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n° 09214Fiche technique18378 caractères18378
Temps de lecture estimé : 11 mn
03/06/05
Résumé:  Un savant fou retrouve la formule de HG Wells et se rend invisible.
Critères:  h médical prost bizarre chantage voir hmast rasage fdanus sf
Auteur : Le Kawjer      
L'homme invisible

H.G. Wells avait raison ! Depuis l’enfance j’avais poursuivi ce rêve. Enfin après quarante ans de recherches dissimulées aux yeux de tous, sous le couvert de décodage du génome, mes travaux venaient d’aboutir. Pour des raisons de sécurité et de propriété intellectuelle, je ne peux décrire ici, ni les équations, ni les algorithmes, ni les technologies qui constituent la clé de ma technique. Cependant j’ai déposé dans un coffre une monographie complète sur ma découverte. Bien sur comme dans le roman qui avait fasciné l’adolescent que j’étais, et comme dans les films de série B, j’ai dû expérimenter la partie «médicamenteuse» de l’expérience sur moi-même. Alors toujours à l’instar du savant fou hollywoodien, je consigne dans ce carnet le résultat de mon expérimentation, et je ne cache pas mon appréhension quant aux effets secondaires induits par les drogues que je m’injecte quotidiennement. Je suis bien décidé à tout arrêter dans l’éventualité où les effets immédiats présenteraient des risques évident pour ma survie.


Cela fait deux semaines à présent que je poursuis mes transformations et cela marche. Pas de troubles cognitifs, pas d’effets secondaires. Hier j’ai réussi ma première sortie. Comme H.G. Wells l’avait si bien envisagé, sortir nu est embarrassant même lorsque l’on est invisible. La température était clémente, mais le monde extérieur est agressif, le contact des matières et les chocs thermiques sont nombreux, de plus mes pieds ne sont pas fait pour la marche sans chaussures. Je parle déjà de l’invisibilité comme d’un fait acquis, et pourtant je n’ai pas encore l’aisance du héros de Wells, et la saison ne me permet pas d’envisager le manteau, le chapeau et les bandelettes. En outre marcher nu, les testicules pendants, est sans doute distrayant les premières minutes mais après une heure dans cet état, on se sent perdu et sans protection. J’ai donc décidé que je réserverais mes sorties pour des lieux clos et conviviaux : centre commerciaux, cinémas, théâtres, etc.


Après un mois de traitement, il me semble que la mutation est de plus en plus rapide, l’épiderme, les tissus, et la masse osseuse se délitent et se re-opacifient en quelques secondes après les traitements choisis. J’ai beaucoup travaillé ici dans mon laboratoire, je me suis appliqué à chercher les meilleures techniques de déplacement au milieu de mes collègues, à anticiper et éviter les collisions avec les passants, à profiter du vide ou au contraire de la foule pour ouvrir et fermer des portes. Je sais à présent mettre à contribution l’effet de surprise d’un contact physique avec un « apparent » pour me mettre hors de portée et je confesse que j’en découvre tout le sel et les cotés amusants et excitants. De plus je me sens en pleine forme physique, comme jamais je ne m’étais senti, en outre ma libido est revenue et j’ai retrouvé des érections et le goût du sexe.


Voila la fin du premier trimestre d’expérimentation, et je me sens extraordinairement actif, j’ai l’impression de sentir le sang couler dans mes veines, ma vision est redevenue parfaite, mon ouïe fine et je suis à présent capable d’honorer une femme plusieurs fois de suite. Dans mes périodes d’invisibilité, je me coule dans la foule d’un centre commercial avec aisance et en préparant avec soins des caches de repli, où m’attendent des vêtements je suis désormais capable de me rendre dans plusieurs endroits de la ville. Je suis de plus en plus attiré par les femmes et je ne me prive pas de mettre la main aux fesses des inconnues ou de soulever les jupes corolles comme le ferait un coup de vent. Des bouffées de désir m’envahissent alors que je suis nu et en érection devant une femme qui ignore ma présence. Hier pour la première fois, je me suis rendu dans les toilettes des femmes et observé en me hissant au-dessus du claustra de séparation des femmes faisant leurs besoins. Loin d’en éprouver de la honte ou du remords, j’ai découvert que je pouvais prendre mon temps, les observer à loisir tout en étant frustré de ne pas pouvoir approcher de plus près. Un sentiment bizarre de puissance se développe en moi et je ne sais pas si je dois le combattre ou m’en accommoder.


Fin de la première année de l’expérience, je passe désormais beaucoup de temps dans mon état d’invisibilité. J’ai abandonné mes recherches et démissionné de mon travail. Ma technique de mutation est totalement au point et je suis capable en quelques secondes de me rendre invisible à n’importe quel moment dans n’importe quel endroit. Cependant les femmes occupent presque la totalité de mon temps, je dois avoir des rapports sexuels fréquents et répétés pour calmer mes pulsions. J’ai dépensé la quasi-totalité de mon épargne avec les prostituées, et en suis réduit à voler dans les sacs à main ou les poches des gens qui ne me voient pas. J’avais cru pouvoir dévaliser une banque avec aisance. Hélas invisible aux caméras mon corps ne l’est aux détections soniques ou aux ultraviolets. J’en ai fait la désagréable expérience, qui m’a valu de rester blotti nu pendant une demi-journée à l’agence du Crédit Lyonnais, pendant que les agents de sécurité essayaient de comprendre les dysfonctionnements de leur système d’alarme. Cette mésaventure est à l’origine de mes déviations. En effet rebuté par les banques je me suis rabattu sur les caisses d’un supermarché. Cependant il était hors de question de vider une caisse au vu et su de tous : caissière et clients, sans déclencher un mouvement de panique dans lequel j’aurais été détecté. J’ai donc suivi une jeune caissière qui partait avec sa cassette au moment de la relève. Il me fallait repérer les lieux et prévoir une cache dans la salle pour mes vêtements de telle manière à m’y laisser enfermer et profiter de la nuit pour ouvrir les coffres dont mon invisibilité m’aurait permis de connaître les combinaisons. La jeune femme me conduisit dans les arrières du supermarché, et je la suivis, je m’introduisis dans la salle des coffres, et notai mentalement la combinaison. Puis elle se rendit aux vestiaires des dames, je la vis retirer sa blouse. Elle portait un ensemble culotte et soutien-gorge blanc très simple, elle prit une serviette de toilette et se dirigea vers la salle des douches. Elle se dévêtit intégralement, je me mis devant elle, elle était très ordinaire, ses seins un peu aplatis tombaient et son pubis était très fourni sans être entretenu, je fis le tour pour voir ses fesses qui étaient basses et piquées de petits boutons rouges mais rondes. Elle entra dans la cabine de douche et j’entendis l’eau couler. Je sortis de la zone des employés.


Le coup que je réalisais la nuit suivant me mit à l’abri du besoin pour quelques temps et défraya la chronique judiciaire. Pour ma part je tenais, à la fois le moyen de subvenir à mes besoins, mais aussi celui d’assouvir mes pulsions sexuelles qui devenaient de plus en plus fortes et de plus en plus pressantes. Mon invisibilité m’ouvrait des portes jusque-là interdites au commun des mortels.


Pendant quelques temps, j’ai suivi des femmes dans la rue, des jeunes des vieilles, jusque chez elles. Et là patiemment j’ai attendu, les ai suivies aux toilettes, les regardant uriner ou déféquer, sous la douche ou faisant l’amour. Dès qu’une femme me plaisait, il me suffisait d’être patient et en quelques jours je savais tout de son intimité, de son physique. J’ai entendu leurs conversations secrètes, lu leurs journaux intimes. J’ai vu des amants, des drames sentimentaux. J’ai caressé la nuit des corps endormis. Mais mes pulsions devenaient de plus en plus fortes. Alors j’ai décidé de tenter une expérience et me suis rendu chez les prostituées. Tandis que visible je me faisais faire une fellation, j’en profitais pour cacher un flacon d’éther et du coton sous le lit de la belle. J’ai payé la maigre prestation et quitté la fille. Quelques instant plus tard je me suis rendu invisible et ai dissimulé mes vêtements sous la cage de l’escalier. Il fallut peu de temps pour voir la belle revenir avec un chaland. Je les ai suivis, me suis introduit dans la chambre et assisté tranquillement à un limage triste, ayant tout loisir pour observer les yeux de la femme qui parcouraient le plafond avec dégoût, alors que les testicules de l’homme rythmaient son va-et-vient vaginal. Sa queue soulagée l’homme s’enfuit rapidement tandis que la pute se lavait le sexe à même le lavabo jaunâtre. J’ai profité de cet instant pour saisir l’éther en imbiber le coton et sans qu’elle ait pu faire un geste, j’ai appliqué fermement ce tampon en couvrant sa bouche et son nez, elle s’est débattue un court instant et soudain devenue molle s’est effondrée dans mes bras. Je l’ai installée sur son lit. Elle était à demi nue, sans culotte, couchée sur le côté les cuisses fermées formant à la hanche un creux marquant des fesses maigres. Je l’allongeais sur le dos et lui écartais largement les cuisses, découvrant une vulve que je caressais avec avidité. La vulve d’une pute est un endroit interdit, rare sont les professionnelles qui se laissent toucher le sexe. Par jeu et facétie, je lui rasais le pubis avec une lame jetable trouvée sur l’étagère du lavabo, et pensais avec jouissance à la tête qu’elle ferait en se réveillant ainsi qu’aux remarques de ses prochains clients. Ne sachant combien de temps son endormissement durerait, je me suis masturbé et après avoir éjaculé dans une feuille de papier absorbant, j’ai quitté rapidement le galetas et, rendu visible à nouveau, regagné la rue et le large. Depuis lors j’ai toujours un flacon d’éther et des tampons de coton sur moi. J’ai réédité trois fois mon scénario avec trois filles mais j’ai du arrêter car je pense que ces attaques étranges ont déclenché un malaise dans le quartier. Les escaliers des immeubles pouilleux étaient visiblement sous surveillance. Bien entendu ces expériences vécues grâce à mon invisibilité avaient eu un impact considérable sur mon psychisme et je sentais le besoin confus de poursuivre plus loin encore dans cette voie.


Un jour que je suivais une femme mûre, elle me conduisit chez son gynécologue. Je décidais de la suivre. Je pénétrais avec elle dans le cabinet et, invisible, assistais à l’entretien médical. Je la vis se déculotter et prendre place sur la table les pieds dans les étriers l’intimité bien exposée. J’ai assisté à l’examen : les gants de caoutchouc, les doigtiers, le toucher vaginal et abdominal, le spéculum, les brosses pour le frottis vaginal, la palpation des seins, passionnant ! J’ai décidé de rester un peu et ai assisté confortablement installé à sept déculottages de femme, sept examens de vagins et de seins. Je me suis masturbé avec entrain et quand finalement je me décidais à quitter les lieux je savais qu’il me fallait recommencer. Le lendemain je me suis rendu chez le même praticien, installé dans la salle d’attente sous prétexte d’attendre la patiente en cours d’examen j’ai réussi à coller un petit flacon d’éther sous la chaise. Devenu invisible j’ai suivi la première patiente une vieille femme dont le cabas m’avait permis de dissimuler l’éther. Lorsque que le médecin a raccompagné sa patiente à la porte du cabinet, j’ai anesthésié le gynéco et l’ai lié et bâillonné dans son placard, non sans avoir pris sa blouse blanche. Redevenu visible j’ai fait entrer la première patiente. C’était une belle femme très bon chic bon genre, une bourgeoise des quartiers chics. Elle fut étonnée de me trouver là, s’enquérant de son docteur habituel. L’explication d’un décès soudain dans la famille de son docteur et de mon rôle de remplaçant la laissa perplexe, mais bonne fille elle ne pouvait pas faire demi-tour et refuser de se laisser examiner j’étais un docteur après tout ! Lors du questionnaire médical que je répétais de mémoire, j’appris qu’elle avait 38 ans et que par chance elle venait pour un contrôle de routine. J’ajoutais des questions de mon cru sur sa sexualité, ses rapports sexuels avec son mari, je la sentais mal à l’aise déstabilisée par mes questions et mon regard…. je jouissais de plaisir, je la mettais à nu et elle n’osait pas se rebeller contre le pouvoir médical que je représentais. À l’issue de cet interrogatoire, je l’invitais à aller s’installer sur la table, mais à l’inverse du médecin dont j’avais observé qu’il attendait que ses patientes soient installées pour se rendre en salle d’examen, j’allais m’asseoir sur mon tabouret tout en regardant clairement la femme se dévêtir. Je vis la rougeur sur ses joues tandis qu’elle se dirigeait vers la table les mains protégeant son sexe les fesses nues.



Et la gourde obéit et se mit entièrement nue devant moi… ah ! La magie du médical. Elle s’installa sur la table. Elle était très belle, ses seins encore très fermes, des fesses rondes et hautes, une peau nette et sans défaut. Je la laissais quelques minutes allongée nue, j’augmentais l’écartement de ses cuisses en l’observant ouvertement. Je passais en le faisant claquer avec force un seul gant d’examen, et doucement me mis en devoir avec mon autre main nue d’examiner son clitoris, sa vulve. Lentement j’écartais les lèvres, passais mon doigt dans la fente jusqu’au pelvis et aux portes de l’anus. Elle était tendue comme la corde d’un arc. Dure comme du bois fixant le plafond. Mais elle ne protesta pas. De temps en temps je laissais échapper un « hum ! » ou un « c’est bien, parfait ». Puis je pris un spéculum que je mis en devoir de lui introduire dans le vagin. Ce n’est pas chose facile et maladroit je lui arrachais un cri, elle protesta enfin :



J’en profitais pour bien placer le spéculum, et je fis jouer les écarteurs. Le spectacle de l’intérieur d’un vagin n’est pas ragoûtant sans parler de l’odeur… Bref, je resserrais l’outil et le retirais de cette belle chatte qui ne méritait pas qu’on la maltraite, tout en découvrant la bouteille de vaseline posée à côté des spéculums… en effet, elle avait dû avoir mal. Puis comme je l’avais vu faire par le médecin j’introduisis mes doigts dans le vagin tout en lui palpant l’abdomen. Je fis durer assez longtemps l’introduction dans ce ventre chaud, elle me serrait les doigts, je sentais la matière humide de son vagin.



Et ma grande dinde de se mettre en levrette devant moi… incroyable ce que la blouse blanche peut inspirer.



Copieusement lubrifiés, cette fois-ci, mon pouce pénétra son vagin et mon index s’enfonça dans son anus… elle était belle le cul en l’air… je la visitais et j’en profitais pour laisser mon autre main errer sur sa fesse. Elle poussa un petit cri de douleur. Alors retirant mon pouce de son vagin, je me mis en devoir de lui limer doucement l’anus avec mon index, tout en lui demandant si elle ressentait une douleur quelconque à chaque mouvement de pompe. Avisant un tout petit spéculum je ne pus résister à l’envie de lui enfoncer dans l’anus, elle ne sentit visiblement pas la différence. Enfin assouvi, je lui caressais plutôt que palpais les seins, puis la rassurais sur son état de santé en lui demandant de se mettre debout, les pieds joints les bras le long du corps, je fis courir mon index le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la raie des fesses. Enfin je lui fis écarter les cuisses et me mis en devoir de lui mesurer la vulve. Elle ne protesta pas, elle fit même, à ma demande, quelques mouvements, penché en avant doigts sur la pointe des pieds avec cuisses écartées qui magnifièrent sa chatte et ses seins. Je ne pouvais en abuser plus alors je la libérais tout en la regardant se rhabiller. Elle était livide et remplit son chèque avec nervosité ; elle me quitta presque sans un mot. Je me rendis dans la pièce attenante et découvrit mon gynécologue encore endormi, je le détachai et m’enfuis discrètement profitant de mon invisibilité. Je gardais le souvenir du corps de ma patiente et connaissant son adresse, je me jurais de lui rendre une visite nocturne.