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01/06/05
Résumé:  Avec le concours de son père, Gwenn séduit l'ami de celui-ci..
Critères:  fh hplusag extracon fépilée noculotte fellation 69 pénétratio fdanus fsodo hdanus ecriv_f
Auteur : Ann O'Neem
Gwenn

Elle avait dix-huit ans et la farouche envie de vivre son corps sans retenue. Elle n’avait bien sûr pas attendu d’avoir dix-huit ans pour céder au désir qui prenait possession de son âme et de ses sens à la moindre occasion, bien au contraire.


Aussi loin que je puisse me souvenir, je crois qu’elle a toujours été habitée par le Désir.

Elle le porte en elle depuis sa plus tendre enfance, aimant déjà sentir le frôlement du drap sur son corps impubère ou, les chauds après-midi d’été, s’alanguir dans le tas de paille du grenier. Là, dans les vapeurs odorantes qui l’enivraient, sa jupe retroussée sur son ventre nu, elle frissonnait de plaisir à l’idée même de cette nudité qu’elle osait à peine toucher. Non par pudeur ou réserve, mais parce qu’elle savait son corps gorgé d’un merveilleux pouvoir. Un pouvoir qu’elle percevait comme un don du Ciel, étant persuadée qu’elle était la seule fille au monde à en être dotée.


Dès que sa féminité avait commencé à s’éveiller en elle, elle avait su en tirer parti sans retenue, et il lui était arrivé bien des aventures dont le seul souvenir la faisait se sentir toute molle et faisait se glisser sa main entre ses jambes.

Mais cela, je t’en parlerais plus tard. Qu’il suffise de dire que Gwenn aimait l’amour et qu’elle en profitait pleinement.


Laisse-moi d’abord te présenter cette jeune fille sans pudeur. Elle a de longs et lourds cheveux noirs qui lui tombent en cascade sur les épaules pour finir à la naissance des fesses. Ils sont soyeux et c’est un pur bonheur que d’y plonger les mains ou le visage, de respirer leur odeur, son odeur, si capiteuse. Ses yeux sont du bleu du ciel et les fins cils noirs ne font que rendre plus troublant le regard franc et honnête qu’elle offre à chacun. Les sourcils naturellement, magnifiquement dessinés renforcent encore la beauté de ce regard pour lequel tous les saints du paradis se damneraient, et plutôt deux fois qu’une. Sous ce regard, qui n’a toutefois rien d’angélique, se trouve le plus adorable des nez qui sait si bien se froncer pour vous faire craquer à la moindre occasion. Et sous ce nez, une bouche qui promet monts et merveilles, une bouche aux lèvres humides et pulpeuses.


Quand d’aventure, c’est-à-dire très souvent, elle passe une langue rose et agile sur ses lèvres, il faut se retenir à deux mains pour ne pas lui prendre la bouche de la nôtre, pour ne pas écraser ces lèvres excitantes de nos lèvres avides et goûter cette langue déjà experte et ce souffle chaud… Mais je m’emporte. ..


Tous ces traits harmonieux, dans le cadre d’un visage à la ligne parfaite, portés par un cou tendre et gracile, surplombaient un corps parfait. La courbe des hanches descendait naturellement vers des jambes interminables et magnifiques. Celles-ci n’avaient trace de cellulite ou autres disgrâces tout en n’étant pas maigres. Tout en elle était pulpeux, mais sans excès. Ses seins étaient parfaitement formés, lourds mais pas trop gros, ni tombants, et pointaient d’autant plus agressivement sous ses vêtements légers qu’elle ne portait jamais de soutien-gorge. D’ailleurs, d’une manière générale, elle ne portait jamais de sous-vêtements, qu’elle trouvait inutiles et encombrants. Sa poitrine était d’autant plus admirable qu’elle était mise en valeur par son ventre parfaitement plat. Inutile de dire, bien sûr, que sa peau était d’une douceur à rendre fou. Et quand on remonte la main sur la peau satinée de ses cuisses, quand on passe la main sur l’intérieur, là où la peau est la plus douce, on finit par arriver à l’objet de tant de désir: son sexe rose aux lèvres dodues.

Ce sexe si jeune qu’elle aime à maintenir totalement rasé, sachant pertinemment que cela rend la plupart des hommes complètement fous. Ce sexe si jeune donc, dont on ne prenait la pleine mesure qu’après y avoir glissé un doigt tremblant, de peur de l’abîmer, et qu’on s’enhardissait à pénétrer de plus en plus profondément…

Mais je m’emporte de nouveau…


On pourrait louer également les vertus de ses fesses aussi rondes que splendides, et de l’étroit orifice qui va de paire avec elles. Mais plutôt que de me répandre plus longtemps sur ses attributs magnifiques (je sais, je me répète, mais elle est vraiment belle), je vais plutôt te raconter une histoire, qu’elle m’a racontée elle-même, qui en dit plus sur sa personnalité que toutes les descriptions.



Son père recevait pour la semaine un ami, marié mais qui était venu seul.

Gwenn le trouvait plutôt à son goût et elle avait résolu de l’amener dans son lit (ou n’importe quel autre endroit du moment qu’on puisse y faire l’amour). Elle s’en était ouverte à son père qui avait trouvé l’idée plutôt bonne et décidé de favoriser la chose. Cette complicité de son père peut te surprendre, mais l’on n’imagine pas jusqu’où cette complicité peut aller, de cela aussi, je te parlerais plus tard. Son père, donc, prit des dispositions.

Il était médecin, et invoqua donc une visite tardive à un malade pour laisser Gwenn et Antony, son ami. En réalité, il rendit visite à un couple d’amis avec qui il passa une nuit au moins tout aussi agréable que celle que passa Gwenn.


Depuis qu’Antony était arrivé, la jeune fille n’avait eu de cesse que de se promener avec des vêtements les plus légers possibles, lui laissant ostensiblement voir qu’elle ne portait rien en dessous. Antony lui-même n’était pas insensible au charme agressif de Gwenn, mais il se répétait sans cesse que celle-ci n’avait que dix-huit ans et qu’elle était la fille de son meilleur ami. Mais ce soir-là, Gwenn mit tout en oeuvre pour le faire tomber dans ses bras.

Antony était au salon, à regarder la télévision, quand la jeune fille entra dans la pièce, deux verres à la main.


«Je t’ai préparé un verre, la même chose que d’habitude », dit-elle l’air de s’excuser.


Antony la regarda, étonné. Elle ne portait en tout et pour tout qu’un simple tee-shirt rouge qui lui arrivait juste sous les fesses. Lorsqu’elle s’approcha, il ne put s’empêcher de remarquer que de sa position assise, il pouvait voir son sexe rasé dans les mouvements que faisait le tee-shirt quand elle marchait. Ceci, ajouté au fait que les seins de Gwenn tendaient le tissu et que ses tétons pointaient nettement (elle se les était caressés avant d’entrer afin d’obtenir ce résultat) fit qu’il commença à sentir monter une irrépressible érection.


Gwenn vint se mettre devant lui et se pencha en avant pour poser les verres. Ce mouvement fit se relever le tee-shirt, et Antony put examiner tout à loisir les superbes fesses de la jeune fille. Comme celle-ci s’était débrouillée pour écarter légèrement les jambes, il eut une vision parfaite de son adorable petite fente et de son anus accueillant. Antony avait maintenant une énorme érection et était à deux doigts de saisir la jeune fille par les hanches et de lui glisser sa langue entre les fesses. Mais Gwenn ne voulait pas que les choses aillent trop vite. Elle ne voulait pas tomber dans la bestialité, pas tout de suite en tout cas. Elle se releva donc, dissimulant ainsi à la vue d’Antony l’objet de son excitation. Elle vint alors s’asseoir à côté de lui sur le divan. Elle se rapprocha jusqu’à se coller contre lui, et posa la tête contre son épaule. Hésitant, il passa le bras autour des épaules de Gwenn, laissant sa main glisser rapidement jusqu’à sa taille.


«On est bien comme ça, non » ? Lui demanda-t-elle, faussement innocente.

« Euh… Oui », bégaya-t-il.


Gwenn se lova un peu plus contre Antony, lui caressant la poitrine au travers de la chemise. Elle sentit sa main glisser doucement le long de sa hanche. La main s’arrêta quand elle rencontra la peau lisse et chaude. Gwenn se tortilla un peu en poussant un grognement de contentement et sa main glissa par "inadvertance" sous la chemise, touchant la peau qu’elle commença à caresser.

La main d’Antony reprit sa progression en tremblant, suivant la courbe de la fesse, jusqu’à ce que les doigts se retrouvent bloqués entre les deux soeurs siamoises. Le doigt tremblant d’Antony, qui n’arrivait pas encore à y croire, commença alors à explorer lentement cette vallée si désirable, faisant aller et venir sa main, parfois allant jusqu’à caresser la vulve humide, parfois s’arrêtant sur l’anus étroit mais prêt à tout. Alors qu’il s’appesantissait un peu plus sur cette porte de derrière, celle-ci céda soudain, et Antony pénétra la jeune fille de son doigt, introduisant d’un coup deux phalanges.


Gwenn poussa un léger gémissement de plaisir, et tandis que sa main descendait vers la ceinture d’Antony, elle lui offrit sa bouche. Il écrasa ses lèvres contre celles de la jeune fille et leurs langues se mêlèrent, s’explorant, se suçant l’une l’autre.


Pendant ce temps, la main de Gwenn luttait pour défaire la ceinture tandis qu’Antony faisait aller et venir son doigt dans l’anus de la jeune fille. Il s’y trouva d’ailleurs si à l’aise qu’il en introduit un second qu’elle accueillit avec un autre gémissement de plaisir. Antony était plutôt étonné qu’une si jeune fille soit si large à cet endroit-là, mais cela ne faisait que rajouter à son excitation. Gwenn réussit enfin à défaire la ceinture et les boutons de la braguette. Elle glissa alors sa main dans l’ouverture ainsi créée et commença à caresser le membre tendu au travers de l’étoffe du slip.

Elle aimait ce moment intense où elle avait du mal à retenir son désir pour ce sexe qu’elle devinait chaud et dur sous ses doigts. Antony, lui, ne supportait plus qu’à peine la tension, et tout en lui désirait qu’elle écarte le tissu et le prenne dans sa main aux longs doigts agiles. Cédant enfin à leur désir commun, elle écarta enfin le slip et prit avidement le sexe gonflé de sang, le caressant sur toute sa longueur, savourant la douceur de la peau à cet endroit et sa chaleur presque brûlante.


Elle sentait le sang pulser sous ses doigts qui exploraient chaque recoin du membre viril. Elle promena ses lèvres sur celui-ci, donnant de petits coups de langue sur toute sa longueur jusqu’aux testicules qu’elle faisait rouler dans sa main. Finalement, elle le redressa et le prit dans sa bouche, l’aspirant presque totalement, puis remontant pour faire jouer sa langue autour du gland gonflé à bloc. Sous l’effet du plaisir extrême que lui procurait cette caresse buccale, Antony enfonça ses doigts un peu plus avant ce qui fit de nouveau gémir Gwenn, la bouche pleine. Mais Antony ne pouvait maintenant plus se satisfaire de ce qu’il faisait subir au fondement de la belle. Il pivota précautionneusement vers le bassin de Gwenn qui continuait à lui faire les honneurs de sa bouche.


Elle leva la jambe afin qu’il puisse se glisser sous elle et se retrouva ainsi à cheval sur son visage. Antony, qui n’attendait que ça, colla ses lèvres à celles, intimes, de la jeune fille. Alors que celle-ci continuait à faire aller et venir ses lèvres et sa langue sur son sexe, il glissa sa langue dans l’intimité de Gwenn, s’attardant parfois sur le clitoris durci, la dardant dans son vagin maintenant trempé et dilaté, glissant jusqu’à l’anus duquel il avait retiré ses doigts. Il fit tant et si bien que la jeune fille atteignit un orgasme violent qui lui secoua les reins et manqua d’étouffer Antony.

La jouissance de Gwenn l’excita tant, cependant, qu’il ne put lui-même retenir son plaisir, inondant la bouche de celle-ci qui, même au plus fort du plaisir, n’avait pas cessé de sucer le sexe de son amant. Elle avala la liqueur chaude et abondante d’Antony et continua de prodiguer ses faveurs à son membre, ne voulant pas qu’ils en restent là. Elle fit glisser le pantalon par terre, lui libérant ainsi les jambes qu’elle releva et coinça sous ses aisselles. Ainsi, tout en continuant à le sucer, elle put lui glisser dans l’anus un doigt qu’elle enfonça profondément, ce qui eut pour effet de relancer ses ardeurs.


Lorsqu’elle fut sûre qu’il ne lui ferait pas défaut, elle cessa sa fellation et se retourna pour lui faire face. Elle s’accroupit en dessus du sexe tendu et se l’introduisit dans le vagin. Elle le fit pénétrer totalement, jusqu’à ce qu’elle sente ses bourses contre ses fesses. Alors elle s’arrêta de bouger, savourant la présence de cet homme entre ses jambes qui lui emplissait le ventre. Elle le regarda avec un petit sourire pendant qu’il parcourait son corps de ses mains, jouissant de ses formes splendides, pétrissant les seins fermes, saisissant à pleines mains les fesses potelées et les écartant en une tentative de la pénétrer plus profondément encore. Gwenn éleva alors ses hanches très lentement, jusqu’à ce que le sexe d’Antony soit presque totalement sorti, puis redescendit tout aussi lentement. Après quelques instants de ce petit jeu, Antony n’y tint plus, et alors qu’elle commençait à redescendre, il arqua les reins pour aller à sa rencontre, la pénétrant violemment. Gwenn se mit alors à accélérer son va-et-vient jusqu’à ce qu’elle atteigne de nouveau l’orgasme. Ne lui laissant pas le temps de souffler, il la saisit à bras le corps et la coucha sur le dos. Ce fut alors à son tour de jouer des reins. Gwenn hurlait son plaisir et de nouveau la jouissance la submergea. Comme Antony ne tempérait pas son effort, elle cria une quatrième fois de plaisir, le serrant de toutes ses forces dans ses bras et lui labourant le dos de ses ongles. Il la fit alors mettre à quatre pattes, les genoux sur la moquette. Il s’introduisit à nouveau dans son vagin et se remit à aller et venir quelques instants. Puis il extirpa son sexe de celui de la jeune fille et le glissa doucement dans son anus dilaté qui se livra pratiquement sans aucune résistance.


«Oooh, oui !» râla Gwenn, pantelante.


Alors même qu’il la pénétrait avec précaution, la jeune fille se projeta en arrière, s’empalant littéralement sur la virilité de son amant.


«Encule-moi, cria-t-elle. Défonce-moi le cul ! »


En temps ordinaire, des mots si crus dans la bouche de cette jeune fille l’auraient choqué, mais dans ce cas précis, il se contenta de lui obéir avec un plaisir non dissimulé.


Jamais jusqu’alors il n’avait connu de femme qui appréciait autant la sodomie. Mais Gwenn la prisait particulièrement. Elle savait depuis longtemps que, bien exécutée, elle pouvait procurer autant de plaisir que le coït classique. Et dans ce cas précis, elle était si bien pratiquée qu’elle put en jouir deux fois. Ensuite, elle se redressa et se colla à lui, le saisissant par la nuque et lui offrant sa bouche. Leurs langues se sucèrent mutuellement, trouvant le goût de son propre sperme dans la bouche de la jeune fille, et elle, celui de son plaisir dans celle de son amant. Et ce faisant, elle continuait de lui souffler les mots les plus crus.


«Allez, viens mon amour. Bourre-moi. Défonce-moi. Jouis, mon amour. Vide-toi les couilles dans mon cul. Viens ! ! »


Ces mots achevèrent de l’exciter et il fut prit par un orgasme violent qui le laissa pantelant. Ils restèrent ainsi un petit moment, l’un dans l’autre, puis ils se levèrent et se rendirent dans la salle de bains. Inutile de dire qu’elle se fit prendre par Antony à maintes reprises cette nuit-là. Ils firent de nouveau l’amour sous la douche, puis sur le lavabo, mais aussi sur la table de la salle à manger, et enfin, dans le lit spacieux et confortable de Gwenn.


Tu pourrais considérer cette nuit comme agitée, mais pour Gwenn, elle était plutôt tranquille et classique.