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n° 09056Fiche technique9939 caractères9939
Temps de lecture estimé : 7 mn
12/05/05
Résumé:  Au moment de se coucher... les filles prennent le lit, les garçons le canapé...
Critères:  hh copains fellation
Auteur : Julien Des Esperes            Envoi mini-message
Tout vient à point...

Depuis quelques temps déjà, je me demandais quelle aventure, je pourrais raconter… et ce matin au réveil, une vieille histoire m’est revenue, allez savoir pourquoi… peut-être parce que l’un des 2 protagonistes, de l’histoire qui suit, se marie ce week-end ?


Ca date de 3-4 ans environ, je ne me souviens plus exactement de l’année. Ce dont je suis sûr, c’est que l’été était à son apogée et que les journées à Nîmes étaient un véritable enfer. La nuit était alors salvatrice !


Un soir d’août, j’étais invité, avec Seb et Pierrine, des amis de fac, chez un couple d’amis, Lise et Nathan à un petit repas entre amis, comme on aimait les faire de temps à autres.

Comme d’habitude, menée par Lise, la conversation tournait autour du sexe ! Cette fille était la plus grande nympho que j’ai jamais connue ! Elle ne savait pas parler d’autre chose ! Nathan, un garçon plus discret, essayait tant bien que mal de calmer sa dulcinée mais se laissait prendre au jeu lui aussi finalement.

Il faut bien dire que l’alcool et la chaleur aidant, il était facile de « dévier », si je puis dire.

J’étais le seul homo de la bande, tout le monde était au courant et cette situation me plaisait bien ! On me collait des étiquettes (Adepte du sado-masochisme étant la plus récurrente) et j’en jouais.

Cette image SM, que l’on me donnait, venait surtout du fait que je suis un garçon plutôt fin et peu viril et que mon goût pour les mecs « les vrais » et « dominateurs » était avéré.

Nathan s’en donnait à coeur joie de jouer ce rôle pour mon plus grand plaisir. Dès qu’il buvait un peu, il se lâchait et aimait me « remettre à ma place » en me parlant comme à un gamin !

Un peu enivré par l’alcool, j’ai renversé mon verre… son contenu s’est vidé en travers de la table. Et alors que je me levais pour chercher une éponge, la voix de Nathan m’est parvenue :



Evidemment, accompagné des rires de mes amis, je me suis approché de lui. Arrivé à sa hauteur, il m’a attrapé par la nuque et en serrant, m’a ordonné de m’agenouiller. Sans attendre, je me suis exécuté… et devant ma soumission, à laquelle il ne s’attendait visiblement pas, il a juste dit, en me lâchant :



J’en ai ri bien sur, mais au fond de moi, ça a fantasmé dur… si bien que je fus pris d’une érection… que personne n’a remarquée heureusement.


La soirée a continué jusque tard dans la nuit et l’alcool a coulé a flot. Autant dire que nous étions HS, au moment de se coucher. D’ailleurs, Lise et Nathan ne voulaient pas prendre le risque de me laisser reprendre le volant et nous ont proposé à moi et aux autres de dormir chez eux. Seul Seb refusa et préféra rentrer chez lui à pied, puisque habitant à Nîmes.

Le problème qui restait était celui des lits. Qui dort avec qui ?

C’est Nathan qui proposa aux deux filles de prendre la chambre. Lui et moi, nous nous contenterions du canapé. Pour moi, évidemment aucun problème !

Nous retrouvant seuls dans le salon (qu’une mince paroi séparait de la chambre), il me dit :



Je restai dubitatif et le regardai sans rien dire. Il rit en me précisant qu’il plaisantait.

Le canapé, en fait un clic-clac, une fois déplié n’était vraiment pas large. Je me suis vite déshabillé, et ne gardant que mon boxer, je me suis couché regardant Nathan revenir de la salle de bain en caleçon. Il avait beau être blond, il était très poilu du torse comme des jambes. Avec son mètre 80 et ses 70 kg que je lui supposais, il me plaisait vraiment beaucoup. J’allais dormir avec lui et je n’en revenais toujours pas !

Ne voulant pas lui faire peur, je me suis tourné du côté du mur au moment où il s’est couché. On ne pouvait pas éviter de se toucher tellement c’était étroit. Je sentais sa jambe velue contre la mienne (pas mal poilue aussi) et à nouveau, mon sexe a pris de l’ampleur. Sans copain depuis pas mal de temps, il m’en fallait peu !

Je n’osais pas bouger, scrutant le moindre indice qui me dirait qu’il s’était endormi. Quand sa respiration devint lente, je me retournai lentement, découvrant alors à quel point il était proche ! Je ne savais trop quoi faire. J’avais des envies, mais je m’efforçais de me dire qu’il s’agissait d’un copain, qui plus est le petit copain de ma meilleure amie… mais la soirée me revenant en tête, je me suis dit qu’après tout, il m’avait bien cherché.

Je tentai alors de passer ma main au-dessus de son ventre et de délicatement la poser au niveau de l’élastique de son caleçon. Mon cœur battait la chamade ! Malheureusement au moment d’entrer en contact, il a tourné son visage vers moi et l’air de rien j’ai fermé les yeux et ramené illico presto ma main vers ma hanche pour faire semblant de me gratter ! Avant de réaliser qu’en fait, Nathan dormait bel et bien ! Je ne perdis pas de temps et d’un coup je posais ma main directement sur son caleçon. À partir de la, toute supposition était permise. S’il se réveillait et retirait ma main, je me retournerais, m’excusant de l’avoir réveillé malgré moi !

Et bien pas besoin, il ne broncha pas ! Délicatement, je bougeai mes doigts histoire de partir à la découverte de ce pour quoi je bandais, sans oublier cependant de surveiller sa respiration. Et celle-ci avait changé ! J’étais certain qu’il ne dormait plus !

Hésitant sur ce que je devais faire, je laissai passer quelques secondes. Aucune réaction… et ma main reprit son mouvement vers son sexe que j’atteins bien plus vite que prévu ! En fait, ce fut carrément lui qui vint à ma rencontre ! Il bandait et bandait bien fort. Le signal était clair. J’attrapai alors à pleine main son pieu d’une longueur raisonnable (15-16 cm ?) à travers le tissu alors que plus haut, ma bouche embrassait la peau de son épaule, descendant jusqu’à la forêt de poils où je trouvai un téton déjà bien dur…

Mais Nathan ne réagissait pas le moins du monde. Toujours allongé sur le dos, il profitait juste du plaisir que je lui procurais.



Voila ce qu’il me dit en baissant son caleçon que d’un mouvement, il enleva. Je vis alors briller dans la relative obscurité (les volets et fenêtres étaient ouverts a cause de la chaleur) son gland perlant de plaisir… Il ne m’en fallut pas plus pour approcher ma tête de ce pieux prometteur. Je devais tout de même faire bien attention, car le lit craquait pas mal dès que je bougeai un peu le corps… Nathan me le fit d’ailleurs remarquer avec ironie :



La position n’était pas pratique. Les jambes dans le vide, le buste en travers… je commençai tant bien que mal à lécher son gland, histoire de recueillir sa rosée. Nathan eut un petit soupir d’aise qui me donna du courage. J’avais mal au dos, mais je m’appliquai à lécher sa queue dans sa longueur, tout en malaxant ses couilles.

Assez vite, j’en venais à engloutir son gland, mais j’avais bien du mal à le sucer à cause de la position. Il s’en rendit compte.



Je ne me fis pas prier. À peine allongé sur le dos, il m’enjamba et vint présenter sa bite devant ma bouche.



Pas besoin de demander ! J’ouvris grand la bouche et il me l’enfonça le plus loin qu’il put ! De l’autre côté, j’avais enfin libéré mon sexe de mon boxer pour me branler doucement.

Il me ramona la bouche quelques minutes… J’avais parfois des haut-le-cœur, mais j’étais coincé ! Après tout, j’avais enfin ce que je désirais secrètement depuis pas mal de temps !

Sa respiration s’accélérait et je savais très bien ce que ça voulait dire et je ne pus m’empêcher de rire (si c’est toutefois possible, quand on a un sexe dans la bouche) lorsqu’il me demanda s’il pouvait jouir dans ma bouche. Je lui ai donc fait signe de la tête que c’était ok pour moi… Et après quelques allers-retours et dans un râle qu’il étouffa au maximum, il se déversa généreusement en moi ! Ce qui m’acheva et j’arrosai copieusement mon ventre agité de spasmes.

Après un petit tour à la salle de bain pour me nettoyer, j’ai retrouvé Nathan allongé de manière à me tourner le dos quand je serais couché. Il me dit juste une chose :



Et je me réinstallai sur le lit, lui tournant le dos moi aussi. Fatigué et rassasié. Mais un peu déçu de sa réaction finale. Il en remit une couche au bout d’un petit laps de temps :



La j’étais vexé. J’espérais alors m’endormir rapidement et c’est quand je le croyais endormi qu’il me dit :



J’ai juste souri, et me suis endormi, apaisé !