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Temps de lecture estimé : 11 mn
22/05/05
Résumé:  Suite des aventures de Balou et d'Angela.
Critères:  f fh fhh fhhh hagé fagée jeunes couple extracon ascendant alliance vacances plage voir fmast fellation pénétratio sandwich fsodo
Auteur : Balou  (Epicurien et amoureux des femmes)            Envoi mini-message

Série : La Dolce Vita

Chapitre 07 / 08
Amours en Sicile


Bettina accueillit dans sa gorge la sève chaude de son gendre, elle avala ce nectar pour ne pas en perdre une goutte. Elle caressa les cuisses velues de cet homme qui la rendait folle. Sa bouche ensuite couvrit de baisers le ventre musclé, ses doigts jouaient avec les poils, ses dents mordillaient les tétons de Balou.

Celui-ci s’abandonna aux caresses de sa belle-mère de longues minutes encore.

Ensuite la bouche de Bettina remonta dans son cou, elle lui mordilla le lobe de l’oreille avant de trouver ses lèvres pour un baiser tendre.

Balou lui rendit son baiser avec fougue, jusqu’à perdre haleine. Décidément la bouche de Bettina était tellement douce et chaude !



Elle continuait à jouer avec les poils de sa velue poitrine, elle s’amusait à en faire de petits nœuds de ses doigts agiles. Ils étaient allongés côte à côte et se caressaient mutuellement leur peau bronzée.

Ensuite Balou proposa à Bettina de piquer une tête pour se rafraîchir, chose qu’ils firent, en batifolant tels des adolescents.

L’après-midi touchait à sa fin. Tous les deux prirent le chemin du retour vers la propriété.


Angela les attendait, assise en terrasse et buvant un gin tonic glacé.



Bettina et Balou s’esclaffèrent de rire.



Ils savourèrent en silence ce doux breuvage.



Balou ne pipa mot, il observait l’échange entre la mère et sa fille. Bettina accepta de les accompagner malgré tout.


La nuit était chaude. Maria habitait également en bord de mer, non loin de la maison de Bettina, étant la fille de sa femme de ménage.

On dénombrait une bonne vingtaine d’invités sur la terrasse donnant directement sur la plage, buvant et dégustant des antipasti. Balou avait une faim de loup. Il se jeta sur le buffet et dévora des petits plats à base de poivrons et divers légumes farcis baignant dans l’huile d’olive. Un vrai délice pour ses papilles de gastronome.

Balou fit la connaissance de Maria, délicieux petit bout de femme brune, ressemblant étrangement à une de ses anciennes secrétaires. Elle baragouinait un peu le français que lui avait enseigné Angela. Maria vivait avec sa mère, veuve elle aussi, comme son amie Bettina. Balou se dit en riant que, sacrebleu ! les hommes étaient laminés par les femmes, dans ce village !


La soirée battait son plein, les invités buvaient et mangeaient sans se soucier du lendemain, c’est du moins la nette impression qu’eut Balou.

Angela lui tint compagnie quelques instants avant de se faire happer par un troupeau d’amis qui l’entraînèrent vers la plage. Les convives avaient allumé un feu et jeunes et moins jeunes se trémoussaient au rythme de la sono sur des tubes italiens. Angela ne se priva pas de se joindre à cette bande de joyeux drilles.


Balou squatta le bar, il goûta à la bière locale, car l’excès de vin blanc ne lui convenait pas. Il se tenait un peu en retrait, à l’ombre, sur la terrasse. Se rappelant les épisodes amoureux de la journée, il sourit intérieurement en comptant le nombre de fois où il avait joui et éjaculé cette après-midi. Bettina le rendait dingue. Serait-il en train d’en pincer pour une femme quinquagénaire ? Lui ? Certes, sa belle-mère lui avait procuré un plaisir orgasmique inouï, comme rarement il en avait éprouvé, mais nom de dieu, cette femme était un démon !


Soudain il perçu un feulement au-dessus de lui. Balou leva sa tête et vit au premier étage une pièce légèrement éclairée. Il quitta la terrasse et marcha le long du mur pour se trouver juste en-dessous de la fenêtre. Là, il constata ce qu’il pressentait. Des gémissements s’échappaient du premier étage. Il tendit davantage l’oreille et compris qu’un groupe de personnes copulait. Son verre de bière à la main, il se mit en devoir d’approfondir sa curiosité, l’alcool qu’il avait bu l’aidant aussi.


Il gravit à pattes de velours l’escalier en bois massif, tel un chat sur un toit brûlant - c’est ce qu’il se dit en arrivant à l’étage. Il posa délicatement son verre et débuta ses investigations.

Avançant pas à pas dans le couloir, Balou n’eut pas longtemps à attendre pour trouver l’origine des gémissements. Ceux-ci provenaient d’une chambre dont la porte était entrouverte.

Balou reconnut immédiatement la voix de Bettina. Seule une petite lampe de chevet éclairait la pièce.


Balou écarquilla les yeux en voyant le spectacle qui s’offrait à lui. Sa belle-mère était prise en sandwich par deux hommes qui ahanaient en rythme. Sa vue s’adaptant progressivement à la demie pénombre, Balou reconnut le patron du bar qui sodomisait Bettina. L’autre était son fils, que chevauchait sa belle-mère.

Balou avait la gorge sèche tout d’un coup. Il avança dans la chambre voulant savourer davantage ce spectacle. Le barman le vit, mais Balou lui lança un clin d’œil de connivence, ce qui le rassura.

Les respirations saccadées, les râles étouffés, emplissaient l’air surchauffé de la chambre. Balou était troublé par ce qu’il voyait. Bettina le vit, leurs regards se croisèrent, il lui sourit gentiment et l’encouragea ainsi à continuer.

Le trio devait être au bord du plaisir car immédiatement après, la jouissance les gagna. Le père grogna le premier et éjacula dans les fesses de son amante, suivi de son fils qui cria à son tour. Bettina, quant à elle, étouffa ses cris de bonheur comme toute bonne Sicilienne soumise. Le patron du bar se retira d’entre ses fesses mais entreprit de se masturber devant la croupe de Bettina. Balou était impressionné par l’énorme verge qu’il voyait branler par la grosse main. Bettina était maintenant presque affalée sur le jeune garçon qu’elle embrassait passionnément. Enfin, Balou vit le patron du bar éjaculer à longues giclées sur la croupe de Bettina. Les yeux fermés, sans pousser un cri, il aspergeait son amante.


Balou les laissa reprendre leurs esprits et quitta la pièce sans un mot. Il n’était pas vraiment jaloux, mais tout de même, une once de dépit le taraudait.


Bettina retrouva son gendre au bar.



Tous deux s’esclaffèrent et Balou promit d’être discret sur ce qu’il avait vu.



Ils rejoignirent le groupe des amis d’Angela, qui continuait à danser et chanter, cela depuis le début de la soirée. Bettina se lança immédiatement dans la sarabande, Balou lui, observa d’un oeil amusé tout ce joyeux bordel.

Angela l’aperçut et courut vers lui. Elle était gaie et, lui sembla-il, légèrement ivre.



Angela regarda son ami d’un air soupçonneux, puis l’enlaça. Leurs bouches se soudèrent dans un baiser passionné. Balou remarqua l’haleine chargée de gin de sa compagne, cela le fit sourire. Angela était collé à lui comme une pieuvre, elle passa ses mains sous sa chemisette et chuchota :



Balou se laissa entraîner par son amie vers un endroit discret en bout de plage à l’abri des regards.

En un tour de main Angela ôta sa culotte, elle s’agenouilla dans le sable fin, remonta sa robe sur ses hanches, présenta sa croupe à Balou et lui intima :



Balou était quelque peu surpris par tant de précipitation, et il se dit qu’après tout sa compagne avait le sang chaud.



Elle se caressait l’entrejambe devant lui.

Cette vision fouetta les sens de Balou. Il déboutonna son pantalon, baissa son caleçon, et s’agenouilla face à ces divines fesses. Son érection pointait vaillamment, son gland cogna contre les lèvres déjà humides d’Angela, qui gémit à cet attouchement, avant de sentir la verge longue et dure s’enfoncer progressivement dans son ventre.



Son ami s’accrocha à ses hanches et débuta de longs va-et-vient. Son pubis claquait contre les fesses d’Angela, il sentait sa hampe emprisonnée dans un chaud puits mielleux. Les râles de son amie lui prouvèrent qu’il n’avait pas perdu sa vigueur malgré la journée éprouvante.

Les grains de sable fin commencèrent à recouvrir leurs cuisses. Angela lâcha :



Balou continua à la labourer en introduisant un puis deux doigts dans son pertuis déjà dilaté. Angela rugissait. La belle Sicilienne était déchaînée, elle se tordait sous lui, grognait des insanités. Lui sentait ses doigts être aspirés par la rondelle sodomite.

Angela jouit enfin, elle lâcha un feulement de lionne qui dû s’entendre sur toute la plage, malgré la musique. Balou se dégagea, remonta plus haut et entreprit de la sodomiser.



Balou, d’une poussée brutale, pénétra entre ses reins. Il se sentait prisonnier, mais tellement dominateur. Il sentit qu’il perdait la notion de la réalité car il imaginait sodomiser sa belle-mère, ce qui décupla considérablement sa puissance. Le plaisir grandissant au creux de ses reins, Balou accéléra encore sa cadence. Celle-ci devenait infernale. Il se demandait s’il n’allait pas déchirer l’anus de sa compagne par un si important déchaînement amoureux.

Angela n’en demandait pas tant. Elle hurlait de plus belle. Des vagues de bonheur l’emportèrent dans une autre dimension, elle jouissait ainsi empalée à son amant.


Dans un instant de lucidité, Balou remarqua des mouvements dans l’obscurité. Il sentait cependant le plaisir croître progressivement en lui, son pilonnage continuait, son amie hurlait toujours.

Enfin, la divine libération jouissive lui permit d’éjaculer dans les fesses d’Angela, à longues giclées. Il avait l’impression que toute son essence se vidait dans les entrailles de son amante. Lui également ne put réprimer un hurlement quasi inhumain lorsque le tourbillon du plaisir se déchaîna en lui.


A bout de souffle, les deux amants restèrent encore soudés de longs instants.

Ensuite Balou se retira d’Angela, il déposa un doux baiser sur ses fesses callipyges. Il épousseta tant bien que mal le sable envahissant, se redressa pour se rajuster.

Au même moment, il entendit plus qu’il ne vit des bruits étouffés à quelques mètres d’eux. Angela se rapprocha de son ami et ils se dirigèrent dans la direction d’où émanaient des espèces de chuchotements.


Devant eux, ils virent Maria, l’amie d’Angela, agenouillée nue devant un groupe d’hommes qu’elle masturbait et suçait alternativement. Quatre hampes fièrement dressées devant son visage étaient prêtes à offrir leur semence.

Cette scène surprit grandement Angela, car elle savait son amie très prude. Néanmoins ses yeux restèrent rivés sur elle. Maria se tourna vers elle et Balou en leur souriant et dit :



En effet, tous souriaient et firent des commentaires salaces en italien.

Balou essaya de distinguer des visages connus. Le patron du bar et son fils lui étaient maintenant familiers. Les deux autres mâles étaient beaucoup plus âgés, on aurait dit des vieux beaux de 70 ans.

Maria continua à caresser les verges offertes, ses doigts couraient le long des troncs, sa bouche engloutissait les glands l’un après l’autre. Les hommes se masturbaient également au-dessus d’elle. Maria décida de privilégier ses caresses pour l’un des deux vieux messieurs.



L’homme était presque chauve, petit et fluet. Il portait de petites lunettes rondes au bout de son nez. Balou voyait ses jambes de grenouille trembloter car il devait être au bord de l’explosion finale. Maria avait englouti son dard au fond de sa gorge. Ses lèvres soudées à la base du sexe, elle l’aspirait complètement, avant de revenir vers le gland et de lécher le membre avec sa langue.


Cette petite femme ronde a un sacré tempérament, pensa Balou, elle lui rappelait Nathalie, sa bien-aimée secrétaire, jadis sa maîtresse. Elle veut les faire jouir ensemble, se dit-il.


Maria cria un ordre et accéléra sa succion sur la hampe sexagénaire. Le maire cria le premier lorsqu’il éjacula dans la bouche qui le pompait. Les trois autres hommes accélérèrent leurs mouvements masturbatoires et ils jouirent de concert, en aspergeant Maria de leur sève.

De longues giclées atterrirent sur son menton, sur ses épaules, ses bras, dans ses cheveux. Les gémissements remplissaient l’air alentour. Maria était aux anges. Elle se jeta ensuite aux pieds de chacun des mâles et nettoya avec sa langue les dernières gouttes de semence qui perlaient encore au bout de leur gland.


Ce spectacle avait progressivement accaparé toute l’attention de Balou et d’Angela, ils étaient aux premières loges. Maria le savait, en fait elle aimait se savoir observée, désirée par tant de mâles.

Elle se retourna vers eux, et se coucha sur le dos, cuisses écartées puis entreprit de se caresser devant l’assistance réunie autour d’elle.


Seule la lune éclairait la scène, mais Balou voyait bien la main de Maria s’activer entre ses cuisses. Elle gémissait, couinait telle une petite souris. De son autre main, ses doigts caressaient les seins menus, ils pinçaient leur téton.

Angela remarqua que la verge des hommes avait repris une certaine vigueur, notamment celle du fils du patron du café, son nom lui échappait. Il s’approcha de Maria, s’agenouilla entre ses cuisses, la couvrit en la pénétrant d’un violent coup de rein. Elle hurla de bonheur, ainsi possédée. Immédiatement il débuta son pilonnage sous les râles de Maria.

Son père, le barman, s’était agenouillé à proximité de la brune tignasse de Maria. La hampe, à nouveau fièrement dressée, fut happée par la bouche de la jeune femme.

Père et fils avait pris possession du corps de la petite jeune femme ronde. Quant aux deux autres hommes, ils regardaient avec avidité le trio, tout en caressant de leurs mains les cuisses de Maria.


Angela et Balou assistèrent à ces ébats collés l’un à l’autre, sans pour autant être excités. Ils admiraient la dextérité de Maria, livrée à ces hommes, la manière qu’elle avait de sucer, de se faire prendre, de masturber alternativement la forêt de verges.


Plusieurs minutes s’écoulèrent, entre cris, gémissements, frottements, grognements, pendant l’extase du groupe. Le visage de Maria fut aspergé de semence chaude, ses joues, son menton en étaient maculés. Le fils du barman se retira du ventre de Maria et, dans un dernier élan, éjacula sur son abricot d’amour. Maria reçut également un petite giclée de sperme sur ses épaules de la part du maire, qui avait réussi, en se branlant frénétiquement, à éjaculer en gémissant pour elle.


L’amie d’Angela passa ses mains sur son corps et recueillit du bout des doigts la lave de plaisir de ces amants, lave qu’elle lécha pour l’avaler avidement.

Les hommes se rhabillèrent prestement en commentant leurs exploits et rejoignirent la maisonnée en bout de plage.


Maria courut ensuite vers la mer pour un bain de minuit rapide, qui lui permit d’ôter toute trace suspecte. Ensuite elle rejoignit Angela et Balou qui l’attendaient.

Balou remarqua ces fesses rondes, ses petites cuisses un peu dodues, ses seins menus aux tétons durcis par la baignade.

Quelle énergie avait-elle dépensée avec ces quatre hommes, songea-t-il.

Elle enfila rapidement sa robe sans se sécher.



Tous trois retournèrent vers la maison en devisant comme si de rien n’était.


A suivre.