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n° 09377Fiche technique22845 caractères22845
Temps de lecture estimé : 14 mn
06/07/05
Résumé:  Quand une star du porno sort d'un tournage, elle recherche tout, sauf de la baise...
Critères:  fh couple fépilée amour vidéox massage intermast entreseins fellation cunnilingu préservati pénétratio
Auteur : Sofie  (Jeune demoiselle essayant l'écriture)            Envoi mini-message
Sans caméra... on y gagne !

Je suis calée sur un grand blond baraqué qui cherche à tout prix à me mettre sa bite au plus profond, tout en poussant des grognements forcés. Quand soudain, Boris, un grand black terriblement monté, se place derrière moi et, sans grande perte de temps, enfonce son sexe entre mes fesses. Prise ainsi en sandwich, je gémis de manière totalement impudique. J’implore qu’ils me traitent comme une vilaine fille et je flatte leurs queues énormes par des paroles crues. Mes deux partenaires ne tardent pas à retirer leur sexe et à se branler très fort, afin de cracher leur semence sur mon visage, que je leur présente, à genoux sur le lit. J’ai le visage maculé de sperme et je souris en passant ma langue sur mes lèvres, dans le but de goûter leurs précieux jus et…



Les projecteurs s’éteignent et une lumière plus naturelle berce la pièce à présent. Mes deux collègues quittent le lit, exténués, et vont rapidement remettre un caleçon car la température dans la chambre est vraiment glaciale. Quant à moi, je me lève et me dirige vers la salle de bain. Je me saisis d’un gant de toilette et commence à me rincer le visage.


Pendant que je fais une toilette rapide, j’entends dans mon dos le réalisateur nous féliciter pour cette dernière scène du film qui, d’après lui, est excellente. Heureusement car il nous a fallu deux heures et demi pour la réaliser. Comme quoi, être actrice porno est loin d’être si fantastique que cela !



Après ce court échange, mon réalisateur entre dans la salle de bain et dépose un bisou sur mon épaule (sans doute le seul endroit où je n’ai pas de traces de mes dernières scènes).



Je me lave un peu et me rhabille, dans le tintamarre du reste de l’équipe qui range le matériel. Rodrigue, le vrai nom de mon partenaire black, arrive dans l’ouverture de la porte et me propose de me raccompagner chez moi, car il passe à proximité. J’accepte volontiers, pour éviter ainsi le métro parisien.

Nous descendons de l’immeuble ensemble et montons dans sa voiture. Le trajet est assez calme. Il est vrai qu’après une dure journée de tournage comme aujourd’hui, la fatigue nous gagne.

Toutefois, à quelques centaines de mètres de mon appartement, Rodrigue me demande :



Le silence revient un peu et, quelques instants après, Rodrigue se retient vainement de pouffer.



Il arrête la voiture dans un début de rire général. Je sors du véhicule en le remerciant pour le transport et, enfin, j’ouvre la porte de mon petit appartement. Home, sweet Home…


Je dépose mon sac dans le couloir, fonce, telle un zombie, vers la salle de bain et, rapidement, me glisse sous le jet brûlant de la douche. Enfin, je me réchauffe et surtout j’oublie peu à peu toutes les péripéties de la journée. Le corps immobile, le souffle presque imperceptible, j’évacue le stress, la fatigue, toutes les traces laissées par mes multiples partenaires de la journée. Ma longue chevelure brune tombe le long de mon dos qui me fait mal, en raison des postures à tenir pendant de longues, très longues minutes. Même mes seins sont une souffrance, tant de fois malaxés et écrasés. Usée, je reste ainsi durant quelques minutes réparatrices.



Je sors de la cabine de douche et je m’essuie calmement. Toute la fatigue et les douleurs du tournage éreintant s’échappent, comme la vapeur dans la salle de bain. J’enfile ensuite mon peignoir rose, une couleur si reposante. Je me dirige vers le salon et m’affale dans mon grand fauteuil. À demi-endormie, j’attends paisiblement que le temps passe.



Au bout d’un long moment, j’entends un bruit familier. Une clé qui claque dans la serrure et le grincement de la porte d’entrée. Des pas souples et conquérants, puis une ombre qui s’allonge sur le parquet : celle de mon chéri, l’homme de ma vie ! Sa tête dépasse de l’embrasure de la porte, il me voit et me sourit aussitôt.



Il se rapproche de moi et dépose un baiser sur mon front. Je lui réponds :



Mon homme termine sa phrase par un délicat sourire, puis il se dirige vers la cuisine et je l’entends préparer le repas.


Pendant ce temps, il me laisse tranquille, me ressourcer. Il sait que j’en ai besoin après une journée de tournage. Il a l’habitude de me voir assise dans mon fauteuil avec mon peignoir rose, un cadeau qu’il m’a fait. Tant que je n’ai pas pris de douche, il n’a pas le droit de me toucher. C’est une étape nécessaire pour moi, pour notre couple.


Enfin, il revient avec un plateau contenant deux soupes. Je m’installe plus correctement dans le fauteuil et me laisse servir. Mon chéri, lui, se place sur le second fauteuil, en face du mien. Nous mangeons tranquillement, en parlant de tout et de rien, surtout pas du boulot, du mien. Cette soupe me fait du bien, je retrouve des forces et la compagnie de mon homme me redonne le sourire. Nous finissons même le repas par quelques éclats de rires, il a tant d’humour. Il débarrasse vite fait les assiettes et va se placer sur l’accoudoir, juste à côté de moi, en passant un bras derrière ma nuque.



Nous restons ainsi dans le calme, je respire son parfum qui m’enivre. Sa présence, son charisme m’entourent et me rassurent. Mon homme me donne de petits baisers dans le cou, des baisers tendres à peine perceptibles. Je détourne la tête, dévisage mon amoureux et j’ai envie de m’ouvrir à lui, de lui confier mes sensations du moment :



Pour seule réponse, j’ai droit à une série de petites chatouilles.



Il arrête et je remets correctement mon peignoir. Puis je reprends :




Nous nous fixons un instant dans les yeux. Ses yeux noirs, très sombres, gardent au fond d’eux une délicatesse qui m’a toujours séduite. Son bras se resserre autour de mon épaule et il m’embrasse. Ce premier baiser est pur et innocent. Il n’aime pas les mots, néanmoins j’entends sa voix me dire « Je t’aime. » Tout en douceur, il m’enveloppe dans ses bras musclés et, dans un mouvement précis, nous échangeons nos places. Il se retrouve assis dans le fauteuil et moi, je me love sur lui.



Nos baisers s’accélèrent et s’intensifient, son étreinte se fait plus forte mais elle reste rassurante, réconfortante. Un vrai refuge. Je presse mon corps contre le sien, j’ai besoin de lui, de sa présence, de sa force apaisante. J’oublie tout ce qui m’entoure, je ne pense qu’à lui, je ne sens que sa peau, je n’entends que le bruissement de nos vêtements. Mes jambes se frottent aux siennes, comme un appel au désir qui monte dans nos respirations. Ma main déboutonne quelques boutons de sa chemise et se fraie un chemin. Son cœur bat, je perçois chaque battement, distinctement, se diffuser à travers mes doigts. Je prends son menton entre les dents, je le pince légèrement. Mes lèvres attrapent son cou. Je deviens fiévreuse.

Mon compagnon étudie mes formes à travers mon peignoir, dont la ceinture se défait peu à peu.



Avec mon aide, il exécute ma demande et je profite de cet instant pour défaire sa ceinture, puis poser ma tête sur son buste.



Face à cette requête, il ne peut pas refuser et il se colle contre moi, passe ses mains à l’intérieur de mon peignoir. Ses doigts soulignent mon dos, détaillent mon échine. Ses frôlements restent soft, il touche à peine le bas de mon dos, le haut de mes fesses. Affalée sur lui, je relève ma poitrine, il peut contempler un bout de mes seins, dévoilé par mon vêtement, bien inutile à présent. Je m’en saisis et le fais glisser le long de mes épaules, lentement, comme pour mieux aiguiser la convoitise de mon partenaire. Une fois le peignoir tombé sur mes reins, mon homme l’attrape et le retire définitivement.

Me voici dans le plus simple appareil. Je pose ma main sur son pantalon et tâte sa bosse naissante. Puis je lui souris et lui chuchote :



Il comprend ce que je veux dire, où je veux en venir. D’un léger signe de tête, il me répond. Ensuite, il me prend dans ses bras, à la cuillère, mes bras autour de son cou. Dans cette position, il me conduit vers notre chambre. Durant tout le trajet, nos yeux ne se quittent pas un instant. Plus besoin de parler à partir de maintenant.



Comme un prince portant sa princesse, il m’emmène sur notre lit. Il me dépose comme sa possession la plus précieuse. J’enfouis ma tête dans les oreillers et me laisse totalement faire. D’ailleurs, pourquoi lutter ? Je ferme les yeux, ici pas d’artifice, juste du réel et des sentiments. Lorsque j’ouvre les yeux, c’est pour le voir poser ses mains sur ma peau, en mille endroits. Je m’aperçois qu’entre-temps, il s’est mis nu lui aussi.

Mon amour me prodigue un massage délicat le long des jambes, s’appliquant encore plus sur les pieds et osant avec délice s’attarder sur mes orteils. Ses mains remontent peu à peu, passant malicieusement son index sur l’arrière de mes genoux. Je frissonne.



Il s’installe au-dessus de moi sur le lit. Il m’embrasse avec lenteur. Sa verge dressée se frotte sur mon aine, à proximité de mes lèvres prêtes à l’accueillir. Il se saisit de mes seins, sans aucune violence, sans les malaxer comme de la vulgaire pâte ou de simples prothèses mammaires. Bien au contraire, tous ses gestes sont pleins de tendresse, de précaution. Mon compagnon me palpe la poitrine, en examine les moindres contours.


C’est sa douceur que j’apprécie le plus. Il est le seul à me faire L’AMOUR. Je suis bien loin de la baise avec lui. Ici, pas de réalisateur pour nous guider. Ce sont nos cœurs qui s’expriment, nos envies ne nous commandent pas, elles nous guident.


Dans une roulade, je passe sur lui. Néanmoins, il m’enserre avec ses bras, je ne veux pas qu’il me lâche, qu’il me délaisse un instant. Je serpente sur sa peau en laissant d’innombrables baisers. Dans un soupir, j’atteins son sexe, que je prends entre les mains. Mon poignet monte et descend sur sa hampe, dans un rythme soutenu. Son corps se contracte, puis se décontracte. Ma bouche se pose sur ses ornements, je les suçote avec précaution. Mon amant a un léger spasme lorsque le bout de ma langue s’attaque à sa chair dressée. Je glisse son gland entre mes lèvres et ma langue fait tout le reste. J’aspire son sexe, je le cajole entre mes joues. Mon cou fait un mouvement de va-et-vient cadencé. Les bouts de mes doigts tiennent sa verge droite, en direction de ma bouche. Il gémit de bonheur et ses jambes s’agitent parfois.


J’avale plus profondément sa bite, ma fellation se fait plus intense, plus profonde. J’éloigne mes lèvres de son gland, laissant un filet de salive. Je remonte un peu, posant ma poitrine sur sa verge. Je sais qu’il aime cette caresse, c’est un beau plaisir que je lui offre et, surtout, c’est très efficace, avec mes seins volumineux. Je passe les tétons sur la peau de son sexe, je dessine des petits cercles invisibles. Puis une dernière caresse de la langue sur son bout et je débute ma branlette espagnole.


Prisonnier de ma poitrine, mon compagnon se laisse aller, sa respiration s’accélère, il ferme les yeux, bercé par le plaisir. Parfois, il bredouille des mots, hébété par mes caresses. Mais ce petit jeu ne lui suffit plus, il prend entre mon visage ses mains et m’invite à l’embrasser de manière fougueuse. La paume de sa main descend sur mon clitoris et entame une lente masturbation. Mon petit bourgeon se dresse de bonheur, mon antre bouillonne et, peu à peu, se liquéfie.


C’est à son tour de me satisfaire. Il se rue sur mon minou tout lisse et y pose la pulpe de ses doigts, cela me procure un chatouillement divin. Je suis si sensible à cet endroit dénué de tout poil, ce qui me permet de sentir parfaitement toute l’agilité de son doigté.



À cette invitation, il ne peut refuser. Mon homme ne tarde pas à s’approcher de mon coquillage. Ce sont d’abord ses larges lèvres qui me font de délicates succions, puis il place sa langue et il commence un savoureux cunni. Il me tète l’entrejambe avec volupté. Je suis inondée par tant d’attention, tant de finesse.


C’est ce que j’aime le plus chez lui, sa délicatesse, sa simplicité quand il me rend heureuse, quand il me fait l’amour sans vouloir en faire trop. À cet instant, je ressens un plaisir réel, non simulé. Ce n’est pas la peine d’en rajouter : ma moiteur, mon souffle irrégulier, presque fou, suffisent à lui faire comprendre ce que je ressens.


Mes mains se perdent dans ses cheveux, je m’amuse à égarer mes doigts dans ses cheveux bouclés. Je marque une légère pression sur sa tête pour qu’il vienne au plus près de moi, qu’il n’hésite pas à goûter ma fleur secrète, je désire qu’il savoure mon nectar. Son majeur frôle mon intimité et, sans aucune résistance, il s’immisce en moi. Je pince ma lèvre supérieure pour me retenir de crier et seule une légère plainte sort de ma gorge. Un son si insignifiant, pour traduire cette boule d’extase qui monte en moi.



J’agite les jambes, prise par une folie incontrôlée. Je pousse des gémissements, l’interpelle à plusieurs reprises. Il me fait sucer ses doigts imprégnés de ma liqueur, puis se lève rapidement. J’en profite pour regarder ses fesses rebondies et musclées. Il se saisit d’une capote, dans son jean, puis il revient vers le lit, vers moi, passive sur le lit. Sa verge est tendue vers moi. Pourtant, son gland ne me menace pas, au contraire, je l’attends avec impatience, en moi.


J’enroule ma main autour de sa verge et la prends un court instant dans ma bouche. Je me délecte une dernière fois de son goût. Je convie mon partenaire à s’allonger à côté de moi, je masse rapidement sa bite et lui enfile le préservatif tout du long. Je m’installe au-dessus de lui et prends son sexe dans ma main. Je le pose à l’entrée de mon vagin et mes reins font le reste. Il pénètre en moi, c’est fabuleux ! Mes hanches impriment une cadence soutenue, je veux le sentir au maximum.


Mon homme ne tarde pas à s’enflammer lui aussi et m’offre de savants mouvements de bassin. Notre chorégraphie s’accélère, complétée par nos respirations devenues folles à présent. Mon amant se saisit de mes poignets et fait jouer tout son poids pour me retourner. C’est à lui de prendre les choses en main. Notre étreinte est intense, sans relâchement de sa part. Quant à moi, je suis de plus en plus passive. Je cesse tout mouvement. J’aime lorsqu’il me domine, quand je peux tout simplement savourer son corps, son sexe qui s’agite dans mon ventre en feu. Mes bras sont étendus sur les draps, détendus, comme tout le reste de mon corps, à l’exception de mes abdos, qui ne cessent de s’agiter.


Je suis captive de ses bras qui me serrent chaleureusement, de son odeur qui embaume mes narines, de son bassin qui excite tous mes autres sens. Il me fait l’amour avec passion et amour. Cela me change tellement de mon quotidien ! Mon corps tout entier réclame les assauts incessants de mon chéri. Je suis toute dévouée à ses envies. De temps en temps, nos bouches s’unissent pour des baisers fiévreux. La sienne se perd sur mon cou, le haut de mes épaules, il susurre des mots tendres au creux de mon oreille.


Il est simplement au-dessus de moi, en missionnaire. Son sexe coulisse en moi, ses gestes sont tendres et moi, j’apprécie son corps, allongée et inactive. Je me laisse faire. D’ailleurs, à quoi bon résister ? Je ne souhaite que cela !


Nul besoin d’artifices, de mots crus ou de bestialité. Mon homme m’emmène loin des films, loin du porno, et il m’entraîne pour un voyage dans l’érotisme et l’amour. Nos corps deviennent moites, nos membres ne se quittent plus. Ma chair, mon être, sont renversés. Ma gorge est si aride, en contraste avec mon bas-ventre. Nos ébats se poursuivent par de multiples échanges de baisers, de caresses. Mon homme est pris dans une sorte de transe, il me chevauche, donnant à ses coups de hanches de brillantes inclinaisons. Je perçois ainsi toute la longueur et la grosseur de son sexe. J’approche mes lèvres de sa tendre bouche et je lui dis :



Nous rions de cette réplique, tout en continuant notre danse érotique, son corps en osmose avec le mien.

Toujours en proie à ses pulsions, je gémis sans me forcer, pour exprimer tout le bien-être qu’il me procure. Peu à peu, au fond de mon ventre, une pointe apparaît. C’est à la fois une douleur et une jouissance qui perfore de plus en plus mon intérieur. Cette pointe se transforme en boule. À présent, je me concentre sur les muscles brûlants de mon vagin, sur chaque va-et-vient. Soudain, la sensation devient trop forte. J’agrippe l’épaule de mon bienfaiteur, je le griffe, lui laissant une marque de mon plaisir. Ma gorge expulse un cri qui se transforme en un souffle long et puissant. Ma tête s’agite d’avant en arrière, mon corps se crispe et, d’un coup, se détend… Je jouis intensément. Mon cœur bat comme un fou, puis semble s’arrêter.


Mon compagnon accélère la cadence au moment où il sent le début de mon orgasme, ce qui fait que je jouis encore plus fort, plus intensément. Il ralentit ses impulsions et me regarde savourer cet instant.

Mon visage est calme et détendu, plus aucune trace de stress et de fatigue. Bien au contraire, une profonde quiétude m’envahit soudainement. Mon amour passe sa main dans mes cheveux, et il m’embrasse comme on le fait lorsque l’on aime avec passion. Ses reins remuent, le temps d’un ultime assaut, et il pose sa tête sur le creux de mon épaule. À son tour, il jouit. Il s’allonge de tout son poids sur moi, vaincu par l’allégresse.


Nous restons ainsi, inertes. L’un sur l’autre, comme un seul corps, un seul souffle. Puis il se retourne et se met sur le flanc, à côté de moi. Nous nous observons, ses doigts parcourent mes formes.


Alors, je savoure le délice de ce moment, car ici, nulle caméra, nul réalisateur pour arrêter cette séquence, bien inutile dans les films. Non. Maintenant je m’installe, me blottis dans ses bras qui m’isolent du reste du monde. Son sexe mou se pose sur ma cuisse. Pas besoin de caméra, car tout ce qui vient de se passer est gravé dans ma mémoire, dans mon cœur. Je suis bien loin des films et bien plus près des sentiments et, croyez-moi : sans caméra, on y gagne !