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n° 09108Fiche technique7018 caractères7018
Temps de lecture estimé : 5 mn
18/05/05
Résumé:  Me rendant à Paris retrouver mon ami, je fais la connaissance de Claude et cède au plaisir de faire l'amour avec un inconnu.
Critères:  fh extracon inconnu train intermast fellation préservati pénétratio fsodo ecriv_f
Auteur : Martine Ike
Train à Petite Vitesse


Décidément ma vie n’est pas simple. J’ai le chic pour me mettre dans des situations pas possibles.

Un exemple au hasard : j’habite à Toulouse et mon ami Didier à Paris, mais s’il n’y avait que ça… Heureusement, la plupart du temps, c’est Didier qui fait le déplacement. Tant mieux, parce que j’ai toujours eu une peur bleue de l’avion. Quant au train Toulouse-Paris, c’est loin d’être un TGV, mais plutôt ce que j’appelle un TPV : « un Train à Petite Vitesse ». Autrement dit, l’ambiance, c’est trois minutes d’arrêt dans tous les ports de pêche. Ce qui fait qu’au final, on s’aperçoit qu’on a passé une bonne partie de la journée enfermé dans un compartiment.


La dernière fois que je l’ai pris, c’est en mars dernier. Je montais à Paris pour une semaine entière. J’étais folle de joie de pouvoir passer une semaine entière avec Didier. D’autant plus qu’il avait été impossible de se voir le week-end précédent.

Je suis partie un mardi matin, je m’en souviens comme si c’était hier. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y avait pas foule dans le train. Je n’ai eu aucune peine à m’installer dans un compartiment vide, côté fenêtre, pour pouvoir lire en paix.


A Montauban, un type est entré. Il s’est installé juste en face de moi. Il aurait pu s’asseoir ailleurs, ce n’est pas la place qui manquait. J’ai branché mon walkman et me suis replongée dans la lecture.

C’était un type d’une quarantaine d’années, plutôt beau mec. Il a sorti un magazine de son sac de voyage.

A partir de Brives, j’en avais un peu assez de lire. Le type m’a demandé s’il pouvait jeter un oeil sur mon bouquin. On a commencé à bavarder. Il s’appelait Claude, et travaillait dans une boîte de production télé. Il s’est mis à m’expliquer comment se fabriquaient les émissions et comment participer aux castings.

Je me suis vite aperçue qu’il ne pouvait s’empêcher de jeter parfois un coup d’oeil sur mes cuisses. Il faut dire que je portais une robe très courte. Mais curieusement, ça ne me gênait pas qu’il cherche à mater ma petite culotte. Je sentais même une sensation très agréable me parcourir le bas des reins. Peut-être le fait que je n’aie pas fait l’amour depuis une dizaine de jours.


A la hauteur de Limoges, il est sorti avec son paquet de cigarettes dans un compartiment fumeur. Quand il est revenu, j’étais debout dans le couloir, je regardais le paysage. Il s’est placé à côté de moi, on s’est remis à discuter, mais c’est vite devenu des choses plus personnelles. L’ambiance était vraiment sympa. Sans interrompre le fil de la conversation, il a relevé mes cheveux et m’a fait une bise dans le cou. Ça m’a fait drôle. Du coup, j’ai cessé de parler. J’étais comme… pétrifiée. Je ne suis pas du genre à flirter avec un inconnu quand je suis avec un mec, en plus Didier que j’adore. Mais à ma grande surprise, j’ai laissé faire Claude lorsqu’il a posé une main sur ma poitrine. Il continuait à m’embrasser dans le cou. J’ai senti son autre main qui se posait, sur ma jambe, remontait sous ma robe. Il a fait glisser un peu ma culotte. Puis sa main a lentement voyagé sur mes reins, a caressé mes fesses, fureté entre mes cuisses. Un de ses doigts s’est frayé un passage entre les lèvres de mon sexe. C’était vraiment très bon.

Je n’ai pas hésité une seconde à le suivre, lorsqu’il m’a prise par la main pour m’entraîner dans les lavabos du wagon. Il y avait pourtant un peu plus de monde à cette heure-là qui traînait dans le couloir.

Nous venions tout juste de quitter Châteauroux et quatre ou cinq voyageurs, nous ont vus nous engouffrer dans les toilettes en nous embrassant à pleines lèvres.


Claude a vite enfilé un doigt dans mon sexe tout en caressant mon clitoris. J’étais excitée comme une folle. Lui, avait dégrafé son pantalon gris. Je branlais sa bite. Pour tout dire, j’essayais de le faire jouir le plus vite possible de cette façon, car, même si j’en avais très envie, je ne voulais pas qu’il me prenne. Faire ça avec ce type que je ne connaissais presque pas… et dans le train en plus ! En même temps, on ne m’avait jamais caressée comme ça. Et voir sa queue si grosse et si dure… J’étais obligée d’utiliser mes deux mains pour le branler.

Alors quand je l’ai vu sortir un préservatif de sa poche et commencer à le dérouler sur son gland gonflé à bloc, je n’ai pas pu faire autrement que me retourner, relever ma robe et lui offrir mes fesses. Je pensais qu’il allait se déchaîner d’entrée.

Au contraire, il n’a enfilé qu’une partie de sa queue et il est resté en moi, sans bouger. En revanche, il ne se privait pas pour froisser mes seins et titiller mon clitoris. Ça me rendait folle. Je voulais qu’il bouge. Du coup, c’est moi qui me suis mise à bouger. J’avais trop envie de sentir toute la longueur de sa bite.

Puis il a commencé à me pilonner, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Il a mis du savon liquide sur un doigt qui a commencé à masser mon petit trou, sans ralentir les coups de reins.

A plusieurs reprises, je me souviens que l’on a frappé à la porte. Quand Claude a compris que j’avais envie de jouir, il s’est empressé de se retirer. Je l’ai supplié pour qu’il remette vite sa queue. Mais au lieu de la planter dans mon vagin trempé, il a présenté son gros gland à l’entrée de mon anus, abondamment huilé par l’eau savonneuse. Sans cesser de caresser mon clito, il a écarté mes fesses et son membre s’est engouffré dans mon petit trou.

Là, je crois que j’ai hurlé. J’avais un peu mal et en même temps la sensation de sa queue qui fouillait mes entrailles a déclenché la jouissance. Lui s’est alors retiré et a ôté sa capote avec peine.

Il m’a demandé de passer mes lèvres et ma langue sur son gland. Mais à peine avait-elles effleuré son gros bout que de longues saccades crémeuses ont explosé sur mes joues.


Après un brin de toilette, on a vite regagné notre compartiment. Dans le couloir, les voyageurs nous lançaient de drôles de regards. Alors que nous nous asseyions, le train a commencé à ralentir. On arrivait en gare d’Austerlitz, déjà. Je me suis vite levée.



Il perçut mon embarras et s’est contenté de sourire. Ça m’a fait drôle cette façon de se quitter.


Sur le quai, quand Didier me prit dans ses bras, Claude m’a légèrement bousculée, puis il m’a dit sur un ton distant :



Comme s’il ne s’était rien passé…