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A ma femme

Après ce puissant moment d’émotion dans la piscine, nous rentrons dormir dans les bras l’un de l’autre. Ces quelques heures de repos bien méritées terminées, notre vie à deux commencera réellement.

Le réveil aux côtés de cette femme me fait le plus grand bien, j’ouvre les yeux un peu avant elle et profite de ces instants magiques, vous savez, ceux durant lesquels votre esprit erre à moitié dans le rêve et à moitié dans la réalité.

Il fait déjà bien chaud, il doit être aux environs de dix heures et je l’observe allongée à côté de moi, le drap ne recouvrant qu’une très faible partie de son corps. Ses cheveux sont épars et une mèche passe sur son visage, elle est étendue sur le dos, une jambe légèrement pliée et les rayons du soleil viennent caresser un de ses seins par une légère ouverture laissée par mégarde dans les tentures.

Elle est encore plus belle et désirable en cet instant. L’expression de son visage laisse percevoir une douce quiétude, une telle sérénité s’en dégage, c’est époustouflant.

Dans la villa, le silence et le calme règnent, ma famille doit être partie à la plage, comme tous les matins. Je reste ainsi à l’observer encore quelques minutes et, n’y tenant plus, je passe une main sur son visage afin d’écarter cette mèche de cheveux ; elle entrouvre les yeux, je m’en veux presque d’avoir troublé son sommeil, elle regarde le décor de la chambre et est un peu perdue, puis ses yeux plongent dans les miens et je vois que la mémoire lui revient.

Elle m’offre le très beau sourire d’une femme épanouie et je l’embrasse en lui disant bonjour.

Elle se relève sur un coude et est donc sur son côté, ma main se pose sur son épaule et descend le long de ses côtes pour remonter sur la courbe de sa hanche, sa peau est douce comme la soie. Ce contact avec sa peau me remplit de désirs.

Je me rapproche délicatement d’elle et l’embrasse à nouveau, je la tire vers moi de ma main encore posée sur sa hanche, nos deux corps sont l’un contre l’autre.

Doucement mes baisers se font caresses sur ses lèvres, son cou, ses seins, son ventre et, quand j’arrive sur sa vulve, un soupir lui échappe. Je décide de partir à la conquête de ce paradis encore inexploré par une langue avide de découverte.

Je la goûte donc du bout de la langue, la faisant gémir à nouveau et puis m’applique de mon mieux. Ses mains agrippent le drap de part et d’autre de son corps, si fort que l’on croirait qu’elle voudrait que plus jamais aucun fer à repasser ne puisse le défroisser.

Je la sens frémir, tout son corps tremble, son souffle s’accélère et ses gémissements se font alors plus forts, elle va venir dans ma bouche : quel beau présent elle m’offre là ! Elle s’abandonne à moi et jouit en à peine quelques minutes.

Lorsque je me relève de ma position, trop lointaine de ce si doux visage, elle m’offre un sourire tendre et me tire vers elle, puis m’étend sur le dos.

Elle me dit timidement :

• — J’aimerais t’offrir à mon tour ce plaisir, mais je ne sais pas comment faire…

Je l’interromps par un baiser et lui dis qu’il n’est pas nécessaire qu’il y ait un retour, mais que si elle le souhaite, je la guiderai en douceur.

A son tour, elle m’embrasse la bouche, le torse et le ventre pour arriver sur ma verge déjà raidie d’excitation de l’avoir fait jouir.

Elle la couvre d’abord de petits baisers timides, puis prend son souffle, un peu comme si elle se lançait pour la première fois d’un plongeoir un peu trop haut à la piscine, l’attrape à pleine main et ensuite avale goulûment mon gland qui se languissait de cet instant.

Diantre que cette bouche est chaude et accueillante !!

Elle fait preuve d’une douceur et d’une délicatesse désarçonnantes. À un moment, sa langue frôle le frein et le gland, faisant courir un spasme le long de ma verge, elle s’arrête et se relève croyant m’avoir fait mal, je la rassure et lui dit que, bien au contraire, ce n’était que plus agréable.

S’étant trouvé une nouvelle arme, elle reprend mon sexe en bouche de plus belle et n’hésite pas à user de ce nouvel artifice, sa langue tourne et caresse le gland à toute allure, me mettant dans tous mes états, ses yeux me fixent, mi-étonnés de l’effet qu’elle me procure, mi-excités de tenir les rênes de cet instant et son regard figé dans le mien m’excite encore plus.

Je sens ma jouissance proche et ne veux pas la surprendre, alors, au risque de gâcher ce moment où elle se sent maîtresse du jeu, je l’interromps et jouis sur moi, je ne la sens pas prête pour aller jusqu’au bout en cet instant.

Ne sachant trop que faire alors que mon sexe explose et répand ma semence partout sur mon torse, elle pose sa langue sur le frein et l’agite habilement, c’est vraiment euphorisant et j’en laisse échapper un cri de plaisir.

Elle attrape un des draps de plage avec lesquelles nous étions rentrés de la piscine au petit matin, me le tend, me regarde m’essuyer et ensuite éclate de rire, certainement fière d’elle, fière d’avoir vaincu sa peur du grand plongeoir…

Pour toi mon Ange, ma Mie, OU ma Reine

Pour toi mon A……………M…..OU……..R

Pour toi Ma Femme