n° 09337 | Fiche technique | 21346 caractères | 21346Temps de lecture estimé : 13 mn | 27/06/05 |
Résumé: Femme de ménage durant l'été, je rencontre un partenaire purement sexuel qui me conduit au nirvana. | ||||
Critères: fh travail exhib cunnilingu anulingus pénétratio fsodo ecriv_f | ||||
Auteur : Solène |
J’ai 24 ans, je suis étudiante à Strasbourg. Cet été, pour me faire un peu d’argent de poche, j’ai travaillé dans une société de nettoyage. Ce n’est pas la première fois, puisque cela fait 5 ans que je fais des remplacements dans cette même entreprise. Le travail n’est pas particulièrement palpitant, mais, quand on ne le fait qu’épisodiquement, ce n’est pas non plus trop désagréable. Disons que ça change les idées, que cela fait voir d’autres milieux et surtout que cela amène quelques pépettes qui permettent par la suite de faire la fête.
En août, je me suis retrouvée affectée, avec une certaine Géraldine, dans une petite PME à deux pas du centre-ville. Pour moi, géographiquement idéal, à deux pas de chez mes parents, c’est dans ces conditions que je parviens à économiser le plus d’argent. Géraldine n’est pas désagréable, bien qu’elle soit radicalement différente de moi. Elle a une grande gueule, un franc-parler. Elle parle fort, elle rit fort, elle parle de cul, elle drague les mecs ouvertement. En ce qui me concerne, je suis tout le contraire, effacée, discrète, prude et timide. Attention, je ne suis pas non plus une « vierge effarouchée ». Seule, en tête-à-tête avec un homme, je deviens nettement plus volubile, mais en public je m’abstiens de trop parler et de me faire remarquer…
Et nous voilà donc tous les soirs en train de faire le ménage dans ces petits bureaux qui hébergent une trentaine d’employés. Et ma Géraldine, avec sa gouaille, qui essaie insidieusement de faire du charme aux cadres. Un jour, elle me confie que quelques-uns de ces beaux mâles sont « rentrés dans sa culotte », elle ne mâche pas ses mots Géraldine. Elle ajoute « Les autres n’ont pas voulu, ils sont mariés et connement fidèles ». Géraldine n’a pourtant rien d’un top-modèle, elle n’est même pas habillée sexy. Sans vouloir me vanter, je suis nettement mieux qu’elle et beaucoup plus jeune en plus. Pourtant, c’est vrai, les hommes sont fascinés par cette Marie Sans-Gêne, ils aiment ce genre de personnage à la limite du vulgaire.
La semaine suivante, je surprends ses ébats avec un cadre de l’entreprise dans la pièce de la photocopieuse. Et deux jours plus tard, je la retrouve en train d’en sucer un autre, à peu près au même endroit. Evidemment, je ne me fais pas remarquer, je reste très discrète à ce sujet. Je ne regarde même pas, cela ne me concerne pas. Je tourne les talons et m’en vais voir ailleurs. Mais heureusement que la chef ne passe pas ces soirs-là. Si elle découvrait ça, ce serait direct la porte.
L’envie d’un homme me trotte un peu dans la tête parce que, études obligent, pour moi, cela fait presque six mois que je n’ai rien fait. Mais rien de rien, pas même une petite caresse. Si ça continue, à 24 ans je vais finir vieille fille. Mais, d’un autre côté, je ne suis pas non plus une Marie couche-toi là et je ne suis pas prête à sauter sur tout ce qui bouge.
Une autre fois, Géraldine me raconte qu’il n’y a guère qu’un célibataire qu’elle n’a pas réussi « à se faire », parce qu’à son avis il doit être encore puceau. Elle me semble quand même un peu vantarde. Il n’y a que des hommes dans ces bureaux et, si j’en crois à leurs alliances (ou plutôt à leurs absences d’alliance), ils sont loin d’être tous mariés.
Je tourne les talons, vexée, en haussant les épaules. Mais de quoi elle se mêle celle-là, elle n’est pas chargée de gérer mon devenir sexuel. Pourtant, c’est vrai qu’après avoir entraperçu le gars en question, cela commence à me trotter sérieusement dans la tête. Il a l’air lui aussi plutôt timide, discret, coincé, réservé et paraît surtout très choqué par la grossièreté de ma collègue. Et lorsqu’elle s’approche un peu trop près, près de la machine à café, lui au contraire s’éloigne d’elle. Et puis, c’est vrai qu’il a une belle petite frimousse. La salope, elle m’a mis l’eau à la bouche et je commence à en rêver. Le soir même, je me caresse dans mon lit en m’imaginant nue sur son bureau, entièrement soumise à son bon vouloir.
Je décide d’aller le voir, d’essayer de faire connaissance. À partir de ce jour-là, je m’arrête un peu tous les soirs dans son bureau et nous discutons tous les deux de choses et d’autres. Nous avons même des points communs, puisqu’il a fait un peu les mêmes études que moi, mais dix ans auparavant. Je commence à m’attacher à lui, grave ! Géraldine me charrie :
Maintenant, je me caresse presque tous les soirs en pensant à lui, ça devient une obsession. Un soir que Géraldine est encore en vadrouille, je ne sais où, ni avec qui, peut-être le gardien de l’immeuble qui lui a tapé dans l’œil, je me décide à tenter le tout pour le tout. Je m’arrange pour entrer dans son bureau à moitié débraillée, les boutons de la blouse entrouverts pour qu’il puisse apercevoir mon mini string et mes balconnets. J’ai choisi les sous-vêtements les plus sexy et les plus aguicheurs.
Je tourne tout autour de lui, il se rince l’œil copieusement. Pendant ces dix minutes, il n’en perd pas une miette. Certains de ses collègues sont encore là, je dois ressortir pour que ce ne soit pas trop louche. Je me rajuste près de la photocopieuse. N’empêche que le résultat est décevant. Il n’en sort rien, ni commentaire, ni invitation, il s’est juste rincé l’œil et m’a déjà oubliée. J’enrage.
Quelques jours plus tard, je m’aperçois qu’il n’y a plus que lui dans les bureaux, c’est tellement rare qu’il parte le dernier qu’il faut profiter de l’occasion. Je suis prête à jouer le tout pour le tout d’autant plus que nous sommes seuls dans les bureaux, Géraldine étant encore partie retrouver son gardien d’immeuble. L’occasion risque de ne pas se reproduire de si tôt.
Je repasse dans les vestiaires et je me mets cette fois entièrement nue sous ma blouse, ne fermant cette fois qu’un bouton sur trois. S’il ne comprend pas, c’est vraiment qu’il est bouché ! Je traverse les bureaux, je me sens complètement nue. Lui est toujours installé à sa table et pianote sur son ordinateur. Il est tellement occupé qu’il me remarque à peine quand j’entre dans son antre. Mais quand je me penche pour vider la poubelle, il a une vue plongeante sur mes seins libérés. Ah quand même, quand je tourne la tête vers lui, je vois qu’il est écarlate. Tout d’un coup, il a arrêté de travailler et me regarde évoluer. Je fais mine de rien, mais, en bonne salope je continue de lui donner du spectacle :
Il bredouille quelque chose, il n’arrive même plus à parler.
Je suis tout contre lui. Je me penche en avant ce qui a pour effet de faire bâiller largement la blouse, lui donnant une jolie vue sur les courbes de mon corps.
Va-t-il glisser sa main ? Va-t-il me caresser ? Vite, j’ai envie qu’il me baise. Vite Pascal. Je sens ses mains qui emprisonnent mes seins, qui les pétrissent, qui les malaxent. À ce moment là, je n’ai pas besoin de tendresse, j’ai besoin d’un homme qui me retourne, qui me prenne. J’ai le sexe en feu, je suis hors de moi, il me bascule sur le bureau, il arrache les derniers boutons. Son vit est déjà là, il glisse en moi. Je sens ce gros morceau de chair me remplir entièrement. Il est gros et brûlant, il me pilonne sans précaution et avec force.
Assez vulgaire dans ses propos, lorsqu’il fait l’amour. Mais, après tout, vu ce qu’on est en train de faire, ça s’y prête assez. Tous les noms d’oiseau y passent, je suis une « pute », une « nympho », une « obsédée », une « vicelarde ». Je jouis une fois, deux fois, je n’arrête plus de jouir. À un moment, il me retourne et je sens un doigt mouillé rentrer dans mon petit trou. Je dis :
Ce qui ne l’empêche pas de présenter son gland contre ma rosette. Je le retire avec ma main :
Visiblement déçu, il replonge dans mon sexe et me pilonne par derrière comme un sauvage en ahanant. Dans la bagarre, tout ce qui est sur le bureau gicle par terre. Ça fait un bruit d’enfer. Il me traite de « Pouffiasse ». Je jouis à nouveau, je n’ai jamais joui si fort… Et une fois encore, quand je le sens se vider en moi par saccades.
Il se retire et me présente son sexe humide devant le visage. Elle est énorme, il veut que je lui nettoie. C’est avec plaisir que j’accède à sa demande, elle est appétissante sa queue, je la suce avec plaisir tandis que son jus coule le long de mes jambes.
On entend du bruit à l’autre bout du couloir : panique, pourvu que ce ne soit pas la chef. Je remets ma blouse en deux temps et Pascal se rafistole. Ce qui n’empêche que le bureau est un vrai foutoir quand Géraldine rentre dans la pièce. En plus, ça sent le cul et ma collègue n’est pas dupe :
Elle me lance un clin d’œil. Pascal ne sait plus où se mettre. Il m’aide à ramasser les crayons et les dossiers. Il essaie d’expliquer à Géraldine :
Et nous nous en retournons toutes les deux pour faire un peu de ménage.
Sur ce, nous retournâmes à la maison.
Les jours qui suivirent, je n’eus pas l’occasion de me retrouver seule à seul avec Pascal. Les autres partaient trop tard ou alors Pascal partait trop tôt. Presque dix jours s’étaient écoulés et il ne s’était plus rien passé. Le dixième jour, n’en tenant plus, je décide de passer à l’action. Dès mon arrivée, je passe le voir et lui glisse discrètement un petit billet. Pas trop facile de lui parler, car ils l’avaient collé avec un autre collègue.
Sur le petit papier, j’ai marqué : « Viens me rejoindre dans le sous-sol. Au fond, à droite, il y a une petite réserve, j’ai la clef ». Lorsque je le vois partir, je descends discrètement, par l’autre escalier. J’arrive un peu avant lui, j’ouvre la porte. Merde, la place est déjà occupée, c’est Géraldine et un vigile. Je suis confuse, je m’excuse, je ressors, je tombe nez à nez avec Pascal, je lui expose la situation. Il m’entraîne dans la cage d’escalier qui descend vers le second sous-sol. C’est froid, c’est bétonné et quelqu’un pourrait venir.
Ses propos sont sans appel, je m’exécute passivement.
Il me fait pencher contre le mur et écarter les jambes. Il m’inspecte de tous les côtés, j’ai l’impression d’être son objet.
Sur ce, il me lança ma blouse :
Il est reparti sans même me toucher, en me laissant dans l’expectative. Ma première réaction a été de me dire « Mais c’est un vrai connard ce type, qu’il aille se faire foutre ». Je me suis rhabillée et je suis remontée. Tout le reste de la semaine, je ne lui ai plus parlé.
Il me traite de salope, il me traite comme une pute. C’est un mec détestable.
Oui, mais c’est un bon baiseur, oui, mais j’ai très envie de lui, oui, mais j’ai envie qu’il recommence. Après tout, moi aussi je veux juste baiser, moi non plus, je ne suis pas amoureuse, je veux juste passer un bon moment. Et, après tout, mon petit cul, il n’est pas non plus immaculé, j’ai déjà été sodomisée. Mais, pour une première fois, je trouvais qu’il exagérait. J’ai pensé à tout ceci pendant tout le week-end.
En arrivant lundi soir, j’ai tout de suite dit à Géraldine :
J’étais nue sous ma blouse, elle le remarqua de suite.
Je suis allée directement dans le bureau de Pascal. Sans me démonter, j’ai dégrafé un, puis deux, puis trois boutons. J’ai écarté ma blouse pour lui montrer ma poitrine.
Puis je me suis rajustée, il était temps, quelqu’un arrivait. J’ai dû attendre encore pas mal de temps. Pascal était occupé, il travaillait avec un collègue. Je commençais à m’impatienter. Je n’avais pas la tête à travailler, juste à me faire baiser. Quand j’ai vu l’autre sortir, j’ai tout de suite pris l’escalier et j’ai filé directement dans la resserre surtout remplie de palettes de papier. J’étais comme folle, j’ai dégrafé tous les boutons pour qu’il me voie entièrement nue dès son arrivée.
Il me prit avec fermeté et me bascula sur les cartons. Surprise, le voici qui plonge entre mes cuisses et me dévore à pleine bouche, moi qui m’attendais à une saillie directe.
Il lèche aussi bien qu’il baise. À ce rythme, j’ai tellement envie que je ne tarde pas à jouir. Ensuite, il écarte mes fesses et me lèche le trou de balle. C’est vraiment bon, j’ai vraiment envie qu’il m’encule, je suis prête à accéder à tous ses désirs. Je n’ai pas eu le temps de reprendre mes esprits qu’il est déjà sur moi, puissant, vigoureux, très mâle. Je m’offre à lui, entièrement. À chaque va-et-vient, je sens monter en moi des vagues de jouissance. Il est d’une atroce vulgarité, mais j’aime ça. Mais oui, je suis ta catin, mais, oui, je suis une vicieuse en manque de bite. Je suis tout cela à la fois et beaucoup plus encore. Cette fois-ci, nous jouissions de concert. Il brame comme un cerf en laissant échapper sa semence. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier. Nous reprenons lentement nos esprits. Jamais je n’ai été si bien baisée, j’ai envie que cela recommence, vite, vite. J’aime ce mec, je l’ai dans la peau, il me fait si bien jouir. À nouveau, je sens son jus couler entre mes cuisses.
À nouveau, il me lèche, je sens sa langue glisser en moi, sa langue et puis ses doigts. J’ai très envie de cette sodomie, mais je le trouve tellement gros que j’ai un peu peur. Mais il prend bien son temps, il m’élargit le trou par des mouvements circulaires. Enfin, je sens son gland qui presse contre ma rosette. Je me mords les lèvres, j’ai peur d’avoir mal. Mais, curieusement, il rentre beaucoup plus facilement que prévu. Il me remplit entièrement, cet énorme boudin chaud me déforme l’anus. Passé la brûlure de la pénétration et les picotements qui en résultent, ça va plutôt bien, même si je me sens écartelée par cette énorme colonne de chair. Il reste immobile, sans bouger, tout au fond de mon cul, le temps que je m’habitue, puis commence de lents va-et-vient dans mon cul. C’est tellement bon, je n’en reviens pas, et même lorsqu’il accélère un peu la cadence, ce qui ne m’empêche pas d’ailleurs de titiller mon clitoris avec mes doigts
Je ne me reconnais pas, je parle presque comme lui, je deviens une vraie chienne avide de sexe. Il me bourre maintenant le cul sans complexe tandis que je masturbe comme une folle de mon côté. Et lorsque je le sens se vider dans mes entrailles, la jouissance me terrasse et je retombe comme une chiffe molle sur les cartons.
Il ressort son sexe de mon cul et me le présente à lécher, je ne suis pas trop chaude pour ce truc, ça sent un peu le cul, je trouve ça écœurant, mais je prends sur moi pour lui faire plaisir. Sa queue une fois propre, il se rhabille sans plus attendre
Et il me quitte sans demander son reste, nue sur les cartons, avec sa semence qui coule de mes deux trous. Finie la complicité des études, maintenant je ne suis plus à ses yeux qu’une femme de ménage vicieuse qui a toujours un trou à boucher. Et c’est bien ce que je suis au fond, une vicieuse en manque de sexe, et je le revendique.
Les jours qui suivirent, nous avons recommencé plusieurs fois. Il semblait fasciné par mon abricot tout lisse et il me baisait à chaque fois aussi bien, déclenchant un feu d’artifice dans mon corps. Par contre, ce que je ne savais pas, c’est qu’il devait prendre ses vacances fin août. Ce salaud me quitta sans même me dire au revoir et je ne l’ai plus revu.
Je sais qu’il est revenu, mais j’hésite encore à reprendre contact avec lui. Pourtant, l’envie me démange. Ce sont de si bons souvenirs. Il pourrait m’emmener à l’hôtel, un soir, ou même un après-midi s’il préfère. J’ai déjà récupéré son numéro de téléphone.
Il ne me manque qu’un brin de folie pour lui dire « Baise-moi, baise-moi encore, baise-moi plus fort ».
Solène, 15 octobre 2004.