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n° 09050Fiche technique25884 caractères25884
Temps de lecture estimé : 15 mn
09/05/05
Résumé:  A l'occasion de nos premiers attouchements sexuels, Stéphanie et moi découvrons qu'elle est capable d'avoir des éjaculations féminines.
Critères:  fh jeunes copains poilu(e)s parking voiture collection amour voir odeurs intermast cunnilingu init
Auteur : Mr. Liquido  (Homme passionné d'éjaculation féminine)      
La première éjaculation de Stéphanie


Il y a environ une dizaine d’années, alors que j’étais encore étudiant, j’ai rencontré une tendre jeune fille au doux prénom de Stéphanie.

Elle était très jolie, très amoureuse, mais également très timide… Nous sommes restés plusieurs mois ensemble, et j’ai très rapidement découvert que son corps possédait une capacité très particulière : l’éjaculation féminine.

Par la suite, je me suis rendu compte que je pouvais reproduire ce phénomène, non seulement avec elle, mais avec toutes les femmes en général (car toutes en sont capables, même si la plupart l’ignorent).


Laissez-moi vous raconter cette magnifique découverte…


Stéphanie et moi nous étions rencontrés par l’intermédiaire d’amis, et elle avait eu littéralement le coup de foudre. Comme elle était très mignone (sans pour autant être canon), je m’étais laissé charmer, et nous étions finalement sortis ensemble au bout de quelques jours, en revenant d’une soirée qui n’en finissait pas. Je l’avais raccompagnée chez elle et, comme elle me plaisait physiquement, je l’avais embrassée en sortant de la voiture.

Ainsi commença notre aventure…


Stéphanie avait une vingtaine d’années (tout comme moi à l’époque), et elle étudiait également. Elle mesurait environ 1m65, avait de longs cheveux châtains, des yeux verts et était assez menue, sans pour autant être maigre. Ses soutien-gorge faisaient du 85B, ce qui était correct, sans pour autant être suffisant pour rassasier mes fantasmes mammaires. Elle était douce, très romantique, mais également très timide.


Nous avions pris l’habitude de nous voir trois fois par semaine (en général le week-end et un autre soir), à l’occasion d’une promenade, d’un cinéma ou d’un restaurant. Habitant encore chacun chez nos parents, nous ne souhaitions pas alors nous rencontrer en leur présence.


Au bout de trois semaines, je commençais à avoir envie d’aller un peu plus loin avec elle que de simples baisers, ou des caresses innocentes. Nous avions déjà eu une ou deux discussions sur le sexe, ce qui l’avait d’ailleurs fort gênée. Elle m’avait alors avoué avoir déjà eu des expériences sexuelles avec son ex, mais qu’elle n’y avait pas pris beaucoup de plaisir.



Je jubilai et décidai intérieurement que j’allais tenter de franchir une autre étape lors de notre prochain rendez-vous.


Ce fut donc un samedi, en début d’après-midi.

Comme d’habitude, je passai la prendre en voiture au point habituel, non loin de son domicile. Je constatai avec bonheur qu’elle s’était décidée à mettre une jupe (la première fois depuis notre rencontre !), comme pour m’encourager dans ma tentative. Lorsqu’elle s’assit sur le siège, je pris soin de la féliciter, et elle me fit comprendre que mes remarques vestimentaires y étaient pour beaucoup.

Je suis en effet grand amateur de jupes courtes, et je lui avais fait comprendre (non sans délicatesse), quelques jours plus tôt, qu’elle mettait un peu trop de pantalons à mon goût…

Il s’agissait d’une jupe bleu-marine, d’un tissu assez lâche, qui arrivait à mi-cuisses. Malheureusement, elle portait dessous des collants-mousse au rabais, vous savez, cette matière qui vous fait immédiatement penser à des jambes de mémé…

Je décidai de passer outre, et me fis la remarque, intérieurement, qu’il y avait encore du chemin à faire en matière de dessous !


Une fois qu’elle fut calée dans le siège passager, je demandai à Steph’ ce qu’elle souhaitait faire lors de cette après-midi. Après avoir fait le tour des activités potentielles, elle me répondit qu’on n’avait qu’à se trouver un coin un peu plus calme, pour "passer tranquillement un moment ensemble". Je pris cela pour un encouragement. Nous décidâmes de trouver un endroit isolé, au bout d’un parking, sur le campus, qui devait être désert ce jour-là.


Lors du trajet, nous sentions tous les deux que l’excitation montait énormément, et que nous étions partis pour passer une après-midi beaucoup plus intime que d’habitude : nous ne parlions pas et échangions des regards et des sourires timides. J’avais mis l’autoradio pour détendre un peu l’atmosphère. Au bout de quelques minutes, je décidai de prendre les devants et posai ma main sur la sienne, légèrement au contact de son genou. Puis je la fis remonter lentement jusqu’à atteindre le haut de sa cuisse gauche. Stéphanie frémissait, tout en continuant à caresser tendrement ma main. Je poursuivais mes caresses de la sorte lorsque nous arrivâmes sur le campus.


Une fois garés au fond d’un parking désert, nous dégrafâmes nos ceintures de sécurité : l’excitation était à son comble. Nous plongeâmes dans les bras l’un de l’autre, et commença alors une longue suite de baisers effrénés. Nous nous embrassions à pleine bouche, comme si nous souhaitions assouvir des pulsions contenues depuis des années. Sa langue était douce et chaude, et elle imprimait une multitude de mouvements autour de la mienne. L’ambiance était terriblement passionnelle. Au bout d’une dizaine de minutes, nos baisers se firent plus épars, et nos mains plus balladeuses. Alors que ma bouche explorait la base de son cou, à la limite de l’épaule et de la nuque, ma main gauche entreprit de déboutonner sa chemise blanche, bien trop sage à mon goût. J’avais déjà caressé ses seins à travers ses habits à de nombreuses reprises, mais sans jamais pouvoir les voir, ni les toucher directement. Là, je souhaitais les découvrir plus que tout. L’idée de prolonger cette attente m’était insupportable !


Stéphanie, qui était encore toute à mes baisers, comprit d’un coup le but de ma manoeuvre : la dénuder. Comme pour me signifier son approbation, elle se décolla de mon buste pour venir se caler au fond du siège passager, afin de me faciliter la tâche. Elle me regarda la déboutonner, tout en caressant tendrement mon visage de la main gauche. Moi, j’étais complètement absorbé par sa poitrine qui se dévoilait progressivement à mon regard. Elle portait un petit soutien-gorge blanc à fleurs bleues, sage, trop sage… J’écartai d’un coup les deux pans de sa chemise, comme un sauvage, et restai en arrêt quelques secondes, à contempler le fabuleux spectacle. J’avais l’impression d’être face à une écolière qui allait offrir son corps pour la première fois. Je n’étais pas très loin de la vérité !


Comme ce que je voyais ne me suffisait pas, j’entrepris d’aller plus loin, et passai une main derrière son dos pour dégrafer le petit morceau d’étoffe si innocent. Stéphanie comprit tout de suite mon intention, et m’arrêta net :



Effectivement, nous étions à une bonne distance de l’entrée, qui se trouvait loin derrière la voiture. Elle hésita un instant, puis reprit :



Tout en prononçant cette dernière phrase, elle se décolla de la banquette, retira elle-même sa chemise, dégrafa son soutien-gorge, et envoya valser le tout sur le siège arrière. La vision que j’avais à ce moment avait un goût de paradis : une jeune fille fraîche et innocente, dans ma voiture, bien décidée à s’offrir à moi ! J’exultais !


Nous reprîmes nos baisers, elle toujours bien calée dans le fond de son siège, moi la pelotant frénétiquement. Elle avait des petits seins en poire, bien fermes, bien blancs, et ses têtons tout roses étaient durcis par l’excitation et les frissons que lui procuraient mes caresses.


Quelques minutes plus tard, ma bouche entama de nouveau une lente progression vers son cou, mais continua cette fois-ci sans s’arrêter, jusqu’à atteindre sa poitrine. Ma langue commença alors un long ballet autour de ses mamelons, que je léchai, mordillai, suçai à souhait. Quel bonheur !


Stéphanie avait fermé les yeux, et laissait échapper des soupirs de plus en plus profonds. Rapidement, ses soupirs se transformèrent en légers gémissements, et sa respiration s’accéléra passablement. De toute évidence, elle avait les seins très sensibles, et elle prenait beaucoup de plaisir. Ma main gauche, elle, s’était posée sur sa cuisse gauche depuis un bon moment déjà, et avait remonté progressivement ses caresses vers l’entrejambe.

Au bout d’un moment, j’interrompis mes baisers pour constater que sa jupe lui arrivait au niveau de la taille, et que j’avais maintenant une parfaite vue sur sa culotte et ses hanches. C’est vrai que les collants n’avaient rien de sexy : une démarcation bien visible en haut des cuisses, un large gousset et un gros élastique au niveau de la taille gâchaient complètement le tableau. D’autant plus que la culotte n’était pas exceptionnelle non plus, puisqu’il s’agissait d’une pauvre culotte en coton blanc, bien haute et pas échancrée pour deux sous !


En outre, je constatai la présence de quelques poils disgracieux (quoique fins) au niveau du haut des cuisses et du maillot. Stéphanie, qui était sortie de sa transe, me regarda d’un air gêné :



Elle hésita encore, mais cette fois-ci elle parut vraiment gênée, limite angoissée, à l’idée de se retrouver cul-nu dans cette situation.



Ses arguments repoussés, elle hésita un dernier instant, bredouillant je ne sais quoi :



Puis elle s’exécuta, rouge comme une écrevisse : elle se déchaussa, retira ses collants disgracieux et remit ses chaussures, comme si de rien n’était.

Il me restait encore le barrage de la petite culotte à franchir pour arriver à mes fins. J’eus cette fois-ci beaucoup moins de classe. Je repris mes fougueuses attentions buccales sur ses seins, et plongeai directement ma main gauche à l’intérieur de ses cuisses, en contact avec le gousset de son slip. Stéph ne se faisait plus aucun doute sur la suite des évènements, car elle ouvrit les cuisses assez largement, comme pour me donner le feu vert.

La surface que je rencontrai alors avait un aspect molletonné (ce qui me laissait penser que sa toison était relativement abondante), mais surtout très humide, ce qui ne faisait aucun doute sur son excitation !

Alors que j’entreprenais un massage de sa vulve à travers son slip, elle eut un geste qui me surprit : elle tendit la main afin de tâter franchement ma queue au travers de mon pantalon, laquelle était bien entendu douloureusement bandée !

Son toucher m’électrisa.


Ce fut pour moi le signal de prolonger mes explorations : tout en reprenant possession de sa bouche, j’écartai franchement le gousset de sa culotte, qui était de plus en plus trempée. Sa respiration nasale s’accéléra de nouveau, et elle commença à gémir sourdement alors que la pulpe de mes doigts partait à la découverte de son clitoris et de ses lèvres.

J’interrompis mes baisers fougueux, afin de constater de visu à quoi ressemblait son sexe : pas de doute, elle ne s’était pas épilée depuis un certain temps. Ses poils n’étaient pas très fournis, mais relativement longs et épais.

Toutefois, ce qui m’étonna le plus, ce fut la taille de son clitoris. Le capuchon était vraiment très volumineux, et dépassait distinctement de la touffe de poils pubienne, là où les grandes lèvres commencent à se dessiner. Je le frôlai du bout de l’index, Stéph eut un spasme accompagné d’un long soupir.

Je ne sais pourquoi, à ce moment j’eus une insoutenable envie de goûter directement à ce petit organe, de le caresser avec ma langue…


Sans hésitation aucune, je me penchai dans une position bien inconfortable, et commençai à laper tendrement le capuchon du clitoris, en écartant plus franchement la culotte de la main gauche.

Avec du recul, je pense que Stéphanie fut surprise de mon audace, car une sorte de tension sexuelle fut légèrement perceptible dans son comportement, dans les minutes qui suivirent. Mais elle n’en fit pas état, et me caressa la nuque lentement, avec beaucoup de douceur. De la douceur, j’en appliquais également dans mes légers coups de langue, si bien que je sentis Stéph se détendre rapidement et reprendre ses longs soupirs, entrecoupés de petits gémissements.

Son sexe avait une odeur très forte, une odeur de femelle qui ne trompe pas, une femme dans un état d’excitation profond. Son goût était âcre et salé, comme un bon fruit de mer bien frais. Le beau bouton bien rouge sortait progressivement de sa tanière, sa taille confirma mes soupçons. Mes coups de langue se faisaient de plus en plus appuyés, jusqu’à écraser complètement le capuchon à la base du clito, et branler buccalement ce petit bout de chair tout bandé.


Stéphanie gémissait de plus en plus fort, et écartait maintenant très largement les cuisses. Sortant un moment la tête de mon ouvrage, je réalisai que la culotte commençait à me géner très sérieusement. J’avais franchement envie de la doigter, de partir à la découverte de sa chatte.

Je la sortis temporairement de sa transe pour la faire se lever et m’aider à ôter le dernier bout de tissu. Elle s’exécuta sans aucune grâce, le plus rapidement possible pour retourner à sa jouissance, les cuisses bien ouvertes, complètement offerte.

Je me penchai de nouveau pour goûter son sexe plus avant, mais je réalisai alors que mon dos commençait à me faire souffrir, vu que la position était très inconfortable. J’entrepris alors de reculer son siège, afin qu’elle puisse s’enfoncer dedans encore plus profondément. Cela me permit de reprendre mes massage buccaux, et de découvrir toute la surface de sa vulve du bout du nez : je sentais, je léchais, je suçais, j’aspirais, et finalement j’embrassais à pleine bouche cette chatte poisseuse et odorante.

Son parfum m’enivrait au plus haut point, plus que n’importe quelle liqueur !


Stéph’ poussait maintenant très bruyamment de longs cris de plaisirs, d’une indécence totale.

Trop heureux de pouvoir mener cette femme au septième ciel, je fus pris d’un élan amoureux qui interrompit mes pulsions sauvages, et j’eus soudain envie de l’embrasser aussi sincèrement que fougueusement. Elle répondit violemment à mes baisers, prit ma tête entre ses mains et me serra comme une folle, m’embrassant à pleine bouche, me léchant le visage, ignorant même qu’il était souillé de ses sécrétions de femme en rut.

Réalisant que cela ne la dégoutait pas, j’eus alors la perverse idée de plonger mon majeur au plus profond de sa chatte, afin de recueillir un échantillon de sa liqueur d’amour, et de lui donner à goûter. Je m’exécutai donc tout en l’embrassant encore et encore : je plongeai mon doigt délicatement, mais d’une poussée continue. Il rentra comme dans du beurre ! Son vagin était chaud, humide, visqueux, les parois étaient d’une tendresse infinie, je rêvais de m’introduire dans cette grotte qui ressemblait au paradis !

Je ressortis mon doigt, qui aurait préféré rester bien au chaud ; pas de doute, il était recouvert d’un épais mucus odorant. L’audace décuplée par l’excitation, je pris alors mon courage à deux mains et présenta ce doigt au bord de la bouche de Stéph, qui, les yeux clos, ne compris pas ce que j’attendais d’elle.

Je lui dis alors très doucement :



De la tête, elle fit signe que non, toujours les yeux fermés, le souffle court. Elle était visiblement gênée, interdite.



Je représentai mon doigt, la bouche resta close, je la sentis hésitante. Comme pour l’encourager, j’entamai alors une masturbation clitoridienne vigoureuse, de la main droite, et son souffle repartit au quart de tour.

Haletante, gémissante, elle entrouvrit alors la bouche, donna quelques coups de langue sur le bout de mon doigt, pour finalement engloutir tout le majeur et déguster le mucus comme un nectar exquis. L’ambiance était terriblement érotique.


Je reproduisis ce jeu pervers une deuxième, puis une troisième fois, en alternant avec de fougueuses embrassades. Elle ne s’y opposait plus, et je crois même que ça finit par l’exciter, étant donné l’application qu’elle mettait à nettoyer mes doigts.

En effet, c’était maintenant deux doigts que j’introduisais dans son vagin, car il était très dilaté, complètement lubrifié, et l’envie me prit de le doigter vigoureusement. Je commençai à masser les parois vaginales, toujours de la main gauche, mais je sentais bien que Steph n’était pas très à l’aise.

La position était loin d’être idéale, ma liberté de mouvements était très réduite, et elle prit donc l’initiative de lever ses jambes et de poser ses pieds sur le tableau de bord, ce qui lui permit d’écarter les cuisses au maximum. Le tableau était maintenant complètement différent : on avait l’impression d’être dans une scène de film porno.


Mes doigts (index et majeur) commencèrent donc leurs longs va-et-vient dans la chatte béante de Stéph, qui était complètement partie. La tête penchée en arrière, sur le côté de l’appuie-tête, elle était totalement offerte, tel un pantin, à mes caresses de plus en plus vigoureuses. Ma main droite ne savait que faire, elle parcourait tout son buste, du sein gauche au sein droit, du sein droit au sein gauche, du sein gauche au clitoris. Ce dernier gonflait et dégonflait à intervalles réguliers, rythmant les montées de plaisir. Il était encore plus volumineux que tout à l’heure, c’était à peine croyable.

Les gémissements de Stéph se transformèrent progressivement en cris de jouissance, son visage était rouge écarlate, on aurait dit qu’elle allait agoniser.


Alors que j’accélèrais toujours le mouvement de mes doigts, je remarquai que son vagin était en train de se resserrer fortement. De plus, la position était particulièrement inconfortable en ce qui me concernait, et mon poignet commençait à me faire souffrir.

Je décidai donc de remplacer l’index par l’annulaire, ce qui me permettait d’orienter ma main et mon bras plus confortablement. J’avais donc maintenant le majeur et l’annulaire dans le vagin de Stéph. Je constatai que la pulpe de mon index était toute frippée, complètement imbibée de mouille…


Je repris alors mes massages vaginaux à un rythme frénétique, et Stéph lâcha de nouveau des cris de jouissance bestiaux. Surexcité, j’accélèrai encore, malheureusement mes doigts commencèrent à se crisper et je ressentis une crampe à la base des phallanges. Eh oui, je ne suis pas gaucher ! Voyant que Stéphanie était complètement partie, je n’avais pas le coeur d’arrêter, et je repliai alors les doigts sur la face antérieure du vagin, dos au pubis. Cela me soulagea sensiblement, et je repris frénétiquement mes mouvements.

Grand bien m’en prit, car le plaisir de Stéph était littéralement décuplé avec cette méthode : ses cris se transformèrent en véritables hurlements, et je commençai à avoir peur qu’on nous entende !


Malgré cela, c’était trop bon de la voir ainsi, le visage grimaçant, déformé par la jouissance, et je continuai à agiter mes doigts à la même vitesse, j’accélèrai même ! La cadence devint infernale, je lui pompai littéralement la chatte ! Stéphanie gueulait comme un vraie folle, une enragée, elle était prise de spasmes dans tous les sens, s’accrochait aux sièges, elle écartait ses jambes au maximum, donnait des coups de pompes dans le tableau de bord. C’était incroyable.

Mais je n’avais pas encore tout vu. Alors que je continuais à la pomper à mort, elle poussa soudain un cri rauque et continu, qui semblait venir du fond de son être, et là, devant mes yeux incrédules, l’impossible se produisit : d’une main, elle tira sur mon poignet pour que je retire mes doigts, et c’est alors qu’elle expulsa un véritable jet de son urètre, avec une puissance folle. Il vint éclabousser le pare-brise ainsi que le tableau de bord. Eclabousser… que dis-je : arroser ! Le jet fut immédiatement suivi de deux autres aussi puissants, Stéph continuait ses vocalises.

Je n’en revenais pas. Je n’étais plus sur Terre, j’étais sur une autre planète. Cette femme éjaculait devant moi. Ce n’était pas possible. Etais-je en train de rêver ? Instantanément, l’idée germa dans mon esprit qu’il pût s’agîr d’urine, mais j’avais le sentiment au fond de moi que c’était impossible : Stéph était en train de jouir avec une force invraissemblable, et l’urine n’avait rien à voir là-dedans.

Et quand bien même, qu’est-ce que c’était beau !


Elle expulsa encore ainsi deux derniers petits jets, juste pour dire d’achever son siège… Ça en faisait cinq en tout. Elle continua à gémir encore quelques instants, prises de véritables spasmes, secouée en tous sens. On avait l’impression qu’elle venait de se vider. Littéralement.

Moi je n’osais pas la toucher, on avait l’impression qu’elle était en train de mourir. La voiture ne ressemblait plus à rien, elle était complètement trempée, un vrai champ de bataille, son siège n’était plus qu’une énorme flaque. Elle en avait même reçu jusqu’au visage et moi aussi, avec les projections, j’avais une grosse tache sur mon jean.

Remarquez, ça aurait pu être moi qui ait éjaculé, vu mon état d’excitation.


Elle se calma et commença à trembler, à sangloter. Immédiatement, je sentis que je devais la protéger, la consoler. Car ses sanglots se transformèrent rapidement en chaudes larmes. Elle m’embrassa partout, et ses spasmes diminuèrent progressivement, mais étaient encore assez intenses.

Je la consolai de tout mon coeur, lui dis des mots doux, je la rassurai. Il ne fallait pas qu’elle pleure maintenant, ce serait injuste, elle avait pris trop de plaisir pour ça ! Je l’embrassai sur tout le visage, je ne voulais pas qu’elle ait honte.

Dans un effort surhumain, elle dit juste :



Et nous nous sommes étreints très très longtemps. Et elle s’est endormie. Et le temps s’est arrêté…


Une heure plus tard, peut-être deux, elle a repris ses esprits. Nous en avons bien discuté, et je lui ai dit que j’avais déjà entendu parler de ce phénomène. Elle me dit que c’était la première fois, qu’elle ne comprenait pas ce qui était arrivé. Elle s’est encore excusée une bonne demi-douzaine de fois, elle était trop mignonne…


Puis nous avons arrangé un peu la voiture, mais le siège a mis plusieurs jours à sécher.


Pendant son sommeil, j’ai senti l’odeur et goûté le jus. Ce n’était évidemment pas de l’urine.


Comme j’en avais déjà entendu parler, je me suis douté qu’il s’agissait d’une femme fontaine, et j’ai remercié le ciel de m’avoir permis d’assister à ça !


Je ne compris que plus tard ce qui avait provoqué cette fontaine chez Stéphanie ce jour-là.


Mais ce que j’ignorais alors, c’est que cette éjaculation féminine n’était que la première d’une très longue série…