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n° 09295Fiche technique14215 caractères14215
Temps de lecture estimé : 9 mn
18/06/05
Résumé:  Jacques veut essayer une nouvelle pratique et sa femme l'y autorise.
Critères:  fh couple amour massage fellation cunnilingu anulingus préservati fdanus fsodo attache
Auteur : Septhlor      
Haut en couleur

C’était le soir. Jacques attendait sagement sa femme Nathalie qui prenait une douche. Il s’était installé sur le lit, en robe de chambre, avec un bon bouquin. Ah, les femmes ! On sait quand elles entrent dans une salle de bain, mais on ne sait jamais quand elles en sortiront. Trêve de plaisanteries, il n’était pas pressé. Ce soir, il avait une idée bien précise en tête, il ne savait pas si sa femme accepterait, mais il l’espérait. Leur sexualité était des plus normales et c’est cette normalité qui le gênait un peu. Il avait envie de nouveautés et d’actes un peu plus « hors cadre » si l’on peut dire. Oh, rien de bien extravagant, mais assez pour maintenir la flamme qui les animait l’un et l’autre. Au bout d’un moment, un ange lui apparut : dans l’encadrement de la porte de la chambre se trouvait sa femme, vêtue uniquement d’une légère nuisette. Cette vision excita fortement Jacques, la suite de la soirée s’annonçait sous les meilleurs auspices. D’une allure féline, Nathalie s’approcha, puis se mit à avancer à quatre pattes sur le lit, en direction de son mari ; arrivée à sa hauteur, elle l’embrassa amoureusement.

Jacques profita pleinement de ce baiser, mais sa femme, s’apercevant qu’il avait l’air étrange, lui demanda alors :



Elle était restée jusqu’à présent dans la même position, mais après le baiser, elle s’était assise sur ses mollets telle une pénitente et elle avait une expression ingénue qui n’aida pas Jacques à calmer le feu qui brûlait en lui. Il prit à son tour la parole.



Lorsqu’il prononçait ces mots, Nathalie, sachant que la soirée qui suivrait serait obligatoirement torride, sentit l’excitation la gagner et une douce chaleur envahir son ventre.



Voyant que sa femme ne comprenait pas, il se mit à la caresser : sa main s’élança entre les cuisses qui étaient contre lui, les remonta, puis il contourna le ventre afin de se trouver dans son dos et, lentement, il fit descendre cette main voyageuse le long de la cambrure des reins de sa femme, et doucement son majeur s’immisça entre les deux fesses galbées et tant aimées.

Pendant ce temps il ne s’était pas arrêté de parler :



Nathalie ne savait trop que faire ni penser car, même si elle avait été souvent curieuse, elle n’avait jamais voulu tenter l’expérience.



Nathalie s’exécuta et se mit à son aise.

Jacques se pencha à l’oreille de sa femme et lui murmura :



Après avoir enduit ses mains d’huile de massage, il les posa sur le corps de Nathalie et, en massant la nuque de sa femme ainsi que ses épaules, il continua à parler :



En même temps, Jacques joignait le geste à la parole, et de ses doigts il effleura la peau des bras de Nathalie jusqu’à la saignée du coude , puis l’avant-bras, enfin la main. Mais il ne s’arrêta pas là et il reprit :



Cette fois-ci, il embrassa voluptueusement le cou de son épouse. Il huma le parfum délicieux des longs cheveux de Nathalie. Ses mains allaient et venaient le long des bras et du cou, les parcourant comme un territoire conquis, mais qu’il fallait soutenir et entretenir.



Jacques était à moitié allongé sur sa femme. Ses mains contournèrent le corps alangui et, s’immisçant entre les draps et la chair, elles atteignirent la poitrine de Nathalie. Il la caressa lentement et doucement, puis reprit son massage du dos.

De temps à autre il remettait de l’huile sur ses mains ; afin de ne pas faire sentir à son épouse cette sensation de fraîcheur, il ne l’appliquait jamais directement sur sa peau, mais prenait soin de la chauffer au creux de ses paumes.

Nathalie était au paradis ! Transportée par toutes les couleurs qu’il lui avait dit d’imaginer, elle se laissait aller complètement, et les caresses que lui procurait son mari la faisaient chavirer : son souffle chaud dans sa nuque, sa voix grave…elle se sentait emportée dans une autre dimension.



À chaque parole Jacques joignait le geste, et ses mains, à présent, parcouraient les reins de Nathalie ; il frôla la naissance des fesses et la sentit se contracter, mais il ne souhaitait pas prendre de suite ce qui venait de lui être promis. Il la rassura à ce sujet et continua son manège. Il écarta un peu les jambes de sa femme, mais ne s’attarda pourtant ni sur son sexe ni sur ses fesses ; il ne fit qu’y passer et, tout comme il l’avait pour les autres parties du corps, glissa ses doigts dessus, les caressant et les massant un peu, rien de plus.

Déjà il avait senti que l’énergie rouge avait gagné le foyer de leurs pensées…



Et les mains de Jacques caressèrent les cuisses en s’attardant sur l’intérieur. Puis, suivant toujours le même manège, il s’occupa des mollets ainsi que des pieds. Nathalie n’en pouvait plus, elle se sentait fondre sous les mains de Jacques et se demandait encore ce qu’il avait pu lui réserver car, le connaissant, elle savait que cela ne faisait que commencer. Au début, elle lui avait offert son intimité la plus secrète, plus à contrecoeur qu’autre chose d’ailleurs, car elle voulait surtout lui faire plaisir, mais, à présent, savoir que d’ici peu elle serait prise de cette manière l’excitait énormément.


Après avoir embrassé le corps de sa femme en partant des pieds et en remontant jusqu’au cou, Jacques la fit se retourner sur le dos et lui présenta un ruban.



Jacques prit les mains de Nathalie, les lia, puis les attacha à un des montants du lit. Il entreprit alors d’embraser sa captive dans un langoureux baiser, puis ses lèvres parcoururent une nouvelle fois le corps de la jeune femme, avant de se tourner vers son sexe, foyer de tous les délices.

Il entreprit un cunnilingus qu’il fit durer, sa « prisonnière » se tordait de plaisir, elle se sentait impuissante, mais cela lui plaisait. De temps en temps, la langue de Jacques descendait plus bas que le sexe de sa femme, et il flirtait alors avec l’objet de son désir, mais très vite, il revenait toujours titiller le clitoris et s’occuper du sexe de Nathalie. Il y introduisit d’abord un, puis deux doigts, qu’il faisait aller et venir, car il savait ce qu’elle aimait et, tel un virtuose, il jouait sur chaque corde sensible. La belle captive était submergée de plaisir, elle ne comptait plus le nombre d’orgasmes qu’elle avait eus, elle n’était plus que le jouet de Jacques, passive et attentive à chaque caresse de sa part.

Il finit par s’allonger sur Nathalie et la pénétra lentement, il effectuait des mouvements amples mais sans précipitation, puis changeait de cadence, accélérait, et revenait au point de départ. Il décida ensuite de retourner la situation, il se trouvait à présent dessous, Nathalie toujours attachée au lit par les poignets était allongée sur lui. Il était en elle et c’était un moment de complicité intense pour les deux amants. Il glissa une de ses mains entre les fesses de sa femme et de ses doigts caressa l’oeillet, il le massait doucement ; cet attouchement, le fait de le sentir en elle, faisaient gémir Nathalie de plus en plus fort, il avait sans doute enduit ses doigts de lubrifiant, elle n’aurait su le dire, tout ce qu’elle savait c’est qu’elle ressentait un plaisir intense.

Au bout d’un moment Jacques immobilisa ses doigts, puis lui murmura à l’oreille :



Elle ne répondit pas, mais planta son regard dans celui de son mari et fit un signe de la tête. Jacques poussa doucement et entra une phalange, Nathalie s’était contractée lors de cette intrusion, avait fermé les yeux et poussé un gémissement. Jacques lui demanda alors :



Mais dans un souffle, elle lui répondit de continuer. Le passage était serré et, de peur de blesser son amante, il se retira délicatement, puis revint petit à petit ; les va-et-vient devinrent plus profonds et il put bientôt introduire son majeur en entier ; Nathalie haletait, finalement elle aimait ce qu’il lui faisait et, lorsque Jacques lui demanda si cela allait, la manière dont elle répondit oui en disait long sur ses pensées, il ajouta alors :



Et les yeux pleins de gourmandise elle acquiesça. Son époux la détacha et lui proposa de changer de position. Elle se trouvait à présent la tête sur un oreiller, l’arrière de son corps reposant sur ses genoux et les reins cambrés au maximum. Jacques se plaça derrière elle et admira le spectacle qui lui était offert. Quoi de plus beau que la vision d’une femme dans cette position, offrant sans pudeur son intimité à votre vue ? Il trouvait cela d’une beauté sans pareil, car non seulement il pouvait l’admirer, mais en plus c’était un cadeau qu’elle lui avait offert, et ce cadeau était pour lui merveilleux. C’était le signe incontestable qu’elle l’aimait et il voulait se montrer digne de ce présent.

Longuement il caressa cette croupe splendide, patiemment et tendrement il caressait et pénétrait de ses doigts cet étroit passage. Peu à peu, il réussit à y introduire deux doigts, puis trois. Il demanda alors à Nathalie de s’occuper un peu de lui, ils changèrent de position, enfin plus exactement elle vint placer sa tête au niveau du sexe de son mari, mais conservait ses reins cambrés, lui était assis sur le lit et ses mains reprirent leurs caresses initiales. Ils commencèrent alors à se faire mutuellement beaucoup de bien. Il la pénétrait de ses doigts là où jadis cela lui était interdit, tandis qu’elle s’appliquait à lui prodiguer une fellation digne des plus grandes déesses. Depuis le début de la soirée, elle avait eu de multiples orgasmes et elle voulait apporter à son mari autant de plaisir qu’elle en avait eu. Leur manège dura peu, ils accéléraient le rythme pour faire monter la vague de jouissance au maximum, puis ralentissaient jusqu’à ne plus bouger, savourant simplement la volupté du moment. Finalement Jacques releva Nathalie, il voulait la prendre assis, il pénétra dans son sexe sans aucune difficulté, ses doigts n’avaient toujours pas changé de place et cette double pénétration amena la jeune femme à un nouvel orgasme. Elle sentit alors son mari se retirer et le vit enfiler un préservatif ; à présent il n’était plus temps de reculer, elle le savait, mais son regard vis-à-vis de la sodomie avait considérablement évolué au cours de cette soirée et c’est presque avec impatience qu’elle désirait être prise.

Elle s’assit sur Jacques et guida elle-même le phallus à la porte de ses reins ; encore une fois les regards des deux époux se fixèrent et lentement il s’introduisit en elle. Il fallut plusieurs va-et-vient pour que la pénétration soit complète mais, à cet instant, ils étaient seuls au monde et leur intimité venait de faire un bond en avant. Durant cette soirée il expérimentèrent de nombreuses positions qui permettaient cette pratique mais, après avoir épuisé toutes les idées qu’ils avaient, Jacques retira le préservatif et se lança dans l’assaut final d’une manière plus traditionnelle. Nathalie sentit au fond de son sexe les longs flots de sperme lorsqu’il jouit, et cela l’amena ,elle aussi, à un dernier orgasme. Le couple venait de s’aimer comme il ne l’avait encore jamais fait, et Nathalie avait joui plus qu’elle n’aurait osé l’espérer.

C’est dans les bras l’un de l’autre qu’ils décidèrent de prolonger ce moment et il restèrent enlacés, même après que le sommeil se fut emparé d’eux.