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Temps de lecture estimé : 8 mn
03/06/05
Résumé:  Loin de ma femme, je me laisse guider par une belle Iranienne dans un rapport de volupté.
Critères:  fh extracon copains hsoumis fmast fellation préservati fsodo attache humour
Auteur : f2b  (Homme, 25-30 ans)            Envoi mini-message
Les dessous chics

Ma femme n’a jamais aimé Yasmina.



Yasmina m’a été présentée par un ami commun alors que nous prenions un verre dans un bar à la mode, à Paris. Yasmina est d’origine iranienne, elle a 25 ans et travaille à Boston. Elle est grande, fine et élégante, possède de longs cheveux brun foncé, de très beaux yeux vairons. Elle a une voix grave et chaleureuse, un sourire charmant, un rire sonore et joyeux. Elle m’a tout de suite plu, non seulement du fait de son physique, mais surtout par son caractère franc avec un certain côté garçon manqué. Yasmina avait tout de suite été très amicale avec moi, ce que j’avais apprécié, bien que je n’aie eu que de rares occasions de la voir durant son séjour en France.

Quelques mois après que je l’aie rencontrée, le cabinet d’avocats pour lequel je travaille m’envoya passer deux mois en mission à Boston. Ma femme travaillant à Paris, je la laissai en France, sachant que ces deux mois passeraient vite, compte tenu du boulot qui m’attendait. Je passai les deux premières semaines à bosser de façon assez soutenue, après quoi je pus prendre un peu de temps pour moi. J’appelai alors Yasmina pour lui proposer de prendre un verre. Elle avait appris par notre ami commun ma présence à Boston et m’avait envoyé un mail lourd de reproches sur mon silence.

Elle m’emmena dans un bar dont le nom m’échappe, avec une vue magnifique sur Boston, et nous bûmes quelques coupes de champagne. Sa compagnie était très agréable : Yasmina était une fille attentionnée et délicate, qui s’intéressait à son interlocuteur. Je passai avec elle une soirée délicieuse, appréciant tout particulièrement sa propension à boire autant de champagne que moi ! Elle me raconta sa vie à Boston, sa quête désespérée de l’homme parfait. Elle se savait belle et connaissait pertinemment l’effet qu’elle faisait aux hommes. Elle en jouait volontiers. Yasmina n’avait pas de mec précis, ou du moins elle en avait deux qui lui tournaient autour avec insistance. Elle n’était pas intéressée outre mesure par ces deux prétendants. Je la raccompagnai chez elle en taxi vers deux heures du matin avant de rentrer à mon hôtel m’effondrer sur mon lit.

J’étais ravi de pouvoir passer un peu de temps avec elle, alors que j’avais craint l’ennui en venant à Boston. Après quelques dîners, sorties au cinéma ou bars, je pris vite l’habitude de l’appeler en sortant du bureau, pour savoir si nous pouvions nous retrouver et boire un verre. Elle m’invita un soir à venir dîner chez elle. Elle m’accueillit avec son sourire habituel, vêtue d’une jupe beige et d’un chemisier blanc. Très "working girl" ! Son appartement, meublé avec soin, comprenait une grande chambre, une chambre d’amis plus modeste et un salon. La chambre d’amis faisait office de salle de TV. Lorsqu’elle me montra sa chambre, je lui fis remarquer qu’il était plus normal de trouver sur les lits des jeunes filles sages des nounours plutôt que des sous-vêtements rouges.



Et elle étendit les ensembles sur le lit.



Il l’était. Il s’agissait d’un soutien-gorge en dentelle rouge assorti d’un string qui, même vide, était hyper sexy.



Et elle referma la porte de sa chambre en riant.

Elle avait préparé un dîner délicieux après lequel nous décidâmes de regarder un DVD en sirotant une bouteille comme de vrais alcoolos. Elle s’était assise tout près de moi et se blottit contre moi en ramenant ses jambes sous ses fesses pour trouver une position plus confortable. Je repensais aux ornements de son lit et ne pouvais m’empêcher de l’imaginer dedans. Cette pensée m’échauffait légèrement. Comme elle faisait partie de ces gens qui ne peuvent regarder un film sans parler, nous discutions tout en regardant "Un Poisson nommé Wanda". Lorsque vint la scène du strip-tease grotesque de John Cleese, elle revint sur ces sous-vêtements qui n’avaient pas quitté mes pensées.



Nous continuâmes à discuter jusqu’à la fin du film. Alors que je me préparais à prendre congé, elle me proposa de regarder un second film avec elle et de rester dormir dans sa chambre d’amis. J’hésitai un court instant et acceptai avec plaisir. Je n’avais aucune arrière-pensée ; sa compagnie me plaisait tout simplement et je n’avais aucune envie de retourner à mon hôtel. Notre choix de DVD se porta sur "Apparences". Juste avant de lancer le film, Yasmina me demanda :



Elle disparut. Elle revint, portant un tee-shirt long et ample.



Elle avait des jambes longues et fines, soigneusement épilées. Elle avait lâché ses cheveux qui retombaient sur son tee-shirt sous lequel je devinais la forme de ses seins.

J’avais déjà vu ce film mais, étant très bon public pour les scènes de suspense, je suis incapable de dire lequel d’elle ou de moi avait le plus peur. Nous étions dans les bras l’un de l’autre, à sursauter comme des midinettes. Elle se collait de plus en plus à moi, s’appuyant contre mon torse alors que j’avais passé mon bras autour de son cou. Elle avait posé une main sous sa tête, puis la fit glisser sur mon ventre. Je me laissai faire, ne sachant pas vraiment quelles étaient ses intentions : je me sentais bien, tout simplement. Sa main commença très lentement à me caresser le ventre, sans que je ne m’en rende compte au début. Lorsque je le remarquai, je commençai à caresser sa taille, ce qu’elle prit pour un encouragement. Elle défit un bouton de ma chemise et passa avec douceur ses doigts sur ma peau. Je faisais remonter ma main et la redescendais sur ses hanches, pour sentir sous son tee-shirt l’élastique de sa culotte. En descendant un peu, je pus juger par la finesse de la bande de tissu qu’il s’agissait d’un tanga sexy. Elle défit un second bouton de ma chemise pour passer la main sous le tissu et me masser lentement le torse. Yasmina défit ma ceinture et le bouton de mon pantalon pour pouvoir descendre sa main et continuer ses caresses, sans pour autant toucher mon sexe. Je passai mes doigts sous son tee-shirt, le relevant au fur et à mesure que je me rapprochais de ses seins. Sa peau était douce et sombre, je rêvais de pouvoir contempler ses seins et les sucer indéfiniment ; il fallait pour cela que nous changions de position et je craignais de briser ce moment en bougeant trop. La main de Yasmina continuait ses caresses, se rapprochant à chaque fois plus de mon sexe, se tête toujours posée sur mon torse. Je me laissais glisser pour avoir le visage à hauteur du sien et l’embrasser. Elle posa ses lèvres sur les miennes en même temps que sa main défaisait ma braguette, et se saisit de mon sexe. Sans que nos bouches ne se décollent, je relevai son tee-shirt pour enfin caresser ses seins avec une infinie douceur. Je laissais mes paumes glisser sur leur pourtour en décrivant des cercles de plus en plus petits, me rapprochant des tétons qui avaient considérablement durci. Je me décidai à quitter sa bouche pour pouvoir enfin embrasser ses seins, lécher leurs pointes. Elle mit ses doigts dans mes cheveux et me caressa, sa respiration se faisant de plus en plus profonde. Je me redressai pour l’embrasser.



Elle se dirigea vers la chambre, je lui emboîtai le pas.



J’obéis.



Quand une femme superbe à la peau aussi douce vous le demande, vous ne refusez pas. Spécialement lorsqu’elle est nue et que, deux minutes avant, elle passait sa main sur votre sexe. À nouveau donc, et selon toute logique, j’obéis.

Elle écarta mes bras en les relevant et les attacha aux montants du lit avec les sous-vêtements achetés le jour même. Elle déboutonna ma chemise et me débarrassa de tous mes autres vêtements. Agenouillée sur mes cuisses, elle ôta son tee-shirt et se contorsionna pour faire glisser son tanga. Elle s’allongea sur moi et plongea sa langue dans ma bouche, ses deux mains caressant mes cheveux. Elle descendit une main vers mon sexe qu’elle empoigna, glissa sur le côté pour s’allonger près de moi. Elle embrassait mon torse en me branlant avec lenteur, s’arrêtant pour caresser mes couilles pendant de longs moments. Elle s’écarta ensuite, se pencha pour ouvrir sa table de nuit d’où elle sortit un préservatif. Enflammé par l’action, je n’y avais même pas pensé. Elle déchira l’enveloppe et le déroula avec application avant de reprendre sa masturbation. Elle s’assit sur mes jambes, les cuisses écartées, et se caressa la vulve de sa main libre. Lorsqu’elle fut humide, elle enfonça un doigt, puis deux, nous masturbant à la même cadence, les yeux fermés pour mieux se concentrer sur son plaisir. Elle prit un tube de lubrifiant dans la table de nuit et en appliqua sur mon préservatif avant de se pencher vers moi en m’embrassant. Ses cuisses de chaque côté des miennes, elle guida mon sexe vers son anus et s’assit très lentement, avec d’infimes mouvements de va-et-vient. Je la pénétrai avec douceur, sans pouvoir bouger. Elle s’arrêta à mi-chemin, attendit un instant pour que la douleur disparaisse puis amplifia le mouvement, s’enfonçant un peu plus à chaque fois. La sensation sur mon sexe était fabuleuse, je sentais chacun de ses mouvements qui tiraient ma peau dans un sens ou dans l’autre. Elle se relevait et s’asseyait sur mon sexe en prenant tout son temps, semblant vouloir prolonger ce moment à l’infini. Les mains toujours attachées, je ne pouvais que rester passif et goûter à ce plaisir avec une délicieuse passivité. Yasmina gémissait lorsque je m’enfonçais en elle avec à chaque fois un peu plus de force. Elle accéléra progressivement la cadence, approcha une main de son clitoris qu’elle massa avec fermeté. Les yeux fermés, elle fronçait les sourcils, prenant soin de toujours m’enfoncer en elle au maximum. Je sentais la jouissance monter sans pouvoir rien contrôler de mes sensations alors que Yasmina criait son plaisir. J’explosai bientôt, remplissant le préservatif après qu’un long frisson m’ait parcouru le corps.

Yasmina retira le préservatif qu’elle noua et laissa tomber par terre, prit mon sexe dans ses mains et entreprit de me masturber. Je me savais incapable de bander à nouveau mais je suis intimement persuadé que tous les lecteurs masculins auraient, comme moi, gardé leurs doutes pour eux. Elle approcha son visage et entreprit de sucer mon sexe sans cesser de le branler. Elle lécha et avala le sperme qui restait et sembla y prendre un grand plaisir.

Elle se redressa pour se détacher et s’allongea à mes côtés. Je m’endormis en la serrant contre moi, une main sur ses seins que je pouvais – enfin – caresser à loisir.