n° 09332 | Fiche technique | 20371 caractères | 20371Temps de lecture estimé : 12 mn | 25/06/05 |
Résumé: Après son divorce, ma cousine était dépressive, la famille s'est mobilisée, moi en premier | ||||
Critères: fh cousins gros(ses) grosseins groscul intermast | ||||
Auteur : Umberto1 |
Ma cousine Christiane a toujours été opulente mais il faut bien reconnaître que ses 3 grossesses n’ont rien arrangé. Ceci, plus un goût immodéré pour la bonne chair, tout ça n’a pas contribué à stopper son embonpoint. À l’époque où commence cette histoire, elle devait peser au bas mot 120 kilos, avec un cul énorme et des seins particulièrement volumineux.
Enceinte à 16 ans, mariée à 17, divorcée à 44, elle avait désormais 47 ans et vivait chichement dans un petit studio de la banlieue lyonnaise. Outre le fait qu’elle faisait des ménages, ce qui ne doit pas être bien passionnant, sa vie était également tristounette parce qu’elle ne revoyait que très rarement ses enfants et que cela la faisait souffrir. Aujourd’hui tous trois majeurs, ils la tiennent pour responsable du divorce et ils ont décidé de prendre systématiquement le parti pris de leur cultivateur de père.
Serait-ce pour cette raison, mais deux ans auparavant, elle avait fait une dépression qui s’était conclue par une tentative de suicide. Cela a eu au moins pour avantage de faire réagir la famille. Avant cet appel au secours, Christiane c’était un peu le mouton noir. Déjà parce qu’elle avait fait les 400 coups dans sa jeunesse, mais surtout parce que l’homme qu’elle s’était choisie était particulièrement détestable. Méprisant, violent, haineux, il avait interdit à Christiane de revoir ses proches, certains disent même qu’il avait l’habitude de la tabasser (quoique, de son côté, elle ait toujours affirmé le contraire). J’ai beaucoup de mal à comprendre comment elle a pu rester 28 ans avec ce type : Il était moche, il était con, égoïste et radin, il n’avait vraiment rien pour lui. Le fait qu’elle l’ait connu très jeune y est peut-être pour quelque chose.
Toujours est-il que, désormais, nous l’invitions systématiquement à nos repas et essayions de la soutenir du mieux que nous pouvions, si besoin est financièrement, car la pauvre avait en plus des dettes, contractées par son salopard de mari.
Il se trouve que j’habitais pour ma part à une quinzaine de kilomètres de chez elle, ce qui me permettait de lui rendre assez souvent visite, lorsque mes contraintes professionnelles me le permettaient. J’étais moi aussi divorcé, je vivais seul, même si, de temps à autres, je m’entichais volontiers d’une gourgandine.
----
Ce soir-là, je sors de bonne heure du boulot. Je me dis « Tiens, cela fait longtemps que je ne suis pas allé voir Christiane ». Et comme je n’ai aucun rendez-vous galant, autant en profiter ! Je m’arrête chez le confiseur, j’achète une boîte d’excellents chocolats, je sais qu’elle préfère ça aux fleurs.
Je sonne à sa porte, et ma cousine est toute heureuse de me voir.
Néanmoins, je remarque aussi que ses yeux sont rougis et qu’elle a dû pleurer. Elle ne va pas trop, trop bien la cousine.
Je m’assois sur la banquette, j’accepte un apéro. Elle veut absolument me garder à dîner. Je n’ai pas trop envie mais son désarroi me touche et je me sens un peu obligé.
La soirée se passe à discuter de tout et de rien. J’ai du mal à lui faire dire ce qui ne va pas, je n’insiste pas trop. Je suppose que c’est en relation avec ses enfants. Nous mangeons un délicieux ragoût. Comme toutes les femmes gourmandes, c’est une excellente cuisinière.
Puis vient le moment du café, côte à côte sur la banquette. Je me décide enfin à mettre les pieds dans le plat car notre amie n’a vraiment pas l’air très gaie :
(Silence gêné, elle baisse les yeux, alors je continue).
(Je vois une larme couler sur sa joue, elle semble désemparée, elle est touchante. Je me dis que je devrais peut-être la prendre dans mes bras, la dorloter, la consoler, mais j’ai du mal à exprimer toute cette chaleur, je garde mes distances. Je m’en veux un peu d’être si froid.)
…
Un torrent de larmes jaillit de ses deux yeux. Devant son désarroi, je lui prends la main, c’est le moins que je puisse faire :
Les larmes n’en finissent pas de couler. Elle essaie de se moucher mais les sanglots redoublent de plus belle. Elle se prend la tête à deux mains, elle est vraiment très malheureuse.
Je comprends à demi mots ce qu’elle veut dire par « être seul », c’est la solitude du célibataire qui retrouve sa maison vide le soir. Parfois c’est vraiment génial, mais d’autres fois c’est beaucoup moins bien. Mais pourquoi est-ce qu’elle ne se prend pas un mec ? Un mec à temps partiel, un copain, un coquin.
Mais cette évocation lui arrache de nouvelles larmes.
Je lui serre la main pour lui faire voir que j’existe, que je suis de tout cœur avec elle. Elle ne semble pas vraiment convaincue par ce que je viens de dire.
Je la prends par l’épaule, je l’attire contre moi, je la serre dans mes bras. « Deux fois en 4 ans, effectivement ce n’est pas beaucoup, la pauvre ». Je me dis que la prochaine fois que j’irai en boîte, je lui proposerai de m’accompagner.
Elle sanglote contre moi, vraiment très malheureuse. J’abandonne l’idée de passer voir un copain en fin de soirée. Tant pis, ce sera pour une autre fois, je vais rester un peu avec elle jusqu’à ce qu’elle soit moins désemparée. Quelle heure est-il ? Dix heures passé, elle me propose de refaire un café.
Alors que je feuillette une revue, toujours installé sur la banquette, je l’entends dire :
Je me tourne vers elle, médusé.
La conversation prenait une bien étrange tournure. Aussi, répondis-je, pour faire diversion :
Elle était venue me rejoindre avec les cafés et s’était rassise tout à côté de moi. Cette proximité, plus tout ce qu’elle était en train de raconter, je me sentais mal à l’aise. Il est possible que je lui aie effectivement tripoté ses gros lolos. À cette époque, j’étais passablement obsédé par les nichons des filles et il m’arrivait d’essayer de les toucher. Par contre, de mémoire d’homme, jamais de la vie je n’avais fantasmé sur Christiane. Non pas que je sois offusqué par l’idée d’une aventure avec une cousine, mais Christiane, non, même plus jeune, même plus mince.
Et maintenant elle était tout près de moi, menaçante. Qu’était-elle en train de me dire ? Pourquoi me racontait-elle tout ça ? L’idée de coucher avec elle me paraissait-elle totalement incongrue ? En fait pas tant que ça. « Mais quand même c’est ma cousine ! »
Je m’aperçus soudain que son décolleté était maintenant plus plongeant. Il n’était pas comme ça à mon arrivée, j’en étais certain. Cousine ou pas cousine, je l’aurais remarqué, inévitablement. Désormais le débardeur semblait plus échancré et la gorge beaucoup plus profonde. Complètement déstabilisé, j’évitai de perdre mon regard entre les deux mamelles. Elle ne pouvait que l’avoir fait exprès, elle avait dû se réajuster en préparant le café. On voyait même les bretelles de son soutien-gorge. Hum, la vilaine petite aguicheuse, elle était en chasse, elle n’hésitait plus à s’exhiber, à dévoiler ses gros lolos.
De mon côté j’étais toujours dans la perspective d’essayer de sortir de ce mauvais pas, en essayant toutefois de ne pas trop la contrarier. En tout cas c’est ce que je me disais cependant j’étais fort troublé, il y avait du monde au balcon.
Je lui avais parlé moult fois de mes aventures féminines, comme à une bonne copine, comme à une confidente, je lui avais dit que j’allais de temps en temps en boîte pour draguer, que je préférais les femmes mûres aux minettes, qu’il m’arrivait parfois d’en ramener une à la maison.
La bonne excuse !
Quelque part, je savais tout cela, sans vouloir me l’avouer. À chacune de mes visites, elle était très gentille avec moi, trop gentille avec moi. On sent ces choses là. Mais maintenant c’était dit, de façon claire et précise, le couperet était tombé.
Son visage s’éclaircit, elle était vraiment belle lorsqu’elle était heureuse. Je posai sagement une main sur sa cuisse. Sagement, c’est à dire « Oui mais pour l’instant on reste sages ». Je savais qu’elle, de son côté, était en train de tomber peu à peu amoureuse de moi, qu’il ne s’agissait pas simplement d’une envie sexuelle. Moi, de mon côté, j’aimais beaucoup ma cousine mais… Et puis je n’étais pas décidé à m’attacher à qui que ce soit.
Mais pour moi, impossible d’être sage, je savais bien qu’en acceptant de rester avec elle, j’allais avoir envie d’aller plus loin. Déjà, son décolleté me donnait le vertige et ma main remontait déjà légèrement le long de sa cuisse.
Mon autre main se posa entre ses seins, glissa rapidement sous le tissu. Son sein était chaud et moite. Je cherchai un instant le téton pour le titiller avec les doigts : Sensation agréable. Mon autre main avait atteint le haut de ses cuisses.
Puis je me suis penché vers elle et nous nous sommes embrassés. Moment intense de passion réciproque. Nos langues se sont enlacées tandis que je pétrissais ses chaudes mamelles.
Elle se dégagea juste, au bout d’un long moment, pour reprendre son souffle :
Nous nous sommes à nouveau roulé une pelle, encore plus frénétique, encore plus passionnée. Délaissant ses seins, j’ai hasardé une main entre ses cuisses. Sa culotte était toute détrempée. Je l’écartai prestement, glissai dans sa toison et m’enfonçai tout d’un coup dans son antre. C’était les grandes eaux. Elle était tellement excitée que je crois bien que la simple pénétration de mes doigts l’a faite jouir une première fois.
Je bandais comme un fou tout en la bécotant et en la masturbant. J’avais trouvé un clito énorme, dur comme une petite bite. Il ne demandait qu’à être titillé. Elle jouit ainsi à nouveau.
----
Je suis comme un fou, nos langues s’emmêlent, je palpe avidement ses seins énormes que je ne tarde pas à sortir de leur prison avant de les téter. Et puis ce ventre énorme de femme enceinte. Et puis ce cul gigantesque.
Je la bascule sur le canapé. Je suis fou, je suis fou d’elle, son corps est une merveille.
Et maintenant voici que je plonge entre ses cuisses, que je hume ses odeurs fortes de femelle. Humm quel fumet, qu’est-ce qu’elle sent bon ma cousine. Je lèche son jus, j’aspire son abricot poilu, j’avale toute la mouille de sa grotte.
Je réfléchis un instant, je suis confus.
C’est ainsi que je l’ai mise enceinte. Elle ne prenait pas la pilule, et pour cause. Et, comme ses règles n’étaient pas très régulières, les premiers mois elle ne s’est pas inquiétée.
Un jour, elle me téléphone :
J’étais un peu abasourdi. C’était vraiment pas de bol, nous n’avions fait l’amour sans préservatif que cette nuit-là. Toutes les autres fois je portais des capotes. Je passais la voir environ une fois par semaine et nous passions la nuit ensemble. Ces visites ne s’étaient ni rapprochées, ni espacées, mais elles étaient désormais très intenses.
Sinon, je continuais à vivre ma vie de vieux célibataire, ce qui veut dire que j’avais d’autres aventures avec d’autres femmes.
Christiane était jalouse, elle faisait tout pour le cacher mais ça se sentait, elle le vivait mal. Nous nous téléphonions tous les jours, en général le soir mais quand je lui disais « Je t’appelle plus tôt car ce soir ce ne sera pas possible », elle se doutait bien qu’il ne s’agissait pas d’enfiler des perles. S’en suivaient dix mille questions où elle tournait autour du pot. Pourtant nous avions convenu de cela dès le départ. Simplement, elle avait présumé de ses forces et ça la rendait malheureuse.
Et maintenant elle était en cloque et il ne restait que quelques jours pour avorter, ce qu’elle a tout de suite proposé.
C’était bien moi qui venais de dire cette phrase en ayant l’impression de faire une grosse bêtise. D’ailleurs elle répondit :
----
Finalement elle refusa cette perspective et nous avons gardé nos deux appartements. Elle préférait ne pas introduire de nouveau scandale dans la famille, elle avait trop souffert de cette mise à l’écart durant toutes ces longues années.
Elle a accouché en début d’année d’une belle petite fille qui est le portrait craché de sa maman. Je me suis empressé de la reconnaître, et nous l’élevons, tantôt chez elle, tantôt chez moi, en fonction de nos disponibilités.
Question cul, je me suis assagi. J’ai encore quelques aventures mais elles se sont considérablement espacées et puis j’ai bien fait comprendre à Christiane qu’il ne s’agissait que d’histoires sans lendemain, qui ne prêtent pas à conséquence. Presque une vie maritale désormais mais, après tout, pourquoi pas. Christiane est parfaite au lit, chaude, pleine d’entrain, pleine d’envie, ne refusant jamais les expériences nouvelles (sodo, uro, exhib, fist…). Que demander de mieux ?