n° 09176 | Fiche technique | 10635 caractères | 10635Temps de lecture estimé : 7 mn | 28/05/05 |
Résumé: Les premiers jeux d'un homme et d'une femme | ||||
Critères: hsoumis fellation anulingus pénétratio hgode champagne ecriv_g | ||||
Auteur : Androgyne |
Ils s’étaient donnés rendez-vous à la terrasse d’un café, près de chez elle. Ils se connaissaient déjà de longue date, mais c’était la première fois qu’ils se voyaient … pour ça. Il était un peu nerveux et cela se voyait. Elle arriva enfin. Dans une belle robe rouge un peu voyante et dotée d’un décolleté mettant en valeur ses attributs féminins. Elle lui sourit, il tenta un sourire en retour, elle l’embrassa sur la joue et s’assit.
« Salut, beau gosse !» fit-elle d’un ton enjoué.
Elle prit la carte, tout en tapotant la table avec ses ongles; à peine arrivée et déjà impatiente.
Elle releva la tête et vit qu’il avait l’air vraiment mal à l’aise. "Un verre ne lui ferait pas de mal", se dit-elle.
« Je prendrais un cocktail Soho-Litchee, et toi ? »
Il lui répondit qu’il n’avait pas besoin d’alcool, car elle lui faisait déjà suffisamment tourner la tête. Elle émit un gloussement de gorge et sourit, heureuse du compliment, mais lui conseilla néanmoins de goûter un des cocktails, sous prétexte qu’elle n’aimait pas boire seule. Il déclara qu’il ferait tout ce qu’elle voudrait. Elle gloussa encore.
« Vraiment tout ce que je veux ? Tu prends des risques, mon chou, à me faire une pareille proposition !» répondit-elle un sourire aguicheur au lèvre.
Ils burent tout en discutant, jusqu’au moment où elle jugea qu’il était suffisamment détendu. Elle héla le serveur pour avoir l’addition, paya, se leva et lui tendit la main.
« On y va ? »
Il prit sa main en guise d’assentiment et ils se dirigèrent vers son appartement.
Elle avait arrangé les lieux spécialement pour ce soir. La lumière était tamisée. De la musique douce provenait du salon. Le chauffage marchait à fond et une douce odeur se répandait dans la pièce. Elle l’entraîna directement dans sa chambre. Un grand lit à baldaquin y trônait. Des voilures ocres et rouges y étaient suspendues, les draps étaient du même ton.
Elle s’approcha de lui et l’embrassa, mêlant sa langue à la sienne. Il tremblait. De peur ? D’excitation ? Elle ne savait pas, mais elle adorait ça. Elle sourit, tout en continuant à l’embrasser et en commençant à défaire les boutons de sa chemise. Quand ce fut fait, elle passa ses mains sur son torse, palpant la chaleur de son corps, sentant son cœur battre comme celui d’un petit oiseau à travers sa main. Elle glissa les mains le long de son torse, tout en se mettant à l’embrasser le long du cou, jusqu’au mamelon qu’elle mordit. Ses mains avaient glissé jusqu’au pantalon. Elles entreprenaient déjà de défaire la ceinture. Les boutons vinrent tout de suite après. Elle recommença à l’embrasser, à pleine bouche, pendant que ses mains caressaient ses fesses à travers son boxer. Elle se mit ensuite à caresser son sexe, se réjouissant de le sentir de plus en plus dur, au fur et à mesure de ses caresses.
Elle s’écarta de lui et lui demanda de la déshabiller. Ce qu’il fit, laissant apparaître une lingerie aussi rouge que l’était la robe. Elle vint se coller à nouveau contre lui, continuant de l’embrasser profondément, tout en caressant son corps. Elle glissa ses mains dans son boxer et prit en main le sexe de son compagnon, arrachant un tremblement à celui-ci. Elle s’éloigna, prit un air mutin et lui dit qu’elle n’en avait pas pour longtemps.
Elle revint en effet quelques instants plus tard, deux coupes de champagne à la main. Elle lui tendit la sienne, trinqua. Puis se rapprocha à nouveau de lui. Elle lui suggéra de poser sa coupe sur la petite table, ce qu’il fit. Elle prit une gorgée de champagne dans sa bouche et se baissa tout en dégageant son sexe du boxer. Elle le prit dans sa bouche et il ne put retenir un gémissement, face aux sensations qui l’assaillaient. Elle avala le champagne et continua à le sucer, le lécher consciencieusement de haut en bas et de bas en haut, l’avalant de temps en temps aussi loin qu’elle pouvait.
Elle lui retira complètement son boxer et se frotta contre lui, en lui murmurant qu’il y avait rien de mieux que de sentir un corps d’homme nu et chaud contre le sien. Elle le poussa sur le lit et lui grimpa dessus. Le sexe de son compagnon frottant contre son slip en dentelle. Elle ondula un peu puis, se pencha pour l’embrasser.
« Et maintenant que veux-tu faire ? » lui demanda-t-elle d’une voix rauque.
« Ce que tu veux ! » lui répondit-il
Elle sourit et lui dit qu’elle allait donc s’occuper de lui. Elle se releva, alla chercher quelques affaires qu’elle dissimula dans une serviette et revient sur le lit. Elle sortit un tube de lubrifiant, s’en mit un peu sur le bout des doigts, puis se pencha pour le sucer, tout en avançant ses doigts vers son anus. Elle fit pénétrer d’abord un doigt, titillant un peu l’entrée, faisant quelques va-et-vient, puis en mis un deuxième, puis un troisième et le jugeant prêt, elle lui ordonna de se mettre à genoux sur le bord du lit. Il s’exécuta.
Elle s’harnacha alors d’un gode ceinture de bonne taille, lubrifia le gode, et le présenta à l’orifice de son compagnon. Lentement, elle commença à s’insinuer entre ses fesses. S’avançant, puis reculant, quand celui-ci lui disait qu’il avait mal. Puis voyant qu’elle était presque au bout, et malgré les protestations de son amant, elle s’enfonça d’un coup. Il poussa un long gémissement.
« Je t’ai fait mal ? » s’inquiéta-t-elle
« Non c’est trop bon, continue ! » lui répondit-il
Elle se mit donc à bouger, s’accrochant à la taille de son compagnon pour pouvoir aller plus loin, et plus vite, le bourrant, le défonçant, l’enculant dans de grands mouvements, en essayant toujours d’aller le plus loin possible. Il gémissait sous ses coups de boutoirs. Il avait beau se mordre les lèvres il ne pouvait pas s’empêcher de lâcher un « oh putain !» dès qu’elle changeait de mouvement. Quant à elle, elle jubilait du pouvoir qu’elle avait sur lui. Elle ne s’en privait pas pour l’exercer en lui faisant dire qu’il adorait se faire défoncer, qu’il n’était qu’une salope, qu’une putain bonne à être bourré par elle.
Tout en lui faisant dire ça, elle accélérait ses mouvements et le défonçait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Il lui disait d’arrêter, qu’il n’en pouvait plus, que c’était trop fort, que la jouissance allait le rendre fou, elle continuait quand même ! Jusqu’à ce qu’il pousse un cri.
Elle s’arrêta, fatiguée, retira le gode ceinture et s’allongea contre lui. Il avait le cœur qui battait à toute allure et l’air de planer. Elle lui demanda si il était heureux et comme réponse, il l’embrassa en lui demandant quand est ce qu’elle recommenerait.
« Chaque chose en son temps, mon ange !» dit-elle en riant.
Après s’être reposée quelques minutes, elle l’entraîna dans la salle de bains, sous prétexte qu’une douche revigorante leur ferait du bien à tous les deux.
Elle se déshabilla complètement et entra avec lui sous la douche. Elle prit du gel et une fleur de douche et entreprit de le savonner de partout. Elle se savonna aussi, puis se colla contre lui. La mousse ayant rendu leurs peaux glissantes, il était très amusant se caresser ainsi. Très amusant, mais aussi très excitant de laisser glisser un sexe chaud plein de mousse entre ses cuisses. Ayant jugé qu’ils avaient suffisamment joué, elle rinça la mousse et sortit de la douche en s’enveloppant dans une grande serviette. Puis elle s’allongea sur le lit en s’étirant.
Elle écarta les cuisses et pointant son sexe d’un doigt, lui déclara.
« Lèche-moi »
Il s’approcha du lit, se mit à genoux, puis entreprit de donner de petits coups de langue sur le clito de sa compagne. Au bout de quelques instants, l’effet commença à se faire sentir et la jeune femme à se tordre sur le lit et à grimacer de plaisir. L’homme continua de plus belle, titillant, mordillant, léchant tout en faisant des va-et-vient avec ses doigts à l’intérieur de son sexe. Il la vit se mettre à trembler, puis se contracter dans un long gémissement. Mettant sa langue à l’intérieur de son sexe, il sentit alors les contractions de la jouissance de sa compagne.
Elle souriait. Il monta sur le lit et la prit dans ses bras, en lui demandant à l’oreille si elle avait besoin d’un remontant. Elle sourit de plus belle, se releva et dit que justement, elle connaissait un très bon remontant à ce genre de fatigue. Elle entreprit de le sucer de telle façon qu’on aurait dit qu’elle cherchait à le vider de toute substance. Il ne put retenir un grognement. Il lui dit d’arrêter ça, sinon il allait venir. Elle s’arrêta une seconde en souriant et en léchant le bout de son sexe. Puis elle le reprit immédiatement en bouche et se mit à le sucer et le pomper alternativement. Quand elle le sentit sur le point de venir, elle s’arrêta.
« Non, non, pas tout de suite, j’ai encore besoin de toi »
Il poussa un grognement de frustration. Alors, pour le punir, elle passa ses ongles le long de son corps pour le griffer, puis remontant, elle l’embrassa, lui mordilla les lèvres, planta ses ongles le long de son torse. Elle alterna morsure et caresse pendant un moment. Puis elle se mit à onduler contre son sexe, sexe contre sexe, à califourchon sur lui.
Elle se frotta ainsi jusqu’à ce que le sexe de son compagnon soit tout humidifié par son propre lubrifiant. Il rentra en elle. Elle se mit à le chevaucher. Faisant entrer et sortir le sexe de son amant du sien. Contractant son vagin et le desserrant. Leurs sexes s’emboîtant et se désemboîtant de plus en plus vite. Elle faisait des mouvements de plus en plus amples. Elle les faisait de plus en plus rapidement. Jusqu’à ce qu’elle s’emballe et ne contrôle plus rien. Comme si ils auraient pu faire ce mouvement éternellement. Elle ne sentait plus que son sexe et celui de son amant qui allait et venait. Elle s’arrêta, essoufflée, puis prit le sexe de son compagnon dans sa bouche et n’eut qu’à pomper un peu pour qu’il vienne. Elle se délecta de sa semence, l’avala, puis alla se blottir dans ses bras, la tête contre son cœur pour le sentir battre à toute allure.