n° 09323 | Fiche technique | 32383 caractères | 32383Temps de lecture estimé : 18 mn | 23/06/05 |
Résumé: La suite des aventures de Balou, de Magali et de Marie. | ||||
Critères: fh fhh grp hplusag jeunes frousses rousseurs couple extracon inconnu alliance copains danser fête exhib fmast hmast intermast facial fellation fsodo gifle | ||||
Auteur : Balou (Epicurien) Envoi mini-message |
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Magali était heureuse. Allongée seule dans son lit, elle se remémorait les moments magiques qu’elle avait passés avec Balou. Il était plus de minuit, elle ne dormait toujours pas.
Son aîné l’avait quitté en tout début de soirée pour rejoindre sa copine Marie. Elle était un peu déçue car elle ne s’était pas faite pénétrer comme elle le souhaitait.
Magali pensait qu’après l’épisode masturbatoire, Balou allait lui faire l’amour. Hélas, elle n’avait pas eu le loisir de le sentir en elle. Il lui avait fait comprendre que pour le moment, il ne fallait pas précipiter les évènements. Evidemment, Magali ne lui en voulait pas, puisque ce qui s’était passé entre eux était déjà inespéré.
Elle se rappelait les jets de sève qui s’étaient écrasés sur elle, sur ses joues, sur son menton et ses épaules. La chaleur de cette laitance, son goût iodé, elle s’en était délectée.
Voir un homme éjaculer avec une telle puissance, hurler son prénom et jouir au-dessus d’elle l’avait transporté vers un continent de délires sexuels qu’elle ne connaissait pas.
Pour une première avec son Balou chéri, c’était une réussite presque totale. Mais maintenant elle en voulait davantage, et pour cela il fallait qu’elle reprenne la pilule.
Le sommeil la gagna, elle s’endormit, un sourire aux lèvres.
Balou s’était douché en vitesse chez sa poupée blonde pour évacuer toute odeur féminine suspecte. En conduisant vers son domicile, les souvenirs de ce délirant après-midi restaient gravés dans sa mémoire. Une tendresse infiniment douce à l’égard de cette fille le transportait vers une félicité fabuleuse. Il n’avait pas de remord, fut-il surpris de constater. Par contre, il marchait sur des œufs et devait prendre d’infinies précautions, s’il voulait jongler entre Marie et sa jeune maîtresse.
Quelques semaines plus tard….
Les jours de ce chaud printemps s’écoulèrent paisiblement. Marie avait complètement relooké l’appartement et, cerise sur le gâteau, elle avait décroché un job dans un service de communication d’une grande entreprise.
Magali, quant à elle, avait considérablement rattrapé son retard scolaire, et par la même occasion son niveau de notes avait grimpé. Elle prenait enfin du plaisir à la préparation de son BTS. Il fallait également souligner que son amant Balou y avait contribué pour beaucoup.
Ils se voyaient en secret une à deux heures par semaine, en soirée.
Assise à son bureau dans son studio, Magali rêvassait en se rappelant la première fois où Balou l’avait pénétrée. Il était entré dans son ventre chaud qui attendait cela depuis si longtemps. Ils avaient fait l’amour très doucement dans une infinie complicité les menant jusqu’à la félicité. Magali s’était accrochée à lui avec ses jambes, dans la position classique du missionnaire. Elle voulait que tous deux jouissent les yeux dans les yeux, et Balou avait éjaculé en elle avec un tel romantisme que des larmes de joie avaient coulé sur ses joues.
A ses yeux, Balou était un dieu, à la fois amant et initiateur. Il avait pris son temps, l’avait longuement caressée. Sa bouche avait goûté à sa blonde toison, à son abricot d’amour encore adolescent. Ses mains avaient câliné ses seins menus aux bouts roses, puis elles s’étaient introduites dans l’antre serré de ses fesses. Magali avait couiné, puis elle s’était abandonnée aux doigts explorateurs qui lui fouillaient son pertuis de pucelle.
De longs instants, elle avait gémi en frétillant sous la dextérité manuelle et buccale de son amant. Elle avait bien tenté de le caresser, elle aussi, mais il se dérobait dès que les petites mains fines se posaient sur sa hampe. Balou avait également embrassé ses blonds cheveux soyeux, puis il avait écarté ses cuisses de gazelle et avec une infinie douceur, il l’avait pénétrée très lentement.
Magali s’était accrochée à lui en enroulant ses jambes autour de sa taille. Son amant l’avait ensuite emportée vers le Nirvana.
La petite poupée blonde pensait à tout cela en révisant ses cours. Son esprit ne cessait de vagabonder vers cet homme mûr. Elle se dit qu’il faudrait qu’elle prenne des photos de leurs ébats avec son APN. De cette manière, elle conserverait sur son ordinateur l’empreinte de leur amour.
Magali comprenait la position de Balou au sujet de Marie, elle ne voulait surtout pas briser leur couple. Mais bon sang, que pouvait-il trouver à cette grande rousse pleine de taches de rousseur et à la poitrine volumineuse ? Alors qu’elle, elle ressemblait à une nymphette blonde tout droit issue d’un conte d’éroïc-fantaisy. Cela dit, elle devait admettre que Marie était une très belle femme. De plus, elle ne ressentait pas vraiment de jalousie à son égard, ce qui la surprenait pour autant.
C’était un samedi soir, les parents de Magali et amis de Balou organisaient une petite fête chez eux. André, le père, dirigeait une entreprise de travaux publics relativement importante. Il décrochait des contrats juteux qui permettaient de pérenniser son entreprise de la meilleure manière qui soit et par la même occasion d’engranger des bénéfices substantiels.
Clients et amis se retrouvèrent dans leur appartement de type attique à grignoter des petits fours et à guincher aux rythmes de l’orchestre.
En fait ni André ni Balou n’appréciaient ce genre de festivités, mais André avait cédé aux souhaits de sa femme qui avait certainement la folie des grandeurs… c’est du moins ce que pensait Balou.
La soirée était bien avancée. Marie portait une longue robe rouge aux épaules nues, qui moulait ses formes de walkyrie. Sa poitrine et ses formes mises ainsi en valeur attiraient inévitablement les regards de tous les hommes, et des femmes également. Sa rousse chevelure bouclée tombait en cascade sur ses épaules. Son dos était dénudé jusque vers le haut des fesses. Cela amusait Balou, car il soupçonnait sa compagne d’avoir des instincts exhibitionnistes par instant.
Magali la dévorait des yeux. Le courant passait bien entre elles, Balou l’avait remarqué, mais pourvu que sa poupée blonde ne fasse pas de gaffe, se dit-il.
Magali, quant à elle, était habillée bien plus sobrement. Elle portait une veste en lin vert olive, assortie à un pantalon qui moulait ses petites fesses.
Balou un peu en retrait, observait sa compagne et sa maîtresse converser joyeusement. Elles se souriaient et pouffaient de rire pour un rien. Elles avaient trop bu, pensa-t-il.
Marie conversa avec Magali une bonne partie de la soirée. Elle lui raconta sa venue en France, sa rencontre avec Balou. Toutes les deux parlèrent de lui, de sa vie, de sa galanterie, de son travail… Mais aucune n’aborda un sujet intime le concernant. Par contre, elles se racontèrent leurs aventures passées, leur drague sur le net et les rencontres qui en découlaient.
Plus tard, Marie se lança avec Magali sur la piste de danse. Elles avaient commencé à mettre le feu dans cette soirée un peu trop guindée à leur goût.
Balou remonta vers la terrasse pour prendre l’air. Il n’y avait personne. Il alluma une cigarette, la fumée se tortilla vers le ciel.
Soudain, il perçut un chuchotement émanant du coin de la terrasse. Il s’approcha à pattes de velours vers l’endroit concerné.
D’abord il crut à une hallucination. Mais ses yeux s’habituèrent à la pénombre. Le spectacle qu’il découvrit lui fouetta le sang.
André, son pote, assis dans un fauteuil, cuisses écartées, pantalon accroché au dossier, se masturbait vigoureusement devant sa femme entourée de deux jeunes éphèbes.
Balou était fasciné de voir Mireille la femme de son pote avaler alternativement les verges érigées devant son visage, agenouillée qu’elle était sur un matelas en mousse.
André se branlait, il haletait. Sa grosse paluche allait en venait rapidement le long de son membre.
C’était complètement surréaliste, mais terriblement excitant de voir ce couple de notables s’adonner ainsi à la luxure. D’ailleurs Balou fut immédiatement en érection lorsqu’il vit Mireille, quinquagénaire BCBG nue qui masturbait maintenant les deux hommes.
Comme par magie, Mireille se mit à quatre pattes et présenta sa croupe maigre aux deux hommes.
Le premier la prit tout d’abord en levrette pour bien humidifier sa verge, il détendit le pertuis de Mireille en insérant un, puis deux doigts entre ses fesses. Mireille suçait l’autre garçon pendant qu’elle se faisait prendre.
Balou les laissa et retourna à la soirée, un sourire aux lèvres. Sacrée famille, pensa-t-il.
Marie dansait, elle se trémoussait devant les mâles éberlués qui ne devaient pas voir tous les week-ends une diablesse rousse sur une piste de danse. D’autres femmes l’avaient rejointe. Elle aimait s’offrir aux regards des autres, il faudrait qu’elle en parle un jour à son cher et tendre Balou.
Magali et elle avaient longtemps discuté ensemble. Marie s’était vite rendu compte que cette petite blonde en pinçait pour son compagnon. Elle était charmante et bien foutue, pensa-t-elle, j’ai intérêt à surveiller mon mâle. Elle le vit d’ailleurs qui revenait. Elle s’élança à son cou et lui administra un baiser hollywoodien à souhait.
Balou vit sa pieuvre rousse se jeter dans ses bras. Il sentit sa bouche se faire violer par une langue irlandaise. Ils s’embrassèrent passionnément devant l’assemblée présente.
Les invités applaudirent cet entracte d’amoureux, tout en commentant la fougue de Marie.
Un pincement au cœur, Magali les vit s’embrasser. Elle écouta ensuite les commentaires graveleux de certaines personnes, homme ou femmes.
Son regard fut ensuite attiré par sa mère qui revenait de la terrasse. Elle avait les yeux étincelants, comme hallucinés, elle souriait béatement. Sa mère se jeta sur un plateau de coupe de champagne et elle en avala deux à la suite. Magali l’observa en se demandant quelle mouche avait piqué sa chère mère pour la rendre ainsi joviale.
En se rapprochant d’elle, Magali aperçut une traînée blanche accrochée dans les cheveux blonds de sa mère.
Nul doute possible, c’était du sperme !!
Mireille portait un tailleur rose très kitsch, on aurait dit un bonbon sur pattes. Sa chevelure blonde platine coupée au carré lui donnait un air de Sabine Azéma. Elle vit sa fille Magali s’approcher d’elle et la prendre par le bras pour l’entraîner à l’écart.
Mireille passa ses doigts sur la mèche de cheveux souillée.
Mireille rougit instantanément et fila aux toilettes.
Magali se dit que ses parents avaient décidément de drôles d’envies de batifoler ainsi en pleine soirée mondaine. Cela lui fit plaisir de les savoir si inventifs en amour.
Sa mère revint vers elle quelques instants plus tard.
Mireille laissa sa fille ainsi et elle rejoignit un groupe d’amis qui conversait avec son mari.
Balou n’avait pas perdu une miette de la conversation entre Magali et sa mère. Il souriait intérieurement. Voir Mireille, une trace de semence dans ses cheveux et se rappelant comment elle donnait des fellations à deux garçons devant son mari qui se masturbait, l’émoustillait gaillardement.
En fait, ces deux hommes étaient des amis de Magali qui fréquentaient la même école qu’elle. Balou apprit au cours de la soirée que le plus grand des deux était l’ex petit ami de sa filleule. Le monde est bien petit, se dit-il.
La séance des slows débuta.
Balou vit Marie danser avec un homme grand et chauve. Celui-ci la tenait fermement par la taille, tout en gardant son nez dans le décolleté plongeant de son amie. Marie était collée à lui, elle lui parlait dans le creux de l’oreille.
Ensuite Balou laissa son regard se poser vers l’entrejambe du type chauve. Comme il le pressentait, on voyait une bosse poindre à travers le pantalon de son smoking.
Il se disait bien que sa compagne allait en faire bander plus d’un à cette soirée, cela lui faisait plaisir que les gens apprécient son amie. Dans ces moments, il fallait réfréner sa jalousie, de plus il était mal placé pour juger le comportement de Marie, non ? Mais il ne fallait pas que ce crâne d’œuf abuse de la situation…
Marie dansait langoureusement avec ce grand type, il était directeur d’une agence immobilière. Elle sentait cogner contre son ventre le désir de cet homme. Il n’osait pas plaquer ses mains sur ses fesses, mais sa respiration était saccadée. Il va jouir dans son froc si ça continue, se dit-elle.
Elle savait également que Balou les regardait. Marie lui avait fait comprendre qu’elle adorait exciter les hommes, qui la nuit venue devaient troncher bobonne en pensant à elle, ou alors ils devaient se masturber en fantasmant sur ses formes.
Depuis le début des slows, la lumière avait baissé d’intensité. Des couples dansaient, plus ou moins soudés ensemble. Marie fit de petits mouvements rotatifs du bassin qui massèrent la bosse de l’homme chauve grâce à son ventre.
Il lâcha un gémissement en plaquant ses mains sur les fesses callipyges de cette déesse rousse.
Marie lui glissa dans l’oreille :
L’homme ne dit rien, il souriait bêtement.
Marie et lui quittèrent discrètement la piste de danse dans la pénombre.
Balou avait suivi de loin leur manège, il voulait savoir jusqu’où sa compagne pouvait aller.
L’air s’était rafraîchi mais Marie n’en avait cure. Elle se dandinait devant l’homme chauve dont le pantalon était tirebouchonné à ses pieds. Elle prenait des poses lascives, lui se masturbait devant elle, mais il supplia :
Elle se caressa l’entrecuisse pour encourager l’homme en face d’elle. Celui-ci accéléra les mouvements de sa main sur sa hampe
Marie sentait la moiteur de son ventre croître progressivement. Tous deux n’étaient séparés que de quelques pas. Elle se coucha sur le matelas de mousse et, cuisses écartées, se masturba également devant cet inconnu. L’homme se rapprocha d’elle en se branlant frénétiquement.
Marie n’avait nullement envie de se faire inonder par sa semence. Elle sentait la situation lui échapper, ce qui coupa son élan masturbatoire. Elle se redressa et dit :
Elle ajusta sa robe et son string. L’homme restait debout, sa verge entre les doigts il était frustré.
Marie s’approcha de lui et le gifla. Crâne d’œuf vacilla et trébucha en se prenant les pieds dans son pantalon tirebouchonné. Elle tourna les talons et retourna à la soirée.
Magali et Balou étaient cachés derrière un arbrisseau. Ils avaient assisté à toute la scène, blottis l’un contre l’autre.
Balou savait maintenant que sa compagne était aussi délurée que lui. Cette constatation lui arracha un sourire, il songea que sa vie sexuelle allait radicalement changer dans les prochains temps.
Il savait Marie très intelligente, car pour agir de la sorte, elle devait avoir une motivation bien réelle. Avait-elle eu vent de ses escapades avec Magali ? Etait-ce une manière de se venger ? Telles étaient les questions qui tenaillaient Balou.
Magali n’en croyait pas ses yeux. La copine de son parrain avait levé cet homme pour une séance de plaisirs manuels à deux. Elle avait regardé la scène avec avidité, toute excitée qu’elle était. Elle prit la main de son aîné et déposa un chaste baiser sur ses doigts.
Marie, Magali, et Balou, se retrouvèrent au bar. La soirée touchait à sa fin. L’agent immobilier chauve, éconduit par Marie, était en grande conversation avec André le maître de maison. Celui-ci jeta des regards dans leur direction.
Marie ne se décontenança pas, elle sourit aux deux hommes en levant son verre à leur santé.
Marie le regarda intensément de ses yeux verts. Pendant une fraction de seconde elle ne dit rien.
Une marque rouge zébrait le visage de l’agent immobilier, mais Balou ne fit aucun commentaire.
Magali se retrouva en compagnie de ses deux copains d’école. Ils riaient en buvant des vodkas tonic.
Balou les observa un instant, puis il se rendit compte que le petit groupe filait à l’anglaise vers les chambres.
La tête lui tournait un peu. Magali avait certainement trop bu, mais elle se sentait bien. Alexandre son ex était venu, accompagné par Jérôme. Tous deux étaient des copains d’enfance, ils avaient connu Magali en première année de BTS.
Alexandre était un grand garçon brun quasiment maigre, un piercing au sourcil droit, cheveux mi-longs, l’autre, Jérôme était sa réplique blonde. Tous deux jouaient également dans le même club de basket.
Le ventre de Magali brûlait, elle avait envie d’eux. Elle ne s’expliquait pas cette frénésie sexuelle qui l’avait envahie, certes elle trouvait ces deux garçons à son goût, mais de là à franchir le pas pour un trio, il y avait un monde.
Magali se rendait maintenant compte que depuis que Balou l’avait initié aux mille et un plaisirs, sa féminité, ses envies, allaient en grandissant. Grâce à son aîné, elle dégusterait toutes les merveilles sexuelles qu’offrait la vie. Et ces deux hommes en faisaient partie.
Marie avait également suivi le manège du trio. Elle susurra à l’oreille de Balou :
Magali était assise, empalée sur Alexandre, sa blonde toison engloutissait son pieu. Jérôme les avait rejoint sur le lit, Magali le masturbait délicatement.
La poupée blonde gloussait de joie. Elle avait deux hommes à sa merci, qui lui donnaient du plaisir.
Alexandre se voyait disparaître dans le ventre de Magali. Elle le chevauchait telle une amazone, et imprimait la cadence. Sa blonde tignasse lui voilait le visage. Alexandre tendit ses mains, ses doigts caressèrent la petite poitrine qui tressautait devant ses yeux. Ensuite, il pinça les bouts, ce qui déclencha un cri de joie ou de douleur à Magali, il ne savait pas.
Magali tenait maintenant fermement le membre de Jérôme, elle ne voulait pas laisser déraper la situation. Ses doigts précipitèrent leur masturbation pour lui faire cracher sa semence.
Jérôme se rendit compte du changement d’attitude de Magali. Il se dégagea de cette main caressante, se mit debout face à la bouche de Magali.
Elle sentait la hampe d’Alexandre cogner au fond de son ventre, elle était divinement prise. Maintenant, la verge de son pote frottait contre son menton. Le gland lui semblait moins majestueux que celui de Balou, mais tout aussi chaud et doux.
Il avança légèrement son bassin.
Magali écarta ses lèvres et une rose longue pointue s’en échappa. Sa petite main fine caressa la cuisse musclée, et l’autre main guida la hampe dans sa bouche. Elle se contorsionnait admirablement, mais elle encouragea Jérôme à les rejoindre sur la couche, ce qui faciliterait la fellation.
La tignasse blonde allait et venait sur la verge dressée. Magali la pompait joyeusement et léchait le gland comme une sucette « chuppa chupp ».
Alexandre continuait à ahaner entre les cuisses de Magali.
Il gémit, ses grandes mains agrippèrent les hanches de Magali, et il éjacula longuement en elle.
Par contre, elle-même n’avait pas encore joui, elle était froissée qu’Alexandre jute si vite. Décidément, se dit-elle, il est resté un mièvre amant.
Elle se focalisa sur la verge dans sa bouche, puis demanda timidement à Jérôme de remplacer Alex.
Magali s’accroupit en présentant sa croupe devant Jérôme. Son ventre réclamait un sexe vigoureux. Elle sentit le gland presser contre sa vulve rose et luisante, puis elle perçut la pénétration longue et douce. Enfin ! Elle était comblée.
Son jeune amant blond comme elle, posa une main dans son dos et de l’autre s’agrippa à sa hanche.
Alexandre, penaud, se rhabilla et quitta la chambre d’où s’échappaient des gémissements de plaisir.
Marie et Balou virent le grand brun quitter la chambre en premier. Il semblait triste et pensif. Mireille, la mère de Magali, vint à sa rencontre et l’entraîna à l’écart.
Magali était secouée par les assauts répétés de Jérôme. Ce grand basketteur blond la limait interminablement. Elle semblait si fragile, couverte par ce garçon de près de deux mètres. Jérôme accéléra davantage son pistonnage, ce qui provoqua des râles de plaisir à la poupée blonde. Elle jouit à nouveau. Le sexe de Jérôme allait si loin en elle, qu’elle craignait qu’il ne la déchire. Mais elle se rendit vite compte que ses muscles intimes en redemandaient, alors elle perdit la notion de toute réalité et se laissa emporter par le feu du bonheur qui la consumait.
Jérôme essayait de contenir son plaisir, il tenta vainement de retarder une énième fois son éjaculation, mais la vision de Magali hurlant son plaisir, provoqua inévitablement le sien. Il se vida en elle à longs jets chauds et gras.
Magali était toujours accroupie, les fesses en l’air, son sexe frétillant d’où coulait son nectar d’amour mélangé à la sève de Jérôme. Elle resta ainsi prostrée de longues minutes, puis elle s’allongea sur la couette pour reprendre ses esprits.
Qu’avait-elle réalisé ? Elle avait brisé un tabou, faire l’amour avec deux garçons. Enfin non, elle avait plutôt baisé et s’était fait baiser par deux mecs sans aucun savoir-vivre, ni aucun sentiment, pensa-t-elle.
Marie, d’un coup de menton, désigna à Balou Jérôme qui revenait du fond de l’appartement. Il fut également immédiatement interpellé par Mireille.
Balou avait une envie furieuse de courir voir sa filleule. J’espère que tout va bien, se dit-il.
L’attente lui semblait interminable. Toujours aucune Magali en vue.
Soudain il vit Mireille aller vers la chambre de Magali. Elle disparut quelques minutes.
Marie était maintenant collée à Balou. Elle le poussa dans les toilettes.
Agenouillée sur le tapis devant Balou, elle entreprit de déboutonner son pantalon. Elle dégagea le sexe flasque de son amant. Marie fit la moue avant d’engloutir complètement ce petit bout de chair masculine.
Sa langue s’enroula autour, elle le plaqua contre le palais et se mis à l’avaler en suçant de plus belle. Après quelques manipulations aussi appuyées, Marie sentit le sexe se gonfler irrémédiablement dans sa bouche. Elle releva la tête vers Balou et demanda :
Balou, debout, agrippé au lavabo, la regarda avant de rejeter sa tête en arrière et de lâcher :
Marie avait une belle et grande bouche pulpeuse, aux lèvres roses charnues. Elle le pompait comme une déesse. La bouche s’arrêta.
Elle continua de le masturber avec ses longs doigts et ajouta :
Balou regardait alternativement Marie et la porte des toilettes. Il vit effectivement que le verrou n’était pas engagé, et il était trop loin pour l’atteindre avec sa main. Il suait, quelques gouttes tombèrent sur les mains de son amante qui les lécha aussitôt.
La verge de Balou perdit sa vigueur.
Balou avait le sentiment que tout allait à nouveau s’écrouler, il courait à sa perte avec les femmes.
Marie éclata de rire en se redressant. Elle alla verrouiller pour de bon la porte des toilettes.
Marie ôta sa robe et reprit sa position, agenouillée à nouveau sur le sol.
Balou était interloqué. Son amante lui souriait, là, à ses pieds, soumise à sa volonté.
Il s’empoigna et débuta des va-et-vient le long de sa hampe. Marie le regardait. Il vit sa langue rose lécher ses lèvres. Il vit également que ses mains caressaient sa volumineuse poitrine.
Balou haletait. Sa main droite accéléra la cadence masturbatoire, il se vit gonfler et grossir encore et encore au-dessus du visage de Marie.
Jamais il n’avait vécu une telle situation si angoissante. Les yeux verts de sa compagne brillaient de mille feux, sa bouche attendait son nectar.
Un éclair le foudroya.
Un feulement de lion.
Puis une multitude de jets blancs s’écrasèrent sur le visage d’une déesse rousse aux yeux clos, agenouillée devant la divine verge qui l’aspergeait.
La semence chaude coulait sur son visage. Marie à coups de langue agile recueillait le nectar tant attendu. Les yeux toujours fermés, elle attendait que son Lion termine son éjaculation.
Balou respirait avec peine, la sueur coulait sur ses joues, il regarda Marie toujours agenouillée devant lui. Une quantité impressionnante de sève maculait son visage. La laitance coulait également entre ses seins.
Elle ouvrit les yeux et le regarda amoureusement.
Balou l’aida à se relever.
Devant le miroir, elle recueillit avec ses doigts la sève refroidie, les suça et en fit profiter son amant.
En un éclair, Marie se refit une beauté, puis ils sortirent des toilettes ensemble.
Ladite jeune fille était en grande conversation avec sa mère.
Marie écouta Balou se livrer à elle. Il lui raconta tout ce qui s’était passé avec Magali. Elle l’écouta religieusement en fumant avec lui sur la terrasse. Balou lui avait prêté sa veste qu’il avait déposée sur ses épaules.
Ensuite Marie lui avoua de son côté qu’elle avait des instincts exhibitionnistes d’une part et qu’elle aimait aussi à l’occasion coucher avec les femmes d’autre part, et justement Magali l’attirait. Elle pensait que cette attirance était réciproque.
Magali les rejoignit sur la terrasse.
Elle avait la mine renfrognée de petite fille qui s’est fait gronder.
Marie et Balou se regardèrent, en attendant la suite.
Elle leur raconta que Mireille sa maman l’avait surprise en train de fumer de l’herbe en compagnie de ses copains d’école…
A suivre …