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n° 09255Fiche technique12011 caractères12011
Temps de lecture estimé : 8 mn
10/06/05
Résumé:  Tous connaissent Lady Oscar... Voici le premier épisode : "Le destin d'une rose"... mais vu sous un autre angle.
Critères:  f fh forêt intermast fellation cunnilingu anulingus 69
Auteur : Ysagine      
Oscar ! Le destin d'une rose...

Par une nuit orageuse de 1755, naît la sixième fille du Général de Jarjayes. Celui-ci, souhaitant ardemment un héritier mâle qui perpétuerait le nom des Jarjayes et qui lui succéderait au sein de la Garde Royale, décide de contrer le destin en élevant sa cadette comme un fils, qu’il nomme Oscar François.


Oscar ne pouvait s’octroyer la vie des jeunes filles de son âge. Tous les jours, il lui fallait s’entraîner à l’épée, chevaucher sa monture, pour poursuivre le rêve de son père. Un matin, Oscar, se sentit toute chose, étrange. Depuis quelques jours, elle se posait des questions à son sujet, élevée comme un homme, mais dans un corps différent de ses camarades. Elle décida alors de se mettre nue devant son miroir, et de se regarder sous tous les angles. Elle scrutait son reflet dans le miroir, ses mains suivaient la forme de ses seins, qu’elle prit dans chaque main et elle se mit à les malaxer.



Elle continua d’explorer son corps jusqu’à cette partie intime, elle posa son pied droit sur le guéridon, et regarda son sexe dans le miroir. À peine quelques frisottis soyeux et blond recouvraient son pubis. Elle explorait son intimité pour la première fois. Elle se rendit compte qu’en appuyant sur ce petit bouton de chair un peu seyant, cela lui procurait grand plaisir. Elle en fut surprise tout d’abord, puis elle ferma les yeux, et dès lors commença à titiller le bouton rose du bout de son index. Elle sentit une chaleur étrange l’envahir, son ventre lui faisait mal, mais c’était un mal agréable. Elle jeta la tête en arrière, et s’activa sur son clitoris gorgé de désir. Elle sentit qu’un liquide chaud commençait à couler entre les lèvres de son sexe parfait, elle glissa alors un doigt dans la fente, et le porta à ses lèvres.



Ses doigts reprirent le chemin de son sexe, et elle continua à titiller son clitoris, le pinçant entre deux doigts, le malaxant, elle se regarda et sentit en elle une sensation étrange. Elle prenait du plaisir, comme lorsqu’elle était enfant et qu’elle se délectait d’une poire bien mûre et coulante de jus. Elle inséra alors un doigt dans sa fente humide, écartant les lèvres de ses autres doigts, et commença à faire aller et venir son doigt le long de ses lèvres. Puis doucement, sans vraiment comprendre ce qu’elle faisait, elle inséra son index dans son sexe.

Elle se surprit elle-même, mais cela ne lui procurait aucune douleur, elle continua son va-et-vient. Elle ne pouvait retenir les petits gémissements qui s’échappaient de sa gorge. Elle décida alors de s’asseoir sur le guéridon, et, écartant les jambes bien largement, continua son va-et-vient au fond de son puits coulant de cyprine chaude. Elle inséra deux doigts, et allant de plus en plus vite, haletant de plus en plus fort, elle eut un sursaut, son corps se crispa, et dans un râle, eut son premier orgasme. Oscar venait de se découvrir !


Son père la fit appeler. Oscar, un peu honteuse de ce qu’elle venait de faire, écouta avec respect ce qu’il lui dit. Il lui annonça qu’afin de renforcer le traité de paix entre l’Autriche et la France, il avait été décidé que Marie-Antoinette, fille cadette de l’Archiduchesse Marie-Thérèse, épouserait le dauphin Louis-Auguste. Sa Majesté Louis XV, cherchant le meilleur Capitaine de la Garde Royale pour protéger le jeune couple, organiserait un combat public entre le Comte de Girodelle et Oscar. Mais Oscar, n’ayant point envie de servir une femme, préféra bafouer les règles royales et affronter son adversaire à l’abri de tout regard.


C’est dans une clairière éloignée, qu’elle affronta le Comte de Girodelle, l’homme était grand et son charisme était impressionnant, pourtant Oscar ne sembla pas du tout déconcertée. Ils se fasaient face, l’épée à la main, le regard vif, prêts à combattre, lorsque le comte de Girodelle se mit à parler :



Le Comte rangea son épée dans son fourreau, et s’approcha d’Oscar.



Oscar le regardait, interrogatrice :



Le Comte passa derrière Oscar et lui chuchota à l’oreille :



Oscar fronça les sourcils, elle ne comprenait pas vraiment où voulait en venir le Comte.



Oscar sentit le rouge lui monter aux joues, elle n’avait pas songé un instant qu’elle aurait pu être vue à son insu.



Le Comte émit un petit rire.



Oscar semblait réticente à l’idée, puis finalement la curiosité l’emporta et elle accepta.



Voilà qu’il posa ses mains sur la tunique d’Oscar qu’il laissa glisser le long de ses bras, elle se retrouva avec sa chemise. Il la fit se tourner face à lui, et entreprit de lui ôter sa chemise à jabot. Oscar leva les bras, et le Comte la lui retira. Voilà Oscar, le torse nu, les seins offerts à la douceur de la brise légère.



Disant cela, il prit les seins d’Oscar dans chaque paume, et, approchant sa bouche, se mit à passer sa langue autour de chaque mamelon. La pointe des seins se dressait fièrement, et le Comte ne put s’empêcher de se mettre à les suçoter avec délectation. Oscar sentit un frisson la parcourir. Elle jeta la tête en arrière et savoura cet instant.



Oscar le fit sans dire un mot, elle se retrouva nue face à lui. Le Comte sembla la scruter sous tous les angles.



Le comte se dévêtit à son tour, et Oscar put apercevoir le membre rigide et droit comme un pique. Le Comte reprit la parole :



Oscar ne pipait mot, elle fit ce que le Comte lui demandait et lorsqu’elle fut au-dessus de lui, le sexe du Comte très proche de son visage, elle ne savait toujours pas ce qu’elle devait faire.



Ce disant, elle prit la verge du Comte dans sa main, et avança sa bouche vers le gland, elle prit sa respiration et avala tout de go le sexe en une seule fois.



Oscar commença à aller et venir, doucement au départ, puis accéléra le mouvement s’aidant du rythme de sa main. Elle sursauta, quand elle sentit le Comte écarter les lèvres de son sexe et y passer la langue.



Oscar sentit la langue du Comte se poser sur son petit bouton rose, celui qui lui avait donné tant de plaisir dans la découverte solitaire de son corps. Elle se mit à gémir, et dut trouver des ressources en elle pour se concentrer sur le membre du Comte. Elle s’activait, aussi consciencieuse qu’une abeille qui butine. Elle fit tourner sa langue autour du prépuce, et sentit par les contractions musculaires du Comte, que cela avait un effet. Alors, elle rempila de plus belle. Le Comte, quant à lui, passait sa langue le long des lèvres humides, s’insinua dans le petit trou encore vierge de la belle Oscar. Il mordillait le clitoris et Oscar ne pouvait retenir ses gémissements.



Le Comte se régalait de la cyprine coulant de la vulve de la belle, et de ses mains il lui écarta les fesses, et laissa sa langue venir glisser sur son anus. Oscar sursauta de plus belle, et faillit par la même occasion mordre le phallus du Comte. Le Comte, dans un gémissement, lui dit :



Oscar accéléra le mouvement de sa bouche, tandis que le Comte glissait sa langue sur l’anus de la jeune fille. Puis il inséra deux doigts dans le puits coulant et fit aller et venir ses doigts, tout en continuant à lui lécher le petit trou serré. Oscar senti son bas-ventre lui faire mal, elle frissonnait, tremblait, elle tentait en vain de se contrôler pour ne pas jouir trop vite, elle prit tellement de plaisir à sentir cet homme la fouiller qu’elle aurait voulu que cela dure.

Elle s’activait tant et si bien sur le membre du comte, que celui-ci ne put se retenir et, dans un râle violent, il déchargea toute sa semence dans la bouche d’Oscar qui avala, surprise. Le Comte continua ses allées et venues dans le sexe d’Oscar et celle-ci se laissa aller dans un violent orgasme. Oscar se releva et remit sa chemise, le Comte à son tour se leva et, la regardant avec un petit sourire narquois, lui dit :



Voilà comment Oscar fut promue au service de la reine, à cause d’un duel bien particulier, mais nul ne le saura.