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22/06/05
Résumé:  Ma tante Clarisse avait proposé à ma mère de me faire travailler dans son hôtel de bord de mer.
Critères:  fh fhh fagée jeunes frousses inconnu oncletante gros(ses) grosseins groscul hotel fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fsodo init
Auteur : Romain Chaugne
L'hôtel de tante Clarisse

Après mon service militaire, je suis allé m’installer en Charente, dans une petite localité du bord de mer.


Clarisse, la sœur aînée de ma mère, avait perdu son mari l’année passée et avait besoin d’un homme pour l’aider à tenir une petite pension de famille. Véritable cancre à l’école, j’étais voué au chômdu. Aussi, quand sa sœur évoqua cette possibilité, ma mère sauta sur l’occasion pour essayer de me caser.

« Me caser », elle ne croyait pas si bien dire, sauf qu’elle n’imaginait probablement pas, ce jour-là, son fils dans les bras d’une femme de plus de soixante ans, qui plus est sa grande sœur, celle qui l’avait élevée.


Clarisse était une grande femme rousse aux formes paysannes plus que généreuses, une croupe large et haute, une poitrine lourde et pleine. Encore « jeune » pour son âge ! Je ne l’avais pour ainsi dire jamais rencontrée. Entraperçue une fois au mariage d’un vague cousin mais je n’en gardais vraiment aucun souvenir. Je me souvenais beaucoup plus de mon oncle, un gros moustachu bedonnant, bon vivant et alcoolique invétéré. Le pastis avait eu raison de lui et l’avait emporté dans sa cinquante-huitième année.

Aussi, quand elle vint me chercher à la gare, je fus agréablement surpris, moi qui m’attendais plutôt à une vieille femme revêche, je trouvai au contraire une belle femme souriante aux rondeurs joyeuses. Elle me gratifia d’un clin d’œil complice, elle était pétillante et enjouée. Dans la voiture qui nous ramenait à l’hôtel je ne pus m’empêcher de détailler ses formes. 61 ans, 37 de plus que moi ! Mais elle en paraissait largement dix de moins et ne semblait pas le moins du monde gênée par ses rondeurs, vraiment sans complexe.


De là à dire que j’eus tout de suite envie d’elle, je n’irai pas jusque-là. C’était quand même ma tante et deux générations nous séparaient…

D’autant plus que deux jours après mon arrivée, je m’entichais déjà d’une petite femme de ménage, petit cul, petite frimousse, le genre qui ondule bien des fesses quand elle passe devant vous et, quand vous le lui faites remarquer, elle a le toupet de vous répondre que vous avez les idées mal placées.

Idées ou pas, elle se laissa facilement entraîner dans la lingerie et culbuter sur un tas de linge. L’envie fit le reste, elle avait du répondant, un sacré coup de reins et une grande expérience des coups de bite.

Seul petit hic, elle était maquée et son Jules n’était pas du genre à apprécier la concurrence. En conclusion, un petit coup vite fait entre deux services : OUI. Mais une nuit d’amour : NON.


Toujours est-il que cette idylle dura plus d’un mois et presque tous les jours, elle avait le sang chaud, la garce ! Le sang, la bouche, la chatte, le cul, tout était chaud et rien n’y échappait. Mais toujours avec capote, sa façon à elle de ne pas tromper son mari.

Sauf qu’un jour nous fûmes surpris par la grand tante. J’étais en train de l’enculer dans une petite salle de bain. Penchée contre le lavabo, elle tendait bien à fond ses fesses pour que je la sodomise, une autre façon à elle de « moins » tromper son mari. De toute façons, il la prenait rarement par là, elle aimait pourtant ça. Et, tout en lui bourrant l’anus, je matais ses seins qui ballottaient sans complexe dans la glace… Elle avait l’air d’apprécier ce pilonnage à sa juste valeur, à chaque coup de bite un petit gémissement.



Qui j’entendis derrière moi ? Ni Juliette, ni moi-même ne l’avions entendue rentrer. Nous sommes restés comme deux ronds de frites devant le regard impassible de la patronne. Ma queue profondément emmanchée dans le cul de la bonne.

Clarisse a simplement ajouté :



Puis elle a tourné les talons avant de s’en aller.


Après cet épisode, je n’en menais pas large. Déjà que je m’étais fait plusieurs fois houspiller parce que ma tante trouvait que je feignassais… Juliette, quant à elle, ne voulait plus entendre parler de moi. Finies les parties de jambes en l’air dans les petits coins, elle ne voulait pas perdre son boulot.

Ceci dit, Clarisse n’évoqua jamais ce qui s’était passé ce jour-là. Elle joua l’indifférente, j’étais dans mes petits souliers.


Jusqu’au soir…


Nous avions organisé une petite fête avec les pensionnaires de l’établissement, histoire de faire un peu d’animation, un bon repas bien arrosé sous la tonnelle, des chants, des danses, de la bonne humeur.

J’ai tout de suite remarqué que ma tante n’était pas tout à fait dans son état normal, elle riait fort, elle chantait fort, elle se laissa même entraîner plusieurs fois par des pensionnaires sur la piste de danse. Ce soir-là, elle avait envie de s’amuser.

Moi, de mon côté je m’étais trouvé deux jeunes Allemandes blondes comme les blés, fort sympathiques. Pas un mot de français mais elles riaient, elles riaient, moi je faisais le pitre. J’en étais à me demander laquelle des deux finirait dans mon lit ? Ingrid ? Greta ? Ingrid et Greta ? Pourquoi pas, elles n’étaient pas farouches, les Teutonnes.

J’étais en train de danser avec l’une des deux. Etait-ce Ingrid ? Etait-ce Greta ? Quand nous fûmes interrompus par ma tante Clarisse, je dois dire un peu pétée :



Puis elle explosa de rire.


Ma compagne comprit à son attitude qu’il valait mieux qu’elle s’efface.


« Et merde, tantine, tu es en train de me casser mon coup. »


Sur ce Clarisse m’empoigna, fermement, solidement et m’entraîna sans mot dire au milieu des danseurs, m’étouffant presque, en écrasant ses seins lourds contre ma poitrine.

Et là, tout en essayant d’échapper à ses pieds, qui avaient une fâcheuse tendance à écraser les miens, je la sentis se pencher à mon oreille et je crus entendre ces propos décousus, complètement hallucinants.



Rêve ou réalité ? Je n’en croyais pas mes oreilles ! Mais ses grosses miches étaient, elles, bien réelles et ses envies de luxure étaient en train de me donner une sacrée trique. Collée à moi, elle remarqua de suite mon état et je sentis son entrecuisse se frotter sur ma bosse tandis qu’elle continuait à mon oreille :



Cela résonnait si fort dans mon oreille que j’avais l’impression que toute la salle était désormais au courant.


Situation rocambolesque, nous étions entourés non seulement de clients, mais aussi de deux serveurs qui travaillaient avec nous et qui n’allaient manquer de s’apercevoir de l’état de leur patronne. Ça allait jaser dans les couloirs ! La patronne qui s’envoie le petit neveu. Par chance, pour le moment, ils étaient occupés à l’autre bout de la pièce.



J’essayai tant bien que mal de calmer les ardeurs de Clarisse, de la rendre plus « raisonnable ». Pour cela une seule solution, lui promettre d’exaucer tous ses désirs. Je lui dis à l’oreille :



Je profitai de l’arrêt de la musique pour me détacher d’elle.

Du coup, elle s’assagit un peu, elle retourna plaisanter auprès des clients. Certes elle riait fort et grassement mais elle faisait bonne figure. Et puis je me suis arrangé pour qu’elle cesse de boire, en tout cas de l’alcool. Après tout, pour tenir toute une nuit, mieux valait avoir toute sa lucidité.


Elle reprit peu à peu tout son aplomb et, une heure et demie plus tard, nous étions toujours là. Il était minuit passé et la plupart des clients avaient déserté, seuls une dizaine d’indécollables refusaient de s’en aller.



Alors que je m’apprêtais à lui emboîter le pas, j’eus la désagréable surprise de m’apercevoir qu’un vieux célibataire grisonnant refusait de la lâcher. Il la collait et s’apprêtait même à la suivre dans les étages. Sans doute l’avait-il trouvé chaude et excitante tout au cours de cette soirée. Cela faisait presque un quart d’heure qu’il rôdait autour d’elle et lorsque je le vis lui prendre le bras et la guider vers l’ascenseur, mon sang ne fit qu’un tour. Je rejoignis le couple au moment où la porte se refermait et m’engouffrai dans l’ascenseur au grand désarroi de mon rival qui pensait probablement profiter de ce moment de solitude pour peloter tantine.



Cette façon de dire « Rejoins-moi salope » me fit serrer les poings


Ma tante lui répondit avec un petit sourire.

Lorsque l’ascenseur s’arrêta, le vieux fut bien obligé de sortir mais, contre toute attente, alors que je pensais que nous allions être enfin seuls avec Clarisse, ma tante lui emboîta le pas. Et, me prenant le bras, elle m’entraîna avec elle jusqu’à la chambre 213 :



Nous étions à peine entrés et nous nous regardions en chien de faïence avec le vieux, en nous demandant si c’était du lard ou du cochon. Mais ma tante prit les devant, s’approcha de nous et nous mit directement la main au paquet.



Le vieux fut le premier à se défringuer. Il avait un sacré engin, noueux et poilu à souhait. À côté de lui, je faisais figure de petit modèle. Je faillis même déclarer forfait, surtout lorsque ma tante s’agenouilla devant lui et emboucha fermement son zob. Elle eut de la peine à l’avaler, c’était vraiment un gros modèle ou elle avait une trop petite bouche.

J’étais blême, ce type c’était un véritable étalon. Il lui prit fermement la tête et lui baisa la bouche, elle faillit s’étrangler.

Elle continua à le sucer encore un long moment, puis, délaissant notre homme, elle se tourna vers moi pour me dégrafer. Je bandais mou, le type souriait, il se foutait de ma gueule. J’eus besoin de tout le savoir faire de tantine pour me raviver. Visiblement elle avait l’habitude de sucer des bites, un sacré savoir-faire.


Ensuite, elle se retourna à nouveau vers l’autre homme qui avait profité de cette accalmie pour enfiler un préservatif. Il essaya de la caresser, de la peloter mais elle le repoussa avec fermeté :



Et elle se mit en position, à quatre pattes sur le lit. Ce type était un sacré baiseur. Il usinait ma tante depuis plus d’un quart d’heure et elle semblait gémir de plaisir en se mordant les lèvres. Les ressorts grinçaient atrocement sous ces grands coups de bite. Face à ce taureau, je n’avais aucune chance. Mais, contre toute attente, elle se retira d’un coup, démasquant un préservatif plein de semence. Le vieux venait de cracher sa sève.



Elle m’aida à enfiler la capote et me présenta son cul.


Mon rival, sûr de lui, était affalé dans le fauteuil et se fumait une cigarette. Ma tante était sacrément large. Toujours à quatre pattes sur le lit. Mon sexe flottait dans sa chatte juteuse. Finalement ce n’était pas plus mal car, d’ordinaire, j’ai une fâcheuse tendance aux éjaculations précoces. Tandis que là, je pus bien prendre mon temps, m’agripper à ses fesses et la limer consciencieusement. Pourtant c’est certain, cela dura moins longtemps que mon rival.


Clarisse se dégagea enfin après que j’eusse juté dans le préservatif.



Il semblait déçu mais elle ne lui laissa pas le temps de protester. Clarisse s’était relevée et m’entraînait déjà vers la porte.

Le type, mauvais perdant, la gratifia d’un « Sale pute » et d’un « Vieille salope » des plus méprisants, mais nous étions déjà dans le couloir et bientôt dans l’ascenseur, direction l’appartement de ma tante, au troisième.



Elle avait laissé sa culotte chambre 213…

Elle avait un sacré fessier. Je me suis agenouillé derrière elle pour lui lécher les fesses. Ma langue sur sa rosette, ma langue dans son petit trou, elle avait l’air d’apprécier. Elle sentait fort du cul. Mais elle n’a pas voulu continuer, elle s’est relevée et est allée s’allonger sur le lit, les cuisses largement écartées.


J’ai tout de suite compris qu’elle désirait se faire bouffer. J’ai plongé vers son buisson, une forte odeur de pisse, ça m’a passablement excité, je me suis mis à la brouter, à l’aspirer, à la laper.

Clarisse écartait ses cuisses charnues, pour me présenter un sexe large, odorant, couvert d’une toison bien fournie, dégoulinante de mouille. Je lui léchais les grandes lèvres, lui aspirant le clitoris érigé, durci, elle devenait de plus en plus chaude, elle avança son bassin plus contre moi, je lui enfonçais la langue plus loin dans la chatte, lui broutant le minou, elle mouillait, elle gémissait, elle ondulait de la chatte, elle soupirait.

Elle me tenait la tête, elle m’attirait à elle, j’essayais d’enfoncer ma langue au plus profond de son con. J’ai astiqué son clitoris, elle s’est mise à soupirer, plus fort, de plus en plus fort, elle haletait…


Elle contractait les muscles de sa chatte baveuse, ma langue allait et venait en elle, je sentais ma bite durcir, gonfler, palpiter, j’avais très envie de la pénétrer, de la baiser bestialement, de la faire crier.

Je sentis qu’elle jouissait quand elle m’aspergea le visage de sa cyprine abondante, elle encercla mon visage entre ses jambes et cria :



Elle s’est remise à couiner en se tortillant dans tous les sens. « ENCORE, ENCORE » qu’elle criait. J’ai continué à la bouffer. Elle a joui plusieurs fois de suite, cette fois sans aucune doute, mais elle en voulait encore, elle m’a inondé d’un nouveau jet cyprine qui a mouillé abondamment le dessus de lit…


Un peu plus tard, elle a fini par reprendre ses esprits. J’avais profité de sa semi-inconscience pour dégrafer son soutif et lui téter les pis. Perdue dans la jouissance, elle m’avait laissé faire et s’était même laissé tripoter les miches, alors qu’une heure plus tôt elle avait refusé avec obstination de nous dévoiler sa poitrine.

J’avais déjà ce privilège… En avais-je d’autres ?



Je l’ai fait se retourner et je lui ai à nouveau léché l’anus.



J’ai glissé un doigt mouillé dans son fondement. Un premier, puis un deuxième. J’ai porté mes doigts à mon nez, elle sentait bon du cul. Sodomiser le gros cul de tante Clarisse, je trouvais cela délicieusement pervers. Je bandais comme un cerf devant cette perspective.


Mais, alors que j’allais prendre une capote, elle intervint :



J’hésitai un quart de seconde mais, après tout, pourquoi pas. Ce soir-là, elle avait le feu au cul mais, d’ordinaire, elle était beaucoup plus sage. Ce ne devait pas être non plus le genre à avoir plein d’aventures.


De nouveau, je lui léchai l’anus en admirant son gros cul, son gros derrière blanc, ses fesses énormes, rondes, blanches.

Ma bite rentra en elle sans trop de problème. Dire que j’étais en train de bourrer le gros cul de tante Clarisse ! J’avais du mal à m’en convaincre. Pourtant c’était bien ma bite et c’était bien son cul et sa grosse paire de nichons bien gonflés écrasés sur le lit.


Je jouis probablement trop vite pour qu’elle prenne réellement du plaisir à cet enculage. Mais, trop excité par cette situation cocasse, je me vidai entièrement dans les intestins de Clarisse, en braillant comme un ours avant de retomber lourdement sur elle.


Elle finit par se dégager et par se retourner. Désormais complètement à poil et rouge jusqu’aux oreilles, elle avait encore envie de se faire ramoner. Sans hésiter une seconde, elle emboucha ma queue souillée par son cul et entreprit de lui redonner vigueur. J’avais quelques doutes sur ma capacité à jouir trois fois dans la même soirée. Pourtant une bonne pipe experte et le malaxage intensif des gros nibards de tantine eurent raison de mes incertitudes.



Je ne me le fis pas dire deux fois, je pris mon sexe en main et le lui enfonçai d’un coup sec dans la chatte, elle poussa un "Oh" de surprise. Quand je fus enfoncé complètement en elle, je restai immobile un instant savourant cette chatte juteuse. Puis, très lentement, j’entrepris de longs va-et-vient, ressortant complètement, entrant à nouveau dans son con baveux, ses grandes lèvres m’aspiraient comme une ventouse, quelle formidable sensation, quelle femelle en rut !

Je me mis à la pistonner sans aucune douceur à présent, je lui donnais de grands coups de reins, j’appréciais la parfaite salope qui était en elle. Elle poussait des cris de plus en plus forts, elle se pressait les seins en tirant sur les mamelons. Elle remuait son corps dans tous les sens, le lit craquait atrocement à chaque mouvement, de quoi en faire profiter tous nos voisins.


Je donnai encore quelques coups de rein puissants et me vidai cette fois dans son ventre, je crachai toute la sauce en même temps qu’elle criait son orgasme.

La semence s’écoulait entre ses cuisses, je tombai sur elle, épuisé, nous étions en sueur, exténués, nous nous endormîmes ainsi, l’un dans l’autre.


Au petit jour, j’eus l’immense surprise de la retrouver à nouveau entre mes cuisses en train de me sucer. D’une gourmandise peu commune, elle m’astiqua à fond et me fit tout cracher. Elle avala sans rechigner en me pressant les couilles pour me vider entièrement.


Par la suite, elle m’avoua :



C’est ainsi que, cancre à l’école, j’ai eu droit à l’amour, à l’argent et à une femme particulièrement vicieuse.

Depuis, la famille a découvert le pot aux roses et ça a fait un sacré scandale. Cela ne m’a pas empêché de rester avec Clarisse, ni d’engrosser la bonne. À l’hôtel, les nuits sont souvent très chaudes et il n’est pas rare que j’offre ma femme à des clients. Clarisse se prête en général à mes caprices de bonne grâce et accepte même de se faire sodomiser par des inconnus. La seule chose que nous exigeons : des rapports propres et protégés.