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n° 09146Fiche technique19794 caractères19794
Temps de lecture estimé : 12 mn
23/05/05
Résumé:  Découverte de la tendresse à trois.
Critères:  ffh jeunes couple extraoffre amour volupté voir exhib fmast intermast fellation cunnilingu pénétratio ecriv_c
Auteur : Twodoux  (Couple simplement liberé et ouvert)            Envoi mini-message
Domie, un si doux souvenir


Et voilà une de nos premières aventures…

Ceux qui nous connaissent comprendront que nous ayons changé les prénoms…


Un doux dimanche de mai, dix heures du matin, Kevin vient d’avoir trois mois et fait son petit dodo…

Bernard est parti depuis un peu plus d’une heure, il est allé à M…, chercher Domie à la gare. Domie est une très bonne copine habitant sur la côte, toute mignonne et toute jeune (21 ans), mais aussi très libérée et coquine.

Alors vous imaginez mon excitation en pensant qu’elle va passer une semaine à la maison ! Une semaine avec une jeune femme seule qui n’a pas froid aux yeux, ni au reste non plus…

Il ne s’est encore jamais rien passé entre elle et moi, mais après certaines lettres qu’elle nous a écrites, et l’envie qui me tenaille le ventre en ayant vu un si joli corps tout bronzé lors de nos escapades à la plage, mon esprit et mon sexe en frémissent d’avance…


Ah ! j’entends la voiture, ils sont là, ELLE est là…


Je vous passe les embrassades (sur les lèvres en plus) et les banalités du genre :



Etc…

Bien sûr, dans l’après-midi, la conversation dérive assez vite sur des sujets plus "intéressants" et, notamment, sur les sous-vêtements. Occasion rêvée que Bernard me fait saisir au bond :



Et moi de rajouter :



Aussitôt dit, aussitôt fait.

Je ne vous cache pas que pour monter les escaliers qui nous séparent de la chambre, mes jambes ont eu du mal à me porter, tant l’excitation grandissait.

Après avoir commencé à vider tout le tiroir, bien sûr, la proposition ne se fait pas attendre :



Et sur ce, elle enlève son tee-shirt et là, je vois apparaître deux petits seins d’une perfection diabolique, tout bronzés, et en plus ils me regardent droit dans les yeux, semblant implorer les caresses.



Et elle me répond :



Devant cette remarque, je ne peux rester inactive et donc j’ouvre mon chemisier afin de lui montrer à quel point ils sont gonflés, à la fois de lait mais aussi de désir pour elle.

Et là, le choc : elle pose ses mains dessus, tâte leur rondeur, puis ferme les yeux et ses mains ne deviennent plus que douces caresses, ce n’est plus de la curiosité mais de la tendresse.

Les miennes ne peuvent rester inactives et en profitent pour aller se poser sur cette douce poitrine qui réagit immédiatement, un léger frisson apparaît sur sa peau, ses tétons s’érigent de suite et un gros soupir les soulève.


La porte s’ouvre, Bernard entre dans la chambre. Nous avons toutes les deux la même réaction : nous le regardons avec un immense sourire plein de sous-entendus, sourire qu’il nous rend, accompagné d’un petit bisou sur nos lèvres. Mais il ne veut nous déranger et se retire sur la pointe des pieds.


A peine mes yeux se sont-ils refermés que je sens les lèvres de Domie sur les miennes, sa langue cherche la mienne et je me noie dans un baiser qui m’étourdit. Mon sexe n’est plus que chaleur et humidité, nos mains redessinent nos seins, commencent un parcours d’exploration.


Mais que c’est bon, le contact d’une peau de femme !

Je n’en peux plus, il m’en faut plus ! J’ouvre son jean, pose mes mains sur ses hanches et les fais glisser vers le bas, entraînant ce pantalon qui m’empêche d’accéder au reste de son corps. De son côté, elle a entrepris la même chose et ses mains font glisser mon caleçon.

Ces secondes semblent durer une éternité, mais, ça y est, nous nous retrouvons toutes les deux en culotte. Je veux l’admirer, savourer chaque instant de cette découverte, je recule un peu et découvre devant moi un des corps les plus parfaits dont j’ai pu rêver.

Je le lui dis, et cette petite coquine, avec un petit sourire qui en dit long, ne trouve rien de mieux que de tourner sur elle-même pour me faire encore plus profiter de ce spectacle.


D’un coup, je pense à Bernard. Je veux lui faire partager ça ! Je l’appelle : il n’était pas bien loin, le coquin et, connaissant le côté exhibitionniste de la miss (J’ai oublié de vous dire qu’il l’avait initiée à la bisexualité quelques années auparavant), il arrive avec l’appareil photo à la main, afin d’immortaliser ce moment.

On profite de cette accalmie pour s’allonger sur le lit, fumer une cigarette dans une ambiance géniale, où l’on sent que tout le monde est heureux de ce qui arrive.


Ma cigarette écrasée, je ne peux m’empêcher de reposer mes mains sur cette peau qui m’appelle dans un souffle de sensualité. Je reprends possession de ses seins et enfin j’y pose mes lèvres…

Que j’aime ça : frôler, bisouiller, tétouiller ces petits bouts de chair qui réagissent immédiatement… J’ai envie de les mordre, mais un irrésistible besoin me les fait lâcher. Ma bouche et mes mains glissent sur son ventre, déposant de petits baisers par-ci par-là, de petits coups de langue aussi, et je sens la dentelle de sa culotte : j’approche, enfin!

J’appuie fortement mes lèvres sur son pubis, je sens ses poils à travers ce mince rempart de tissu et, plus bas, une onde de chaleur se dégage. Ma bouche caresse la dentelle jusqu’entre ses cuisses. Cette odeur de femme, cette chaleur, cette moiteur me montrent à quel point elle est excitée par tout ceci.

Je lèche, je mords, j’embrasse à travers la fine matière de plus en plus humide, et les gémissements de plus en plus forts de Domie ne font que m’encourager. Ses "Oh oui ! Que c’est bon ! Mmmmh ! Aaaah !" atteignent une telle ampleur ! Je la sens au bord de l’orgasme.


C’est le moment, ma langue s’insinue entre l’élastique de son brésilien et la peau si fine de sa cuisse, et j’atteins enfin cette chair si tendre. Ses lèvres s’ouvrent toutes seules; d’une main je tiens l’élastique écarté et ma bouche s’enfonce entre ses chairs. Ma langue remonte vers son petit bouton et dès qu’elle le touche, son corps réagit comme si elle venait de prendre une décharge électrique : elle ne peut plus se contenir, c’est trop fort, je la sens trembler partout. Je m’active encore plus, je lèche, j’aspire et je n’entends plus que râles et halètements qui se transforment en cris de jouissance.

J’ai du mal à continuer, tellement son corps s’agite, ses doigts s’emmêlent dans mes cheveux, appuient sur ma tête, les mouvements de son corps deviennent incontrôlés comme une crise d’hystérie.


C’est si bon de lui donner tout ce plaisir…

Ca y est : l’accalmie. Elle ouvre ses yeux, me regarde… Un immense sourire éclaire son visage. Elle attrape mes mains et me remonte vers son visage, me donne un énorme baiser à travers lequel elle essaie de me faire ressentir tout le plaisir qu’elle a eu, me serre si fort dans ses bras que j’en ai du mal à respirer, elle me lèche la bouche, me mord les lèvres et là, crac… on entend Kevin qui se réveille !

On retombe les pieds sur terre, on sait qu’on a une semaine à passer ensemble et donc tout le temps de se rattraper…


Toute la soirée, il flotte dans l’air une ambiance sensuelle, la joie d’être ensemble. Après le film à la télé, nous nous préparons à monter nous coucher et bien sûr je souffle à Domie de nous rejoindre.

Je me couche sous la couette, dans les bras de Bernard et mes mains commencent à explorer son torse.

J’ai tant envie de lui maintenant, il m’a fait un si beau cadeau et je l’aime tellement ! Bien sûr, on reparle de ce doux après-midi. Mes mains s’égarent innocemment sur son sexe. Je le saisis, il est déjà long et très dur. Ma bouche se pose sur la sienne, puis dans son cou, sur sa poitrine, pendant que ma main monte et descend le long de cette colonne de chair si chaude et si vivante. Je ne peux résister bien longtemps, j’aime tant sucer un sexe !

Je retire la couette. Je dépose un petit baiser sur son gland puis parcours de ma langue toute la longueur de ce tendre objet de désir, descends sur ses bourses que j’essaie de gober, elles sont gonflées d’envie.

Je remonte poser mes lèvres au sommet de son gland, puis les entrouvre et glisse autour en l’avalant; qu’il est rond, qu’il est doux…

Au fond de ma bouche, je le masse de ma langue. Ma main monte et descend, ma bouche suit ses va-et-vient, je voudrais qu’il jouisse instantanément, qu’il me remplisse de sa liqueur, mais je sais qu’il va se retenir très fort et très longtemps pour en profiter au maximum.


J’entends la porte s’ouvrir. Instinctivement, j’arrête ce que je faisais, mais Domie me dit :



Et sur ce, elle prend le fauteuil, l’approche du lit, et s’installe confortablement pour admirer le spectacle. Il n’en fallait pas plus pour nous mettre dans un état d’excitation encore plus fort.

Je me remets à mon occupation favorite et m’installe de manière à ce qu’elle voie parfaitement ce que je fais. Le fait qu’elle me regarde faire m’excite tellement que je m’acharne sur Bernard, et cela m’amène, sans même me toucher, au bord de la jouissance.

Tout en redoublant d’ardeur, mes yeux se plantent dans ceux de Dominique, les siens sont rivés sur ma bouche et donc sur le sexe de mon amour. Ils sont humides, écarquillés, elle doit être elle aussi dans un bel état d’excitation !



Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’elle se lève, se déshabille, se rassoit complètement nue, ouvre ses cuisses, les pose sur les accoudoirs et commence à caresser sa petite chatte, à satisfaire le plaisir qui montait en elle.


C’est carrément délirant, bien plus fort que dans tous mes fantasmes ! Sur le plan du voyeurisme et de l’exhibitionnisme, je suis comblée : une jeune femme me regarde sucer la bite de mon homme et je la vois se caresser à un mètre de mon visage; c’en est trop : je suis débordée par un orgasme fulgurant d’une rare intensité, et sans même me frôler.

De m’entendre comme ça, Domie me suit, crie son plaisir. Mais cet orgasme-là ne me calme pas, bien au contraire. Mon cœur cogne très fort, j’engloutis Bernard au plus profond de ma gorge.


Je tends une main vers notre petite complice. Elle la prend dans la sienne et comprend instantanément, se lève et s’allonge face à moi sur le lit; je pose sa main sur Bernard et mets la mienne par-dessus, lui imprimant le mouvement qu’il faut; j’ôte ma bouche du sexe de mon amour, l’incline vers Domie. Immédiatement elle s’avance et l’avale en me regardant droit dans les yeux, elle le suce très fort puis le dégage un peu pour me laisser de la place; et là, commence un ballet de nos bouches et nos langues sur lui : on lui lèche le gland, on s’embrasse, on l’aspire chacune notre tour. Nos bouches vont de ses testicules jusqu’au sommet de son gland, il est au paradis, mon ’tit cœur, et moi avec !

C’est inimaginable, le plaisir que cela peut me procurer le fait de partager cela avec une si jolie fille!

C’est Bernard qui nous calme un peu. Il prend nos têtes, les soulève et nous dit :



Et nos trois bouches se joignent dans un immense baiser, nos langues se mélangent, c’est comme de l’amour…

Dominique profite de l’occasion pour m’allonger sur le dos, elle veut sa revanche, ce n’est pas pour me déplaire. Elle s’étend sur moi, fait en sorte que son corps épouse parfaitement le mien et dépose mille petits baisers sur mon visage. Sa jambe s’insinue entre les miennes et commence à caresser mon minou gorgé d’humidité. Elle en profite aussi pour caresser le sien sur ma cuisse.

Ses mains ont entrepris un voyage sur mon corps, elle me caresse partout, s’attarde sur mes seins; puis une de ses mains vient s’intercaler entre sa cuisse et mon sexe. Je sens un doigt à l’entrée de mon vagin. Je voudrais qu’il s’enfonce très loin, mais le coquin ressort aussitôt, remonte entre mes lèvres et vient déloger mon clitoris que je sens prêt à exploser tant il est gonflé.

Les petits bruits que j’entends plus bas me font comprendre à quel point je dégouline. Domie me le fait remarquer :



Elle aime. Elle se soulève et sa bouche vient remplacer sa main; Bernard profite de la place libre pour s’emparer de mes seins : que peut-on rêver de mieux? D’ailleurs c’est irrésistible, je décolle très vite, je crois que ce coup-ci mon cœur va s’arrêter; Domie me lèche de plus en plus fort et mon amour aspire et mordille mes tétons; une onde de chaleur envahit tout mon corps, mes muscles se tétanisent, je suis obligée d’attraper le coussin pour le plaquer sur ma bouche, je le mords à pleines dents et hurle tout mon saoul.

Il m’est difficile de décrire à quel point c’est fort…


Le temps de reprendre mes esprits, nous sommes tendrement enlacés tous les trois, à nous bisouiller, nous câliner. Soudain Domie nous glisse au creux de l’oreille :



Cette invite vient à point. Je m’allonge sur Bernard. Son sexe est toujours aussi dur. Je me relève un peu, écarte mes jambes de chaque côté de son bassin et sens ce doux objet battre entre mes cuisses.

Je me frotte dessus et suis dans un tel état d’humidité qu’il glisse et entre tout seul au plus profond de mon corps… quelle sensation !


Notre petite chérie s’approche de nos visages, nous embrasse, lèche nos bouches, puis, s’adressant à mon amour, lui susurre :



Nos reins ont adopté un rythme lent et très ample. Je monte et redescends tout le long de cette colonne de chair, profitant du moindre centimètre. Inconsciemment, je voudrais accélérer, mais il me retient afin que j’en profite encore plus.

Domie s’est éloignée, je pense qu’elle nous regarde en se caressant, mais au bout d’un moment, je sens une caresse sur mes fesses, une caresse qui s’étend sur ma chatte, puis je devine qu’elle continue sur Bernard, passant d’un sexe à l’autre pour partager notre amour.

Soudain je réalise que ce n’est plus sa main, mais sa bouche qui se promène de l’un à l’autre, sa langue qui va de mes fesses jusqu’entre les cuisses de mon petit cœur. Sous cette caresse, Bernard gonfle encore plus, il m’envahit, je le sens prêt à jouir et il n’en faut pas plus pour me déclencher encore un immense orgasme, j’en tremble de partout, c’est vraiment le délire, je voudrais que tout son corps entre en moi…


Cette jouissance-là m’a lessivée, je suis K.O.

Retombée sur le lit, je sens mes deux amours me câliner tendrement.



Cette réflexion nous touche droit au cœur, et s’ensuit un doux moment qui n’est que baisers et caresses.

Une envie me vient, du fond de mon âme, et je ne peux m’empêcher de l’exprimer :



Et, la tenant dans mes bras, je la pousse sur lui, dans la même position que celle que j’avais tout à l’heure, de manière à ce que leurs sexes entrent en contact.

Ils se caressent immédiatement l’un sur l’autre. Je passe derrière elle, ma bouche parcourt son dos, ses reins. Ma main caresse ses fesses, glisse entre leurs sexes. J’ai Domie au creux de ma main et Bernard contre le dos de cette même main : quelle douce sensation!

Je les caresse tous les deux. Puis je me penche, saisis le membre gonflé, le prends en bouche, le suce avidement, le libère; pose le gland entre les lèvres du petit coquillage qui le surplombe, le passe sur la petite perle rose, ce qui fait réagir Domie de suite. Ses reins se creusent; je l’amène jusqu’à l’entrée du vagin et tout doucement, très lentement, le pousse à l’intérieur.

Mon cœur s’accélère, ça y est, nous lui faisons l’amour.


Pendant un instant, je reste immobile, mes yeux rivés sur leur union, ma main enserrant la base du sexe de Bernard, ce sexe qui est aussi le mien et à travers lequel je peux aimer ce corps de femme.

Mais ma bouche ne peut s’empêcher de les rejoindre, de courir sur eux, je les sépare, les suce, les lèche, les remets l’un dans l’autre. J’attrape Domie par les hanches, guide ses ondulations, je la sens au bord de l’explosion; tous les trois, on accélère, les mouvements s’amplifient, les coups sont de plus en plus violents.

Elle s’arrête net, ses muscles sont bandés, sa tête bascule en arrière, je l’appuie sur Bernard de toutes mes forces, je veux qu’il soit au plus profond d’elle, elle crie, tremble, son corps est parcouru de spasmes et finalement, s’effondre…


Quelques minutes de silence, puis elle nous serre fort dans ses bras, ses yeux sont pleins de larmes, de bonheur, dit-elle.

Puis plus un mot : nous apprécions l’instant, les images se bousculent dans nos têtes.


Après une petite cigarette, je réalise que Bernard n’a pas encore joui, le pauvre. Un petit clin d’œil à Domie, qui comprend de suite, et nos mains et nos bouches se rejoignent sur lui. On le branle, on se le passe d’une bouche a l’autre. Il a dix doigts et deux langues qui virevoltent sur son sexe. De temps en temps, l’une de nous remonte l’embrasser, sucer ses tétons.

Il se laisse enfin aller. Un dernier baiser de nous deux en même temps, et je sens qu’il va éclater; je m’empresse de l’engloutir et de boire toute cette liqueur que j’ai du mal à contenir tellement il jouit.

Les derniers soubresauts, les dernières gouttes et je me relève. Et là, oh surprise ! alors que j’en ai encore plein la bouche, Domie vient m’embrasser, sa langue vient chercher un peu de cette semence. J’apprécie beaucoup son geste.


Nous nous installons dans les bras de Bernard, chacune d’un côté, nos mains jointes sur son torse, et c’est tout naturellement que le sommeil nous gagne, dans une euphorie et un bonheur total…