n° 09227 | Fiche technique | 11819 caractères | 11819Temps de lecture estimé : 8 mn | 05/06/05 |
Résumé: Une rencontre avec une inconnue en panne sous la chaleur de l'été | ||||
Critères: fh inconnu parking voiture volupté fellation cunnilingu pénétratio ecriv_f | ||||
Auteur : Titine |
La température était écrasante en cette fin d’après-midi, l’air était irrespirable, et l’horizon se perdait dans des brumes de chaleur. " Fichu désert ", se dit Tom en s’épongeant le front. Il passait seul la journée dans ce garage perdu au milieu de nulle part, à plusieurs miles du village, sur la route menant à la frontière mexicaine.
Les cours à l’Université ne reprendraient pas avant quelques semaines et son oncle lui avait confié la station durant quelques jours, pour s’octroyer un peu de bon temps sur la côte ; il l’imaginait bien, allongé au bord d’une piscine, un verre à portée de main, à mater toutes les filles passant devant son transat ! Et lui, pauvre étudiant, passait son temps à réparer les vieilles bagnoles que les tocards du coin leur confiaient, et avait l’impression de perdre sa jeunesse dans ce trou perdu. Vivement la fin de semaine, il irait rejoindre ses potes au bar du bled, pour siroter quelques bières, faire un billard et reluquer les filles …Qui sait, peut être que cette fois-ci, Laura voudrait bien passer à autre chose qu’à une séance de tripotage?
Tom poussa un soupir, passa son chiffon graisseux sur son front et retourna dans le hangar, accablé par la chaleur. Encore quelques heures à tenir, et il pourrait fermer la boutique, filer à la salle de sport faire quelques exercices pour entretenir ses pectoraux et prendre une douche vivifiante.
Une véritable fournaise l’attendait dans le hangar plongé dans la pénombre, mais Tom se remit à astiquer la vieille Buick que son propriétaire devait récupérer demain.
Le ronflement d’un moteur lui parvint et surpris, il leva la tête. Qui pouvait bien se perdre sur cette route à cette heure-ci ?
Une voiture s’arrêta devant la station, et il entendit le claquement d’une portière et un bruit de pas sur le gravier. Quelqu’un se rapprochait du hangar. Une silhouette se détacha dans l’embrasure de la porte, et Tom ne put s’empêcher de siffler. Une femme, vêtue d’une robe légère et blanche qui, à contre-jour, laissait deviner ses formes…
« Y a-t-il quelqu’un ? J’ai un problème avec ma Porsche, je crois l’avoir faite un peu trop chauffer… »
Tom s’avança, gauchement, se sentant mal à l’aise dans sa vieille combinaison tachée et maculée de graisse, devant cette femme à l’allure distinguée, et féline à la fois. Elle balançait nonchalamment la clé au bout de son index, un sourire léger au coin des lèvres, le regard masqué derrière des lunettes noires.
« Heu, je m’appelle Tom, je n’y connais pas grand chose en voitures de sport, mais je vais voir ce que je peux faire. On va la rentrer sous le hangar »
L’inconnue lui lança la clé, rejeta en arrière ses longs cheveux noirs, et d’une démarche chaloupée, perchée sur ses talons aiguilles, elle s’avança à l’intérieur du garage.
Tom rattrapa la clé au vol, sourit à l’idée de conduire quelques instants l’engin rutilant garé devant le hangar.
Elle l’effleura au passage, et il sentit son parfum envoûtant et capiteux, et à cet infime contact, il sentit des picotements courir sur sa peau, ses poils se dresser…Qu’est ce qui le mettait dans cet état ? La voiture ou la femme ?…
Il s’empressa de s’installer au volant de la Porsche, caressant le cuir des sièges, humant l’odeur de parfum imprégnant l’habitacle, et mit le contact. Le rugissement puissant du moteur enfla, et Tom conduisit l’engin à l’intérieur du hangar.
« Je pense qu’il ne s’agit de rien de grave, je vais vérifier le niveau d’huile, et voir s’il reste assez d’eau. Pendant ce temps, Madame, si vous voulez en profiter pour vous rafraîchir, allez y, c’est la porte du fond. Je vous sers quelque chose de frais à boire ? »
« Je prendrai bien un verre d’eau fraîche, et si vous aviez des glaçons, ce serait encore meilleur « répondit elle, d’une voix basse et rauque.
Elle s’éloigna, il entendit la porte claquer, et, secouant la tête, il se pencha sous le capot de la voiture.
Il avait raison, la voiture avait simplement trop chauffé, ce fut vite arrangé. Il referma le capot, se retourna, et eut la surprise de se trouver nez à nez avec l’inconnue, qu’il n’avait pas entendu revenir.
Il déglutit, n’en croyant pas ses yeux. Elle ne s’était pas contentée d’un simple rafraîchissement ! L’eau dont elle s’était aspergée copieusement perlait sur sa peau, avait détrempé le léger tissu de sa robe, qui collait, transparente à présent, sur le corps de la femme. Elle souriait toujours, comme si elle se moquait de lui, en agitant son verre d’eau où tintaient des glaçons. Gêné de constater qu’elle ne portait aucun sous-vêtement, il détourna son regard, mais elle dégageait un tel magnétisme que ses yeux revinrent se poser sur la belle inconnue. Il avait la bouche sèche, la chaleur sembla monter d’un cran, il sentait son cœur s’emballer.
Elle ondula vers lui, très chatte.
« Mmm… Comment faire pour te remercier ? Tu dois t’ennuyer ici, seul toute la journée… J’ai si chaud… »
Appuyé contre la voiture, Tom ne bougeait plus. Elle se débarrassa de ses lunettes, découvrant de magnifiques yeux verts, posa son verre, et lentement, se collant contre lui, elle fit courir ses ongles sur la poitrine découverte de Tom, jouant avec ses poils, effleurant ses mamelons, les titillant. L’inconnue se pencha vers lui, et du bout de sa langue, elle commença à l’exciter, s’attardant sur sa poitrine, remontant vers le cou, le menton, pour finalement atteindre sa bouche. Elle l’embrassa sensuellement, enfonçant sa langue profondément, tout en continuant à laisser ses mains effleurer sa poitrine.
Tom se sentait à présent émoustillé par ce qui lui arrivait, son cœur battait la chamade, et il sentait le désir monter au creux de ses reins. Bientôt, il aurait du mal à cacher son anatomie à la belle brune…
Tout en promenant sa langue autour des lèvres du jeune homme, ses doigts firent glisser la fermeture éclair de sa combinaison de mécano… Ses mains le caressèrent, il avait l’impression qu’elles étaient partout à la fois, lui procurant des frissons, agréables et irritants, stimulant son désir. Elle colla son bassin contre Tom, sourit en constatant l’étendue du phénomène qu’elle avait déclenché. Lorsque Tom voulut l’attirer davantage contre lui, elle le repoussa.
« Laisse-moi faire, ne me touche que lorsque je te le dirai ! »
Ses doigts firent glisser encore le zip de la combinaison, libérant le sexe de Tom. Elle poussa un soupir de chatte gourmande, et le jeu de ses mains continua. Effleurements, caresses et pressions se succédaient, rendant Tom complètement cinglé. D’une main experte, elle savait trouver les points les plus sensibles et s’y attardait. Elle se mit à genoux devant Tom, leva les yeux vers lui, et, doucement, elle titilla son gland, jouant avec sa langue, la faisant courir le long du sexe dressé et dur. Tom gémit, se retenant de la saisir par la tête, de s’engouffrer dans cette bouche sensuelle. Elle dut sentir son désir, car elle s’empara de la hampe dressée à pleine bouche, et entama un mouvement de va-et-vient, faisant encore grossir son pénis. Il ne put s’empêcher de lui effleurer les cheveux, pour lui imprimer le mouvement, et elle s’arrêta aussitôt, enserrant le sexe de ses lèvres. Elle le relâcha lentement, le libéra, et fit :
« Tsst… Je t’ai dit de ne pas intervenir, laisse-toi faire, ça va être encore meilleur… Ta queue mérite mieux que cela… »
Elle se retourna, et se saisit des glaçons qui restaient dans son verre, les mit en bouche, et revint vers Tom. Elle le reprit entre ses lèvres charnues, et il dut se retenir de ne pas pousser un cri de surprise. La sensation de froid due aux glaçons, et la chaleur de cette bouche, de cette langue chaude qui s’enroulait autour de lui le rendaient fou. Jamais il n’avait été sucé de cette façon, il aurait voulu que cela s’éternise. Si elle continuait à le caresser ainsi, il allait exploser, et se répandre dans sa bouche. Tout à son extase, il ne se rendit pas compte immédiatement de ce qu’elle faisait. Il crut qu’il allait jouir lorsqu’il sentit qu’elle glissait l’un de ses doigts dans son cul…Ses jambes tremblaient, il n’en pouvait plus, mais savamment, elle sut le retenir, en mesurant ses caresses.
Elle finit par interrompre cette torture, le libéra, et se releva.
« A ton tour, maintenant…fais-moi mouiller, montre-moi ce que tu sais faire ! »
Tom la prit par la taille, et d’un geste, la fit s’appuyer à son tour contre la carrosserie de sa Porsche. Il écarta les pans de la robe blanche, et laissa promener ses mains contre ce corps musclé, sur cette peau bronzée. La femme était épilée, et cela l’excita davantage. Il se mit à genoux à son tour, lui écarta les jambes, et enfonçant sa tête entre les cuisses ainsi ouvertes, il goûta son sexe. Il la lécha, la suça, mordilla cette chair tendre et parfumée. Elle poussait de légers cris et laissait échapper des soupirs de plaisir. Son bassin ondulait, venait vers ses caresses. Au bout d’un moment, elle ruisselait contre son visage. Tom ralentissait ses caresses et les agacements de sa langue, dès qu’il la sentait au bord du plaisir, puis les reprenaient encore plus intensément, plus profondément. Elle haletait et gémissait à présent.
« Continue, oui, encore, encore, c’est bon ! »
Elle le releva pourtant, le plaquant contre elle, lui faisant toucher ses seins, dont les pointes étaient dures et dressées. Tom était dans un état d’excitation indescriptible, son sexe lui faisait mal, tant il avait envie d’achever ! Son regard à elle était trouble, voilé, et il sentait que le désir de cette femme était aussi fort que le sien. Elle l’embrassa encore, se pressant contre lui.
« Viens, j’ai envie de toi, je veux sentir ta queue en moi, prends-moi, maintenant ! »
Tom ne se le fit pas dire deux fois. Il la maintint contre la voiture, lui releva les jambes, et d’un coup de reins puissant, il s’enfonça en elle, brutalement. Elle feula, gémit, mais vint vers lui, d’un mouvement tout aussi avide de désir. Sa chatte était chaude, brûlante, et étroite.
Tom prit le temps de profiter de ce volcan, s’enfonçant toujours plus loin, donnant des coups de boutoirs, ou ralentissant son rythme. Ses mains se cramponnaient aux hanches de la femme, lui imposait son mouvement. Il sentit que la femme allait jouir, aux mouvements saccadés de son ventre, à l’emprise qu’il ressentait autour de son sexe. Il lui vint une montée d’adrénaline lorsqu’elle cria de plaisir, et dans un dernier coup de reins, il laissa sa propre jouissance le submerger, grognant et gémissant. Il se retira à temps, et sa semence jaillit et inonda le ventre de cette belle garce.
Epuisé, hébété par ce qui venait de lui arriver, il s’écroula sur le sol du hangar…
Lorsque Tom reprit ses esprits, il crut d’abord avoir été victime d’une insolation, d’avoir eu des hallucinations…Mais sa combinaison était ouverte, et sa queue prenait l’air.
Il se redressa, remonta la fermeture éclair, et fit quelques pas à l’extérieur du hangar. Juste à temps pour apercevoir une Porsche démarrer sous son nez, et une main s’agiter en guise d’adieu…