n° 09251 | Fiche technique | 13048 caractères | 13048 2261 Temps de lecture estimé : 9 mn |
10/06/05 |
Résumé: Julie est si belle, elle m'ensorcèle | ||||
Critères: fh fplusag voisins vacances amour voir exhib strip lingerie fellation cunnilingu 69 pénétratio | ||||
Auteur : Thrill Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : L'été avec Julie Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Après cet après-midi passé avec Julie où elle m’avait permis d’explorer ce corps dont j’avais tant rêvé et qui avait été source de tant de fantasmes, je n’allais pas m’arrêter là.
La semaine qui suivit, je n’avais plus autant de temps à consacrer à mes séances de voyeurisme, puisque j’avais débuté mon boulot chez l’épicier du village. J’y travaillais le jour, et le soir je retournais chez moi ou j’allais voir mes amis pour fêter un peu sans raison particulière si ce n’est l’envie de s’enivrer.
Cela faisait presque une semaine que je n’avais pas revu Julie et, malgré les belles images que j’avais en tête au moment de me coucher le soir, je n’en n’avais pas assez, je voulais la revoir au plus tôt. C’est ainsi qu’en revenant du boulot à la fin d’une journée, je suis allé directement dans les bois m’installer là où j’avais observé ma sirène les premières fois. J’étais heureux de voir qu’elle était assise au bord de sa piscine toujours un bouquin à la main.
Cette fois, je ne restai pas à ma place et je sautai la clôture pour la rejoindre. Elle m’accueillit avec un sourire.
En parlant ainsi de cette scène où j’avais vu pour la première fois Julie se caresser devant moi, je sentais l’excitation monter en moi. Cette Julie était belle, et la confiance qu’elle affichait m’intimidait un peu. Mais comme j’avais déjà franchi une étape avec elle, la gêne avait disparu.
Pendant qu’elle parlait en me souriant de cette manière qui ferait craquer tous les hommes, je me suis approché d’elle et me suis penché pour l’embrasser.
J’étais très excité et je voulais de suite lui faire l’amour. Mon sexe était déjà bien dur et je n’avais pas envie d’attendre. Mais ce que femme veut, Dieu le veut et le mystère n’était pas pour amoindrir mes envies. Je la suivis dans la maison.
En marchant derrière elle, j’avais tout le loisir de reluquer son derrière. Elle portait un short court qui moulait parfaitement ses fesses rondes. Le balancement de ses hanches ne faisait rien pour m’apaiser. Elle portait un t-shirt rouge moulant et une chaîne au cou ainsi que des sandales blanches. Cette femme m’ensorcelait.
Une fois à l’intérieur, nous nous sommes dirigés à la cuisine et elle nous prépara une salade et des sandwiches. Rien de compliqué, juste de quoi nous remplir l’estomac. Assis l’un à côté de l’autre, nous discutions de tout et de rien, de nos études, de nos amours. Je me sentais son égal malgré les huit ans qui nous séparaient.
Après avoir avalé sa dernière bouchée, Julie me regarda droit dans les yeux d’un air que je ne lui connaissais pas. Sans dire un mot, elle s’est levée et s’est rapprochée de moi. Elle a alors commencé une danse des plus lascives, elle se déhanchait en promenant ses mains sur son corps. Elle se caressait le cou, les seins, les hanches, les cuisses. Les yeux fermés, elle continua son manège et j’étais figé devant le spectacle. Mon sexe était déjà aux aguets et, lorsque je voulus la toucher, elle me prit les mains et m’entraîna avec elle dans une autre pièce. Mes mains dans les siennes, je me laissai guider au salon où elle me poussa sur le divan. Elle alla alors mettre un peu de musique, question d’ajouter à l’ambiance et revint vers moi en poursuivant ses mouvements sensuels.
Ses yeux étaient rivés aux miens. Elle m’avait envoûté, j’étais assis au bord du divan, presque allongé, la bosse dans mon pantalon était plus qu’évidente. Puis elle fit passer lentement son t-shirt par-dessus sa tête. Elle portait un soutien-gorge en dentelle blanc, et son ventre plat et son petit nombril orné d’une pierre précieuse la rendaient encore plus belle. Elle dansait et ses doigts caressaient sa douce peau en laissant derrière eux un sillon de chair de poule. Julie s’approchait de moi, mais je ne bougeais pas.
Elle se pencha alors au-dessus de moi et me prodigua un baiser langoureux. Nos lèvres se caressaient, nos langues se mêlaient. Mes mains se posèrent sur ses hanches et lentement montèrent le long de ses flancs pour terminer leur route sur ses seins. J’alternais entre les doux effleurements et les prises plus fortes. Je me permis aussi d’en pincer les bouts au travers du tissu. Ses lèvres parcouraient mon visage et mon cou. Puis elle retira mon chandail et ses mains se promenèrent sur mon torse. Elle sentait terriblement bon et la sensation que ses caresses me procuraient me faisaient trembler.
Elle détacha ma ceinture et descendit la fermeture Éclair de mon pantalon pour le faire glisser au sol. Puis ses doigts s’immiscèrent sous l’élastique de mon caleçon et elle prit en main mon vit au sommet de sa forme. Ce contact m’électrisa. Je fermai les yeux et me laissai aller au rythme de sa main sur moi. Elle me branlait lentement en me tenant très fermement. C’était divin. Elle était toujours debout devant moi et mes mains se remirent à explorer son corps. De ses seins, elles passèrent sur son ventre puis je lui retirai son short. Elle portait une culotte brésilienne blanche. Elle était belle et très sexy. Ses sous-vêtements sur sa peau bronzée me donnaient envie de la dévorer. Je détachai alors son soutien-gorge pour laisser apparaître ses magnifiques globes aux pointes durcies.
Alors qu’elle me masturbait, je m’allongeai sur le divan et l’attirai sur moi. Nous nous embrassions passionnément et mes mains caressaient son dos et ses fesses. Mes doigts se glissèrent sous sa culotte et je commençai à la caresser entre les fesses jusqu’à son petit trou auquel je m’attardai un peu. Doucement elle se décontracta et je pus insérer lentement un doigt en elle. Elle poussa un petit gémissement et me laissa continuer. Son bassin se cambra et elle s’empalait sur mon doigt. De mon autre main, j’avais commencé à parcourir sa chatte. Elle était bien humide et je faisais glisser un doigt le long de ses lèvres en effleurant son clitoris gonflé de désir. D’un côté de la main, j’avais la sensation de sa chatte en émoi et de l’autre celui du tissu de sa culotte. Ses gémissements se faisaient plus prononcés, elle se laissait complètement aller à mes caresses.
Un doigt dans son petit trou et un autre dans sa chatte, je la pénétrais de plus en plus vite et quelques courtes minutes furent suffisantes pour la faire jouir. Satisfaite, mais pas comblée, Julie se mit à m’embrasser les lèvres, le cou, le torse, le ventre, puis elle avala mon sexe et m’offrit une fellation comme j’en rêvais depuis toujours. Mon niveau d’excitation était à son comble et je ne fus pas long à jouir. Elle ne perdit pas une goutte de mon sperme puis revint m’embrasser pour que je puisse goûter le fruit de mon orgasme.
Elle me prit alors par la main et m’emmena avec elle dans sa chambre où elle me demanda de m’étendre sur son lit. Ce que je fis sans poser de question.
Elle portait encore sa culotte blanche et ses seins étaient encore dressés. L’effet de son excitation ou de l’air conditionné ? Je ne savais pas et franchement c’était sans importance. Elle était encore une fois sublime.
Alors que j’étais étendu sur le lit à la regarder, elle retira sa culotte et me la lança au visage. Elle était épilée, ne montrant qu’une mince ligne de poils au-dessus du pubis.
Je ne sus que dire et je plongeai mon nez dedans pour en sentir les effluves. Elle était encore humide et ce geste eut un effet immédiat sur mon sexe. Le désir de la prendre refaisait surface… Julie le remarqua et se jeta sur le lit pour en profiter. Elle me reprit en bouche. Elle passait sa langue tout le long de ma queue et faisait des ronds sur mon gland. J’en soupirais de bonheur. Puis elle se plaça au-dessus de moi, la chatte à hauteur de mon visage. Je me mis donc à la lécher. Ma langue passa de son aine à ses lèvres puis à son clitoris que je léchais, titillais et mordillais. Elle continuait de me pomper, et le bruit de succion qui accompagnait ses allers et retours me motivaient à lui rendre la pareille. J’écartais ses cuisses et ses lèvres pour la pénétrer avec ma langue et parfois, j’allais jusqu’à lui mouiller l’anus. Passant d’un trou à l’autre, je savourais un vrai « buffet de plaisir ».
Tout en lui suçant le clitoris, je la pénétrais de deux doigts et elle se remit à gémir puis elle laissa échapper un cri. Tout à coup sa chatte passa d’humide à mouillée et c’était maintenant une véritable fontaine. Je buvais son jus d’amour à pleine gorgée. Elle avait cessé sa fellation pour apprécier son orgasme.
Elle se plaça ensuite à côté de moi, étendue sur le ventre, les yeux fermés et un sourire aux lèvres. Je me couchai alors sur elle et plaçai mon gland à l’entrée de son vagin. D’une simple poussée de mon bassin j’entrai en elle sans problème. J’ai alors attendu quelques secondes pour m’habituer à la chaleur de son antre. Puis je me mis à aller et venir en elle. Elle gémissait mais semblait éreintée par son orgasme précédent. Je continuais de la limer de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle recommençait ses cris et j’y allais de plus belle. Je la tenais par les hanches et la pénétrais de toutes mes forces. Chaque coup de boutoir entraînait un cri de plaisir.
Je la retenais pour qu’elle ne s’effondre pas et, dans un dernier élan, je me répandis au plus profond d’elle dans un râle puissant digne de l’orgasme qu’elle venait de m’offrir.
Couverts de sueur, nous nous sommes étendus côte à côte et nous nous sommes endormis. Presque une heure plus tard, nous nous sommes réveillés et nous avons convenu d’aller nous rincer dans la piscine.
Suite à cette soirée, nous passions le plus clair de notre temps libre ensemble et, plus notre vie sexuelle s’épanouissait au fur et à mesure de nos ébats, plus notre complicité sur les autres plans de la vie s’agrandissait. Nous étions amoureux !