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Comment faire évoluer une relation

En ce splendide jour d’été ensoleillé, j’avais décidé d’aller m’étendre dans ma cour arrière pour mettre mon bronzage à jour. J’étais étendue sur ma serviette, ayant pour seul vêtement mon bikini. J’étais complètement perdue dans mes pensés lorsque j’entendis :

• — Hey ! Salut Allysson !

Il s’agissait de Simon, mon voisin et meilleur ami d’enfance. Il venait régulièrement me rendre visite sans prévenir. Il était assez grand, très beau, avec ses cheveux assez courts ébouriffés d’un beau brun foncé. Du haut de ses dix-neuf ans, il avait à peine un an de plus que moi. Chaque fois qu’il me regardait avec ses magnifiques yeux verts, j’avais l’impression qu’il lisait à travers moi. Sans me laisser le temps de lui renvoyer son bonjour enjoué, il vint s’asseoir près de moi.

• — Alors, comment ça se fait que tu sois toute seule par cette belle journée ? Ne me dis pas que ton petit ami avait quelque chose de mieux à faire que d’être avec toi, parce que ça c’est impossible.
• — Ah non, c’est moi qui préférais être seule : on vit quelque difficultés en ce moment.
• — Quoi, déjà ? Ça fait seulement trois mois que vous êtes ensemble, et puis aux dernières nouvelles vous filiez le parfait amour. Qu’est ce qui se passe, tu ne l’aimes plus ?
• — Bien sûr que oui, la question n’est pas là…
• — Bon alors, c’est quoi le problème ?
• — Et bien tu vois, il se montre de plus en plus insistant pour que l’on passe à l’acte. Ce n’est pas que je ne suis pas prête, mais lui, il l’a fait plusieurs fois et je ne voudrais pas le décevoir avec mon ignorance, tu comprends ?
• — Oui, mais tu veux donc dire que tu n’as jamais rien fait ! Allons c’est impossible, belle comme tu es !
• — Non, j’ai simplement dit que je n’avais jamais fait l’amour, j’ai fait tout le reste par contre. Les fellations n’ont plus de secrets pour moi…

Je me sentais lentement rougir. Bien qu’il soit mon meilleur ami, Simon et moi n’avions jamais parlé de notre sexualité et cela me mettait mal à l’aise. J’essayais de me défiler en me mettant de la crème solaire sous prétexte que j’allais bientôt cuire sous le soleil.

• — Attends, laisse-moi faire, je vais t’en mettre dans le dos et sur les jambes.

Dans le contexte actuel, ce simple service qu’il m’avait rendu des milliers de fois auparavant me rendait nerveuse. Il commença par m’en étendre lentement sur les jambes.

• — Écoute, avec tes longs cheveux bruns, tes magnifiques yeux verts et ton corps de rêve, tu ne laisses personne indifférent.

Il est vrai que j’étais assez bien faite, j’avais une merveilleuse paire de fesses bien rebondies et de beaux seins bien fermes, ni trop petits ni trop gros. Avec le nombre d’hommes et de garçons qui avaient fait mon éloge, il m’était difficile de dire que j’étais affreuse.

• — Sans compter que tu es une fille fantastique, toujours le sourire aux lèvres, ce qui te vaut un grand fan-club.

Il s’amusait depuis quelques années déjà à dire que j’avais un fan-club pour la seule et unique raison que de nombreux garçons m’avaient fait part de leurs sentiments à mon égard. Cela l’amusait, et comme il savait que cela me gênait face à eux, il ne cessait de me le remettre sur le nez.

• — Tu sais, si ça te gêne trop de le faire avec Alexandre, tu pourrais prendre l’un des pauvres types que se languissent de toi et puis baiser avec lui. Ils ne te refuseraient rien. Tu n’aurais qu’à mettre les choses au clair et leur dire que cela ne t’engage à rien. Comme ça tu pourras faire l’amour avec ton amour sans avoir peur de ne pas être à la hauteur puisque tu l’auras déjà fait. C’est un plan d’enfer, non ?
• — Tu es décourageant, je ne connais pratiquement aucun d’eux. Je leur ai parlé à quelques occasions mais sans plus. Je ne veux pas me faire déflorer par n’importe qui quand même. Maintenant pourrais-tu arrêter de dire des bêtises ? Ça me rendrait service…

À partir de ce moment, nous cessâmes de parler. Je me laissais aller à ses caresses. Il avait terminé depuis un bon moment de me mettre de la crème solaire, mais ses mains n’avaient pas quitté mon dos. Il massait à merveille. Chaque mouvement me poussait dans les bras de Morphée. Alors que j’allais m’endormir profondément, il se remit à parler :

• — Tu sais, j’aurais peut-être une autre solution pour toi…
• — Allez, vas-y, fais-moi part de ta théorie loufoque, répondis-je, somnolente.
• — Et bien, comme tu refuses les mecs de ton fan-club parce que tu ne les connais pas assez, tu pourrais prendre un de tes bons amis. Comme il n’y a que de l’amitié entre vous, tu seras sûre qu’il n’y aura pas de complication.

Comme j’étais extrêmement fatiguée, j’étais lente à donner le change.

• — Voyons, aucun de mes amis n’est assez fou pour vouloir coucher avec moi.
• — Et bien moi, je pourrais me porter volontaire ! Comme c’est pour te rendre service…

Il m’avait prise par surprise, je m’assis en face de lui en le fixant d’un regard stupéfait. J’ignorais encore s’il blaguait ou si sa proposition était sérieuse, et j’ignorais encore plus si j’avais l’intention d’accepter. Lui, par contre, n’avait pas réellement en tête de me laisser y réfléchir. Il se penchait déjà en ma direction pour m’embrasser. Ce contact me fit frissonner. Il embrassait comme un dieu. Je lui offris ma bouche sans vraiment réaliser se qui se passait. Il me coucha lentement sur le sol, ses mains caressant mes cheveux.

C’est à ce moment que je sentis son érection contre mon bas ventre. Sa queue était d’une très belle proportion et il se montrait tendre envers moi.

Qui me connaissait mieux que lui… ? Et comme c’était déjà commencé, autant continuer…

Avant qu’il ne me dépucèle, je voulais lui donner un peu de plaisir et prendre les choses en mains. Je le fis rouler au sol à son tour et, en l’embrassant langoureusement, mes mains descendirent vers son pantalon. Je le massai à travers l’étoffe jusqu’à ce que je sois submergée par le désir. Puis je lui ôtai son dernier rempart. Sa queue était d’une bonne longueur et d’une largeur appréciable…tout simplement magnifique !

Je commençai à lécher son gland du bout de la langue, puis à le sucer. Je massais ses couilles d’une main lorsqu’il enfonça sa queue au plus profond de ma bouche. Je l’aspirai du mieux que je le pouvais et commençai un va-et-vient avec ma tête. Tandis que je masturbais sa queue d’une main, je décidai d’aller lécher ses couilles bien rasées et de les sucer un peu. Puis je revins à la charge et repris son membre en bouche en continuant de le masturber. Avec ce traitement, il ne fut pas long et finit par éjaculer entre mes lèvres. J’avalai tout sans en laisser une seule goutte.

• — Hum, c’était délicieux, ma belle, maintenant tu me laisses faire…

Après ces paroles, il prit le dessus et enleva mon haut de maillot. Il embrassait mes seins, les léchait, et il se mit à les mordre et à les pincer, c’était nouveau et totalement agréable.

Après quelques minutes de ce traitement, il descendit en m’embrassant ; il m’enleva ce qui me restait sur le dos tout en en léchant mes jambes. Il se décida enfin à venir me manger la chatte afin de me lubrifier.

Je mouillais comme une cochonne assoiffée de sexe.

Je n’en pouvais plus… il ne me fallut pas longtemps avant d’arriver à un premier orgasme. Sa langue était très habile : il suçait sans relâche mon clitoris et enfilait sa langue profondément dans mon vagin. Après m’avoir procuré un deuxième orgasme, le moment arriva enfin.

• — T’inquiète pas, je vais y aller doucement au début, me dit-il en m’embrassant le front.

Il était parti chercher un condom et, après l’avoir enfilé, il se présenta à l’entrée de mon vagin. Il vint cogner contre mon hymen. Et le perça d’un seul coup. Ce fut très douloureux, et il s’immobilisa à l’intérieur de moi pendant quelques minutes.

• — Est-ce que ça va aller, Ally ?
• — Ouais, je devrais survivre, allez, tu peux continuer.

Il fit quelques va-et-vient assez lents, et ensuite il se mit à me labourer l’intérieur. Il allait de plus en plus vite et je sentais le plaisir monter en moi. Je sentais ses couilles frapper contre mes fesses et j’adorais aussi le percevoir en moi. Je me laissais aller à un nouvel orgasme bruyant.

Je repris lentement mes esprits pour réaliser que je venais de crier à tout va. Je rougis très vite, espérant que les voisins étaient tous à l’intérieur en cette belle journée. Simon était toujours immobile en moi, il n’avait pas encore joui. Après m’avoir embrassée à pleine bouche, il se retira et enleva le condom, puis se masturba devant ma bouche. J’avais compris qu’il voulait me venir sur le visage alors j’ouvris grand la bouche. Une première giclée vint atterrir dans mes cheveux. Une seconde en plein dans mon visage, sous mon nez, et j’avalai la troisième. Il avait si bon goût que je l’ai sucé encore un peu afin de le nettoyer complètement.

Après cette séance, nous sommes allés nous baigner afin de bien nous débarbouiller. Je vis Alexandre le soir même mais, au lieu de coucher avec lui, je lui ai annoncé que je ne pouvais plus sortir avec lui car mon cœur appartenait à un autre. Et oui, avant que l’on se quitte Simon m’avoua qu’il m’aimait en secret depuis très longtemps, mais qu’après cette magnifique baise, il ne supporterait plus de me voir au bras d’un autre. Je devais choisir, soit je sortais avec lui et laissais Alexandre, soit je gardais mon amoureux et je devrais l’oublier jusqu’à ce qu’il passe à autre chose.

Cet ultimatum me fit réaliser que je ne pouvais pas m’offrir à Alexandre, car j’aimais moi aussi Simon.

Cette histoire date maintenant d’un an et demi et je suis toujours aussi heureuse avec Simon. Et je ne peux RIEN lui refuser.