une main sur mes fesses, l’autre tenant mon sexe qui n’a pourtant pas besoin d’être tenu, elle entreprend de me sucer comme une sucette. D’abord sa langue tourne autour de mon gland. Visiblement elle connaît le point sensible à la base du prépuce. Je suis complètement dans sa bouche. Sa langue ajoute aux vas et viens de sa bouche.
Elle me tient les fesses pour m’empêcher de me retirer. Encore quelques coups de langue et je lâche de grands jets de sperme dans sa bouche. Elle laisse mon sexe se ramollir dans sa bouche puis remonte lentement, et m’embrasse. Elle a gardé du sperme en bouche et me le fait partager en mêlant nos langues. Finalement, ce n’est pas si mauvais. Ce n’a pas un goût extraordinaire mais c’est mangeable. Je n’avais jamais goûté. Nath non plus, c’est sans doute pour cela que je n’ai jamais pu éjaculer dans sa bouche.
Elle finit de me rincer avec la douche qu’elle a ramassée. Je descends pour lui téter les seins. Elle me repousse :
Je suis couché sur mon lit. Ce coup-ci, je ne bande plus. Elle m’a complètement pompé ! J’entends la douche qui s’arrête. Elle doit être en train de s’essuyer. Elle arrive en courant. Ses cheveux noirs balancent de droite à gauche. Ses seins aussi, malgré leur fermeté. Rien qu’à la voir, je sens un picotement dans le bas-ventre, je ne tarderai pas être à nouveau en état. Elle se jette sur le lit et se couche sur le dos. Visiblement elle attend que je lui montre comment je peux me servir de ma langue. Je l’embrasse en passant ma main sur ses seins. Je descend dans son cou, puis embrasse ses seins. Ma langue joue avec le petit bout bien dur. Ses mains sur ma tête ne laisse planer aucun doute sur ce qu’elle veut : Plus bas ! Je descend, m’amuse à passer ma langue dans son nombril. Elle pousse sur ma tête. Je descend ses cuisses son ouverte, ma langue se rue dans sa chatte qui est ruisselante et pas de l’eau de la douche !
Je suis scié. Je ne me souviens pas lui avoir dit que mon ex s’appelait Nathalie. Cela a du m’échapper. Enfin, bizarre…
Sa chatte est trempée ; ses jambes largement écartées ne cache rien de son intimité. Je crois avoir compris ce qu’elle attend. Ma langue se ballade sur le bord de ses lèvres allant du clitoris encore enfoui au environ de son anus. Je m’y attarde. Elle lève son bassin pour que j’accède à son anus. Je l’embrasse. Ma langue en fait le tour, essaye de le pénétrer. Je reviens vers l’avant. De sa main, elle écarte ses lèvres. Ma langue passe à l’intérieur. Je bois son jus. Je remonte. Son clitoris est complètement tendu. Un mini pénis en érection de quelques millimètres. Je tourne autour avec ma langue et l’effleure. Elle gémit. Ses genoux m’enserrent. Ses mains poussent ma tête contre son sexe. Je suis comme pris dans un étaux condamner à la faire jouir. Elle n’en est pas loin. Ma langue quitte la zone du clitoris et entre dans son vagin. Je lèche l’entrée et l’intérieur complètement ouvert, offert, à la recherche du point G. Je la sent se tendre et sens son vagin se contracter. Un orgasme sous ma langue. Une première pour moi. Je remonte vers on clito tourne autour, l’effleure, le lèche. Je sens de nouveau des contractions. Elle ne gémit plus elle hurle presque. J’écarte un peu la tête. Elle ouvre les cuisses, me libère et de ses mains me fait comprendre qu’elle veut que je remonte. Je bascule sur le côté, l’embrasse dans le cou. Elle vient se lover au creux de mon épaule et s’endort presque immédiatement. Je croyais qu’il n’y avait que les hommes qui s’endorment après avoir joui. Légende !
J’aurais bien essayé mes capotes mais bon, j’attendrai. J’attendrai 19:15 avant de la réveiller. Ne soyons pas en retard au dîner. Il faut prendre des forces avant la nuit qui s’annonce.
Mais pourquoi diable a-t-elle parlé de Nathalie !
Heureusement que j’avais un réveil ! à 19 :15, on ronflait tous les deux comme des marmottes. On se réveille ensemble. Elle regarde sa montre et se jette sur ses vêtements. Habillée à l’as de pique, son pull et ses chaussures dans la main, elle se rue dans sa chambre.
Je m’habille. J’entend du bruit dans la chambre d’à côté. Elle téléphone. Je me demande bien à qui. Sans doute à son amie, son amante. J’ai envie d’entendre mais l’insonorisation n’est pas si mauvaise. Ce que j’entends, c’est par la fenêtre ouverte. Elle ferme la sienne. Plus rien. Je me pose des questions ; c’est idiot, je deviens jaloux…
Dans la salle de restaurant je suis là avant elle. On nous a mis dans un coin discret. En passant, je remarque un jeune. Ce doit être un hollandais. Un mètre quatre-vingt, cheveux blonds/yeux bleus, un corps de surfeur. En passant à côté de sa table, je lui dis bonjour. Il me répond. À l’accent, c’est un hollandais. Heureusement qu’il n’était pas là hier, sinon je serais encore seul ce soir ! Julie ne tarde pas à arriver. Elle a mis une robe rose. La robe est courte et ne cache pas grand-chose de ses longues jambes. Quand elle passe à côté du hollandais, je remarque qu’il la regarde avec admiration. Sa robe est largement décolletée dans le dos et fermée par des lacets. Je me fais la réflexion qu’il n’y a pas l’air d’y avoir beaucoup de bretelle de soutient. C’est fou comme les dessous féminins ont toujours fasciné les hommes. Il faut dire que Nath en avait une extraordinaire panoplie.
Une grande hollandaise, également blonde, aux yeux bleus venait d’entrer dans la salle de restaurant. Elle passa derrière le grand hollandais. Sa main glissa sur son épaule. Il lui prit la main et y déposa un baiser amoureux.
L’entrée comportait pas mal de salade. J’avais eu beau amener le sujet sur la météo du lendemain, elle revint sur la nuit.
L’on prétend qu’en homme ne peut pas rester plus de 7 minutes sans penser au sexe. Dans son cas, cela doit être sept secondes…
Heureusement que la table était un peu à l’écart parce que la conversation prenait un tour franchement scabreux. Cela avait l’air de follement l’amuser. Une question me revenait en tête : 3comment savait-elle que mon ex s’appelait Nathalie ? ». Tout d’un coup un éclair me passa par l’esprit :
Elle avait fini de manger et s’était appuyé sur le dossier, je sentis son pied glisser sur l’intérieur de ma cuisse avec une infinie douceur. Elle avait un objectif clair et ne le manqua pas.
Elle se tut. L’on venait chercher nos assiettes.
Et l’on repartit sur la journée du lendemain. Il allait faire mauvais. On arrêta le programme sur un tour à la ville voisine. Elle voulait acheter quelques trucs pour la marche en montagne. On irait également nager à la piscine (couverte vu la météo) et voir une exposition.
Au dessert, il y avait des fraises. Elle en prit une en main et me regardant droit dans les yeux, elle entreprit de simuler une fellation en faisant passer la fraise pour un gland. La dessus, elle trempa la fraise dans la crème fraîche et la lécha :
J’avais discrètement retiré ma chaussette droite et mon pied frôlait sa cuisse, à tâtons. Elle attrapa mon pied d’une de ses mains et fit passer mon gros orteil à la lisière de ses lèvres intimes. Elle n’avait pas de culotte et elle était trempée.
J’avais hâte d’être dans la chambre. À mon avis elle aussi, surtout vu ce que mon gros orteil avait senti mais elle voulait faire durer le petit jeu. On passa au salon pour boire un café.
La nuit s’approchait….