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n° 09113Fiche technique15043 caractères15043
Temps de lecture estimé : 9 mn
18/05/05
Résumé:  Jeux érotiques, mari voyeur, femme soumise explorant son masochisme.
Critères:  h fh cocus copains fépilée fsoumise hdomine voir hmast sm bondage fouetfesse piquepince init
Auteur : Le_Syd  (Homme cérébral)      
Christine revélée


Christine a 32 ans, c’est une amie, très belle, brune aux cheveux noirs de jais, aux yeux rieurs d’un bleu lumineux digne des lagons coralliens, une bouche fine mais délicieusement dessinée… Joli corps, un brin androgyne du fait d’une taille peu marquée et de hanches étroites et, pour finir la description, dotée d’une belle poitrine en poire, ample et généreuse.

Je connais Christine depuis une quinzaine d’années . Nous avons partagé quelques frasques légères mais de courte durée au début de notre relation. Très vite, elle s’est trouvé un mari, Jean, avec qui nous sommes devenus bons amis.


Il y a deux ans de cela, m’est arrivée une aventure exceptionnelle avec Christine, une de ces aventures qui s’ouvre, telle une parenthèse, sans lendemain, un moment de pur plaisir. Cette aventure, je me décide à vous la relater ici, au sein de ce splendide site que j’ai récemment découvert et dont je remercie les créateurs au passage !


Jean, peu doué pour le bricolage ou la mécanique, m’avait prié de jeter un œil au vélo de Chris, qui ne cessait de dérailler.

Pendant la semaine, je me rends donc chez eux, une belle propriété sise sur un petit parc d’un bon hectare dans la campagne béarnaise. Jean travaille dans la maison. Chris, vêtue léger comme à son habitude, m’accompagne dans la grande remise qui fait office d’atelier. Jupette courte sur ses jolies jambes fines, t-shirt ample et informe sous lequel ses seins lourds oscillent librement.


Je retourne la bicyclette en prenant soin de desserrer le rétroviseur afin de le retourner, et démonte la roue arrière, la chaîne, le pignon et ses roulements…Chris ne cesse de me tourner autour, et la douce température de ce mois de septembre nous met dans un état particulièrement réceptif… J’en suis du même coup agacé, parce que je me sens plus enclin à la galipette qu’à nettoyer les roulements d’une bicyclette !!! A force de me tourner autour, Chris renverse la petite boîte métallique dans laquelle les billes des roulements trempent dans de l’essence ! Sur le coup, je la regarde d’un œil excédé :



Son rire cristallin enchante l’air et elle me rétorque avec un air très coquin - pour ne pas dire mutin :



Je lui lance un regard noir, qui doit lui téléphoner l’excitation sensuelle dont je déborde. J’essuie mes mains sur un chiffon et lui dis d’un ton calme, ferme et autoritaire :



J’ignore si elle ne va pas se débiner d’une pirouette… Il suffit de si peu pour faire basculer une situation d’un état à l’autre… Mais son sourire s’efface lentement… Je lis dans ses yeux le doute ou l’envie, l’hésitation…



Je ne la laisse pas finir :



Elle se prend à rougir, perdant soudain son assurance… Elle hésite encore une fraction de seconde, puis fait un quart de tour pour se placer face à l’établi, y prend appui d une main pour, de l’autre, relever sa jupette sur ses reins cambrés. Bon sang, quel cul ! Un cul de Black, recouvert d’une culotte de coton type boxer, bleu pastel…



Elle n’émet aucune protestation à se mettre en position plus offerte… Cette fois, entre ses cuisses, le renflement de ses lèvres rejaillit avec un tel détail, parfaitement moulé par le tissu, que je devine qu’elle est glabre.


Je m’avance et lève sans hésiter la main, pour lui assener un belle claque sonnante seulement amortie par sa culotte.



Elle se retourne pour me transpercer de son regard bleu, les sourcils froncés…



Sa voix n’est plus qu’un murmure gêné.

Déstabilisée par mon exigence, elle bat des cils, son regard reprenant un air déconfit… C’est alors que j’ai un coup au cœur !!! Un énorme coup au cœur ! De l’endroit où je me trouve, un imperceptible mouvement dans le rétroviseur du vélo posé au sol a attiré mon regard. L’image de la tête de Jean regardant par la petite ouverture vitrée d’un des pans de la remise. Que faire…


Les choses sont trop avancées pour dignement faire marche arrière, me dis-je alors : Chris vient de reprendre sa position, cul tendu, et attend fébrilement la claque suivante… Je réfléchis à ma situation plutôt délicate : Jean ne bouge pas, il n’a apparemment pas vu que le rétroviseur avait trahi sa présence et s’il reste là…

J’abaisse la main pour prestement claquer de bas en haut le rebondi du cul offert… Petit sursaut, petit cri, plus de surprise que de douleur… Je cherche plus à l(es)’exciter qu’à lui faire mal, encore que pour Jean, sa situation doit être pire : il doit avoir un sacré nœud au creux de l’estomac à regarder sa petite femme dans cette position…



Jean a l’air de chercher une meilleure position… Je commence à me sentir plus à l’aise… Je souris alors que Chris se tend dans une position plus indécente encore, qui me laisse apercevoir une petite tache sombre en amande effilée le long de sa fente… Je décide de pousser mon avantage…



Légère hésitation. Chris lâche l’établi pour se redresser, sa jupe retombe sur ses fesses et elle glisse ses mains dessous pour retirer sa culotte.



Elle obéit et la tend en baissant les yeux. Je m’en saisis, la porte à mes narines pour humer l’odeur puissante et épicée des effluves que son con, malgré elle, y a déversé.



La remarque lui extirpe tout l’air des poumons, et la montée de sang qui empourpre ses joues se joint à celle qui fait enfler ma queue… Je la sens vibrer dans mon boxer noir, s’étirer…



Un coup d’œil à la remise pour en faire un bref état des lieux… Là, tout prés, des tas de branchages fraîchement coupés, avec de longues et fines ramures lisses et souples : idéal. Et en sus, les deux cordes à linges égrainées de pinces multicolores… Parfait, parfait !!!

Je tends le bras, me saisis de quelques pinces… Chris me regarde par en-dessous avec de grands yeux et une mine de chien battu, le menton encore baissé… J’approche, lui saisis le bord de la jupe pour, de deux pinces placées au niveau des hanches, la lui maintenir relevée… J’en profite pour regarder son sexe. J’en reconnais les lèvres saillantes, qu’elle n’avait pourtant pas lisses à l’époque. J’y pose la main, elle s’ouvre pour se laisser toucher.



Elle le relève, ses seins accrochent le rebord du vêtement, se relèvent un peu avant de céder sous leur poids et reprendre leur place en un léger balancement délicieux… Je saisis ses pointes entre les doigts, et les lui roule un moment, étirant simultanément ses aréoles qui se fripent effrontément, tendant ses tétons qui se durcissent sous l’action de mes phalanges. Prenant une pince, je l’approche de son sein. Elle arrête de respirer, le regard fixé sur cette main qui va lui infliger la pression ferme à laquelle elle aspire et qu’elle redoute tout à la fois… Je laisse les mors de la pince se refermer lentement sur les bords extérieurs de l’aréole turgescente… Elle murmure un « Mmmmhhh » qui s’échappe de ses lèvres, en plissant les yeux, en tordant légèrement sa bouche, mais conserve ses mains où elles se trouvent. L’autre téton subit le même sort. Je fixe enfin deux nouvelles pinces pour maintenir le tissu au niveau des clavicules, de façon à libérer ses mains.


Un bref regard au rétro m’apprend que Jean s’est juste un peu hissé pour mieux voir, il me semble qu’il est rouge. Un petit mouvement rythmique, signe qu’il agite une main quelque part, fait remuer de façon saccadée sa tête de droite à gauche.

Je me déplace à l’opposé, à la recherche d’une fine tige flexible, dans le fagot entreposé contre le muret. L’élagage étant récent, elles ont gardé la souplesse de jeunes branches vertes. Je brise l’une d’elles pour n’en garder qu’une longueur d’un bon mètre, me rapproche de Chris, qui n’ose souffler mot. J’insère la flinguette improvisée entre ses jambes, la fait remonter en frôlant l’intérieur de sa cuisse jusqu’à buter contre son sexe. Mouvement de poignet vers le haut pour y imprimer une pression, je ne regarde même pas si la fine tige s’est incrustée entres ses lèvres ou si elle est calée entre la jambe et la fente, je la regarde dans les yeux.



Je tire lentement l’instrument à moi, lui imposant un mouvement de rein en arrière, dû au frottement de la branche sur sa peau ou sur sa vulve. Puis me place de façon à tourner le dos à la fenêtre où se tient Jean. De côté par rapport à Chris, j’appose la badine sous ses seins :



La lèvre tremble, le regard se trouble, mais les mains obéissent, présentant de ce fait ses humiliantes décorations mammaires qui montent et descendent au rythme de sa respiration plus lourde… Humiliantes parce qu’elles provoquent une chair de poule qui hérisse sa peau hâlée, humiliantes parce que cette sensation puissante qui lui mord les bouts de seins participe intensément à son état d’excitation, humiliantes parce que sa fente, que les doigts de ma main libre entrouvrent, est humide au point de laisser son jus de plaisir s’écouler sur ses cuisses.

Je laisse tomber la flinguette de biais, la ramène dans un sifflement vers son buste, faisant fouetter celle-ci pour qu’elle frappe de concert le dessous de ses deux globes.



Elle se plie en avant, ses mains quittent sa nuque par réflexe mais n’achèvent pas leur mouvement… Elle les replace aussitôt, puis se ravise :



Elle me regarde, me dévisage, les yeux ronds de la surprise et de l’étonnement provoqués par les sensations que ses seins lui offrent. J’acquiesce d’un hochement de menton, deux doigts entre ses lèvres lui titillent le clitoris qui gonfle… Elle se tend, offre son bassin d’un mouvement…



Elle hoche la tête, se demandant probablement comment elle se retrouve dans cette situation, comment elle l’accepte, pourquoi cela l’excite à ce point !



Je me prépare à lui pincer le clitoris cette fois, en même temps que je la fustige à nouveau, et là, elle se courbe, en lâchant un râle dont la signification est à mi-chemin entre douleur et plaisir. Son bassin recule aussi et son bouton gluant de jus m’échappe. Je sais que la sensation du coup sec mais sans violence que je lui ai porté juste sous les pinces, combiné au flash lancé par son clitoris s’échappant de mes doigts serrés ont produit leur effet… Elle est au bord de l’orgasme…



Elle me regarde comme si elle était éperdue de douleur, mais je sais fort bien doser la force des coups. Et son visage tordu ne l’est que par la force du plaisir inconnu qui l’assaille ! Elle se positionne à nouveau, fléchissant les genoux pour poser sa fente sur mes doigts ouverts et attendant. Cette fois, je ne veux pas qu’elle m’échappe. L’index et le majeur joints, je force l’entrée de son con qui m’avale les deux premières phalanges. Elle gémit, ahane et ondule des reins. Je cherche du pouce et de l’annulaire, réunis en pince, l’excroissance de chair sensible, la trouve… La serre…



Cette fois, j’arme un peu plus encore la flinguette, visant une nouvelle fois sous les seins. Le sifflement, suivi du claquement du bois frais sur sa peau, le recul de son bassin, de son corps, et elle part dans un tremblement qui la secoue, ses yeux se voilent, se révulsent… Un long râle s’échappe de ses lèvres… Je la lâche, elle prend appui contre l’établi, cherchant à reprendre ses esprits. Jean a déserté son poste… J’aurais volontiers usé de sa bouche pour satisfaire mon envie de jouir… Je préfère en rester là, me contentant de lui lancer un :



Et je quitte la remise… La laissant, là, pantelante…


Jean se trouve sur la terrasse, préparant l’apéritif. Il a juste un petit air gêné que je n’aurais meme pas relevé si je ne savais pas.