n° 09347 | Fiche technique | 15608 caractères | 15608Temps de lecture estimé : 10 mn | 30/06/05 |
Résumé: Homme tombé sous la domination sensuelle de la mère d'un copain | ||||
Critères: fh frousses extracon gros(ses) amour volupté cérébral voir lingerie massage cunnilingu fdanus hgode | ||||
Auteur : Constantin18 (Un homme tout simplement) |
C’est une histoire ordinaire, et cependant pour moi pas banale. Elle me paraît intéressante à dévoiler ici, tant elle a apporté de bonheur à ses deux principaux protagonistes : un homme et une femme se sont échappés, pour un temps, de l’ennui et de l’écume des jours.
L’histoire se passe il y a quatre ans, dans une petite ville de Franche-Comté où je réside, et où il ne se passe pas grand-chose, comme dans beaucoup d’autres bourgades de France. Je partage un loisir, celui de la randonnée cycliste ou pédestre avec un copain beaucoup plus jeune que moi. Il a 28 ans à l’époque, et c’est un vieux garçon. Moi j’ai 43 ans, je suis marié et père de deux enfants.
Mon épouse, plutôt casanière, n’aime que les sorties ciné ou resto bi-hebdomadaires avec ses copines de travail. Elle déteste bien sûr la bicyclette et la marche. Je suis donc assez libre de mes loisirs et de mes mouvements. Malgré cela, je ne l’ai encore jamais trompée. C’est à dire que depuis notre mariage, je ne suis jamais allé voir ailleurs. Nos rapports sexuels ordinaires me suffisaient. J’avais, à l’époque, la tête pleine de nouvelles sorties cyclistes, d’autant que mon copain Patrice dispose souvent comme moi de journées libres en semaine.
Je suis donc un homme fidèle qui rend heureux une femme mignonne, pas assez féminine et, au lit, sans initiative sexuelle.
Mais n’est-il pas vrai que rien n’est parfait !
N’ayant eu que peu d’aventures avant mon mariage, je ne savais pas que l’amour pouvait être tout autre. Je rêvais cependant inconsciemment et secrètement de ces femmes à la féminité exacerbée, comme on en voit sur les photos des catalogues de mode. Ainsi, une frange de dentelle dépassant de la jupe d’une dame attire inévitablement mon regard qui aime avec ravissement s’attarder là-dessus.
À l’époque, la mode naissante de ces tenues d’été fluides, fines et transparentes m’excite de plus en plus. Peut-être est-ce l’âge ? J’incite alors mon épouse à porter des jupes, à acheter de la lingerie, mais elle préfère invariablement baskets et survêtements ! De plus, les tenues féminines ne lui siéent pas. Point !
Mais revenons à mon copain Patrice. Lui et moi - je m’appelle Sylvain - partons souvent en vélo des journées entières ou en fin d’après-midi après le travail. Mon épouse n’aime pas ce copain au regard de chien battu et qui me suit comme une ombre. Une à deux fois par semaine, surtout le soir si Jeannette, mon épouse, est de sortie avec ses copines, je passe la soirée avec Patrice chez ses parents. En effet, bien qu’il réside en ville à 15 km de là, il vient dîner tous les soirs chez ses parents qui n’habitent pas très loin de chez moi. Ceci est loin d’être désagréable, car sa mère, Maryse, est une femme assez ronde de 50 ans, toujours avenante, enjouée et qui confectionne des repas divins. Le mari, quant à lui, paraît insignifiant et sans discussion. Il préfère d’ailleurs tutoyer la bouteille de Bordeaux plutôt que faire honneur à ses hôtes. Chef comptable dans une entreprise de travaux publics, sa seule passion est la pêche : un homme très mal assorti à son épouse. Détail amusant, son visage fait penser à une tête de brochet, mimétisme ? Il n’hésite pas à partir chaque année, plusieurs semaines, seul en Ecosse ou ailleurs pour vivre sa passion de la canne à pêche (mais, bon, chacun la sienne).
Pendant plus d’un an, je fréquente ainsi, avec mon copain Patrice, le domicile des Gentils. (C’est leur nom, ne cherchez pas dans l’annuaire, si les faits sont exacts, les noms et prénoms cités ici sont tous imaginaires). Certains soirs, après le repas durant lequel j’apprécie gustativement les petits plats et, seulement des yeux, les rondeurs toujours bien mises en valeur par des tenues coquettes et féminines de Maryse, tout le monde regarde un film ou une émission TV. En général, Maryse et son époux occupent deux fauteuils, Patrice et moi, le canapé. Mais auparavant, après avoir desservi la table, c’est une sorte de tradition, Maryse s’en va un moment et revient en robe de chambre simplement passée sur une belle chemise de nuit, prête pour aller ensuite au lit. Discrètement, je me rince l’œil et je suis en général obligé de cacher rapidement une superbe érection. Le benêt de mari finit invariablement par s’endormir en ronflant, elle le réveille alors et l’envoie dormir sans ménagement : « Claude, tu ronfles, allez, va au lit ! ». C’est sans appel !
Je fus vite beaucoup plus préoccupé par les jambes à peine visibles sous les dentelles et volants des nuisettes adorables de Maryse que par les images du petit écran. Quoique ayant un visage somme toute ordinaire et une prestance assez ronde, cette femme était devenue pour moi une fée de sensualité. Il faut dire que, femme au foyer, elle avait beaucoup de temps pour se soigner et se vêtir. Je dois dire que les femmes rondelettes ne sont pas pour me déplaire, car je leur trouve souvent de plus beaux visages que les dames maigres. J’ai alors très envie de cette femme et parfois, n’en pouvant plus, je vais aux toilettes, non pas pour satisfaire une envie pressante, mais pour me masturber et enfin décharger mon excitation. Je pense alors tellement à elle qu’un violent jet de sperme s’échappe de ma verge. Et puis je reviens m’asseoir sur le canapé. Elle me regarde alors un instant avec, me semble-t-il un sourire, comme si elle avait tout compris.
Un soir, Patrice m’a donné rendez-vous chez ses parents. Il est 20 h, je sonne à la porte et Maryse m’ouvre avec un grand sourire. Elle a ses cheveux teintés de roux en chignon (joli), des yeux marron vert (coquins), des créoles à ses oreilles (j’adore), et de belles lèvres bien charnues (je les désire).
Mais c’est la mère de mon pote et je suis tout de même un peu timide. Je pique un fard, je dois être tout rouge. Je suis con, je rêve de cela depuis 6 mois et, là, je fais le grand benêt, mais je suis sûr qu’elle s’amuse de mon trouble.
J’ai l’impression que j’ai alors le sourire le plus niais de ma vie ! Elle va me jeter, c’est sûr, et ce sera bien fait ! Mais non, elle me prend la main et m’entraîne déjà avec un éclat de rire vers le salon. J’ai alors très envie d’être prisonnier de cette maîtresse femme et de faire tout ce qu’elle me demandera pour lui faire plaisir. Ma queue est plus raide que jamais. Mes mains ont trop envie de la caresser et mes lèvres de l’embrasser. C’est l’amour ! Oh ! je l’aime ! En plus, je m’aperçois qu’elle est déjà en robe de chambre, et qu’elle porte dessous un long déshabillé blanc très vaporeux. Je suis comme dans un rêve. Je vais me réveiller.
Complètement perturbé, je saisis le tire-bouchon et la bouteille. Mais, trop d’émotion, je casse le bouchon. Elle rit. Elle est tout contre moi. Je sens son parfum, la dentelle de sa manche contre mon bras.
Alors, je n’en peux plus, je la prends dans mes bras et je cherche ses lèvres.
Maryse va fermer la porte à clé. En revenant à moi, elle laisse tomber sa robe de chambre de satin noir, et m’apparaît atrocement désirable dans un grand déshabillé blanc presque transparent s’ouvrant sur une ravissante nuisette de dentelle. Ma verge est tendue à craquer. Elle s’est assise comme une reine sur le bord du canapé. Moi, je l’embrasse fougueusement puis la couvre de baisers. Les oreilles, le cou, les lèvres encore. Mes mains se glissent dans les dentelles et commencent à caresser ce corps avec infiniment de douceur.
Ma bouche descend et s’occupe des seins de Maryse. Vite un téton est dégagé de sa prison de soie et je le suce doucement, goulûment, pendant que mes mains affolées pétrissent ses adorables courbes.
Je roule ma tête entre ses seins puis, pris d’une envie forgée depuis des soirs et des soirs de désir, je descends et m’agenouille devant ma reine toujours assise sur le canapé.
Je commence à lui baiser les pieds. Maryse porte d’adorables bas rouges. Je remonte le long du velours de ses jambes, les couvrant de caresses, de bisous, de petits coups de langue. Ma tête qui rêvait de cela depuis trop longtemps remonte entre les jambes de Maryse… Mes mains aussi. Quel bonheur ! Ma queue est raide… raide… raide… Elle aussi sera à la fête tout à l’heure. Mes bisous dépassent le haut des bas retenus par un porte-jarretelles et butent à l’entrejambe sur une ravissante et douce petite culotte que je veux enlever.
Mais Maryse, qui jouit déjà, m’empêche de retirer la tête qu’elle a emprisonnée sous sa nuisette, et de ses mains la pousse inexorablement vers son vagin, dont je sens le parfum.
C’est une coquine petite culotte de dentelle rouge, ouverte au bon endroit. Mes deux mains l’écartent et je peux enfin découvrir, du bout de ma langue, le petit bouton d’amour de Maryse. Elle possède un charmant clitoris peu ordinaire qui doit bien faire un centimètre et demi de long. Peut-être un témoignage de son caractère affirmé. Vite mes lèvres gourmandes s’en emparent et le sucent doucement tandis que lentement ma langue tourne sans fin sur son extrémité.
Je sens les mains de ma maîtresse appuyer plus encore sur ma tête. Oh ! non pour rien au monde je ne m’échapperais de cette prison de chair, de dentelle et de nylon. En même temps, ma main gauche s’occupe activement des seins de la dame tandis que la droite a encerclé son bassin, le tenant bien prisonnier pendant que ma langue la fait crier et gémir de bonheur :
Elle crie comme une folle et j’espère que les murs sont épais. Ma main droite caresse la raie de ses fesses. Maryse ondule et gigote comme une folle et j’ai du mal à la maintenir. Mon majeur se glisse dans l’entrée de son petit trou du cul et le caresse.
Mais je la tiens bien.
Alors, elle se laisse faire. Et puis tout s’active, on perd la notion des choses. Maryse râle, me serrant la tête cette fois comme dans un étau soyeux. Soudain, elle me serre encore plus fort et pousse un grand cri de bonheur. J’ai le visage tout barbouillé de cyprine. Elle m’entraîne alors dans sa chambre.
Elle déboutonne fébrilement un à un les boutons de ma chemise, posant sur ma poitrine de petits bisous. Mon pantalon, mes chaussettes sont vite arrachées. Heureusement, je porte un caleçon assez sexy. Elle embrasse mon sexe à travers le tissu du caleçon et puis l’enlève. Mon sexe est dressé à la verticale. Elle lui met un préservatif et, relevant sa nuisette et son déshabillé vaporeux, qu’elle n’a pas voulu que je lui enlève, s’empale à fond sur moi et commence rudement à me travailler. Je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie, à regarder cette femme désirée depuis des mois dans son hyper féminité monter et descendre sur mon sexe.
De la main gauche, elle s’appuie fortement sur ma poitrine et de l’autre avec son index me doigte l’anus. Je crie :
Et elle de s’exciter de plus en plus.
Elle tend la main et prend, dans sa table de nuit, un vibromasseur en forme de banane, le met en route, le mouille de sa cyprine et, tout en me travaillant les fesses, commence à me l’introduire dans l’anus. À mon tour, je dis :
Mais son regard n’accepte pas de refus. Du reste, comme je me redresse, elle s’empare de mes poignets, les écarte et me replaque sur le lit. Ensuite rapidement, elle recommence de m’enfoncer le vibro que je sens en moi de plus en profondément, et ce malgré ma gêne, car jamais je n’ai usé de telles pratiques.
C’est trop bon d’être ainsi possédé par une femme et je me laisse faire. Je suis son jouet. Maintenant, sa main droite me caresse les bourses, l’autre pousse toujours plus loin le vibro. Elle va me faire jouir dans ma tête, comme de partout. La tension est à son comble ! Maryse me possède alors à fond psychologiquement et sensuellement. Pour moi, c’est un bonheur jamais vécu. Elle se met à jouir en criant :
Elle s’agite frénétiquement, comme une folle, sur mon sexe. Moi, je n’en peux plus de me contenir, d’autant que le contact de sa chair et de sa fine nuisette sur ma peau m’ont excité comme jamais.
Et d’un coup, elle commence à crier :
Alors, un long jet de sperme est parti au fond de sa chaude grotte d’amour. Puis elle s’est affalée sur moi, mon sexe toujours en elle. Au bout de quelques minutes, après avoir à peine repris nos esprits, j’ai senti sa main qui s’emparait à nouveau fermement de mon sexe. Tandis qu’elle me déclarait d’une voix décidée :
Maryse était une femme de caractère. J’avais à ce moment envie de subir sa domination, envie de devenir le serviteur de sa féminité. J’ai su ensuite pourquoi elle voulait rester en déshabillé vaporeux durant toute notre partie de plaisir, parce qu’un peu ronde, elle faisait un complexe et se trouvait moins désirable.
Moi, elle m’a rendu esclave de ses volontés et de sa sensualité pendant des mois, jusqu’à ce qu’un stupide accident d’automobile me rende une liberté non désirée et mon ennui d’avant. Je n’ai jamais retrouvé d’autre Maryse.
Hélas.
D’autres épisodes de cette relation sucrée et heureuse, dont il reste le souvenir, sont encore à raconter.
(À suivre donc…)