n° 09316 | Fiche technique | 11356 caractères | 11356 1824 Temps de lecture estimé : 8 mn |
22/06/05 |
Résumé: Huxley a décrit le meilleur des mondes. Il n'a cependant pas beaucoup parlé des initiations sexuelles des jeunes gens. Ce récit complètera son oeuvre. | ||||
Critères: #sciencefiction grp jeunes fsoumise voir exhib fellation cunnilingu fgode sandwich fdanus partouze sm attache piquepince init | ||||
Auteur : Lola (32 ans, blonde et passablement obsédée) Envoi mini-message |
L’amour et le romantisme ne sont plus de mise depuis des siècles. Le monde a bien changé. Les mères n’existent plus : les enfants sont conçus en laboratoire et modifiés génétiquement en fonction de leur rang dans la société. Le sexe n’a plus qu’une fonction purement sensuelle, plus aucun tabou n’existe. Voici comment se déroulent les rites d’initiation à l’époque d’Huxley.
La défloration est un passage obligé pour toutes les jeunes filles. Celles qui ont franchi le pas avant l’âge de 17 ans n’ont plus le droit de prétendre à l’initiation ; celle-ci est en effet réservée aux vraies vierges. Les aînées encouragent les plus jeunes à tenir le coup jusqu’à l’initiation, qui, d’après elles, en vaut vraiment la peine. On y apprend plein de choses et, surtout, on y éprouve un orgasme inégalé.
L’initiation se déroule dans une salle prévue à cet effet, baptisée Sexodrome. Il existe un Sexodrome dans toutes les villes, parfaitement équipé pour la défloration : instruments électroniques permettant de mesurer le degré de plaisir éprouvé, vibromasseurs, pinces…
Les hommes assistent aux initiations : un local leur est réservé, où ils peuvent s’asseoir, regarder, apprendre tout ce qu’ils désirent sur le plaisir féminin. C’est un lieu magique, entièrement dévoué à la sensualité.
Entre cinq et dix pucelles y entrent chaque jour, sur convocation et après examen. En effet, les modifications génétiques avaient fait disparaître l’hymen dans la population féminine ; un médecin vérifiait cependant que le vagin était intact et n’avait subi aucune pénétration avant d’autoriser les jeunes filles à subir leur initiation.
Les hommes assistent au spectacle comme au cinéma, certains d’entre eux ont d’ailleurs l’autorisation de participer, selon leur expérience… ou le désir des jeunes filles.
Ce jour-là, six jeunes filles étaient attendues.
Marco connaissait l’une d’elles, c’était sa petite amie du moment. Elle aurait accepté de coucher avec lui s’il l’avait voulu, mais il avait préféré la convaincre d’attendre sa convocation au Sexodrome, qui ne devait pas tarder à arriver puisque Lola avait juste 17 ans. C’était bien plus excitant comme ça. Il avait assisté à pas mal d’initiations, et il savait à quel point c’était bandant et jouissif pour tout le monde. D’autre part, après son initiation, Lola n’aurait vraiment plus rien à lui refuser.
Marco s’assit au premier rang, il n’y avait pas trop de monde dans le public ce jour-là. Avec un peu de chance, il serait sélectionné pour participer. Lola le demanderait, elle savait qu’il serait là. Sa bite commençait à durcir à l’idée du spectacle dont il allait se régaler.
Les filles entrèrent dans la salle de dépucelage. Elles avaient été lavées, parfumées et sans doute déjà un peu stimulées par les mains expertes des baigneuses (ces femmes avaient été programmées pour l’agréable tâche de préparer les vierges, avec toutefois l’interdiction de les faire jouir. Leur rôle se limitait donc à les laver de leurs mains, à les raser entièrement et à pincer leurs tétons pour les faire durcir).
Lola était superbe. La bite de Marco se fit douloureuse, et il ouvrit sa combinaison à la hauteur de son bas-ventre pour la faire sortir.
Les filles prirent place sur les plints. Elles devaient s’asseoir à genoux, ces gros coussins très durs entre les jambes. Leurs mains étaient attachées au-dessus de leurs têtes et soutenues par un câble accroché au plafond, de manière à leur assurer un confort optimal. Deux électrodes étaient fichées sur leur poitrine et étaient reliées à l’orgasmomètre, qui permettait de mesurer le degré d’excitation de chacune. Marco pouvait voir le sexe ouvert de son amie à quelques centimètres du plint ; le clitoris surgissait, luisant. Il aurait adoré y coller sa bouche mais il n’était pas là pour ça. Peut-être plus tard…
Les masturbeurs (qui avaient la délicate mission de s’occuper du dépucelage) commencèrent par bander les yeux des filles. Elles ne pouvaient rien voir, elles devaient se concentrer uniquement sur les sensations éprouvées. Lola semblait avoir un peu peur, mais lorsque l’un des masturbeurs vint lui accrocher délicatement des suceurs sur les tétons, elle ouvrit légèrement la bouche, laissa tomber sa tête en arrière entre ses deux bras entravés, et on vit son orgasmomètre réagir. Ça commençait bien.
Les suceurs étaient des embouts en latex qui épousaient la forme des tétons. Ils étaient reliés à un câble qui transmettait des impulsions électriques légères, donnant ainsi aux pucelles l’impression d’un pincement ou d’une succion, selon le cas. Cet élément était indispensable pour améliorer l’effet de lubrification du vagin. Les filles adoraient ça en général.
Une musique légère se fit entendre. À partir de maintenant, il fallait que toutes soient bien détendues. Il fallait aussi pouvoir donner un certain rythme aux choses. Une mélodie douce mais un peu entêtante faisait l’affaire. Les plints pouvaient entrer en action.
Ils étaient pourvus de plusieurs fonctions. Les masturbeurs commencèrent par actionner l’ouverture du clitophile. Cette petite tige pourvue d’un gros embout tout rond sortit du plint et vint se positionner sur le clitoris des filles. L’embout se mit à vibrer légèrement. Marco trouva cela particulièrement excitant. Il vit Lola bouger du bassin pour rapprocher son sexe du clitophile, et l’orgasmomètre réagissait de façon très satisfaisante. Lola adorait ça, c’était évident. Mais la position dans laquelle elle était maintenue l’empêchait de faire ce qu’elle voulait. La boule vibreuse caressait légèrement son clitoris, très légèrement. Les masturbeurs réglèrent les suceurs de tétons sur la fonction "pince". Les soupirs se firent plus profonds. Les filles étaient bien chaudes. L’une d’entre elles, une petite rouquine, poussait même des petits couinements. Marco résistait à la tentation de se masturber. Il avait peur de jouir trop vite. Il était subjugué par le spectacle.
Lorsque les masturbeurs actionnèrent le vibro, une deuxième ouverture dans le plint laissa sortir un gland artificiel d’une taille appréciable, et les filles firent tous les efforts possibles pour positionner celui-ci dans l’ouverture de leur vagin. Il ne les pénétrait que de deux ou trois centimètres, et se mit à vibrer légèrement également. Lola commençait à s’agiter franchement. On voyait bien le gland dans l’ouverture de sa chatte, tous savaient que ce n’était que le début de la pénétration. Lola s’évertuait à coller son clito contre le clitophile, et essayait désespérément d’enfoncer le pénis plus en avant dans son vagin serré mais, là encore, la position dans laquelle elle était entravée ne lui laissait pas beaucoup de possibilités de mouvement. Elle dut se contenter de subir la caresse des machines et d’attendre impatiemment la suite. Les aînées n’avaient pas menti, cette initiation était fantastique. Elle ne se doutait pas qu’on pouvait ressentir autant de bonnes choses.
Les masturbeurs firent un ultime réglage aux suceurs à tétons. Ceux-ci, toujours réglés en mode "pince", se firent encore plus précis. Chaque téton était enveloppé et serré dans le latex, et les filles, pour en ressentir encore mieux les effets, laissaient aller leur corps en arrière. Marco ne résista plus et saisit sa queue dans sa main droite. Il commença lentement à se masturber. Ses voisins avaient commencé leur va-et-vient depuis un bon moment, et certains même avaient déjà actionné leur suceuse de bite (une machine épatante), mais Marco espérait vraiment pouvoir profiter un peu du corps de Lola, ou d’une autre, et il n’était pas question de jouir n’importe comment, il voulait proposer aux filles une bite d’une dureté exemplaire pour leur premier contact.
Le plint fut actionné une fois de plus, et un autre gland, le gland anal, un peu plus petit que le premier, fit son apparition. Il vint se positionner à l’entrée de l’anus des filles. Cette fois, les choses sérieuses avaient commencé. Les filles étaient stimulées de partout. Le gland du vagin continua son ascension hors du plint et commença à pénétrer les filles lentement, à leur plus grande joie. On entendait des "Oooooooh ouiiiiiiiii" des "Aaaaaaaaaaah c’est booooooooon" et des "Encoooooooooore plus loin". Mais voilà… pour enfiler le gros pénis artificiel tout en continuant de se faire masturber le clitophile, il leur fallait faire un mouvement du bassin qui les obligeait à s’asseoir plus franchement sur le gland anal, qui commençait à faire son chemin dans le rectum des demoiselles. Après quelques grimaces passagères, elles offrirent franchement leur rosette à ce bel engin qui les pénétra bientôt presqu’aussi loin que le gland vaginal. Le clitophile continuait à vibrer. Les masturbeurs actionnèrent alors le va-et-vient.
Marco vit les deux engins pénétrer, l’un après l’autre, le corps de son amie. Son cul était tout ouvert, son vagin aussi. Elle poussait son bassin vers le bas pour profiter entièrement de la boule vibrante du clitophile. C’était bandant à souhait. L’orgasmomètre dévoilait l’étendue de son plaisir, elle allait jouir d’un moment à l’autre…
Les filles eurent enfin la permission de demander des choses aux masturbeurs. L’une d’entre elles demanda une plus forte pression sur les suceurs de tétons : elle adorait leur stimulation, elle en voulait plus, une autre demanda à pouvoir sucer quelque chose. Un homme du public fut invité à venir offrir sa bite à la demoiselle qui l’engloutit dans sa bouche avec gourmandise pendant que les glands artificiels la pénétraient en rythme. Marco attendait, la main sur sa queue qui bleuissait à force d’excitation. Lola demanda à l’avoir auprès d’elle. Il vint donc sans se faire prier. Lola demanda à ce que le clitophile soit désactivé, et à ce que son ami s’installe entre ses jambes pour la lécher. Marco ne se fit pas prier. Il se pencha et tendit la langue vers le petit bouton surexcité. Il se mit à lécher lentement, puis de plus en plus vite. Lola grognait, s’empalait plus encore sur les glands artificiels. On commençait à entendre des cris de jouissance dans le Sexodrome. Les spectateurs s’astiquaient sans plus de retenue. Deux autres encore avaient été réquisitionnés pour le plaisir de ces demoiselles. L’un d’entre eux fessait la petite rousse à pleines mains. L’autre murmurait des cochonneries dans l’oreille d’une belle blonde pulpeuse en se masturbant. On l’entendait cependant grogner.
Celui qui se faisait sucer ne put résister plus longtemps et laissa échapper de longs jets de semence sur le visage et la poitrine de la jeune fille qui l’avait réclamé. Lola se mit à trembler violemment et à marmonner à son tour des grossièretés. Elle fut prise à son tour d’un orgasme, l’orgasmomètre avait monté dans le rouge. Elle était en sueur, elle se laissait entièrement aller à ses spasmes. Marco dégustait la liqueur qui coulait de sa moule en feu et jouit à son tour dans sa main.
Toutes les filles avaient joui. C’était encore une réussite. Les masturbeurs détachèrent les filles. Celles-ci ne voulurent cependant pas quitter le Sexodrome immédiatement. Elles en voulaient encore, ce qui n’était pas rare. C’est alors que le public put pleinement en profiter et participer.