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n° 09109Fiche technique18176 caractères18176
Temps de lecture estimé : 13 mn
18/05/05
Résumé:  Dans quelques minutes, je vais m'envoler pour Madrid, vol Air France AF2300, décollage prévu vers 20h00, depuis le terminal 2F de Roissy-Charles de Gaulle.
Critères:  ff fbi inconnu fépilée avion volupté voir exhib noculotte intermast fdanus
Auteur : Alain_F            Envoi mini-message

Concours : Les préliminaires
Le ciel est parfois le plus bel endroit de la terre


Dans quelques minutes, je vais m’envoler pour Madrid, vol Air France AF2300, décollage prévu vers 20h00, depuis le terminal 2F de Roissy-Charles de Gaulle.


Un vol de nuit, tant mieux ! Bien que court (un peu plus de deux heures de vol), c’est souvent plus intime…

Je pars pour dix jours de périple à travers l’Europe du Sud, avec mon patron, un gars sympa, mais pas question de penser conclure : il n’est vraiment pas top… Toutefois, frivole et coquine comme je suis, je n’ai pas oublié d’emporter quelques fringues, quelques sous-vêtements sexy et quelques sex-toys dans ma valise. On n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise !


A cette idée, je suis d’ailleurs toute émoustillée… Comme par provocation, à travers ma jupe, je tire doucement sur le haut de mes bas pour bien les remonter… Je sens mon petit minou, à peine dissimulé derrière un string, qui commence à mouiller doucement… Un constat qui n’arrange rien. Bien calés dans leur soutien-gorge mes seins eux aussi se manifestent… Des petits frissons me parcourent le corps…


Au fait, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Sophie, j’ai 30 ans, je suis célibataire. Je suis brune, j’ai les cheveux courts, les yeux vert-noisette, je mesure 1m70, je pèse 58 kg. Je suis assez fine, j’ai des seins que j’aime beaucoup, bien qu’ils soient peut-être un peu petits (85B pour les amateurs de chiffres), très fermes, en forme de poires. Enfin, intimement, je suis intégralement épilée.


Je me sens tout à coup observée… Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même, il me semble que mon excitation se lit sur mon visage, et pas seulement sur mon visage… Je me retourne lentement pour découvrir à qui appartiennent les yeux qui font picoter ma nuque. Un bref tour d’horizon…

Un homme lit son journal, ce qui l’empêche totalement de me voir. Une jeune maman tente de raisonner son fils sur la sécurité des avions. Un couple s’embrasse goulûment, sans décence, dans le seul plaisir que provoquent les retrouvailles, ou la détresse d’une séparation. C’est peut-être eux… Ils ont l’air jeunes, et on ne peut plus passionnés. Mais non, perdu, ils sont trop concentrés l’un sur l’autre pour m’avoir vue. Ma tête tourne encore et je tombe enfin sur le regard qui me dévorait.


C’est celui d’une charmante brune, dont les yeux verts pétillent, la bouche pulpeuse esquisse un sourire quand mes yeux se posent sur elle, des seins lourds et généreux moulés dans un t-shirt gris, si près de son buste qu’il laisse deviner les coutures d’un fin soutien-gorge, de longues cuisses prolongées par des jambes galbées dans un pantalon noir. Elle baisse à peine la tête et une longue mèche bouclée vient s’immiscer entre ses lèvres. Elle rit en la dégageant. Je ne peux que sourire devant son charme, elle est mignonne à croquer, de haut en bas, je m’en aperçois lorsqu’elle se lève. Je suis du regard son délicieux fessier, ferme et rebondi. Que je suis heureuse qu’elle porte sa veste à la main et non sur elle : cela me donne tout loisir de la contempler ! Je la perds du regard en exhalant un long soupir.


Je me perds dans mes pensées, pensées qui n’assèchent en rien mon string, au contraire, je sens ma vulve palpiter, juste stimulée par le visage et le corps de cette jeune inconnue, et quelques frottements de mes cuisses, imperceptibles, mais suffisamment excitants pour que je n’en puisse déjà plus…

Quelle heure est-il ? Il me reste environ vingt minutes avant l’heure prévue de l’embarquement. Je m’interroge… J’ai très envie de mes doigts, là tout de suite, j’ai envie de caresser mon bouton d’amour, les jambes relevées sur le siège des toilettes, et de jouir très fort, très vite. Je me décide et vais aux toilettes pour "dames".

Quelles sortes de "dames" peuvent laisser cet endroit dans un état si pitoyablement écœurant ? J’abandonne, les odeurs putrides du lieu ont réduit ma libido à néant.

Je vais avaler un dernier expresso avant d’embarquer. Je ne peux m’empêcher de regarder sans cesse autour de moi, comme si je cherchais quelqu’un… Mais je cherche quelqu’un : ma jolie brune, si rapidement évanouie dans la nature.

Mon patron me rejoint devant la porte d’embarquement, je fais déjà la queue, ma carte à la main, des idées plein la tête. Il me parle, je ne l’entends pas, je repense à elle, à son regard, à sa bouche, à ses seins, mon dieu, ses seins. Que n’aurais-je donné pour les voir encore…


Je suis tirée de ma rêverie par un rire cristallin, il vient de derrière moi. Je me retourne, c’est elle, sa longue chevelure brune projetée en arrière. À chaque pas qu’elle fait ses seins rebondissent doucement. Je n’avais pas vu qu’elle était si jolie, vraiment, pas juste mignonne, mais avec ce truc en plus qui rend une femme tout simplement irrésistible. Je remarque d’ailleurs que beaucoup d’hommes ont les yeux braqués sur elle, et certains trahissent leur désir par le renflement de leur braguette. - Mmmmm… Toutes ces queues raides et gonflées, juste pour elle…


Je m’égare, il ne faut pas que je me déconcentre, je ne veux pas encore la perdre de vue. Elle avance en véritable femme-enfant, terriblement consciente du pouvoir que son corps exerce sur les yeux qui la croisent, et en même temps affichant un air d’insouciance on ne peut plus flagrant.

Elle m’attire. Si j’étais un homme je l’aurai abordée depuis tout à l’heure, mais je suis une femme, tout ce que je peux faire c’est l’admirer et sentir la mouille augmenter dans ma chatte contractée.

Soudain, je remarque un détail que mon état d’excitation certain m’avait fait omettre : elle tient une carte d’embarquement et semble s’approcher de la file que j’occupe. Se pourrait-il par bonheur que sa destination soit la même que la mienne ?


La minute qui suit semble ne jamais devoir se terminer. Comme au ralenti, je la vois qui s’approche, se rapproche et, finalement, prenant place dans la file d’attente, s’arrête juste derrière moi… Je suis comme pétrifiée, je sens mon cœur qui bat la chamade, ma chatte qui se contracte, tellement mon excitation est à son comble, je dois être rouge comme une pivoine… Heureusement, mon patron est absorbé par la contemplation de l’Airbus A320. Il est littéralement passionné par les avions…

Avec difficulté, je me suis résolue à la quitter des yeux, et au prix d’un effort surhumain, à me retourner… Malgré tout, mon trouble doit être parfaitement perceptible, d’autant que son parfum flotte jusqu’à moi comme si nous n’étions que toutes les deux… Rien qu’à cette pensée, je sens que rien ne s’arrange, toutes les deux, toutes les deux, le rêve !


Pour tenter de retrouver une contenance, et comme l’embarquement n’a pas encore commencé, je décide de me plonger dans la lecture du dernier numéro de Elle que j’ai acheté tout à l’heure… Je l’ouvre au hasard et je commence ma lecture… Sans vraiment prêter attention à ce que contient l’article, tout en lisant, je me retourne un peu pour pouvoir contempler son corps… La tête penchée sur je ne sais trop quel article, mes yeux, eux, font l’école buissonnière, parcourant des lignes beaucoup plus attirantes…


C’est à ce moment-là que mon patron me donne un léger coup de coude dans les côtes, me rappelant à la dure réalité… Une fois de plus… L’embarquement débute et comme d’habitude, on commence par appeler les passagers voyageant en première… Un instant de flottement se produit… Un peu surpris, mon patron m’attrape par le bras et nous nous faufilons vers les bornes d’accès…

Comme un robot, je tends ma carte d’embarquement, l’hôtesse la passe dans la machine puis me la rend… Tirant ma valise presque mécaniquement, je m’engage dans la passerelle d’accès à l’avion… J’aperçois mon patron quelques mètres devant moi, et soudain, à mes côtés, ma belle inconnue…

Dans un sourire exquis, elle engage la discussion sur un mode tout à fait banal, du genre "Alors, vous aussi, vous allez à Madrid…". Un mode tout à fait banal, mais qui me fait un effet fou… Je réussis malgré tout à garder mon calme et à ne pas lui sauter dessus pour la déshabiller sur le champ, tellement j’ai envie de son corps… Tout au long de la passerelle, nous bavardons de tout et de rien…


Arrivées à la porte de l’appareil, je la laisse passer, une occasion de plus de la contempler discrètement… Je suis donc presque collée contre elle lorsque le steward lui indique sa place, 3F… Puis vient mon tour, et elle m’attend…



De nouveau, elle me précède… Comme son rang est avant le mien, j’attends qu’elle s’installe… Lorsqu’elle se baisse pour attraper sa valise et la monter dans les coffres à bagages, le spectacle qu’elle m’offre est féerique… D’abord, quand elle se baisse pour attraper sa valise. Si tout à l’heure son tee-shirt me laissait deviner les coutures d’un fin soutien-gorge, son pantalon, lui, ne laisse aucun doute ou presque : je pense qu’elle ne porte pas de culotte… Ensuite, quand elle monte sa valise, son tee-shirt moule encore plus ses seins qui semblent énormes. Surtout, il remonte, laissant voir son ventre… Sa peau a l’air superbe, elle est bronzée et semble très douce…

Elle s’excuse, je lui dis que ce n’est rien, elle se glisse vers son siège, mais sans s’asseoir… Mon patron, lui, est déjà installé, le nez plongé dans une revue d’aviation… À mon tour, je hisse ma valise dans les coffres et, alors que je m’apprête à m’asseoir, je me rends compte que ma belle inconnue est toujours debout et me regarde…



Sur ces mots, elle s’approche et, au lieu de tendre la main comme j’aurais pu m’y attendre, elle se rapproche encore, avec comme intention claire de me faire la bise… Un peu interloquée, je ne me démonte pas et je sens avec délice sa joue contre la mienne…

Nous échangeons encore quelques banalités, puis, dérangées par des passagers, nous regagnons chacune notre place… Assis à côté de moi, mon patron, toujours plongé dans sa lecture, n’a rien remarqué de ce qui venait de se passer, à mon grand soulagement… Quelques minutes passent encore et après quelques allées et venues, les hôtesses entament leurs consignes de sécurité alors que l’avion s’ébranle. Dans l’espace Affaires, nous ne sommes pas bien nombreux, un coup d’œil furtif m’a permis de compter à peine une dizaine de personnes, surtout vers le fond… Devant moi, j’aperçois Émilie sur ma gauche et tout devant, un homme, seul, collé au hublot… Inquiet ou passionné ?


Quelques minutes après le décollage, le pictogramme qui nous cloue à nos sièges s’éteint, et je déboucle ma ceinture… Quelques minutes passent encore et soudain, un "Psiiit" me tire de mes songes. Émilie s’est un peu relevée et attire mon attention. De la main, elle me fait signe de venir… Une invitation que je ne peux et ne veux pas refuser… D’un mot je m’excuse auprès de mon patron qui grommelle, toujours captivé par ses histoires d’avions.

Je me lève et me glisse à côté d’Émilie. De nouveau, comme à chaque fois depuis le début, la discussion s’engage sur des banalités… Moi, n’en pouvant plus, je ne cesse de faire crisser mes bas l’un contre l’autre, comme une invitation au viol… Elle, comme indifférente, me parle de tout et de rien, tout en regardant le plus souvent par le hublot… Les minutes passent et je finis par me dire que rien ne se passera, qu’elle se sentait juste seule et qu’elle avait envie de parler… C’est vrai qu’une fille comme elle doit pouvoir se taper autant de mecs qu’elle le veut rien qu’en claquant des doigts, alors pourquoi s’intéresserait-elle à une nana… D’ailleurs, au bout de quelques minutes, le personnel de bord commence à nous servir une petite collation…


Une fois notre rang servi et alors qu’ils s’éloignent, je sens la main d’Émilie se poser sur ma cuisse, suffisamment haut pour que ce ne soit pas un accident… Instinctivement, j’entrouvre mes jambes, mais je n’ose pas tourner la tête… Je n’ai pas envie de briser cet instant magique ! Je reste donc aussi concentrée que possible sur le "plateau" que j’ai devant les yeux… Sa main, elle, reste concentrée sur son objectif… Après m’avoir délicatement massé les cuisses, elle commence à remonter doucement, relevant un peu plus ma jupe… Ses doigts abordent la couture de mes bas et commencent à la suivre, juste au-dessus, de façon à sentir ma peau… Comme pour augmenter mon trouble, une hôtesse passe, rapidement et sans rien voir… Mais le risque de se faire surprendre et donc de voir ses caresses s’arrêter m’oppresse. J’écarte donc encore un peu plus mes cuisses.


C’est à ce moment précis que j’entends mon patron m’appeler… Émilie enlève sa main… Je respire profondément pour évacuer l’énorme tension qui m’envahit et sans regarder Émilie, je tire sur ma jupe, je me lève et je rejoins mon patron… Il a quitté son magazine pour se plonger dans son ordinateur portable… Bien sûr, il a besoin de quelques précisions sur ce que je lui ai préparé dedans… Surtout, il déteste ne pas tout contrôler et j’étais quelques instant auparavant, à son goût, beaucoup trop loin de lui… Et encore s’il savait ! La mise au point ne me prend que quelques minutes et avec son accord, je rejoins Émilie…


Elle est toujours à sa place, mais elle a abrité ses jambes sous une couverture… Je m’assois et elle me susurre à l’oreille :



J’ai vite compris son stratagème et je ne perds pas de temps. Sur le siège voisin, j’attrape le précieux objet, véritable sésame pour le plaisir… Je m’apprête à m’en recouvrir les jambes, mais elle prend les choses en main… Mélangeant la sienne avec la mienne, elle n’en fait en réalité plus qu’une, mais de façon à ce que cela ne se voie pas… Au passage, elle me glisse :



Ainsi installées, sa main reprend son exploration, mais cette fois à l’abri des regards indiscrets…


Il nous reste grosso modo une heure de vol et j’ai envie de partager beaucoup de sensations avec elle. Je tourne la tête, pour attraper son regard. C’est le moment qu’elle choisit pour plaquer sa main tout contre ma chatte et donc mon string, qui est littéralement inondé. Bien qu’elle s’en soit sûrement douté, lorsqu’elle s’en rend compte, elle plonge ses yeux dans les miens et avec un parfait air de salope, me dit :



Elle masse l’ensemble de ma chatte, retardant le moment où elle franchira la dernière barrière qui protège encore ma fente. De mon coté, je ne reste pas immobile et ma main est aussi partie à l’assaut de ses cuisses. J’en suis le galbe. Elles sont fermes. Rapidement, je rencontre la couture d’un bas mais, contrairement à moi qui porte des Dim’ Up, je trouve ensuite l’attache de son porte-jarretelles.

Je poursuis mon exploration plus en avant jusqu’à ce que mes doigts atteignent leur destination : sa chatte. Là encore, elle est plus osée que moi puisque rien ne me barre le passage vers son intimité. Sa chatte, imberbe, est là, à l’air déjà dégoulinante. C’est donc sans rencontrer aucune résistance que mes doigts s’enfoncent dans ses chairs. Quand je glisse entre ses lèvres, elle écarte mon string et elle aussi envahit ma chatte.


Simultanément, une onde de bonheur parcourt nos corps. Elle comme moi, nous nous mordons la lèvre pour réprimer le gémissement qui aurait dû jaillir de nos corps tendus à l’extrême.

Les minutes qui suivent sont autant d’instants de plénitude où l’une et l’autre nous doigtons mutuellement. Une fois encore, c’est elle qui prend l’initiative d’aller un peu plus loin. Suivant le chemin que suit le flot de ma mouille, elle glisse son doigt vers mon anus. La position que nous avons ne nous laisse pas beaucoup de latitude et j’avance donc mon bassin plus au bord du siège en faisant mine de m’allonger pour lui ouvrir le passage vers mon petit trou.

Elle arrive donc à peser sur ma rondelle avec le bout du doigt. Quelques pressions plus tard, ma corolle s’ouvre comme par enchantement et je sens une première puis une seconde phalange prendre possession de mon cul. C’est plus que je ne pouvais en supporter et dans un soupir que je n’arrive pas à étouffer, je fonds sous ses doigts. Toute à mon plaisir, je cesse un instant mes caresses à son minou.


Il me faut quelques minutes pour revenir sur terre. Pendant ce temps, je sens ses doigts qui quittent mon corps. Je la vois qui sort alors sa main de sous les couvertures. Elle est luisante de mes sécrétions et sans me quitter des yeux, elle la porte à sa bouche.

Elle en profite pour adopter la même position que moi, m’incitant du même coup à reprendre mes caresses. Sans délai, je m’exécute. Ce sont maintenant trois de mes doigts qui fouillent sa chatte et je sens qu’elle est totalement ouverte. Pourtant, même si l’envie me tenaille, je renonce à envahir davantage son minou.

En revanche, tout comme elle l’avait fait, je sors mes doigts imbibés de sa cyprine, je suis son périnée pour rejoindre son œillet plissé. Je m’attendais à trouver un petit trou excité, entrouvert, mais c’est un anus dilaté qui m’attend. Sans aucun effort, deux puis trois de mes doigts sont littéralement avalés par son cul. Je vais et je viens pendant de longues minutes dans ce trou surexcité.

Je sens sa respiration qui s’accélère, son sphincter qui se contracte de plus en plus, sa mouille abondante qui me coule sur le poignet.

D’un seul coup, elle serre très fort les cuisses et je vois son autre main qui se contracte sur l’accoudoir tandis qu’elle ferme les yeux en pinçant les lèvres. Quelques minutes après moi, elle vient d’avoir un orgasme puissant mais silencieux. Après quelques contorsions pour redescendre nos jupes et glisser nos couvertures inondées par terre, nous nous regardons dans les yeux et échangeons furtivement un court baiser.


A cet instant, la voix d’une hôtesse retentit :



Je me lève pour rejoindre mon patron. Pour faire bonne mesure, tout comme au commencement, je me penche pour lui faire la bise, tout en lui glissant un "Merci" suave à souhait. Elle me répond d’un clin d’œil en me tendant sa carte de visite.