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n° 09339Fiche technique19505 caractères19505
Temps de lecture estimé : 12 mn
27/06/05
Résumé:  J'ai remarqué cette fille chez le pépiniériste du coin et j'ai tout de suite flashé.
Critères:  fh hplusag jeunes extracon laid(e)s amour volupté intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio
Auteur : JeanPie
L'apprentie pépiniériste

Nous étions allés, avec ma femme, chez un horticulteur, pépiniériste, paysagiste -appelez-le comme vous voulez-, pour préparer les plans de notre futur jardin. L’homme, un ami d’enfance de mon épouse, nous a accueillis à bras ouverts et nous a fait faire le tour de la propriété…

Toujours est-il qu’au détour d’une allée de conifères, alors que ma moitié conversait à bâtons rompus avec son ami, j’ai repéré Thérèse, une petite jeunette d’une vingtaine d’années qui travaillait là-bas comme apprentie.


Elle était agenouillée dans des bacs de plantes vertes et s’affairait. Revêtue d’une blouse sale et sans forme, elle m’a tout de suite attiré. Thérèse, c’est tout sauf un top modèle. Un visage rond et rouge, criblé de boutons d’acné, qu’encadrent des cheveux incroyablement gras; elle est plutôt grassouillette mais sans forme particulière, elle doit avoir une poitrine plutôt mollasse et tombante. Rien que de la voir s’activer dans le massif, ça m’a tout de suite fait bander.


Pourquoi cette attirance pour cette fille plutôt quelconque ? Pour tout dire, ma femme non plus n’est pas un canon de beauté, ce n’est pas le genre de femme sur laquelle les hommes se retournent dans la rue.

D’aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours été attiré par les filles très ordinaires et de plus en plus, au fur à mesure que le temps passait.


Ma première expérience, c’était en Angleterre, après une boum cosmopolite. La fille était un grand cheval tout desséché, elle avait un incroyable râtelier qui lui sortait de la bouche, on aurait presque dit un dentier. Elle restait à l’écart avec une de ses copines, presque aussi moche qu’elle. Personne ne les invitait à danser. Mais moi, elle m’excitait. C’est elle que j’ai choisie pour ma toute première fois. Elle était beaucoup plus âgée que moi, mais n’avait probablement pas beaucoup plus d’expérience. Nous étions très malhabiles.


Par la suite, j’ai eu surtout des aventures avec des filles un peu décalées, celles qui n’intéressent personne et sur lesquelles personne ne fantasme. Mon psychanalyste vous dirait que c’est à cause d’un immense sentiment d’infériorité. Je n’ai pourtant pas cette impression : sans être un beau mec, j’estime être comme tout le monde, ni plus ni moins, dans la moyenne des hommes qui m’entourent.

Non, si je m’intéresse à ce genre de fille, c’est peut-être parce que je me dis qu’elles doivent être délaissées, qu’il doit leur manquer quelque chose et que je peux peut-être le leur apporter. Une fille canon, elle a déjà tout pour elle, elle est trop courtisée. Et puis j’ai horreur de ces femmes qui font des chichis, qui jouent les précieuses, qui abusent de leur beauté. C’est un monde où je n’ai pas ma place, la concurrence des mâles - eux aussi font les beaux. Je préfère être plus modeste mais rester dans un monde bien réel, avec de vraies femmes qui ont de vraies envies, de vrais désirs, de vrais problèmes, de vraies limites.

Ce penchant pour les femmes sans grâce est, à mon sens, beaucoup plus une aversion envers le monde superficiel de l’esthétisme qu’un réel sentiment d’infériorité.


Ensuite, j’ai connu Monique. Nous fréquentions la même grande école. C’était une fille studieuse plongée dans ses bouquins. Comment décrire Monique ? Elle est indescriptible, une petite châtaigne au visage tout tristounet, avec une grosse fragilité en elle. Cela ne l’a pas empêchée de me faire deux beaux enfants et d’être une bonne baiseuse. Peu à peu, je lui ai ôté tous ses complexes. Elle ne se pose plus de questions comme elle le faisait avant, ne se demande plus ce que les gens vont penser d’elle, elle vit sa vie tout simplement, sans se torturer la tête.


A l’approche de la quarantaine, c’est vrai que je n’étais plus trop fidèle. Mais, après tout, c’était elle qui avait démarré les hostilités. Il y a trois ans, nous avions même failli divorcer lorsque je l’avais trouvée, un après-midi, avec un de ses employés, un jeune noir très baraqué. Certes, de mon côté, je n’avais pas toujours été sage, mais au moins je n’avais jamais amené une maîtresse à la maison, qui plus est dans le lit conjugal. Je ne sais même pas s’il était bien monté ! En tout cas, ça avait chauffé, elle avait promis de ne plus le revoir, elle s’était arrangée pour qu’il soit muté dans une autre succursale. Mais je suis sûr qu’elle en voyait un autre, elle était trop souvent « fatiguée », les yeux cernés…

Pour le reste, nous nous entendions bien, c’était le principal dans un couple.


Pour revenir à Thérèse, j’avais tout de suite flashé. Son visage triste, hermétique, presque débile, ses yeux hagards, son corps voûté. Dès le lendemain, j’y suis retourné. Et je l’ai retrouvée dans la serre en train de racler la terre. Son patron était près d’elle et apparemment elle se faisait engueuler.

J’ai salué l’ami de ma femme et fait un signe de tête amical à son employée. Mais elle n’a pas répondu, visiblement complètement éberluée.



Discrètement, j’ai demandé à notre hôte qui était cette fille qui travaillait pour lui. Il m’a répondu évasivement que c’était une pauvre fille du village voisin, employée quelques mois pour les vacances.

Mais comme j’insistais un peu :



(Moche comme un cul, pauvre con. Et toi, tu te trouves beau ?)



Un peu plus tard :



Mine de rien, j’avais obtenu tous les renseignements souhaités. Je n’avais nullement l’intention d’aller draguer Thérèse dans le cadre de son travail. Ce con m’aurait vite repéré et il aurait été capable d’aller tout baver à ma femme.


Le soir même, j’attendais près de l’arrêt du bus que la fille pointe son nez.

Il était 20 heures passées et j’avais un peu peur de l’avoir loupée. Mais non, la voici qui se pointe à pied avec une bien curieuse démarche. C’est vrai qu’elle pouvait paraître passablement allumée. Le prochain bus passait dans un quart d’heure. J’arrêtai la voiture tout près d’elle, j’ouvris la vitre côté passager.



De nouveau, ce regard éberlué, mais elle accepta tout de suite, sans protester. Elle s’engouffra dans la voiture et claqua la portière comme une malade. Elle était vraiment « grave », comme disent mes enfants.



Elle opina de la tête. Elle n’était pas très bavarde.



Les plus surpris furent probablement les habitués du troquet, lorsqu’ils virent cet homme costard cravate, accompagnant Thérèse. Ils nous regardèrent en ricanant, en sirotant leurs pastis, visiblement surpris. Qui était cet homme cravaté qui s’intéressait à cette abrutie ? C’est vrai qu’elle avait un peu une tête d’abrutie, mais les apparences sont parfois trompeuses. C’est vrai qu’elle avait aussi une attitude d’abrutie, mais c’était parce qu’elle se sentait mal dans ses baskets.

Et puis sa robe, on aurait dit un sac, elle était du plus mauvais goût, avec de grosses fleurs bien criardes. En plus, elle était boudinée dedans, ça mettait en évidence toutes ses imperfections.


J’étais néanmoins aux petits soins pour elle, en train de la draguer sans détour. Je lui fis des compliments sur son physique, sur son mental, je lui dis surtout que j’avais été frappé par son extrême sensibilité et que j’étais tombé sous le charme.

J’essayais de la faire parler, c’était pas forcément évident. Elle me dit qu’elle avait 28 ans et qu’elle vivait seule dans un petit meublé, à côté de l’église, de l’autre côté de la place. Elle était au chômage et elle avait accepté ce CDD pour les vacances. Mais ça ne l’intéressait pas trop et elle n’aimait pas trop mettre ses mains dans la terre.

A part ça, qu’est-ce qu’elle aimait faire ? Visiblement, elle ne savait pas trop. Sortir ? Non, elle ne sortait pas, ni au cinéma, ni en boîte. Avait-t-elle des amis ? Elle avait une copine mais elle la voyait rarement depuis qu’elle travaillait en ville. Un petit ami ? Elle ne répondit pas, elle baissa les yeux, elle n’en avait pas. Elle en avait eu un, mais elle préfèrait ne pas en parler, ce n’était pas un bon souvenir.


Je me risquai à lui prendre la main, elle la retira une première fois. Je commandai d’autres collations, puis j’insistai à nouveau. Nouveau refus, mais la troisième fois fut la bonne. Lorsque le serveur pointa son nez, nous nous tenions par la main. Ça le rendit suspicieux et interrogatif. Il était en train de se demander : « Mais qu’est-ce qu’il lui trouve ? Si ça se trouve c’est une sacrée cochonne ! » C’était ça qu’il était en train de se dire, ça se voyait dans ses yeux. Thérèse et ses talents cachés, ça n’allait pas tarder à faire le tour du village. Il retourna près du zinc, je le vis converser avec les piliers de bars. Ils devaient se dire que j’étais un sacré vicieux. « Eh les gars, vous savez pas ! La Thérèse, c’est vraiment une grosse pouffe ! Elle se lève des bourges de la ville ! » Ce genre de gars-là pensait souvent des choses comme ça.



En attendant, moi, je me risquai à lui faire du pied sous la table. Elle ne recula pas. Elle baissa juste les yeux, visiblement très gênée. Cette fille avait besoin de se reconstruire. Elle était détruite, pleine d’incertitude, un malaise profond envahissait son corps. Elle souffrait intensément.

J’éprouvai beaucoup d’amour pour elle. D’habitude, mes escapades étaient pourtant purement sexuelles. Mais cette fois-ci, il y avait quelque chose en plus et j’avais déjà la certitude qu’il ne s’agissait pas d’une aventure sans lendemain, cette fille-là m’intéressait, peut-être même plus que Monique. C’était le genre de femme pour laquelle je pourrais divorcer.


Nous sortîmes enfin du café, sous l’œil moqueur des clients qui nous regardèrent traverser la place. Aucun doute pour eux, j’allais me la faire : oui, j’avais très envie de me la faire. Mais elle, en avait-elle envie ? En tout cas, sa main n’avait pas lâché la mienne, elle m’entraîna de l’autre côté de l’église. Elle m’entraîna jusqu’à une porte vétuste, une vieille bicoque.



Sans me demander mon avis, elle m’entraîna à l’intérieur. Un long couloir sinistre, un séjour morose et une chambre minuscule. Nous avons vite fait le tour de l’appartement. Ajoutez à cela une cuisine vraiment très crade et une salle de bain défraîchie. Il y avait à peine la place de bouger tellement il y avait du bordel partout.

Nous basculâmes directement sur un lit pas fait où traînait une chemise de nuit sans grâce et une petite culotte usagée. C’était elle qui m’y avait entraîné. Elle s’agrippait à moi, sa bouche cherchait ma bouche, elle était comme folle. Visiblement, elle avait très envie de baiser. Elle me roula une pelle baveuse, elle me serra comme une cinglée.


J’avais du mal à me relever, je n’avais pas envie de froisser mon costard, je le pliai sur la chaise où traînaient un soutien-gorge, d’autres petites culottes. D’autres habits étaient par terre, à même la poussière. J’espèrais que, quand on se connaîtrait mieux, elle serait un peu moins bordélique, un peu moins sale, mais pour l’instant ce n’était pas très grave.

Elle se jeta à nouveau sur moi, elle ne pouvait plus attendre, j’ai eu juste le temps de retirer ma chemise. J’étais en slip et en chaussettes, elle posa ses doigts sur ma queue, elle écarta mon slip, elle se pencha pour me sucer. Elle était avide de mon sexe. Elle bavait d’envie dessus, l’engloutit complètement, au risque de s’étrangler. Elle eut un haut-le-cœur mais elle recommença de plus belle.



Tandis qu’elle me pompait, je reniflais sa petite culotte, une bonne odeur de chatte, et celle qu’elle portait actuellement devait être encore plus odorante. Je me mis en 69, une large auréole sur sa large culotte de coton blanc. Elle était toute trempée, très poilue aussi, c’est ce que je découvris en écartant le tissu. Humm, l’odeur de sa chatte était particulièrement plaisante, un parfum capiteux qui me donna tout de suite envie de la goûter. Elle tortilla des fesses, elle adorait ça. Visiblement, elle aimait se faire lécher. Elle lâcha ma queue pour bien profiter de ma caresse. Son bassin se mit à bouger sur ma hanche, elle frottait sa chatte sur ma bouche. Pendant cinq, dix minutes, elle couina, elle gémit, jusqu’à ce qu’un cri rauque et bestial ne s’échappe de sa bouche. Elle venait de jouir, c’était évident. Elle m’a couvert le visage d’une cascade de cyprine.


Le temps de reprendre ses esprits, puis elle m’aida à la déshabiller. Ses sous-vêtements étaient très sommaires, style premier prix de supermarché. Ses seins étaient très larges mais plats et tout mous, comme deux œufs sur le plat crevés, ce qui ne m’empêcha pas de les palper, de les lécher. Elle roula sur moi, elle était heureuse. Elle prit la position du missionnaire, m’attira à elle, elle avait visiblement envie que je la baise sans plus attendre.

Son fourreau était chaud et confortable, parfaitement adapté à la taille de mon sexe. Etait-ce cela, que l’on appelait « Trouver chaussure à son pied » ? Chaque va-et-vient en elle illuminait son visage, c’était un plaisir de la baiser.

Nous bougions de concert. Putain, qu’est-ce qu’elle était bonne ! Nous avancions au même rythme, avec la même vigueur. J’avais rarement trouvé fille aussi bonne, même Monique était loin de l’égaler. Nous parvînmes en même temps au paroxysme de la jouissance, le plaisir fut décuplé, immense, je jouis en elle sans aucune retenue. Je sentis mes jets de sperme s’écouler par saccades. Elle a crié si fort que j’ai cru un instant qu’elle s’était fait mal, mais ce n’était que la jouissance qui l’avait terrassée.


Je suis retombé lourdement sur elle, pour à nouveau l’embrasser. Après de tels ébats, il n’y avait rien à ajouter, aucune question à se poser, c’était évident que notre entente était parfaite.


Nous avons baisé le restant de la soirée. J’ai téléphoné à ma femme, j’ai prétexté un voyage d’affaire, je ne sais pas si elle l’a gobé. Mais comme cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé, elle n’a trop rien dit.

Je ne pensais pas que ce petit huit à dix aurait pu la choquer. Ce qui aurait pu la choquer, par contre c’est si elle avait appris que je m’arrêtais très souvent chez Thérèse.


Depuis que celle-ci a perdu son emploi de pépiniériste, c’est encore plus facile, je sors plus tôt le soir et nous n’arrêtons pas de baiser. D’autres jours, nous sommes plus sages et je me contente de la dorloter. J’aime cette fille. J’ai presque envie de divorcer pour l’épouser, même si elle est très loin d’avoir le niveau intellectuel de ma femme, même si chez elle, c’est toujours aussi bordélique, même si elle ne fait pas plus d’efforts pour s’habiller. Mais ce qu’elle me donne, c’est beaucoup mieux : elle me donne l’entente parfaite.


Dire qu’avant de me connaître, elle n’avait connu que des rustres qui la prenaient pour fille facile, ils n’arrêtaient pas de l’insulter. Elle était tout juste bonne à se faire « remplir tous les trous ». Une bonne pipe, un coup de bite et puis bye bye, peu importe qu’elle n’ait pas joui. Et rares étaient ceux qui l’avaient d’ailleurs vraiment fait jouir, elle était souvent obligée de se finir à la main après leur départ. En tout, elle en avait connu une petite dizaine, tous des gars du village, et pour la plupart des hommes mariés.

Ils revenaient de temps à autres pour remettre le couvert, lorsqu’ils avaient les couilles trop pleines, trop heureux de pouvoir ainsi se satisfaire à bon compte.


Quel gâchis, quand on découvre que cette fille est au contraire d’une grande richesse !



Depuis, j’ai trouvé une petite bicoque de l’autre côté de la vallée, c’est la prochaine étape, elle va déménager. Je veux qu’elle soit toute à moi, je veux garder l’exclusivité.

Et peut-être qu’ensuite je vais divorcer pour l’épouser. Quelque part, c’est mon rêve.