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Temps de lecture estimé : 8 mn
23/06/05
Résumé:  Comme d'habitude, je m'ennuie pendant les vacances ! Comme d'habitude ? Peut-être pas, cette fois-ci...
Critères:  h ff jeunes freresoeur vacances forêt voir fmast ecriv_f
Auteur : Sarah            Envoi mini-message

Série : Un été

Chapitre 01
Découvertes

Ça y est, c’est les vacances ! J’ai eu mon bac et j’ai atteint ma majorité en janvier. Je devrais être très heureux, me direz-vous. Et bien non. Car, si l’été est une saison propice aux aventures en tous genres, chez moi c’est deux longs mois d’ennuis, vécus sous la bonne garde de ma mère. Elle a toujours fait en sorte que je ne m’éloigne jamais d’elle et pour cela elle m’a toujours interdit les sorties. Je ne connais donc rien du monde extérieur, hormis le trajet qui me conduit tous les jours au lycée. Je n’ai jamais pu lier aucune amitié et, pour ce qui est des filles, c’est encore pire. Les rares, en classe, qui m’ont adressé la parole, n’ont réussi qu’à me rendre rouge comme une tomate et à me tirer des néologismes du genre "chépaouinoneuh". Et encore, ce n’était que pour me demander des précisions sur les devoirs. Heureusement, j’ai Internet qui me permet de combler mes lacunes, au moins pour le côté anatomie. Je passe des heures sur des sites ou des chats à la recherche de photos et de vidéos. J’ai un faible pour les femmes entre elles, mais je les aime aussi seules. J’aime aussi quand on les voit se faire prendre dans toutes les positions. Je passe ainsi des heures entières à me branler devant mon écran, dans ma chambre, mon seul espace de liberté. La masturbation est un domaine où j’excelle, et je peux m’astiquer plusieurs heures avant de trouver la vidéo vraiment excitante qui me fera lâcher de longs jets de foutre jusque sur le bureau.

J’ai aussi des moments de paix lorsque je suis sur le vélo que je me suis offert avec l’argent gagné au service de Père, qui n’est pas mon père, mais le deuxième mari de ma mère. Elle nous a obligés, ma soeur aînée et moi, à l’appeler papa, mais elle n’y est jamais parvenue. Cependant, lorsque j’ai pour projet de faire une balade en vélo, il me faut d’intenses négociations. Mais, depuis quelques semaines, j’ai trouvé un argument qui réduit considérablement la diplomatie. Je la menace de quitter la maison si je ne peux pas obtenir quelques permissions. Nous savons très bien, elle et moi, que je n’ai ni la maturité ni les moyens financiers de vivre seul. Mais, jusqu’à présent, ça a toujours fonctionné et je sens qu’elle cède du terrain. Par contre, Audrey, ma soeur de 20 ans, n’a pas le droit de quitter le domaine familial. (En effet, ma mère est très riche, alors nous possédons un domaine d’une dizaine d’hectares. Il y a surtout des bois et des friches, mais il y a aussi une rivière où j’aime bien aller me rafraîchir). Ma soeur est consignée car elle s’est fait surprendre par ma mère dans les bras d’un garçon. C’était à la maison et, d’après ce que j’avais vu, ils avaient l’air de regarder sagement la télé. Mais, pour ma mère, c’était déjà trop et, après avoir, manu militari, bouté l’imprudent hors de chez nous, elle avait appliqué les sanctions. Interdiction de sorties et punition extrême pour ma soeur, et plus de téléphone. Je n’avais pas trouvé ça très malin de sa part de se faire surprendre de cette façon, ni de sa part à lui de n’avoir rien entrepris. Pourtant, je trouve ma soeur très belle et je ne comprends pas qu’elle ne nous ait encore jamais présenté un "vrai prétendant", comme les appelle ma mère.

Aujourd’hui, après avoir passé toute la matinée devant l’ordinateur pour compléter mon trésor de guerre, je décide de faire un tour à vélo. Mais j’ai l’intention de partir plus longtemps, aussi je me prépare à d’intenses discussions avec ma mère. Mais elle semble dans un bon jour, car elle a permis à ma soeur d’inviter sa meilleure amie, Emilie, que j’évite de regarder pour ne pas avoir l’air stupide. Elles ne se sont pas vues depuis plusieurs mois, après que son père l’ait envoyée dans un couvent pour améliorer ses notes. Ainsi, c’est en ayant promis à ma mère de l’appeler toutes les demi-heures que je peux partir faire mon tour.

La chaleur est étouffante et je sue énormément. J’adore cette sensation de chaud qui me permet de vraiment profiter de l’été. Je ne me sens bien que lorsqu’il fait vraiment chaud. Les appels que je passe à la maison toutes les trente minutes me permettent de me reposer et de ne pas m’épuiser. La balade touche à sa fin, je vais bientôt atteindre la rivière où je compte me ressourcer en baignant mes pieds dans l’eau fraîche. Mais j’entends des rires et des bruits d’éclaboussures et mes projets s’envolent. C’est un terrain privé, pourtant les touristes s’approprient les lieux. Timide comme je suis, je ne risque pas de leur faire la chasse. Mais, en m’approchant, je découvre que ce sont deux filles qui s’ébattent joyeusement dans l’eau. En me rapprochant encore, je reconnais avec étonnement ma soeur et sa copine qui s’amusent à se couler tour à tour. Je les maudis car je ne pourrai pas profiter de la fraîcheur de l’eau et je ne me sens pas capable de les rejoindre. Je perdrais tous mes moyens si Emilie m’adressait la parole. Je les observe et je trouve qu’elles sont très bien foutues. Si j’avais pris mon appareil, j’aurais mitraillé Emilie pour compléter ma collection. Je ressens soudain une envie pressante et je m’éloigne de quelques mètres pour me soulager contre un arbre. Lorsque je reviens, les deux amies sont sorties de l’eau et se sont assises au bord de la rivière, sur des serviettes. Emilie retire alors le haut de son maillot et s’allonge pour une séance de bronzage. Là où je suis, je me régale du spectacle. Ses seins sont assez volumineux, mais semblent fermes. Elle ne doit pas en être à sa première séance de bronzage car sa poitrine est de la même couleur que le reste de sa peau. Ma soeur ne semble pas être aussi impudique que son amie et ne se déshabille pas. Elle reste assise, les jambes pliées, la tête posée sur les genoux. Bien que cette paire de seins soit un régal pour les yeux, je ne peux m’empêcher de m’ennuyer au bout d’une dizaine de minutes d’inactivité totale. Mes jambes s’engourdissent et je peine à trouver une position agréable. Je vois qu’Audrey s’ennuie également et je la vois qui s’adresse à Emilie. Celle-ci ouvre les yeux, se redresse et elles engagent la conversation. Je me sens complètement bloqué, la seule solution pour rentrer chez moi étant de traverser la rivière. Ou alors de rebrousser chemin, mais je n’ai pas envie de refaire soixante kilomètres. Je décide alors de m’approcher pour les écouter. Peut-être que je vais trouver leur discussion intéressante et qu’elle me fera passer le temps. Silencieusement, je m’approche jusqu’à une quinzaine de mètres, tout en restant caché. Je m’accroupis derrière un buisson et je les écoute.



Et sous mes yeux ahuris, je vois Emilie poser la paume de sa main entre les cuisses de ma soeur qui n’a aucune réaction sauf de pousser un petit cri de surprise. Emilie frotte sa main sur le maillot d’Audrey qui la regarde faire avec des grands yeux ronds.



Ma soeur ne répond pas. Déjà sa respiration se fait plus haletante, ses yeux se ferment, elle rejette la tête en arrière et, sous les doigts inquisiteurs d’Emilie, écarte un peu plus les cuisses. Son majeur se glisse sous le tissu du maillot de bain et j’entends ma soeur gémir. Je devine ce qu’elle lui fait, mais je voudrais profiter du spectacle. Ma soeur s’allonge complètement et relève les fesses, permettant à Emilie de lui enlever sa culotte. Je suis placé juste en face et pour la première fois je peux admirer une vraie chatte. Celle de ma soeur. Elle est très poilue, mais le triangle est régulier et bien délimité, signe d’un entretien régulier. Je bande comme jamais. Ma bite me fait mal tant elle est raide. Mais je n’ose pas la sortir pour me satisfaire, de peur de me faire repérer. Emilie s’est déplacée et domine maintenant Audrey. Une main toujours sur sa chatte, elle l’embrasse partout sur le visage et dans le cou. Son index caresse ses lèvres, passe sur toute la longueur de son sexe. Soudain, elle lui écarte les lèvres et plonge son doigt à l’intérieur. Elle l’enfonce entièrement, arrachant un cri à Audrey. Le doigt se retire puis reprend son exploration, mais plus lentement. Ma soeur semble aimer ça, car elle bouge les hanches afin de le faire pénétrer plus vite. Mais Emilie stoppe ses caresses et s’agenouille. Elle relève ma soeur afin de lui enlever la dernière parcelle de tissu. Celle-ci retirée, je peux enfin admirer les seins de ma soeur. Moins gros que son amie et plus blancs, ils ont l’air doux et fermes. Les tétons pointent déjà et attendent qu’une bouche vienne s’occuper d’eux. Tendrement mais fermement, Emilie repousse Audrey, l’obligeant à se coucher. Puis, elle enlève sa culotte et se penche en avant, sa tête commençant alors à remonter le long des jambes de ma soeur. J’ai alors une vue inoubliable et exceptionnelle sur l’intimité d’Emilie. Comme elle est sur les genoux, les jambes écartées, sa croupe est tendue vers moi comme une invitation. Je peux ainsi me régaler du spectacle de sa chatte bien dessinée et de son cul. Celui-ci est légèrement écarté et j’arrive à voir sa rondelle rose. Hmmmm, qu’on doit être bien serré dans ce trou ! Malgré moi, je frotte ma queue par-dessus mon short. Emilie est en train de dévorer la chatte de ma soeur. Elle donne des grand coups de langue sur toute la longueur de son sexe, puis cherche le clitoris, le trouve et l’attrape entre ses lèvres. Elle l’aspire et le suce. Ma soeur gémit, crie, tout son corps tremble, ses bras sont tendus, ses mains agrippent la serviette. Ses jambes sont maintenant en l’air, largement écartées. Concentrée sur le plaisir qu’elle donne à Audrey, Emilie ne s’oublie pas pour autant et, de mon point d’observation, je distingue nettement sa main droite s’agiter sur sa chatte. Puis deux doigts y pénètrent, allant et venant avec rapidité. Je n’en peux plus, tous ces bruits, ces images, ces corps superbes me mettent au supplice. Je m’apprête à baisser mon short pour participer à ma manière, lorsqu’une vibration se fait sentir au niveau de ma hanche. C’est mon portable qui vibre. Ma mère ! Je l’ai complètement oubliée. Je m’éloigne rapidement avant de décrocher pour ne pas me faire repérer.



Elle dit cette dernière phrase d’un ton qui n’admet aucune autre réponse que l’obéissance. Je raccroche et retourne sur les lieux de mon observation, mais ce que je craignais s’est produit. Elles ont quitté la place. Déçu, je descends avec mon vélo dans l’eau et m’assoit à leur place. Ça sent la femme, le plaisir, le sexe. Toutes ces odeurs me redonnent ma vigueur et je ferme les yeux. Je les revois. Je me déshabille, saisis ma queue tendue dans ma main et je me branle. Il ne me faut pas plus de cinq ou six allers et retours pour éjaculer et répandre ma semence sur le sol meuble de la forêt.

Je me relève et rentre tranquillement chez moi, d’un pas léger, la tête pleine d’images. Je marche lentement pour ne pas rattraper les filles. Finalement, l’été ne sera peut-être pas si ennuyeux que ça. Mais, désormais, ce ne seront plus de simples randonnées que je vais faire, je vais partir sur le chemin de l’observation. Et je serai équipé. Dès demain.