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n° 09084Fiche technique9645 caractères9645
Temps de lecture estimé : 7 mn
14/05/05
Résumé:  Les préliminaires d'un couple de 50 ans qui aime le sexe.
Critères:  fh hagé fagée couple gros(ses) plage voir exhib
Auteur : Azureen  (Homme de 52 ans)

Concours : Concours "Les préliminaires"
L'excitation n'a pas d'âge


Nous sommes un couple dans la cinquantaine, mariés depuis vingt-trois ans.


Nous essayons de ne pas laisser s’installer la routine. Bien que possédant tous deux un embonpoint certain, nous faisons en sorte d’adopter des tenues susceptibles de maintenir, l’un envers l’autre, une légère excitation. Pour ma femme, strings, jupe courte, chemisiers transparents, absence de sous-vêtements, sont de rigueur lorsque nous sommes ensemble. Pour moi, strings ou rien sous des shorts permettant à ma douce de me caresser si elle le désire. Habitant la Côte d’Azur, la météo clémente nous offre la possibilité de nous vêtir de la sorte une longue période dans l’année. Une plage naturiste proche de notre domicile nous permet de nous adonner au voyeurisme et à l’exhibitionnisme, ce dont nous sommes friands. Nous pratiquons avec un couple d’une autre région l’échange de photographies qui nous permettent lors de leur visualisation des séances d’excitation intense.


Notre embonpoint rendant la pratique du coït un peu difficile, nous remplaçons souvent celui-ci par de longs préliminaires au cours desquels nous arrivons à d’excellentes jouissances.


Tout d’abord une promenade en bord de mer, pendant laquelle nous offrons le corps de ma douce à la vue de qui veut s’en régaler. La jupe courte laisse entrevoir son minou sans culotte, lorsque nous nous asseyons sur un banc pour nous embrasser et nous caresser comme de jeunes tourtereaux. Là, mes mains vont titiller la pointe des ses seins, pendant que je l’embrasse et qu’elle se laisse aller à écarter légèrement les cuisses. Nous continuons notre promenade, ponctuée d’arrêts sur la plage, pour enfin nous allonger sur le sable. Si nous tombons sur un voyeur qui sait rester distant (nous ne désirons pas faire d’échangisme), nous lui offrons un spectacle au cours duquel il doit arriver à l’éjaculation. Ma douce écarte largement les cuisses et je lui caresse la chatte, ce qui la fait mouiller copieusement. Je lui glisse un doigt dedans et le ressort pour énerver son clitoris. Elle passe la main dans mon short et s’empare de mon pieu bandé, pour une petite branlette. En général le voyeur à déjà empoigné son engin et entamé une masturbation, souvent hors de son pantalon ou short !


Nous nous exposons ainsi (si l’endroit est assez désert), pour aider notre complice à arriver à la jouissance devant nous. J’ouvre le corsage de ma douce pour sortir ses seins, que je tète tout en la branlant. Toutefois nous faisons en sorte nous de ne pas jouir. Si le voyeur jouit devant nous, c’est assez dur de se retenir mais nous résistons. Ensuite nous retournons vers notre nid. Le parcours est marqué de stations où nous nous embrassons et nous caressons, ce qui maintient en nous une agréable pression. Bien sûr, tout ce temps, l’appareil-photo numérique a crépité pour immortaliser ces merveilleux moments, qui feront jouir nos amis correspondants. Arrivés à destination, nous utilisons indifféremment l’escalier ou l’ascenseur. L’un comme l’autre nous permet de laisser aller notre imagination. Poses érotiques pour d’excellentes photos, voyeurisme l’un envers l’autre, caresses, ponctuent notre ascension. L’entrée dans notre appartement ne marque pas la fin de notre petit jeu. Au contraire, c’est le début d’un autre où nous allons gravir un échelon sur l’échelle du plaisir.


Devant l’ordinateur, nous visualisons les derniers clichés expédiés par notre ami du web.


Lui et sa superbe épouse défilent devant nos yeux admiratifs, dans différentes poses et tenues, toutes plus excitantes les unes que les autres. En même temps, nous nous embrassons tendrement. Mes mains parcourent le corps de ma douce, je lui caresse les seins, par l’ouverture de son chemisier. Elle a les tétons tendus, résultat de l’excitation provoquée par les images qui défilent sur l’écran et des attouchements que je lui prodigue.


Ma bouche effleure sa peau dans le cou et descend vers sa poitrine. Elle remonte doucement pour aller lui mordiller les lobes d’oreille. Elle frissonne sous cette caresse. Elle se retourne et m’enlace pour me prodiguer un sublime baiser. Une de ses mains descend vers mon entrejambe pour s’occuper de mes bourses. Elle les malaxe pendant que sa langue mène un ballet effréné dans ma bouche. Je répond à ce baiser avec passion.


Nous décidons de faire une petite pose en dégustant une boisson fraîche, devant les photos qui défilent toujours sur l’écran. On peut y voir simultanément un homme et une femme dévoilant leur corps. Elle est très belle. Lui aussi, et ils nous offrent un spectacle raffiné digne de paraître dans la littérature érotique ou pornographique.


J’entraîne ma douce vers la chambre à coucher, je commence à la dévêtir, le chemisier qui n’est plus fermé tombe rapidement au sol.


Tout en la couvrant de baisers, je descend le long de son corps. Je fais une halte pour aspirer tour à tour chaque téton, et ainsi les faire bander. Je continue ma descente vers ce sexe parfumé qui m’attire comme un aimant. La jupe rejoint rapidement le chemisier sur le sol.


Je baise son mont de Vénus, et fais tourner ma douce pour appliquer mes lèvres un peu partout sur son cul. Je glisse ma langue au bas de sa colonne vertébrale, juste ou commence la raie culière. Je descends doucement vers son œillet. En même temps, sur l’autre face, ma main caresse sa chatte. Ma langue tourne autour de son orifice anal qui se contracte et s’ouvre, comme pour l’aspirer. Je m’arrête et nous nous allongeons sur le lit. Elle me déshabille rapidement, et tout en me masturbant, elle excite de la langue mes tétons, que j’ai très sensibles. Mon sexe est bandé comme un arc, sa main chemine lentement dessus, de bas en haut. Parfois elle descend pour malaxer mes bourses, et continue son chemin pour permettre à son index de venir tourner autour de mon anus. Je m’ouvre le plus possible pour l’attirer en moi. Elle mime une pénétration et recule aussitôt pour retourner vers mes bourses. Ses ongles griffent légèrement la peau un peu rugueuse à cet endroit. Un frisson me parcourt. Elle approche ses lèvres de mon vit qu’elle décalotte complètement avant de l’emboucher avec gourmandise. Sa langue tourne autour du gland, remonte vers le méat avant de laisser mon sexe s’enfoncer au fond de sa gorge. Elle se retire lentement et finit sa prestation buccale en me léchant le gland.


Elle se positionne sur le dos en écartant largement les cuisses, et m’invite à venir m’abreuver à sa source, d’où coule l’onctueuse cyprine dont je suis friand. Ma langue entame un ballet autour de sa grotte d’amour, pour la nettoyer de toute cette mouille odorante. Je lui excite le clitoris puis descends glisser ma langue entre ses lèvres intimes. Je la ressors chargée de cyprine et remonte à nouveau vers son clitoris. Je le tète et le mordille, elle se tord de plaisir. Elle affectionne particulièrement cette pratique. Quand son plaisir monte un peu trop en puissance, je quitte cet adorable jouet et redescends vers son cul. J’y enfonce ma langue que j’immobilise un petit moment. Quand son anneau relâche sa pression, j’effectue un lent va-et-vient en laissant mon appendice s’enfoncer de plus en plus. J’alterne ces mouvements entre sa chatte et son cul. Elle demande à s’occuper de moi, je quitte son entrejambe et la laisse reprendre en bouche mon sexe qui a un peu débandé. Elle lui rend rapidement sa raideur par une série de va-et-vient buccaux qu’elle maîtrise parfaitement. Sa langue parcourt ma hampe du gland jusqu’aux couilles. Elle les prend en bouche pour les faire rouler comme de gros bonbons. Elle va effleurer mon cul puis revient sur mon pieu. Quand elle sent ma jouissance venir, elle s’arrête. Nous marquons une petite pose pour ne pas venir tout de suite. Nous nous embrassons tendrement. Le calme revenu, je vais présenter ma bouche devant sa chatte et la couvre de baisers. Je lèche, j’aspire, je bois. Elle veut autre chose ! je vais chercher un glaçon, et après l’avoir pris en bouche pour qu’il paraisse moins froid, je lui glisse dans la chatte. Là, je la suce tout en lui mettant un doigt dans le cul. Le glaçon fond lentement et l’eau mélangée à la cyprine vient couler sur ma langue. Je bois ce nectar avec un plaisir non dissimulé. J’alterne l’action de ma langue sur son clitoris et à l’entrée de sa chatte, alors que mon index énerve toujours son anus. Avec la quantité de liquide qui s’échappe de son sexe, je n’ai aucune difficulté à joindre un deuxième doigt. Elle prend un réel plaisir à ce petit jeu.


J’insiste de plus en plus sur son clitoris, ce qui, combiné à l’action de mes doigts dans son derrière, la rend folle de plaisir.


Je cesse brutalement mes manipulations et m’allonge sur le dos. Elle se jette sur moi. Nous nous embrassons, sa main reprend possession de mon pieu. Sa bouche revient sur mes tétons qu’elle mord, avant de recommencer une fellation destinée à m’amener à la jouissance.


Elle aspire ma queue en me pelotant les couilles qu’elle abandonne de temps à autre au profit de ma rosace. Maintenant c’est moi qui suis fou de plaisir. Je l’insulte, mais comme elle adore cela, ça ne la calme pas. J’ai de plus en plus de mal à contenir ma jouissance. Elle s’en aperçoit, brutalement elle arrête tout.


Nouvelle pause pour reprendre nos esprits. Nous ne laissons pas trop retomber l’excitation, pour cela nous nous masturbons doucement en nous regardant. Elle est magnifique. Lorsque ses doigts sont bien imprégnés de sa mouille, elle me les donne à sucer. Je passe ma main sur sa chatte pour en récupérer le lubrifiant naturel qu’elle fournit, pour faciliter ma masturbation. Le plaisir reprend ses droits petit à petit chez chacun de nous, la pression monte, et maintenant …….