n° 09336 | Fiche technique | 14172 caractères | 14172Temps de lecture estimé : 9 mn | 27/06/05 |
Résumé: François est mon stagiaire depuis quelques mois. Voici le récit de la relation que j'ai entretenue avec lui. | ||||
Critères: hh jeunes collègues volupté voir intermast fellation | ||||
Auteur : David Swim |
François est mon stagiaire depuis cinq mois. Non seulement il est efficace dans son travail, mais il est très mignon. 22 ans, brun, 1m75 environ, mince, des yeux bleu foncé, plutôt timide au premier abord, mais vraiment sympathique. Il a fait la même école que moi, et bien que huit années nous séparent, je me suis vraiment retrouvé en lui.
Depuis le début, j’avoue que je me comporte plus comme un « grand » frère que comme un maître de stage. D’un simple rapport purement professionnel, nous sommes presque devenus des amis, et cela en seulement quelques mois.
Ce jour-là, nous revenions d’un salon professionnel Portes de Versailles. Habitant à une station de métro du lieu de l’exposition, c’est assez naturellement que j’ai décidé de passer chez moi déposer les sacs et autres documentations collectées.
François pique un fard. Ma dernière réflexion semble l’affecter…
Belle façon de retourner le compliment et de détourner la conversation.
Silence. François prend alors son courage à deux mains et me déclare :
Je suis surpris de cette révélation…
Je le coupe net… Décidemment, je le trouve trop sincère, trop attendrissant. Et puis il est si mignon dans son petit polo saillant, son jean…
Nouveau coup de théâtre. François me dévisage, ébahi, comme si j’étais une apparition.
François est « soulagé », je l’ai comme… libéré…
Je ne peux plus me retenir. Je m’approche de lui, je pose mes bras sur ses épaules, je le regarde dans ses yeux si bleus, si pleins de candeur, si attirants.
Mignon… je n’ai rien trouvé de plus original à lui dire… Peu importe…
Et je le prends dans mes bras.
Bon sang, il est là, contre moi, depuis cinq mois qu’il accapare mes pensées, il vient de m’avouer que je lui plaisais, la réciproque est vraie… Et nous nous entrelaçons comme des frères, et bientôt, comme des amants.
L’excitation me gagne aussitôt et je sens bien que François est sans aucun doute aussi chaud que moi.
Il enlève son polo et découvre son torse.
Je suis aux anges. Je le vois ENFIN torse nu. Il est craquant, une fine ligne de poils bruns courts de son nombril vers… ce que je vais bientôt découvrir.
Il est presque imberbe, quelques poils sur le plexus et de fins petits tétons, très petits mais qui semblent fermes. C’est délicieux.
Il n’est pas musclé… comme j’aime… comme il faut.
J’enlève à mon tour ma chemise. Je vois qu’il me déshabille du regard. Puis il en vient aux mains, il m’aide frénétiquement et arrache pratiquement cette satanée chemise. Ses mains parcourent mon torse, mon ventre, puis il revient sur mon torse, s’attarde sur mes tétons, bien plus larges que les siens. Il les effleure, découvrant leur circonférence du bout des doigts.
Nous n’échangeons plus aucune parole, juste des soupirs.
Je bande comme c’est pas possible.
François enlève son pantalon, chaussures, chaussettes, tout en quelques secondes, enfin il ôte son caleçon et laisse découvrir une très belle queue fine et ultra raide.
Putain ! sa bite semble plus longue que la mienne… Il cachait bien son jeu… Une fine touffe de poil décore son pubis, il doit se raser, en tous cas, c’est bien fait. Ça rappelle ses cheveux très bruns. Par contre, il a peu de poils sur les couilles.
Tant mieux, je préfère… C’est d’autant plus excitant qu’elles sont bien pendantes et qu’elles ballottent à chacun de ses mouvements.
Je ne peux m’empêcher de commenter.
Et j’esquisse un sourire.
Je le sens impatient, ses mains se dirigent vers ma ceinture, il m’aide, enfin, il m’incite à retirer mon pantalon pour se précipiter vers mon slip qui me fait mal. Ma bite est tellement raide qu’elle semble crier pour qu’on la libère de cette prison trop étroite.
Enfin, il se met à hauteur de mon slip, et abaisse le tout avec violence. Ma queue se détend aussi sec et semble quasiment lui sauter au visage. C’est presque comique à voir.
Je sais qu’il dit cela pour m’exciter encore plus… Mais bien que je bande à mort, ma queue est toujours moins longue que la sienne… Hummm. À mon avis, sa bite doit mesurer vingt centimètres… Elle est trop belle. Il est trop mignon…
François saisit ma bite, il soupèse mes couilles, semblant estimer leur contenance…
"T’en fais pas, elles sont bien pleines," je me dis…
Et aussitôt, il me suce.
Mon dieu que c’est bon… Il suce vraiment bien. Sa langue fait des tours habiles autour de mon gland, il me branle en même temps avec une main et joue avec mes couilles avec l’autre….
Il me teste. Il veut voir combien de temps je peux me contrôler… Ses mouvements de va-et-vient incessants animent tout mon être. Et voir son corps, si beau, devant moi, exalte tous mes sens.
Il me comprime les testicules, joue avec, sans jamais me faire mal, mais je sens qu’il y a comme un défi… Est-ce que je vais pouvoir me retenir ?
Il commence à me pomper la queue en la fourrant à fond dans sa bouche.
Putain, il m’excite trop, il va finir par me faire jouir…
Ouf, heureusement, encore quelques secondes et j’étais sur le point de non-retour…
Je ne sais pas trop quoi répondre, mais ça semble le satisfaire. En tous les cas, il est gourmand. Il y a plein de mouille qui commence à sortir du bout de mon gland gonflé à bloc… Je l’incite alors à se relever.
Je le caresse. Son torse est doux et je vois que tout son être réagit à mes caresses. Sa pine est raide et je perçois un sursaut, comme si chacune de mes caresses le faisait bander encore plus fort. Je titille et touche ses petits seins, juste le bout de ses tétons. Je le sens presque faillir à mes effleurements.
Génial, il est comme moi, il adore ça !
Je me place alors derrière lui et mes bras caressent tout son corps, ses pectoraux, son cou, sa nuque, je l’embrasse. Il souffle, soupire, gémit… Il me guide avec ses mains, pour que je m’approche de son sexe si dur qui quémande mes caresses.
Il veut que je le masturbe.
Je m’exécute… Il gémit aussitôt de plaisir.
Bordel ! J’ai sa queue en main et la sensation est magnifique. On peut dire qu’elle est dure. C’est vrai qu’elle est moins épaisse que la mienne, mais on l’a bien en main. Je commence à la branler tout en continuant à le caresser.
Je change de position et me mets en face de sa bite.
On va voir s’il sait aussi bien se contrôler…
Je commence à le sucer. Sa pine à un goût agréable, il m’excite trop. Je suce son gland que je sens prêt à exploser à chaque coup de langue… Il a vraiment une belle paire de burnes, bien viriles, je les masse, les fais rouler et j’en aspire une dans la bouche. Ça déclenche chez lui un petit cri de jouissance.
Hummm ! Un point sensible chez lui. Je continue… À mon avis, il ne va pas tenir longtemps…
Aussitôt François me caresse plus énergiquement les cheveux, pour me manifester sa jouissance. Je n’attends pas longtemps.
Il me prévient.
J’ai juste le temps de m’écarter légèrement pour admirer son éjaculation : six à sept jets de sperme ! Bien épais, très blanc et gélatineux…. C’est un délice de le voir jouir… Je n’arrête pas de le caresser, ma main maintient sa verge et ses couilles qui semblent littéralement se vider à chacun de mes mouvements.
Il y en a partout ! Sa semence a giclé avec violence sur son torse et commence à dégouliner le long de sa queue que je continue toujours d’astiquer. Son corps vibre de spasmes irréguliers, il me regarde, la bouche ouverte, profitant pleinement de son orgasme.
Il se remet.
Et déjà je sens qu’il va me faire jouir comme jamais.
Il ne prend pas le temps de s’essuyer. Déjà, il est sur ma bite. Il saisit fermement mes couilles de sa main gauche et commence à me branler avec des mouvement amples avec la main droite. Je devine ses pensées : il veut voir si je jute aussi bien !
J’étais déjà à l’apogée de mon excitation, mais je n’en peux plus. Qui pourrait se retenir plus longtemps devant un jeune mec si bandant ?
Je me caresse au niveau des tétons, je descends jusqu’à ma prostate : je vais exploser.
Je sens une violente décharge qui me traverse, je contracte tous mes muscles et François perçoit ma jouissance. Il relâche un peu mes couilles juste à cet instant, et me masse avec un doigt juste à la base de mes burnes. Je n’en peux plus : j’éjacule !
Mon foutre jaillit littéralement de ma bite et va atterrir au niveau de mon épaule. François semble étonné par une telle décharge de sperme, mais les giclées suivantes sont tout aussi puissantes. Mon sperme est moins épais que le sien, plus transparent, mais je jute beaucoup plus fort. L’orgasme est à son comble et les massages de François le prolongent, cela en devient presque douloureux. Mes couilles sont dures comme des noix et François prend un malin plaisir à me voir jouir si abondamment.
Je suis essoufflé, comme si j’avais couru un cent mètres à fond la caisse. J’ai du sperme sur tout le torse et François l’étale tout en continuant à me caresser.
C’est un moment de pure extase.
François et moi, sommes maintenant côte à côte. Nous nous remettons à peine de notre jouissance.
Inutile de vous dire que nous ne sommes pas retournés au bureau ensuite. Malgré l’intensité de nos orgasmes, nous avons remis cela. J’ai pu le sucer abondamment et explorer son corps avec ma langue, jouer avec ses petits tétons fermes et le voir à nouveau éjaculer presque autant que la fois précédente. Je me suis également surpris lors de mon deuxième orgasme, car je ne pensais pas pouvoir venir aussi rapidement et avec autant de « punch ». Mais il faut dire que François ferait bander n’importe quel mec sensible à la beauté masculine.
Depuis ce jour mémorable, nos relations sont différentes. Au travail, j’essaie de garder mes distances, tout comme lui d’ailleurs.
Après le travail, c’est difficile. Si ça ne tenait qu’à moi, je voudrais être tous les soirs avec lui, mais je pense que nous voulons chacun garder notre indépendance et notre complicité. Aussi, nous sortons parfois pour prendre un verre ou faire un ciné, mais gardons des relations que je pourrais qualifier de « fraternelles ». Je ne vous cacherai pas que nous avons eu d’autres moments tout aussi torrides et intenses, mais pas à chacune de nos rencontres.
Dans moins d’un mois, François va partir faire un stage à l’étranger : à New York. J’avoue que j’appréhende son départ mais pour le moment, je profite de sa présence !