n° 09143 | Fiche technique | 20258 caractères | 20258Temps de lecture estimé : 13 mn | 22/05/05 |
Résumé: Petite soirée sympathique entre collègues. | ||||
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Auteur : Kétéréa (Sophie) |
J’ai décidé de partager avec vous une petite aventure qui m’est arrivée hier. Elle ne s’est peut-être pas déroulée exactement telle que je vais vous la raconter mais où serait le plaisir d’écrire si l’on ne romançait pas un peu les histoires que l’on narre ? Je vous laisse le soin d’imaginer ce qui n’est que pur fantasme de ma part et ce qui s’est réellement passé.
Il faut d’abord que je vous parle de mes habitudes vestimentaires. Je ne porte jamais de pantalons, exclusivement des jupes et des robes. Qui plus est, les jupes que je porte descendent toujours jusqu’à mi-cuisses. Mes amis et mes collègues m’affirment que quand on a des jambes aussi jolies que les miennes, c’est un péché de les cacher. Mais malgré ces commentaires fort agréables, je ne m’habille que très rarement de robes courtes. Les plus coquins d’entre vous l’auront compris, je ne porte jamais de petite culotte et je n’ose imaginer le résultat si je me baladais dans la rue ou si j’allais travailler vêtue d’une minijupe.
Ce n’est pas par perversion que j’ai choisi de ne pas m’encombrer de cet accessoire vestimentaire. C’est tout simplement parce que depuis ma plus tendre enfance, je trouve cela inconfortable. J’ai toujours estimé que cette partie de mon corps avait besoin de respirer et dans les rares occasions où j’ai dû m’imposer une petite culotte, j’ai eu l’impression que ma chatte manquait d’air. Pendant mon adolescence, les séances de natation que nous imposait notre professeur de gymnastique et les vacances à la plage en compagnie de mes parents étaient de vrais calvaires. Fort heureusement, plus personne ne m’oblige à fréquenter la piscine et j’ai choisi depuis longtemps de fréquenter des plages où le port du maillot n’est pas obligatoire.
Je partage mon bureau avec trois personnes dont une porte le même prénom que moi. Sophie et moi sommes amies depuis longtemps. Nous nous sommes connues au lycée et avons fait toutes nos études ensembles. Toutes nos expériences, bonnes et mauvaises, celles dont on aime se souvenir et celles que l’on voudrait oublier, nous les avons vécues ensemble. Après nos études, nous avons même réussi à nous faire engager par la même société et à partager un bureau. Au lycée déjà, on nous avait affublées d’un surnom chacune afin de nous distinguer. J’ai conservé le mien "Kétéréa" et elle est redevenue "Sophie". Il arrive aussi que l’on m’appelle simplement "K."
Les deux types les plus chanceux de la société pour laquelle nous travaillons sont Charles et Jacques, puisqu’ils partagent notre bureau. Charles a une trentaine d’années et est un célibataire endurci. Jacques quant à lui est marié et proche de la retraite, ce qui explique que nous avons moins d’affinités avec lui.
Quelques jours auparavant, nous avions appris que la fille de notre directeur, qui travaillait depuis peu dans notre société, avait décidé d’assister à une conférence pour laquelle Charles avait marqué son intérêt depuis de longs mois. Je l’avais un peu taquiné, lui disant que ses chances d’y assister étaient nulles, et j’avais commis l’imprudence de parier que ce serait sa rivale qui y serait envoyée. Le regard triomphateur qu’il me lança en rentrant de sa pause déjeuner me fit réaliser que j’avais peut-être été imprudente, d’autant que nous n’avions pas vraiment fixé d’enjeu pour le pari. Savourant son plaisir, il m’envoya un mail laconique dans lequel il me disait simplement, "J’ai gagné !"
"Qu’as-tu gagné ?" lui répondis-je.
Sa réponse me parvint au bout de quelques instants et me coupa le souffle. Mot pour mot, elle disait : "Tes sous-vêtements ! Va les enlever et apporte-les moi !"
Je regardai dans sa direction afin de déterminer s’il était sérieux. Son sourire narquois ne me laissa aucun doute. Mon hésitation fut de courte durée et fit rapidement place à une excitation qui m’étonna. Je pense que lorsque je me suis levée et dirigée vers les toilettes, j’étais poussée par cette excitation bien plus que par le besoin moral de m’acquitter d’une dette d’honneur.
Lorsque je revins, je me dirigeai vers le bureau de Charles. J’en fis le tour, j’ouvris son tiroir et j’y déposai ma petite lingerie. Je refermai le tiroir aussi vite que je l’avais ouvert et je retournai m’asseoir à ma place. J’avais l’impression que Jacques et Sophie avaient les yeux rivés sur moi. Ils ne pouvaient apercevoir, ni même deviner mes seins sous mon pull mais il ne faisait aucun doute qu’ils avaient constaté la disparition de mes bas et il ne leur fallait pas faire un gros effort d’imagination pour deviner ce que j’avais déposé dans le tiroir de Charles.
Charles patienta quelques minutes avant d’y plonger les yeux. J’imaginais sa surprise en y découvrant, outre mon soutien-gorge, une paire de bas et un porte-jarretelles. Les collants me sont aussi insupportables que les petites culottes et, bien que je porte parfois des Dim’up, c’est au porte-jarretelles que va ma préférence. J’imaginais aussi sa question, elle me parvint sous la forme d’un mail : "Et ta culotte ?"
J’y répondis aussitôt : "Je n’en porte pas aujourd’hui."
"Prouve-le !" fut sa réponse.
Je réfléchis un instant. Il eut été impensable que je relève ma jupe afin de lui montrer ma chatte car je savais que Jacques, bien qu’il gardât les yeux rivés sur son écran, nous observait discrètement. Cet échange commençait à m’exciter et je sentais mon sexe s’humidifier, quand j’avisai une boîte de kleenex sur le bureau de Charles. Je lui demandai par mail d’en déposer un sur la chaise située à côté de la sienne. Puis feignant d’avoir une question à lui poser, je me dirigeai vers son bureau, j’en fis le tour et je m’assis sur la chaise en prenant soin de remonter suffisamment ma jupe pour qu’elle ne couvre plus ma vulve, mais pas assez pour que Charles ne voie plus que je ne voulais lui montrer. Quelques instants plus tard, je me levai et retournai à ma place, laissant imprimée sur le kleenex la preuve demandée.
Je savais que la curiosité démangeait Sophie et de retour à ma place, je vis qu’un mail m’attendait. Il était laconique à l’extrême, ne contenant que trois points d’interrogation. J’y répondis par un long message, dans lequel j’expliquai avec force détails ce que je venais de faire. Je vis un sourire se dessiner sur son visage alors qu’elle lisait ma réponse. Elle se leva et sortit. Quelques minutes plus tard, elle revint, se précipita vers le bureau de Charles et déposa quelque chose dans le tiroir avant de retourner se rasseoir. Elle portait ce jour-là un chemisier semi-transparent derrière lequel on devinait aisément ses petits seins nus. Je reçus une copie du mail qu’elle venait d’envoyer à Charles : "Viens ce soir chez K. nous les rendre."
J’avais espéré récupérer mes sous-vêtements plus rapidement car je n’aime pas rester trop longtemps sans soutien-gorge. Sans être énormes, mes seins sont plus ronds et plus lourds que ceux de Sophie. Ils sont fermes et bien accrochés et je dois dire que j’en suis assez fière et que je fais tout ce qu’il faut pour les garder ainsi. Néanmoins, l’idée de Sophie nous promettait une soirée intéressante et valait bien ce petit sacrifice.
Sophie vint directement chez moi en quittant le boulot ce soir-là. Je préparai un repas léger, laissant à Sophie le soin de choisir une bouteille de vin dans ma cave. Lorsqu’elle revint, elle déposa la bouteille sur la table puis elle se blottit contre mon dos. D’une main, elle écarta mes longs cheveux et embrassa sensuellement ma nuque tout en glissant sa main à l’intérieur de mon pull. Mes mamelons se durcirent avant qu’elle n’atteigne mes seins. Sophie est, à part moi, la personne qui connaît le mieux mon corps. Elle fut la première à m’avoir fait jouir et est celle qui me fait jouir le plus souvent. J’appréciai le contact de ses mains sur ma poitrine pendant quelques instants. Puis, je me retournai et la pris dans mes bras afin de l’embrasser. Nos lèvres se trouvèrent et ma langue se mit à explorer sa bouche. La sonnerie de la porte d’entrée nous interrompit.
Je rajustai mon pull et recommençai à m’occuper de ma sauce pendant que Sophie partait ouvrir. Les bruits de conversation confirmèrent que c’était bien Charles qui venait d’arriver et je les rejoignis dans le salon. Charles avait eu la délicate attention de nous apporter à chacune un bouquet de fleurs ainsi qu’un cadeau. J’ouvris le mien et j’y découvris une paire de bas, un soutien-gorge de dentelle et un porte-jarretelles assorti. Un coup d’œil dans la direction de Sophie me révéla que son paquet contenait lui aussi de la lingerie: une petite culotte et un soutien-gorge. Charles feignit de s’excuser : "J’espère que vous ne m’en voudrez pas", nous dit-il, "mais j’ai décidé de garder ceux que vous m’avez donnés et j’ai acheté ceux-ci à la place." Du coup, Charles monta dans mon estime; il avait dû lui falloir une bonne dose de cran pour se rendre dans un magasin de lingerie et se faire vendre ces pièces. Il ne s’était pas contenté d’acheter des sous-vêtements de la bonne taille car la coupe des bonnets du soutien-gorge était identique à celle de celui que je lui avais laissé.
Je passai ma main dans sa nuque et approchai mes lèvres des siennes, "Merci." Puis, Sophie fit de même.
"Le moins que nous puissions faire, c’est de les essayer", dis-je à Sophie avec un sourire entendu. Puis, je me tournai vers Charles et lui demandai : "Tu nous les mets ?" Il ne sembla pas comprendre de quoi je parlais. "Tu n’as jamais déshabillé de fille ?" lui demandai-je. Bien sûr que si !" me répondit-il. "Eh bien", lui dis-je, "c’est exactement l’inverse que je te demande de faire."
Son visage s’éclaira et il s’approcha de moi. "Commence par Sophie", lui dis-je, "il faut que je m’occupe du dîner." Je retournai dans la cuisine, le temps de vérifier que ma sauce mijotait toujours et que rien ne brûlait.
Lorsque je revins au salon, Sophie était nue. Son jean et son chemisier étaient posés négligemment sur le divan. Charles était à genoux devant elle, en train de remonter le long de ses jambes la petite culotte qu’il venait de lui enfiler. Les yeux de Charles étaient rivés sur le pubis rasé de ma copine et c’est avec un regret évident qu’il enveloppa les petites fesses de Sophie dans la petite culotte. Charles prit ensuite le soutien-gorge et glissa les bretelles le long des bras de Sophie et jusqu’à ses épaules. Il plaça les bonnets en face de ses seins puis glissa ses mains sous les bras de Sophie et entreprit de l’agrafer dans son dos. Il sembla interroger Sophie du regard et celle-ci lui demanda d’ajuster ses seins à l’intérieur des bonnets, ce qu’il fit avec beaucoup de dextérité. Puis il prit le chemiser de Sophie et le lui enfila. Enfin, il lui remit son jean, non sans difficulté.
Charles se tourna ensuite vers moi. Il passa ses bras autour de mon corps et je dois admettre que j’étais terriblement excitée par le contact de son corps viril contre le mien et plus particulièrement par cette chose dure que je sentais contre mon pubis. Il défit la fermeture Eclair de ma jupe et laissa celle-ci glisser le long de mes jambes. Puis il recula et regarda ma chatte, son visage s’éclaira d’un sourire : "Je m’étais souvent posé la question", murmura-t-il. "Quelle question ?" demandai-je. "Si tu étais rousse partout", admit-il en rougissant. "Bêta", lui répondis-je, "tu aurais pu le savoir en regardant mes sourcils."
Un peu gêné, il empoigna mon pull et entreprit de me l’enlever. Je levai les bras pour lui faciliter la tâche. J’étais nue devant lui et j’en ressentis beaucoup de plaisir. Il prit le porte-jarretelles qu’il m’avait offert et l’attacha autour de ma taille. Il s’empara ensuite de l’un des bas et tenta de le glisser à mon pied. Il s’y prenait maladroitement et pour éviter qu’il ne les abîme, je décidai de les enfiler moi-même. Je le poussai sur le divan et après avoir glissé un bas à mon pied, je posai celui-ci sur le genou de Charles, avant de le remonter sensuellement le long de ma jambe et de l’attacher à mon porte-jarretelles. Charles ne s’intéressait cependant ni à mon bas, ni à mon porte-jarretelles. Avec ma jambe relevée, mon sexe était dirigé vers lui et il ne quittait pas mes lèvres humides des yeux. Je prolongeai son plaisir en enfilant mon deuxième bas de la même façon, m’attardant même avant de retirer mon pied de son genou.
Je pris le soutien-gorge et le lui tendis. Il le fit glisser le long de mes bras et l’ajusta sur mes seins avant de l’agrafer dans mon dos. Il me remit mon pull, en faisant glisser ses mains sur ma poitrine plus qu’il n’était nécessaire, puis ma jupe. Sophie revint à ce moment, annonçant que le dîner était prêt et nous passâmes à table.
A la fin du repas, je partis à la cuisine préparer le café. Lorsque je revins, Charles et Sophie étaient sagement assis l’un en face de l’autre, elle sur le divan et lui dans un fauteuil. Je posai les tasses sur la table et je m’installai à côté de mon amie. Je pris soin de croiser les jambes en m’asseyant, laissant ma jupe remonter suffisamment pour découvrir le haut de mes bas. J’ai depuis longtemps constaté que la vue d’un porte-jarretelles a sur les hommes un effet des plus plaisants. Comme je m’y attendais, le regard de Charles se porta immédiatement sur mes cuisses. Prenant mon air le plus innocent, je dis à Sophie : "Pauvre Charles, nous portons son cadeau, mais il ne peut pas en profiter."
"Tu crois que nous devrions enlever nos autres vêtements ?" me demanda-t-elle. "Ca me semble être la moindre des courtoisies." répondis-je en me levant. Pendant que Sophie enlevait son jean et son chemisier, je fis glisser ma jupe le long de mes jambes. Puis, je fis passer mon pull par-dessus mes épaules. Je me rassis, cette fois sans croiser les jambes. "Tu n’avais jamais vu une chatte rousse ?" demandai-je à Charles le plus innocemment du monde. "Uniquement dans des films et dans des magazines", me répondit-il. "Et une chatte rasée comme la mienne ?" demanda Sophie. "Non plus", répondit Charles. "Tu veux y goûter ?" lui demandai-je. Sans attendre sa réponse, j’écartai la petite culotte de Sophie de sa vulve et je passai mon doigt sur ses lèvres. Comme je m’y attendais, Sophie était humide de plaisir. J’introduisis mon doigt dans son sexe et quand je l’en ressortis, j’entrepris de le lécher. "Hm", dis-je. Je le glissai de nouveau dans sa chatte, au grand plaisir de Sophie et cette fois, je le présentai à Charles. Il se mit à genoux devant le divan et lécha goulûment mon doigt.
"C’est bon ?" demandai-je. "Très." me répondit Charles. Je glissai alors mon doigt entre mes lèvres et lui présentai. Il le prit en bouche et le lécha avec la même avidité. "Délicieux", dit-il, "puis-je en reprendre ?" Je souris, Charles se décidait enfin à prendre les choses en main. Je relevai les jambes et posai les pieds sur le divan, exposant ainsi mon sexe au regard de Charles. Il plongea la tête entre mes jambes et je sentis le bout de sa langue chercher mon clitoris, puis le lécher goulûment.
Sophie quitta le divan et se mit à genoux derrière Charles. Je devinai qu’elle défaisait la fermeture Eclair de son pantalon et glissait la main dans son caleçon. Puis, le mouvement de son bras me révéla qu’elle était en train de le masturber.
La langue de Charles se mit à faire des mouvements de va-et-vient entre mon clitoris et mes lèvres. Il léchait celles-ci avant de plonger sa langue à l’intérieur de mon sexe, puis il retournait à mon clitoris. C’était bon mais le plaisir de Sophie m’importait autant que le mien. Aussi, je suggérai qu’elle s’allonge sur le divan afin que Charles puisse lui faire l’amour. Elle se coucha sur le dos, toujours vêtue des sous-vêtements que Charles lui avait offerts, le bassin posé à l’extrémité du divan et la tête sur mes jambes, pendant que Charles enfilait un préservatif que je lui avais donné.
Charles se mit à genoux devant Sophie, écarta sa petite culotte de devant son sexe, puis il la pénétra. Pendant qu’il la baisait, Sophie eut la délicate attention de passer une main derrière sa nuque et d’en enfoncer deux doigts dans mon sexe. Elle me caressa l’intérieur de la chatte au même rythme que Charles lui faisait l’amour. La main glissée à l’intérieur de son soutien-gorge, je caressai ses seins d’une façon dont moi seule savait à quel point elle l’appréciait. Charles mit peu de temps à jouir, ce qui ne nous surprit guère. Nous l’avions placé dans une situation qui aurait excité plus d’un homme.
Je retirai le préservatif du sexe de Charles redevenu mou et je le fis s’allonger sur le divan. À genoux entre ses cuisses, j’entrepris de lécher son pénis. Je lui donnai de longs et lents coups de langues depuis ses testicules et jusqu’à son prépuce. Puis, je retournai aux testicules en l’embrassant doucement sur toute la longueur. Pendant ce temps, Sophie enjamba le visage de Charles, écarta de son sexe, la petite culotte qu’elle n’avait toujours pas quittée, et plaqua celui-ci sur la bouche de Charles. Il ne fallut pas longtemps avant que Charles soit de nouveau en érection. Je l’aidai à la maintenir en effectuant de lents mouvements de va-et-vient avec ma main le long de son pénis pendant que je léchai goulûment ses testicules. Puis, j’ouvris la bouche et je le glissai entre mes lèvres. D’abord, je fis entrer son gland que je léchai avidement. Puis, je le pris entièrement dans ma bouche et je l’y gardai aussi longtemps que je le pus.
Les gémissements que j’entendais ne me laissaient aucun doute quant au plaisir que je lui procurais et sur celui qu’il donnait à Sophie. Je voulais ma part, aussi m’emparai-je d’un autre préservatif que je glissai sur son sexe en érection. Après quoi, je me relevai et je vins m’empaler sur lui, bougeant à l’unisson avec Sophie. Cette fois, il tint plus longtemps avant d’éjaculer et je jouis en même temps que lui.
Lentement, je me retirai de son sexe et Sophie quitta son visage. Charles portait toujours le préservatif autour de son pénis, redevenu mou. Je l’enlevai et je ramassai celui qu’il avait utilisé pour faire l’amour à Sophie. Puis, je partis vers la cuisine où je m’en débarrassai avant de retourner au salon avec le Thermos de café et le dessert. Nous prîmes le café dans la tenue où nous étions : Charles nu, Sophie vêtue de son soutien-gorge et de sa petite culotte, et moi de mon soutien-gorge, de mon porte-jarretelles et de mes bas qui miraculeusement étaient sortis intacts de notre petite séance.
Nous nous habillâmes. Charles avait espéré que nous passerions la nuit tous les trois ensemble mais je pris un air embarrassé et lui fis comprendre que je préférais ne pas avoir entretenir de relations suivies avec un collègue. "Je garderai un merveilleux souvenir de cette soirée et je n’ai aucun regret", lui dis-je, "mais je n’avais pas du tout prévu qu’elle se déroulerait comme cela." C’était un mensonge et je vis que Sophie avait peine à rester sérieuse.
Charles me souhaita une bonne nuit et offrit de reconduire Sophie chez elle. "Merci", lui dit-elle, "mais je vais aider K à ranger et je prendrai un taxi pour rentrer." Nous savions toutes deux qu’elle n’en ferait rien.