n° 09404 | Fiche technique | 14513 caractères | 14513Temps de lecture estimé : 9 mn | 14/07/05 |
Résumé: Nouvelle expérience avec mon amie Leïla. | ||||
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Auteur : Bonbonroz |
Cela faisait quelques mois que je n’avais pas vu Leïla. Nous nous étions croisées rapidement à une petite soirée qu’organisait un copain commun.
Cela fait un mois qu’a eu lieu notre escapade à l’hôtel. C’est d’ailleurs un bon sujet de discussion entre nous. Elle m’a appris qu’elle ne fréquente plus cet homme, avec qui elle est allée loin dans ses désirs, pour la simple et bonne raison qu’il s’est attaché à elle. C’est la chose à ne pas faire avec Leïla. S’il doit y avoir une attache, c’est que c’est elle qui en aura décidé ainsi.
Du coup, elle m’a parlé d’une nouvelle conquête, rencontrée quelques jours auparavant, dans le cadre de son boulot. Elle aime mélanger plaisir et business, alors je ne suis pas étonnée lorsqu’elle m’énumère en détail tout ce qu’elle a déjà fait avec lui, bien au contraire…
C’est à chaque fois un vrai plaisir de la revoir, car notre entente est sincère sur tous les points.
Comme souvent lorsqu’elle monte sur Paris, elle m’a envoyé un mail pour me prévenir de son arrivée et prendre rendez-vous. D’entrée, elle me promet un "excellent plan", selon ses dires, que l’une de ses collègues lui a conseillé.
Nous convenons d’un rencard dans une brasserie vers la Gare de Lyon. Elle arrive à 15 heures.
Je vous passe les retrouvailles et tous les potins que l’on peut se raconter lorsque l’on ne se voit pas pendant une certaine période, pour vous emmener directement vers ce qui vous intéresse, petits cochons.
Elle m’a mise en bouche en me parlant rapidement de l’idée qu’elle a en tête.
C’est donc l’une de ses collègues qui lui a conseillé d’expérimenter ce qu’elle a elle-même vécu aux alentours de Lyon. Pour ce faire, je dois retourner chez moi, me faire belle, comme il se doit chaque fois que l’on se voit, et ne m’habiller que d’une longue veste par-dessus des bas et un soutien-gorge, uniquement.
Comme à son habitude, lorsqu’elle m’embarque dans ses combines, elle maintient cette atmosphère mystérieuse autour de notre projet du jour, ce qui a la particularité de me mettre dans tous mes états.
Et comme d’habitude, pour profiter pleinement de la situation, je me laisse entièrement guider et écoute attentivement les recommandations.
Elle vient me chercher une heure et demie plus tard, en bas de chez moi, avec la voiture qu’elle a louée pour le week-end.
Je suis dans la tenue adéquate. Elle aussi. Elle est vraiment très belle et irrésistiblement attirante. Nous partons alors pour une nouvelle expérience à deux.
Pour nous mettre en "appétit", elle a décidé que nous allions prendre un café dans un beau restaurant parisien.
C’est particulièrement excitant de se trouver dans cet endroit relativement chic, nue sous notre longue veste. Quelques personnes nous regardent étrangement du coin de l’œil, au bout de quelques minutes, en voyant que nous ne nous sommes pas déshabillées. Ce qui ne se fait pas dans ce genre de restaurant. Alors, pour leur en faire comprendre la raison et, en même temps, pour satisfaire ceux qui auraient pu entrevoir ou deviner quelque chose, elle se met un peu plus à l’aise, dénouant le nœud de sa ceinture, ce qui laisse légèrement glisser sa veste sur ses épaules, dévoilant ainsi le joli décolleté de ses petits seins. Elle en profite pour entrouvrir délicatement le bas de sa veste, laissant apparaître une belle partie de ses cuisses.
Certains clients ne s’aperçoivent de rien du tout. D’autres, plus curieux peut-être, ne loupent rien de ce show.
Pour couronner le tout, elle lance à ces derniers des regards plutôt équivoques et se lève, prétextant qu’elle doit aller se repoudrer le nez.
Elle disparaît dans le fond du restaurant.
Cela fait maintenant un quart d’heure que je l’attends, seule, accoudée à la table, essayant d’esquiver les regards des vicieux qui n’attendent qu’une chose : que je leur offre le même spectacle.
Ouf, elle revient enfin. Souriante. Elle m’attrape par la main. Nous nous en allons. Nous remontons en voiture, pour une destination qui m’est encore inconnue.
Cela fait un petit moment que nous roulons. Nous avons quitté Paris pour sa banlieue. Mais quelle banlieue ! Nous voilà dans une belle et vaste forêt. Il fait très sombre et l’endroit est très calme. C’est ici que Leïla décide que nous nous arrêtons.
Etonnée, je me demande ce que nous faisons là, car il n’y a personne.
En effet, au bout de quelques minutes, une, puis deux, puis trois voitures se garent sur le bas-côté.
Discrètement, quatre hommes sortent des véhicules et s’éloignent un peu plus loin.
Une grosse berline aux vitres teintées s’approche de ces quatre hommes. L’un d’eux se présente devant la vitre avant, côté passager.
Nous sommes à une cinquantaine de mètres et, comme il fait très noir, je ne distingue pas très bien ce qui se trame là-bas.
Après quelques minutes, cet homme s’éloigne de la voiture et un deuxième prend sa place. Lui, reste moins longtemps et un troisième ne tarde pas à arriver, puis un quatrième.
Ce ballet d’allées et venues dure une grosse demi-heure, au bout de laquelle le chauffeur du bolide remet le moteur en marche et s’en va dans un strident crissement de pneu sur le bitume.
Me voyant très intéressée et curieuse de savoir exactement ce qu’il s’est passé, elle me regarde et me demande si je veux savoir. Cette fois, contrairement à mes habitudes, il n’y a pas de temps de réflexion et ma réponse est positive. Heureuse de me l’entendre dire, elle se penche vers moi et me roule une formidable pelle. Après cela, elle se remet bien droite dans son siège et ouvre entièrement sa veste, laissant pleinement voir ses si jolis petits seins et son sexe totalement rasé.
Elle met, à son tour le moteur en marche, roule sur les cinquante mètres qui nous séparent de la scène précédente et fait une manœuvre pour que je me retrouve du côté des bois.
Il n’y a pas à attendre. Quelques secondes suffisent pour que l’un des quatre hommes se présente face à ma portière.
Un bel homme d’une vingtaine d’années s’est posté devant ma fenêtre et me regarde droit dans les yeux. Il tâte rapidement du regard le corps dénudé de Leïla et met sa main dans son pantalon pour en sortir une verge en totale érection. Il se met à se branler devant moi.
Mes yeux écarquillés ne loupent pas un instant du spectacle offert.
Soudain, ma vitre se baisse toute seule. C’est Leïla qui vient de l’ouvrir, grâce au bouton placé côté conducteur.
Du coup, le jeune homme s’est approché plus près de moi.
A ces mots, Leïla se penche vers moi et entreprend de me déshabiller.
Le temps de prononcer cette phrase, elle a complètement ouvert ma veste, offrant au regard avide de notre nouvel ami mon opulente poitrine, encore à l’étroit dans son soutien-gorge, mes bas noirs, qui allongent joliment mes jambes, mais surtout, une vue plongeante et directe sur ma petite toison d’amour.
Elle place sa main sur mon sexe et commence à le caresser du bout de ses doux doigts.
Ne perdant toujours aucune image, j’accède à sa requête et passe mes mains sur mes seins, tout en le regardant. Il semble apprécier grandement ce qu’il voit. Il accélère sa masturbation et éjacule contre la portière.
Il s’éloigne, sans un mot.
A peine le temps d’échanger un baiser avec mon amie qu’un deuxième homme apparaît à ma fenêtre. Il est plus âgé que le premier. Environ la quarantaine mais assez séduisant tout de même. (De toutes façons, je pense que dans ces moments-là, pour Leïla et moi, ils sont tous séduisants.)
Il fait la même chose que son prédécesseur. Il sort un engin de moyen calibre, très touffu.
Très obéissantes, nous ne nous faisons pas prier. Leïla libère mes seins de leur prison de lycra pour me les lécher. De sa main gauche, elle continue à me visiter le sexe.
Je gémis de plaisir.
Notre ami branleur s’est tellement rapproché pour mieux voir, que sa queue est carrément dans la voiture, à quelques centimètres de moi.
Elle lâche mes tétons, remonte ses lèvres à hauteur de mon oreille et me susurre :
Joignant le geste à la parole, elle saisit ma main droite et la mène jusqu’à la tige en érection. Elle est dure comme du bois.
Je suis complètement excitée et m’applique à bien lui faire plaisir, à ce salaud. Il ne tarde pas à jouir au bout de quelques instants, tant l’excitation l’a envahi.
Il sort sa semence avec tellement de pression qu’il m’arrose le bras tout entier.
Lui aussi s’en va sans dire un mot à notre égard.
J’attends avec impatience le troisième. Lui aussi doit être impatient, car il arrive rapidement. Je le reconnais tout de suite. C’est l’un des serveurs du restaurant, un beau métis, bien bâti et bien membré, à ce que je vois. En effet, il est arrivé le sexe à la main, déjà dur, prêt à l’emploi.
Leïla s’est adossée à sa portière, les jambes écartées, prête à se toucher.
Je m’exécute, comme à l’accoutumée, et me retrouve nez à nez avec ce bel engin, que son propriétaire continue de flatter. Elle relève ma veste, qui lui cache la vision de mes fesses et les prend en main, pour bien les pétrir.
C’est tout ce que je voulais entendre. Je n’attendais que cela. Je me jette donc, sans ménagement, sur cette belle queue qui ne demande qu’une seule chose : que l’on s’occupe d’elle.
Je la prends en bouche avec bonne volonté. Pendant ce temps, Leïla s’amuse à passer de ma fente à mon petit trou avec sa douce langue, prenant soin de la faire pénétrer dans l’une et l’autre de temps en temps. C’est exquis ! Je prends un pied terrible à sucer cet homme, dans cette situation. C’est vraiment "enrichissant", comme expérience.
Je prends un malin plaisir à faire varier les moments pendant lesquels je le suce et ceux où je lui lèche le gland ou les boules.
Mais il est exigeant. Plus que les autres. Il me prend par les aisselles pour me soulever un peu vers lui. Du coup, je me retrouve accoudée à la fenêtre, les seins à l’extérieur de la voiture, les fesses à l’intérieur.
Je m’exécute à nouveau, ne pouvant de toute manière pas dire grand-chose, car j’ai la bouche pleine.
Ses fesses sont fermes et rebondies (ce qui est trop rare chez les hommes en général !!!), un vrai régal.
Il apprécie ce traitement. De ce fait, il est si énervé que ce n’est plus moi qui le suce, mais bien lui qui fait l’amour à ma bouche. Il me remplit complètement, pendant que cette cochonne de Leïla continue à s’amuser avec mes orifices.
Mais il en veut vraiment plus, apparemment. Il prend ma main droite et la dirige vers son anus.
J’acquiesce d’un simple regard.
Mon doigt entre comme dans du beurre. Son petit trou est tellement dilaté que l’on pourrait y mettre plus qu’un simple doigt, croyez-moi !
Cela dure quelques minutes et, sentant que notre Apollon va se libérer, Leïla se place acrobatiquement derrière moi, de façon à pouvoir me tenir fermement la tête, pour que je ne puisse pas me retirer au dernier moment.
Les râles de mon "hôte" deviennent plus pressants, les va-et-vient de mon doigt dans son cul sont de plus en plus enivrants et ses coups de boutoir dans ma bouche me font sentir son gland, énorme, prêt à exploser.
Ce qui ne loupe pas.
Dans un dernier cri de plaisir, il décharge sa semence dans ma bouche à grosses saccades.
Ce que je fais sans sourciller.
Mon beau métis se retire et s’éloigne à son tour, en nous gratifiant d’un :
Que j’accepte comme un remerciement, voire même comme un compliment.
Les voitures de ces messieurs s’éloignent dans la nuit.
Nous rentrons chez Leïla pour finir cette soirée qui m’a plus excitée qu’assouvie sexuellement. Sur le chemin du retour, elle m’explique que cette rencontre n’est pas anodine, car préméditée. Elle a tout organisé depuis le restaurant du début de soirée. Et je comprends rapidement pourquoi elle a disparu une bonne vingtaine de minutes, à ce moment-là, quand je vois, chez elle, le quatrième homme du bois, qui n’est autre que le patron du restaurant, à savoir, son nouvel ami.
Nous passons donc la nuit à trois, pour éteindre ce feu que Leïla a attisé en moi.
C’est, une nouvelle fois, formidable.