n° 09349 | Fiche technique | 21679 caractères | 21679Temps de lecture estimé : 14 mn | 30/06/05 |
Résumé: Passionné de photo, je suis devenu un voyeur patenté qui n'a même pas honte de sa perversion. | ||||
Critères: h fh couple piscine forêt voir exhib photofilm hmast fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio | ||||
Auteur : Toubab (Erotomane mettant une pincée de réel dans ses récits) Envoi mini-message |
Depuis l’adolescence, je suis passionné de photographie. Au collège, j’ai fait toute une vie à mes parents pour qu’ils m’achètent un appareil. Ensuite, j’ai appris à faire le développement, installé un petit labo dans la cave et consacré tout mon argent de poche à mon plaisir.
Aujourd’hui, j’ai vingt-six ans, je suis informaticien à mi-temps, et je consacre presque tout mon temps libre à mon hobby. Habitant une petite ville dans une région rurale, j’aime photographier la nature, les animaux et je fais aussi à l’occasion des portraits de mes amis.
Physiquement, je suis de taille moyenne, plutôt maigre, le crâne rasé pour masquer une calvitie naissante (merci papa !). Les femmes me trouvent mignon mais mon caractère taciturne est un obstacle à toute relation de longue durée. Depuis deux ans, j’ai une maîtresse, Marianne, jolie petite blonde de dix ans mon aînée que je retrouve régulièrement lors des déplacements professionnels de son mari. Cette situation me convient parfaitement car je peux rester libre tout en profitant de temps en temps de ses charmes et de sa libido.
Ce qui m’amène à écrire ici est la confession d’une perversion : le voyeurisme.
Je l’ai découvert il y a trois ans quand, en week-end chez des amis, j’ai eu la vision d’une femme nue se faisant bronzer dans son jardin.
C’était une voisine qui se trouvait à une vingtaine de mètres. Elle devait se penser à l’abri derrière sa haie, alors même qu’on pouvait l’observer du premier étage de la maison de mes amis. Rapidement, j’ai pris la mallette où je range mes boîtiers et mes objectifs photographiques. En zoomant au maximum, j’avais l’impression d’avoir le visage à quelques centimètres de sa poitrine et de son mont de Vénus. Elle était très belle, et moi j’étais dans un état d’excitation incroyable. Pourtant, il ne s’est rien passé d’exceptionnel : elle est juste restée allongée sur son transat, immobile.
Mais le plaisir du voyeur est ailleurs : observer l’autre à son insu, l’espionner sans qu’il en ait la moindre idée, pénétrer son intimité sans consentement… À cela s’ajoute l’excitation de l’attente, pour ne pas dire de la traque ; avec, en toile de fond, l’espoir toujours présent d’assister à un spectacle extraordinaire.
À partir de ce jour, j’ai passé de plus en plus de temps à regarder des photos de voyeur lors de mes pérégrinations masturbatoires sur Internet. Pendant les vacances suivantes, deux faits m’ont complètement poussé dans le voyeurisme.
Tout d’abord, il y a eu mon déménagement dans un appartement au second étage d’une petite résidence. Elle se situe juste à côté du complexe sportif de la ville. De mon balcon, j’ai une belle vue sur la piste d’athlétisme et la piscine qui se trouve à moins de trente mètres. Cette dernière possède un bassin en plein air et une vaste étendue gazonnée où tout le monde se retrouve quand il fait beau. C’est la vue qui m’a décidé pour cet appartement et, à peine installé, j’ai aménagé un observatoire dans ma chambre où j’ai mis le télescope que je venais d’acquérir : une petite merveille technologique permettant de distinguer nettement une pièce d’un centime à deux cent mètres, et sur laquelle on peut adapter un appareil photo.
Ainsi équipé, j’ai passé des après-midi entières à mater les femmes se faisant bronzer autour de la piscine. Si j’étais juste à côté d’elles, je ne pourrais les regarder comme je veux. Tout au mieux, je me cacherais derrière des lunettes de soleil en essayant d’être le plus discret possible. Au contraire, depuis mon observatoire, je peux prendre le temps de détailler une jolie fille, une poitrine dénudée ou bien des poils malicieux qui s’échappent d’un slip de bain. En plus, il m’arrive de me mettre entièrement nu et de me masturber en les regardant, instaurant un jeu fantasmatique où la coquine est consciente de s’exhiber et où elle répond aux demandes que je lui adresse en pensée.
Le second fait déterminant dans mes dérives voyeuristes a eu lieu à la fin des vacances. J’étais sorti très tôt le matin pour photographier des animaux. Je coupais à travers le sous-bois pour retourner à ma voiture lorsque, à quelques mètres de la route, j’ai vu une femme assise sur une bille de bois. Sur le coup, je l’ai prise pour une sportive car elle avait des baskets, un sweet-shirt à capuche et une jupette de tennis avec un short en dessous. Je me suis arrêté pour la regarder car elle semblait attendre quelque chose, quelqu’un.
C’était une grande brune d’une trentaine d’années, avec un joli visage et une silhouette élancée. Au bout de quelques minutes, une voiture est venue se garer non loin de là et un homme en est descendu avec un sac à dos. Il a rejoint la femme, ils ont échangé un long baiser et ils se sont aventurés sur le chemin, main dans la main.
Je les ai suivis à distance pendant une dizaine de minutes. Ils se sont arrêtés près de rochers, à l’écart du chemin, et l’homme a sorti une couverture de son sac. À partir de là, tout a été très vite : ils se sont allongés, enlacés, embrassés, caressés. L’homme a dévoilé les petits seins de sa compagne puis il l’a débarrassée de son short.
J’ai juste eu le temps de voir qu’elle avait le sexe à moitié rasé avant que l’homme ne plonge goulûment son visage entre les cuisses de la femme.
Grâce à mon zoom, je voyais parfaitement ce qui se passait.
Hélas, j’étais trop loin pour les entendre et il m’était impossible de me rapprocher discrètement. En tout cas, à voir les soubresauts du corps de la femme, l’homme devait savoir s’y prendre. Après cela, il s’est levé pour se mettre cul nu et, ainsi, exhiber une queue de belle taille. La femme, agenouillée, l’a sucé quelques instants puis lui a mis un préservatif. Ensuite, ils ont baisé pendant près de trois quarts d’heure : d’abord lui sur elle, puis elle le chevauchant et enfin, en levrette.
C’était vraiment torride et j’ai vite libéré mon sexe pour me masturber devant ce spectacle inouï. La femme surtout dégageait une grande sensualité, les mouvements de son corps exprimaient son plaisir. Vu l’endurance de son amant et la taille de sa queue, elle pouvait prendre son pied et elle ne s’est pas gênée (moi non plus, d’ailleurs, arrosant généreusement les feuilles du buisson devant moi).
J’ai attendu qu’ils partent pour quitter à mon tour mon poste d’observation, n’en revenant toujours pas de ce que je venais de voir.
L’hiver est une saison morne pour le voyeur car les gens s’habillent chaudement et restent à la maison, les volets fermés, bien à l’abri dans leurs nids douillets. C’est à ce moment que j’ai mis des annonces sur différents sites en proposant mes services de photographe à des couples désireux de faire des photos coquines. Ce fut un fiasco complet car je n’ai eu aucune réponse.
Ce n’est qu’au retour du printemps que j’ai repris mes habitudes, à commencer par la « surveillance » de la piscine.
C’est alors que j’ai fait la connaissance de Marianne, lors du vernissage d’une exposition de photographie. Malgré son alliance, j’ai tout de suite flashé sur elle. Cela a dû être réciproque car elle me lançait des regards torrides. On a pris le prétexte de faire des photos de ses enfants pour se revoir.
C’est comme cela que, quelques jours plus tard, elle est venue chercher les clichés chez moi.
Dès son arrivée, nous voulions tous les deux la même chose sans oser nous l’avouer. En fait, il faillit ne rien se passer ce jour-là. C’est seulement lorsqu’elle allait partir, en se faisant la bise, que nos bouches ont dévié l’une vers l’autre. Ce fut le déclencheur de notre relation. Nos baisers se sont faits fougueux, nos caresses enfiévrées, nos pas nous ont conduits dans la chambre. Là, j’ai découvert ses seins lourds et laiteux, sa toison finement taillée, ses fesses joliment dodues.
Surtout, j’ai trouvé une maîtresse sensuelle et gourmande qui se laisse complètement aller pendant l’amour. Elle a joui sans cesse : quand je l’ai masturbée, quand j’ai léché son minou… et même quand elle m’a sucé, son plaisir était évident. La pénétration a déclenché un concert de gémissements et de râles. Elle était obligée de mettre sa main devant sa bouche pour ne pas faire savoir à tout le quartier que, ici et maintenant, une femme mariée jouissait tout son soûl dans les bras de son amant.
Pendant quelques mois, mes pulsions de voyeur se sont assagies, surtout du fait de ma relation avec Marianne. Mais ! chassez le naturel…
Mes parents m’ont offert une petite caméra numérique à Noël, et je l’avais à peine dans les mains que des idées d’espionnage sexuel me venaient déjà à l’esprit.
Deux semaines plus tard, j’ai pu tester le potentiel de mon nouveau matériel à l’insu de ma maîtresse. Il m’a fallu plusieurs tentatives pour trouver la meilleure façon de cacher la caméra. Marianne ne sait pas que j’ai filmé nos ébats. Je n’ose pas le lui dire car je crains un peu sa réaction. Pourtant, j’aimerais parfois introduire la caméra dans nos jeux, faire des gros plans de sa bouche qui va-et-vient sur mon phallus, de ses seins qui ballottent au-dessus de mon visage, de son anneau distendu par mon membre écarlate au milieu de ses fesses blanches.
Quoi qu’il en soit, grâce à Marianne, je sais désormais où mettre ma caméra pour filmer au mieux dans la chambre, le salon et dans la salle de bain – concernant celle-ci, j’ai été jusqu’à acheter un meuble en bois ajouré dont j’ai condamné un tiroir que moi seul peux ouvrir afin d’y mettre mon œil numérique.
Carine et Sophie, deux conquêtes d’un soir, ont été les héroïnes involontaires de mes pornos amateurs.
Quand ma petite soeur et sa copine Laura sont venues dormir à la maison, j’ai mis la caméra dans la salle de bain, ce qui m’a valu deux beaux strip-teases.
J’ai effacé le passage avec ma sœur car j’avais un peu honte de m’exciter en la regardant.
Par contre, la toilette de Laura est très réussie ; non seulement parce que Laura est une grande brune athlétique aux formes généreuses, mais également parce qu’elle passe de longues minutes à se regarder dans la glace et s’enduire sensuellement le corps de tout un tas de crèmes avant de passer un string minimaliste qui fait ressortir ses grosses fesses.
En fait, la salle de bain est le lieu rêvé du voyeur car tout le monde s’y met nu. Chez moi, j’ai posé la caméra de telle façon qu’elle soit face à la baignoire, et donc de profil par rapport au lavabo.
Pendant les dernières vacances d’avril, j’ai hébergé un vieux pote, Stéphane, et sa femme Magali. C’est une petite métisse au corps félin dont la poitrine appelle les regards. Le soir, j’ai évidemment mis la caméra dans le salon, face au canapé convertible et, au moment de les quitter, je l’ai discrètement mise en route avec la télécommande. Ayant acheté des cassettes de trois heures, j’étais sûr de ne rien rater.
J’avais aussi imaginé, le lendemain, de profiter du déjeuner pour ôter la caméra du salon, changer de cassette et la mettre dans la salle de bain avant qu’ils ne se lavent. Malheureusement, quand je me suis levé, Magali avait déjà fait sa toilette et, plus tard, en regardant la bande, je n’ai rien vu d’intéressant : la veille au soir, elle s’était changée dans la salle de bain et, lorsque Stéphane s’est montré câlin, elle a répondu : « Pas maintenant, mon chéri, il y a ton copain juste à côté. ».
Aussi, pour leur seconde nuit chez moi, j’ai procédé autrement en plaçant directement la caméra dans la salle de bain. Avant qu’ils y aillent, j’ai démarré l’enregistrement et je l’ai récupéré juste après leur passage. Sur l’écran de mon ordinateur, j’ai pu voir Magali retirer son chemisier et son soutien-gorge, puis son jeans et son string avant de passer une culotte plus sage et une longue chemise de nuit. Je me suis passé la bande un nombre incalculable de fois en me masturbant. J’étais nu sur mon lit, en train de me branler en regardant la femme de mon pote. Cette même femme qui dormait dans la pièce voisine mais qui, pour l’heure, offrait à mes yeux pervers le spectacle de sa peau cuivrée, de ses seins pointus, de ses larges tétons, de sa petite chatte complètement rasée et de son petit cul bombé et musclé.
Au matin, tout s’est passé comme je l’espérais, voire même au-delà. J’avais mis le réveil pour être debout avant eux. Nous avons déjeuné ensemble puis je suis allé me laver en prétextant que je devais m’absenter pendant deux heures pour faire des courses. Ce n’est qu’après leur départ, en fin d’après-midi, que j’ai enfin pu visionner le film.
Au début, on peut voir Magali entrer dans la salle de bain, se brosser les dents puis retirer sa chemise de nuit et sa culotte. Elle est à peine nue que Stéphane entre à son tour. Je rigole en constatant qu’il porte un string car j’ai toujours considéré que ce type de dessous était réservé aux mecs bien musclés, ce qui n’est pas le cas de mon pote qui est plutôt potelé.
Par contre, je rigole moins lorsqu’il le retire car c’est un véritable gourdin qu’il vient coller dans le dos de sa copine. Magali ne semble pas surprise et elle se frotte gentiment à son homme qui l’embrasse dans le cou tout en lui caressant les seins et le ventre.
Après les dents, Stéphane se lave le sexe et se tourne vers Magali. Sur l’écran, je ne vois que le dos de Stéphane mais j’imagine bien ce qui se passe, surtout quand les mains de Magali apparaissent sur les hanches de son homme. Je me demande comment elle s’y prend : est-ce qu’elle suçote délicatement le gland ? Est-ce qu’elle engouffre profondément le membre ? Alterne-t-elle prise en bouche et léchage de la hampe ?
C’est lui qui met fin à la fellation en annonçant qu’à ce rythme, il ne tiendra pas longtemps. Alors il vient s’agenouiller dans la baignoire, face à elle, et il dirige tout de suite une main vers le sexe glabre de la belle. Magali accueille l’intrusion par un petit cri où se mêlent la surprise et le plaisir. Stéphane colle ensuite son visage contre la poitrine de sa copine. Il la lèche, il la tète. Plus ça va et plus Magali danse sur le doigt en elle, laissant s’échapper des « ah ! » et des « oh ! » semblables à des halètements cristallins.
Elle jouit une première fois dans cette position puis demande à Stéphane de venir en elle. Il lui dit de se mettre debout, les mains appuyées contre le mur, pour la prendre par derrière. Mais Magali craint de tomber et propose de sortir de la baignoire.
Du coup, le couple se rapproche de moi, ou plutôt de mon œil numérique.
Magali s’appuie sur le lavabo et elle tend son petit cul vers Stéphane qui la pénètre d’une traite. Au début, il ne bouge quasiment pas et c’est elle qui avance et recule doucement sur le pal de chair. Et puis, Stéphane s’empare de ses hanches et commence à la pilonner, tantôt piano, tantôt crescendo, tantôt fortissimo. Les râles deviennent des gémissements, puis des cris. Sa tête dodeline et son visage est grimaçant. Stéphane, lui, va-et-vient avec la régularité d’un métronome, chaque coup de rein faisant jouir Magali.
Après un dernier galop, Stéphane se tend et grogne.
Il doit jouir car Magali s’immobilise également, le dos cambré, savourant apparemment le cadeau de son amant.
La main et le ventre poisseux de mon propre sperme, je vois mes amis retourner dans la baignoire. Ils profitent du bain quelques minutes puis chacun se savonne de son côté. Ce n’est qu’au moment de se rincer qu’apparaissent de nouvelles caresses. Stéphane s’est saisi du pommeau de douche pour éliminer toute trace de savon sur le corps de Magali. Il s’aide de la main et, du coup, cela devient une séance de caresses particulièrement appuyées sur la poitrine et sur les fesses. Magali se fait chatte, flattée de ces attentions.
Quand son homme s’accroupit pour embrasser son ventre puis son sexe, elle pose une jambe sur le rebord de la baignoire pour lui faciliter l’accès à son minou. Assez vite, elle ronronne de plaisir tout en plaquant la tête de Stéphane contre ses nymphes. Au bout de quelques minutes, d’une pression des mains sur les hanches, il la fait se retourner et plonge son visage en plein milieu des fesses de la belle. Vu sa position, il ne peut pas accéder au sexe de la belle : c’est donc son petit trou qui a droit à l’hommage buccal.
Je n’en crois pas mes yeux : il est en train de lui bouffer le cul ! Pour moi, c’est toujours le préliminaire à une pénétration anale. À la simple idée que Stéphane va probablement sodomiser Magali sous mes yeux, je ne peux pas me retenir et explose une seconde fois. Je suis obligé d’arrêter quelques instants la vidéo car j’ai mis du foutre partout. Le temps de nettoyer les dégâts, et je suis de retour à mon poste d’observation.
Sur l’écran, le couple reprend vie. Magali gémit sous l’effet de la feuille de rose que lui fait Stéphane. J’ai l’impression qu’il s’aide d’un de ses doigts, et ce que je vois ressemble de plus en plus à une préparation en règle. En tout cas, si j’étais à sa place, et à entendre le plaisir que semble prendre Magali, je n’hésiterais pas longtemps avant de présenter mon gland à sa petite porte.
Mais, contre toute attente, quand Stéphane se relève, le sexe tendu, Magali lui fait face :
Magali ne répond rien à cela. Elle se contente d’embrasser le torse de son homme, puis son ventre. En même temps, elle frotte ses seins contre le sexe bandé. Elle fait languir Stéphane (et moi par la même occasion) avant de déposer de petits baisers sur son gland. De profil par rapport à la caméra, je la vois bien passer sa langue sur la tige, descendre vers les couilles qu’elle fait rouler entre ses lèvres, puis prendre le sexe en bouche.
La fellation, d’abord langoureuse, se fait plus rapide. La tête de Magali va-et-vient sur la queue en même temps qu’elle la branle d’une main. Stéphane caresse la tête de sa copine en la regardant faire. Son bassin commence à bouger comme pour investir plus profondément la bouche qui l’accueille.
Sûre de son effet, Magali sort parfois le sexe de sa bouche pour l’embrasser sur toute sa longueur. Stéphane grogne de plaisir et commence à remuer les reins à un rythme plus rapide. Magali aussi suce avec plus d’intensité. Soumis à un tel traitement, je ne pense pas que j’aurais résisté aussi longtemps que mon pote. Enfin, je l’entends dire que ça vient, qu’il va jouir. Magali continue à sucer jusqu’à ce qu’il jouisse entre ses lèvres. Finalement, elle ne libère le membre de son homme qu’un fois celui-ci ramolli.
Mon ordinateur m’indique qu’il s’est passé une heure et dix-huit minutes depuis l’arrivée de Stéphane dans la salle de bain. Il leur faudra encore un quart d’heure pour finir leur toilette et quitter la salle de bain.
Ce film est une bénédiction, un délice masturbatoire que je me suis passé et repassé en boucle pendant des semaines. Il représente un peu le summum de ce à quoi je pouvais arriver en tant que voyeur. Depuis, je trouve bien fade de prendre des photos des femmes bronzant seins nus à la piscine. Même la vidéo de la toilette de Laura me paraît terne. Il ne me reste plus qu’à attendre l’occasion qui me permettra à nouveau de mater des ébats aussi excitants.
Pour cela, j’invite beaucoup d’amis à faire la fête chez moi, bénissant la répression féroce contre l’alcool au volant qui me donne un alibi pour les garder à coucher. Pourtant, je préfère être seul… mais c’est le prix à payer pour assouvir ma perversion.