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Temps de lecture estimé : 7 mn
16/05/05
Résumé:  Un couple coincé redécouvre à 40 ans les joies simples du sexe.
Critères:  fh vacances plage nudisme 69
Auteur : Luc aime Marie

Série : Redécouverte à 40 ans

Chapitre 01 / 02
Redécouverte à 40 ans


Nous sommes un couple ordinaire de quarante ans ans. Nous menons une vie heureuse et sans histoire. Après quinze ans de mariage, nous sommes toujours très amoureux. Par contre, notre vie sexuelle était devenue très routinière, nous faisions l’amour une à deux fois par semaine, sans fantaisie : quelques caresses, la pénétration et dodo !

Ca convenait à ma Marie, ma femme, mais ça ne me satisfaisait pas. Depuis plusieurs années, j’ai souvent été tenté d’aller voir ailleurs, mais je n’avais jamais sauté le pas, par scrupules, par manque de temps …


Nous avons de bons amis, Françoise et Pascal, avec qui nous nous entendons très bien. Nos femmes ont le même âge à un mois près. Pour leurs 40 ans, nous avions décidé de partir ensemble en vacances à l’hôtel, au chaud, au bord de la mer…


Les deux premiers jours se sont passés en balades, visites, baignades… Nos nuits étaient un peu plus animées que d’habitude, normal en vacances, avec la chaleur et des dîners bien arrosés, mais encore très sages. Des étreintes tous les soirs, mais sagement.


Le troisième jour nous sommes partis nous promener. On nous avait indiqué une belle et grande plage à environ une heure de marche de l’hôtel


Une fois arrivés, nous nous sommes installés et soudain, la catastrophe. Françoise avait oublié son haut de maillot de bain. Pour elle qui était coincée, il n’était pas possible de bronzer les seins nus. Pascal a essayé de la convaincre, lui montrant qu’il y avait d’autres femmes sur la plage sans haut, mais ses tentatives n’ont pas eu de succès. .. Quand tout à coup, Marie a dégrafé son haut et l’a tendu à Françoise: « Prends-le » . Je n’en revenais pas, malgré mes nombreuses demandes je n’avais jamais vu Marie retirer son haut et se mettre seins nus en public. Surprise par cette proposition, Françoise a répondu en bougonnant, « C’est bon, je fais comme toi », c’était une première pour les deux femmes.


Depuis le temps que je connaissais Françoise, c’était une très bonne amie, mais c’était la première fois que je la voyais si femme et si désirable.


Nous nous sommes baignés, nous avons mangé et fait la sieste. La plage était très grande et nous avons marché tout le long. Arrivés au bout, nous nous sommes rendus compte que cette partie de plage était occupée par des naturistes.


Nous avions envie de nous baigner, mais ne savions pas que faire. Françoise a alors retiré sa culotte et nous a déclaré: « A vous les garçons à poil ! Vous vous êtes rincé l’œil ce matin, nous avons maintenant le droit d’en profiter !». Et d’un ton ironique elle a ajouté à l’attention de Pascal: « Puisqu’il y a d’autres hommes à poil, ça ne doit pas te gêner … ». Nous n’avions pas le choix, nous nous sommes déshabillés et Marie a suivi, un peu gênée.

Voilà comment deux couples coincés se sont retrouvés nus sur une plage.


La nouveauté de la situation a provoqué chez moi un début d’érection. Pour la dissimuler, j’ai attrapé par les bras Marie et Françoise et les ai entraînées dans un grain bain de vagues.


Avec les mouvements des vagues, j’ai découvert des sensations inconnues et agréables provoquées sur mon sexe libre. À un moment, dans les vagues, Françoise me dit d’un air narquois: « Visiblement, tu avais besoin de te détendre ?». Elle avait remarqué mon érection.



Après ce bain, étaler de la crème de bronzage sur le corps de Marie a été un supplice. Je connais bien son corps, j’aime le caresser et le masser, mais dans ce contexte, la sensualité était forte pour moi et pour elle. Bien que je fasse attention à ne rien provoquer, je la sentais réagir à mes caresses. Elle en rajoutait même. À côté, Françoise tartinait Pascal et insistait tout particulièrement sur son sexe que je voyais grossir, sous l’effet de caresses appuyées. Mon érection était repartie de plus belle. Marie, la voyant, m’a entraîné dans un nouveau bain et elle s’est occupé de moi. Je l’ai sentie venir se coller contre moi. Ses seins raffermis par les vagues pressés contre mon dos et ses mains qui me caressaient , me masturbaient et à un moment, elle s’est décollée de moi, a disparu pour revenir sous l’eau happer mon sexe dans sa bouche et le caresser avec sa langue. Depuis des années, je n’avais pas eu droit à ce genre de traitement.

Au bout de vingt à trente secondes elle est remontée à la surface et m’a embrassé goulûment avant de repartir poursuivre ce qu’elle avait commencé. Elle a fait ça deux ou trois fois, puis est revenue se coller à moi et a continué à me masturber. J’ai joui dans ses mains, dans la mer, en l’embrassant du baiser le plus passionné que nous nous étions donné depuis longtemps.


Quand nous sommes remontés, Pascal et Françoise avaient disparu. Nous nous sommes allongés, heureux, en les attendant. Ils ont réapparus une demi-heure après, venant de la dune. Des traces blanchâtres sur la toison de Françoise nous ont renseignés sur la cause de leur absence, ce que nous a confirmé Pascal: « On n’en pouvait plus, il fallait agir ! ». Puis, presque gêné: « N’allez pas croire que c’est dans nos habitudes, je ne sais pas ce qui nous a pris …» . On a tous les quatre échangé des sourires complices.


Nous avons terminé sagement notre après-midi sur ce bout de plage. En rentrant à l’hôtel, après une bonne marche avant le dîner, on a été à la piscine de l’hôtel. Françoise et Marie se sont baignées seins nus, ce n’était pas un oubli…


Depuis le temps que nous nous connaissions nous n’avions jamais eu un dîner aussi gai. Nous n’avons pas arrêté de rire. Nous n’avons pas parlé de notre journée, mais elle était présente dans tous nos esprits et les regards échangés en disaient long.


A peine revenus dans notre chambre, Marie et moi sommes tombés dans les bras l’un de l’autre pour un baiser passionné. Nous nous caressions fébrilement, nous nous sommes déshabillés mutuellement sans presque nous en rendre compte et nous nous sommes retrouvés nus sur le lit.

Nos mains et nos bouches se promenaient fougueusement sur tout le corps de l’autre, comme si c’était la première fois. Je passai de ses seins à ses fesses, à sa bouche, à son sexe, sans trop m’en rendre compte; j’ai le sentiment que pas une parcelle de mon corps n’a échappé à ses caresses et à ses baisers. Nous nous sommes retrouvés finalement tête-bêche dans un soixante-neuf infernal. Marie était au-dessus de moi et me faisait une superbe fellation, dont je ne l’aurais jamais cru capable. Le spectacle de ses seins qui balançaient en rythme quand elle montait et descendait sur mon sexe, était merveilleux. À plusieurs reprises, j’ai bien cru ne plus pouvoir me retenir, mais elle le sentait et variait ses effets, m’accordant alors du répit. Pendant ce temps, je savais où donner de la langue et des doigts, passant de son clitoris gonflé qui ne demandait qu’à être sucé à sa fente largement ouverte d’où s’écoulait un nectar dont je n’avais plus le souvenir.

Tous mes sens, le toucher, la vue, l’odorat et le goût étaient en extase.

Nos orgasmes sont arrivés en même temps, violents et intenses. Marie a reçu ma semence dans sa bouche pendant que je buvais son précieux liquide. Elle m’a complètement pompé, a tout avalé et a astiqué mon sexe avec sa langue, une vraie fée du nettoyage !

J’ai bu tout ce que je pouvais de cette source insoupçonnée. Un baiser mit fin à cette étreinte. Sa bouche avait un goût que je ne connaissais pas, celui de mon sperme, la mienne avait le goût de son nectar. Nos langues les ont mélangés.


Après, nous nous sommes effondrés, repus et apaisés. Marie était dans mes bras. On a passé un bon moment silencieux à profiter de cet instant extraordinaire.


La première, Marie s’est levée. Elles s’est rendue sur le balcon. Je l’ai rejointe. Elle s’est collée à moi et nous sommes restés un bon moment immobiles à regarder la mer, j’aurais pu la caresser, mais le seul contact de nos corps immobile nous suffisait, nous comblait.


Après un long moment, nous sommes rentrés et avons commencé à parler de cette journée qui nous a fait basculer d’un couple coincé à un couple amoureux et libéré, que de temps perdu !

Marie m’avait étonné le matin en retirant son soutien-gorge. Elle-même ne savait pas pourquoi elle avait agi ainsi. L’attitude de Françoise qui a retiré sa culotte et nous a ainsi obligés à le faire nous a autant surpris. Marie m’a avoué qu’elle avait hésité à suivre, mais que finalement, elle ne l’avait pas regretté. Nous n’aurions jamais cru Françoise et Pascal capables de ce qu’ils avaient fait : se mettre nus comme ça, aller baiser dans la dune et en revenir en le montrant aussi ouvertement. Par pudeur réciproque, nous n’avions jamais parlé de nos relations sexuelles avec eux. Sur le chemin du retour, Françoise avait dit à Marie combien leur sexualité était routinière, comme nous, et ne pas savoir ce qui leur avait pris.


Avant d’aller dormir nous sommes allés prendre ensemble une bonne douche réparatrice. Nous nous sommes savonnés mutuellement très tendrement. Un début d’érection se manifestant Marie m’a entraîné au lit. Nous avons commencé sagement, comme d’habitude, en missionnaire, quand Marie s’est dégagée, s’est mise à quatre pattes et m’a offert son cul. Elle s’était souvenue comme j’aimais la prendre en levrette. J’ai doucement rentré mon sexe dans sa fente, puis je me suis reculé, avant de reprendre des allers et retours, tantôt doux, tantôt appuyés. J’adorais la sentir se cambrer sous moi, mes cuisses tapant contre ses fesses. J’imaginais ses seins se balancer en rythme et j’entendais ses ronronnements de contentement. J’ai longuement éjaculé en elle et nous nous sommes tombés de sommeil et de bonheur.