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Un chouette après-midi

Cette aventure s’est passée il y a quelques jours, alors que j’avais congé. J’en ai profité pour faire un petit peu de ménage et surtout mon repassage, qui commençait vraiment à s’entasser. Mais comme j’y ai mis un sérieux coup de pouce, vers 16 heures, j’ai eu fini et je suis allée me prélasser un moment sous la douche, pour me rafraîchir et m’occuper un peu de mon corps, profitant encore de ce moment de paix et de solitude pour moi.

Pour commencer, je décide d’épiler de plus près tous ces poils superflus, tant sur ma chatte, que sur les aisselles et sur les jambes. J’enduis donc les parties de mon corps de mousse, d’abord sous les bras, puis les jambes et enfin mon pubis et le pourtour de ma vulve, jusqu’à l’anus, en écartant bien les jambes, assise sur le rebord de la baignoire. En étalant la mousse sur ma chatte, de légers frissons me viennent, surtout au niveau des seins et mes tétons durcissent immédiatement.

Je dois laisser agir la mousse quelques minutes, j’en profite pour passer la paume de mes mains sur mes petits seins tendus, et faire monter un peu l’excitation. J’aime ces douces caresses au niveau de la poitrine qui me font frissonner, mais je n’en fais pas plus. Pour le moment, il est temps de passer sous la douche pour évacuer la crème dépilatoire et tous ces petits poils superflus.

Chose faite, un petit coup d’œil à chaque endroit pour vérifier que tout est bien lise et doux comme une peau de bébé. Quelques poils sont restés autour de mon sexe, mais je vais éliminer ces restes au rasoir.

Comme je suis une grande adepte de masturbation solitaire, ces soins intimes me donnent à chaque fois envie de me caresser. Et comme je connais très bien mes zones sensibles, un simple petit attouchement bien placé et mon sexe se mouille tout de suite d’une vague de plaisir.

Les derniers poils enfin éliminés, je me mets debout et laisse couler une eau fraîche sur mon corps, sur mes mamelons durcis, sur mon pubis, sur mes fesses et jusqu’au bout de mes pieds.

De mes mains, je me savonne de bas en haut, en massant bien poitrine, bas du ventre et surtout ma minette si douce. Un doigt titille mon clitoris qui est déjà tout gonflé, puis descend jusqu’à mes grandes lèvres et les masse délicatement un court instant. À ce stade-là, mon excitation, mais surtout mon envie d’aller plus loin, me font sortir de la douche.

Je m’éponge rapidement et, sans me rhabiller, je me dirige vers ma chambre à coucher, lieu frais et, à mon avis, à l’abri de tout regard indiscret. J’ouvre ma table de nuit et en sors un superbe gode vibro rose, en forme de ver de terre. Il a la tête légèrement retournée, ce qui me permet d’atteindre facilement mon point ’’G’’. C’est mon préféré. Mais j’en prends aussi un deuxième, plus fin. Juste en plastique et tout droit, il va sûrement aussi servir.

Folle d’excitation, je me couche sur le dos, le torse légèrement relevé par de gros coussins. Je ne veux pas me masturber tout de suite, laissant ainsi encore monter le plaisir. Mes mains vont de mes seins à mon ventre, puis remontent sur mon visage. Je porte mes doigts à ma bouche pour les lécher et imaginer une charmante personne qui m’embrasse. Mes mains, humides de ma bave, descendent sur mon vagin et, de mes jolis doigts tout fins, je commence à me caresser les grandes lèvres, tout en pesant sur mon piercing du clito pour le sentir gonfler et frissonner sous mes caresses.

J’écarte mes grandes lèvres d’une main et mon trou s’entrouvre pour laisser se faufiler mes doigts. Mais là, mes mains ne me suffisent plus, alors je prends mon vibro et le pousse à l’intérieur de ma vulve toute humide et toute chaude. Je le pousse tout au fond de moi et le retire délicatement, pour le renfiler à nouveau… De l’autre main, je titille mon clitoris tout gonflé.

De plus en plus rapidement, je lime et fais des va-et-vient. Tout en moi réagit à ces caresses, mes cuisses se tendent, mon ventre se crispe et ma respiration devient courte et forte.

Déjà, un premier orgasme me prend et me secoue de toutes parts. Je diminue mes attouchements pour reprendre mon souffle, mais je ne vais pas arrêter. Je tends la main et empoigne mon deuxième gode, que je lèche et m’enfile dans l’anus, doucement, sans forcer, il entre, c’est bon… Je joue aussi un peu à faire de petits va-et-vient, mais je préfère le laisser tranquille, juste le sentir en moi me suffit pour refaire partir la pression et l’extase.

Je branche les vibrations de celui que j’ai toujours dans la chatte et me l’enfonce, de façon à ce qu’il vibre contre mon point ’’G’’. Là, je n’en peux plus je me laisse aller et je jouis à nouveau, inondant mon lit. Je retire mon ami et viens le poser sur mon clito, toujours en position vibration. Des frissons reprennent dans tout mon corps, je me trémousse, j’essaie de retenir mon gode anal en me contractant contre le matelas.

D’une main, je me masse fortement les seins et me pince les tétons. Je pousse un long gémissement, suivi d’un râle puissant, je suis au maximum de ma jouissance, je laisse tout tomber et me relâche complètement… Je reste allongée sur mon lit, les jambes écartées, ma chatte luisante de mouille et les yeux fermés, quelques instants, pour reprendre mon souffle et me remettre de cette belle aventure.

Quand j’ouvre les yeux, je vois juste les rideaux bouger et entends des bruits de pas partir en courant. Je n’ai même pas la force de me lever. Je ne saurai jamais qui c’était, s’il ou elle a tout suivi et s’il ou elle a aimé, mais, moi, j’ai pris un pied du tonnerre, une fois de plus…